n° 01141 | Fiche technique | 15697 caractères | 15697Temps de lecture estimé : 10 mn | 10/10/00 corrigé 25/10/22 |
Résumé: Souvenir de mes premiers émois... | ||||
Critères: fh jeunes copains danser fête volupté intermast pénétratio init | ||||
Auteur : Victor Envoi mini-message |
J’ai 18 ans et je n’ai jamais fait l’amour. Chaque jour qui passe, j’espère qu’enfin je connaîtrai le plaisir charnel.
Bien sûr, je me soulage régulièrement, le soir dans mon lit en rêvant au corps de mes camarades de classe et même, durant la journée, lorsqu’une fille me fait rêver un peu trop fort ! Chaque minute, je cherche qui pourrait enfin me faire ressentir ce plaisir que j’imagine suprême. Je rends service à toutes les filles que je connais, je travaille dur le soir pour pouvoir donner les solutions de tous les problèmes des livres de math et physique. Mais aucune reconnaissance – hormis quelques bises furtives – ne vient calmer mes hormones.
Je ne néglige pas mon entraînement physique, espérant attirer l’attention par mon corps, avant de pouvoir assurer par mon esprit. Cette quête devient donc une obsession. Mon œil et mon esprit sont devenus champions pour deviner à une ombre, un mouvement, la forme et parfois la couleur des dessous des femmes que je vois dans la rue. Le vent froid, parfois, me permet de voir un sein pointer mais ne me jette aucune femme dans les bras !
Un jour pourtant, une copine de la classe s’est fait agresser par un voyou qui l’a jetée par terre pour lui voler son sac. Je suis intervenu et ai sauvé la jeune femme et ses affaires. Elle m’a supplié de l’escorter chez elle. Dans la lutte un bouton de son chemisier a cédé, me permettant de voir un bonnet de soutien-gorge très sage, j’ai entrevu également un bout du slip en coton blanc. Je pense donc le moment venu, surtout lorsque la belle m’invite à prendre un thé pour nous remettre de ses émotions. Mais arrivés chez elle, ses parents sont présents pour nous accueillir et réconforter la belle. Le père me sert un whisky allongé de soda et me donne en guise d’au revoir une franche accolade, la mère et la fille ayant disparus dans la maison.
Non, décidément, je dois réussir à faire l’amour. Mais aucun plan ne germe dans ma tête et « ma première femme » n’a pas encore de visage.
Le dimanche se passe de façon studieuse et j’arrive le lundi matin prêt à donner les solutions des exercices des devoirs. Une surprise m’attend à l’entrée de la classe, sous les traits d’une jeune femme sans charme particulier. Elle s’appelle Sophie et vient d’arriver dans la région. Son père était décédé et sa mère a trouvé un travail très prenant mais bien payé dans notre ville. Sophie se trouvait ainsi privée de tous ses amis, de toutes ses habitudes.
Elle est brune, les yeux verts. Elle porte ce matin une jupe écossaise et un chemisier blanc sous lequel je peux voir une poitrine bien formée reposant dans un soutien-gorge blanc. Elle s’assied à côté de moi, mise à l’écart par mes camarades, pour que je la mette au courant des habitudes du lycée. Après les cours, nous faisons un bout de chemin ensemble et elle me raconte sa vie dans la ville du sud qu’elle a quittée.
Sa voix révèle un léger accent chantant qui avait dû refroidir les camarades du lycée. Elle habite en fait à trois rues de chez moi. Elle me raconte que dans le lycée précédent, elle n’avait réussi à s’intégrer que grâce au travail et à la préparation des exercices avec lesquels elle « achetait » l’amitié de ses congénères. Son déménagement était donc source d’espoir de se faire de nouveaux amis, plus vrais ceux-là. Je lui raconte que, moi aussi, je suis pourvoyeur de solutions d’exercice sans lui donner les raisons profondes et immédiatement naît une sorte de complicité qui me traverse et me remplit le cœur.
J’ai trouvé « la femme », à moi de provoquer les événements.
Je vois donc Sophie chaque jour, et chaque nuit je rêve d’elle et de ce que nous pourrions faire ensemble. Durant la journée, rien n’indique que Sophie aime le sexe, mais moi je suis confiant, « croyant » devrais-je dire. En effet, elle ne participe à aucune fête organisée par les uns et les autres, surtout en fait parce qu’elle n’y était pas invitée.
Chaque trimestre, j’organise dans une bâtisse jouxtant ma maison une fête avec musique, danse, alcool et isolement dans les fourrés des différents couples. Jusqu’à présent ces fêtes étaient, elles aussi, des « investissements sans dividendes ».
J’invite donc aussi ce trimestre, Sophie, en lui demandant si elle peut me donner un coup de main. Elle accepte après une courte hésitation, plus pour me rendre service que par goût de la fête. Plus la fête approche, plus notre complicité grandit pendant les préparatifs, achats de victuailles, de boissons, de décorations et autres poufs. Il faut bien sûr installer des guirlandes électriques, de la lumière noire et des miroirs tournants. Nous passons quelques heures perchés sur des échelles, le marteau et le tournevis en main. Je fais valoir ma bonne forme physique en réalisant des exploits de tractions sur les bras et à l’inverse, lui permets parfois de fixer des guirlandes en tenant fermement l’échelle.
Je connais ainsi tous les mouvements de ses hanches et toutes les coutures de sa petite culotte. J’ai même l’impression qu’elle aime monter sur l’échelle mais je n’ose en tirer des conclusions. À la fin de l’installation, elle glisse sur l’échelle et je la rattrape de justesse en la serrant contre moi fermement. Elle me fait la bise sur la joue pour me remercier. Est ce une impression ou ses lèvres se sont elles posées sur la commissure des miennes ? J’écarte ces pensées pour lutter contre une érection impérieuse provoquée par le contact des corps.
J’aborde donc la soirée très troublé, tendu par le désir de faire enfin l’amour et la crainte de voir s’échapper une chance par une précipitation mal contenue.
J’ai invité trente personnes et vers 21 h, la fête bat son plein. Un ami s’occupe de la sono. Sans me demander mon avis, il a fait sa programmation de manière à rapprocher les couples et leur permettre de passer un début de soirée intime. Tout est prêt, les plateaux d’amuse-bouche et les sandwichs, l’eau, les jus de fruits et les bières. Les lumières sont relativement tamisées et déjà des couples se forment et profitent des slows pour se frotter les uns aux autres.
Après avoir vérifié que la fête peut désormais se passer de ma surveillance, j’invite Sophie pour une série de rocks endiablés. Je lui offre une bière et lui propose de m’accompagner dans une série de slows.
L’alcool aidant, elle accepte, sans enthousiasme cependant. Le premier slow se déroule avec nos deux corps à distance très respectueuse. Je la remercie encore de son aide en lui avouant une certaine solitude qu’elle avait rompue et qu’elle m’avait permis de préparer cette fête dans un esprit inconnu jusqu’alors.
Cette déclaration nous rapproche dans l’esprit et le corps. Mes mains la tiennent aux hanches et elle a mis ses bras autour de mon cou. Nos cuisses se touchent régulièrement, ses seins se frottent à ma poitrine. Une érection impossible à contenir se déclenche et pour une fois, je ne cherche pas à la dissimuler mais au contraire appuie ma bosse contre sa cuisse. Mon cœur battait à tout rompre, j’attendais qu’elle se détache de moi en me giflant ou quelque chose d’approchant.
Contre toute attente (menteur), elle se rapproche de moi et pose sa tête contre mon épaule. Je lui murmure à l’oreille « merci » et elle me répond de même. Je lui explique alors qu’elle est la première à être aussi proche de moi et que je suis très troublé par le contact de son corps. Je lui dis aussi que je ne suis pas sûr de mes sentiments pour elle. À ma grande surprise, elle me répond qu’elle m’aime bien et que nous avons tout le temps de nous interroger sur nos sentiments après avoir profité de la fête.
Elle se serre littéralement contre moi, frottant cette fois sa cuisse contre mon entrejambe. Mon érection faillit fondre devant tant de détermination et devant la perspective de l’accomplissement de mon désir. Néanmoins, mes scrupules et autres craintes laissent le pas sur le désir et mon membre viril gonfle encore.
J’ai l’impression que les seins de ma cavalière sont plus tendus. À la fin des slows, je l’embrasse sur la bouche, chatouillant ses lèvres avec ma langue. Elle me répond avec sa langue et nous allons nous reposer sur un banc un peu à l’écart. Je mets mon bras autour de son épaule, ma main reposant à la partie supérieure de son sein. Sa main se pose sur ma cuisse, très haut. Nos bouches s’unissent et nos langues se mélangent. Ma main se fait plus lourde sur son sein et sa main plus proche de ma virilité. Le souffle court, nos lèvres semblent cousues ensembles. Une nouvelle série de slows commence et nous attire vers la piste. Mes mains cette fois sont sur les fesses et sentent le tissu de la culotte.
Pendant toute la durée de la danse, nos lèvres restent soudées, d’abord sagement puis pour cacher nos langues qui pénètrent l’autre et nos dents qui mordillent le carmin des lèvres de l’autre. Ses seins se frottent à présent contre moi comme pour une caresse appuyée. Sa cuisse masse ma verge qui salive abondamment. J’apprécie la lumière tamisée qui cache quelques taches compromettantes. Mes testicules me font mal à force d’être stimulés. Ma cuisse presse sur l’entrejambe de Sophie et pour la première fois je sens le clitoris d’une femme, petit bouton dur qui fait défaillir ma partenaire quand ma jambe le presse.
Une de mes mains se glisse entre nous deux et caresse à travers le tissu son mont de Vénus. Entre deux danses, elle s’éclipse aux toilettes, pour se refaire une beauté. Moi-même je cours me rafraîchir le bas-ventre. Une nouvelle série de danses nous rapproche et j’ai la surprise de ne plus sentir de culotte cette fois. Mon membre viril reprend une vigueur insoupçonnée et commence à pointer vers la belle. Ma main se glisse par une fente de sa jupe vers son antre d’amour, étonnée un temps par l’atmosphère tropicale, puis partant à la découverte du petit bouton, des lèvres et un doigt explore l’entrée de son vagin.
J’avais étudié sur Internet les détails de l’anatomie intime des femmes sur des sites médicaux ou plus pratiques. Mais la réalité dépasse tout ce que j’attendais et mon désir devient de plus en plus violent.
La fête se termine vers 2 h à notre grand soulagement. Traditionnellement mes parents découchent la nuit pour ne pas déranger les jeunes générations. De plus, la mère de Sophie est retenue à un congrès et ne doit rentrer que dans une semaine. Après avoir éteint consciencieusement toutes les lumières, noyé tous les cendriers, fermé les portes nous sommes allés dans la maison, freinés par une appréhension.
Arrivé dans le hall, je regarde Sophie. Ses joues sont rouges, ses yeux brillent, ses lèvres sont désirables. Je lui ôte lentement son chemisier et caresse ses seins à travers son soutien-gorge. Elle déboutonne ma chemise, bouton par bouton, retardant le moment que j’attends depuis si longtemps. Je la prends dans mes bras et doucement lui murmure à l’oreille :
Dans un souffle elle répond :
Elle me regarde encore et me dit en souriant :
Elle enlève lentement son soutien-gorge et je reste muet devant le spectacle de deux seins laiteux, qui se dressent fièrement. J’approche ma langue et chatouille les mamelons, je tête parfois ces bouts turgescents. Sa main se pose sur ma bosse. Elle ouvre mon pantalon qui tombe sur mes pieds en accordéon. Je détache sa jupe. Nous sommes nus, tremblant, craintifs de ce qui va se passer et pourtant terriblement désireux enfin de nous unir, de nous pénétrer, de nous fondre.
Nous nous éloignons un peu l’un de l’autre pour nous regarder. Je suis fasciné par l’harmonie du corps de la femme qui est devant moi. La toison pubienne, un peu folle, m’attire particulièrement. Ses yeux sont fixés sur ma hampe. Je la fais se tourner pour découvrir les deux globes fermes de ses fesses fixées sur deux jambes galbées. Le dos me paraît être une merveille. Lentement nous gravissons l’escalier pour nous diriger vers ma chambre. J’ai un grand lit et j’ai fait le ménage le matin dans l’espoir fou et hypothétique de ce qui allait arriver.
Nous nous allongeons pour nous embrasser, nous regarder, nous renifler, nous lécher, nous caresser. Nos esprits fondent en une extase, une frénésie de connaissance du corps de l’autre. Enfin, mon sexe se présente à l’entrée du sien et lentement avance. Une résistance, un cri, un soupir et nous sommes unis au plus profond l’un de l’autre. Mon pénis se recule et avance dans son fourreau de velours et me fait vivre une nouvelle naissance.
Très rapidement, les yeux de Sophie se ferment, un grand frisson l’agite et un râle meurt sur ses lèvres. Je sens une onde de chaleur et de bien être me parcourir pendant que j’inonde ma partenaire de mon sperme. Je reste en elle en lui parlant doucement de toutes ces années pendant lesquelles j’attendais ce moment. Tous les détails me reviennent comme l’eau d’une écluse effondrée. Elle m’écoute en bougeant très doucement son bassin pour bien me sentir. Elle aussi m’avoue avoir désiré ce moment et ne voyait pas comment le provoquer.
Une onde intense nous unit, nous isolant du monde extérieur, nous transportant dans l’éther. Je lui fais l’amour un nombre incalculable de fois, encouragé par son plaisir. À la fin, je ne sais plus s’il s’agit d’un rêve ou de la réalité.
Au petit matin, un rai de soleil nous réveille et immédiatement nous nous unissons à nouveau frénétiquement.
Vers midi, la faim nous taraudant, nous descendons à la cuisine manger quelques sandwiches laissés par nos convives de la veille. Nous sommes restés nus pour nous regarder, nous imprégner l’un de l’autre. Après ce repas frugal, nous passons sous la douche. Chacun lave l’autre découvrant ainsi les moindres recoins de son corps. C’était un émerveillement de chaque instant.
Nous nous habillons et allons ranger le désordre laissé par nos exploits nocturnes et la fête de la veille.
Mes parents sont rentrés une heure après la fin du rangement. Ce dernier avait encore donné lieu à des attouchements multiples et variés comme si notre corps appartenait à l’autre. Sophie propose que je vienne dormir chez elle, elle se sentirait ainsi plus rassurée en l’absence de sa mère. Mon père me lance un regard pétillant et une larme naît dans celui de ma mère montrant qu’ils venaient de comprendre l’importance des changements engendrés par la fête trimestrielle. Mes affaires se précipitèrent littéralement dans un sac et en cinq minutes, je fus prêt.
D’un pas léger et rapide, nous nous sommes rendus chez Sophie pour y vivre une fête sexuelle pendant une semaine.