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n° 01149Fiche technique18317 caractères18317
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Temps de lecture estimé : 13 mn
29/03/23
corrigé 29/03/23
Résumé:  Nostalgie : marin à bord d’un sous-marin, ils font un jour escale à Hong-Kong…
Critères:  ffh fbi couleurs asie strip intermast fellation cunnilingu pénétratio mélo -rencontre
Auteur : Internaute invétéré  (Toujours à la recherche d’histoires salaces !)
Nostalgie... à vingt ans, j'étais veuf...

Que le temps semble long, quand on reste neuf semaines sous la mer, pour ensuite en passer une dans un coin éloigné du globe, à se ravitailler avant de « replonger » pour neuf autres ! Telle était notre situation depuis un an.

Pendant tout ce temps, nous avions effectué des patrouilles sous mer, non loin des frontières de la Nouvelle-Guinée. Toujours, ces patrouilles duraient neuf semaines, soixante-trois jours, nous passions ensuite une semaine dans un port, pour nous ravitailler en pétrole et en vivres.


Vous devez avoir vécu cela, pour savoir à quel point il peut faire chaud dans un sous-marin qui, toute la journée, reste sous l’eau à guetter une proie possible, dans une température moyenne de trente-cinq degrés, sans air conditionné à bord. Et, obligé d’avaler toute la journée des pastilles de sel pour compenser la perte causée par la transpiration.


Enfin, nos souffrances étaient terminées ! Nous avions abandonné la Nouvelle-Guinée aux Javanais… et nous étions en route pour rentrer chez nous ! Mais nous devions d’abord faire escale à Hong-Kong, pour faire réviser notre sous-marin dans un chantier naval anglais. De là, nous regagnerions notre pays. À nos yeux, le plus beau pays du monde !


Ma première vision de Hong-Kong ne me plut guère. Quelle foule ! Quel bruit ! Il y avait des jonques partout et l’on ne pouvait s’empêcher d’admirer les fous qui osaient se risquer en mer. Partout où vos regards se pointaient dans la baie, on ne voyait que de la boue… et une immense foule chinoise.


L’après-midi était déjà bien avancé lorsque le calme commença tout doucement à se rétablir à bord. La plupart des matelots avaient quitté le sous-marin pour gagner leur hôtel. Nous n’étions plus qu’une dizaine d’hommes pour effectuer le travail nécessaire et assurer la garde.

J’étais couché dans ma cabine, lisant tranquillement les journaux et les magazines érotiques qui nous étaient parvenus du pays, lorsqu’un jeune matelot me tira de ma lecture :



Je lui dis de la faire descendre, car je n’avais pas envie de remonter sur ce pont baigné de chaleur. Un peu plus tard, il revint, accompagné de la jeune femme. Elle semblait avoir dans les vingt ans et valait la peine d’être regardée. Et même deux fois ! Elle se présenta comme étant Lee Ling, ou quelque chose comme ça, et proposa ses services. Je savais qu’il y avait beaucoup de ces femmes qui se présentaient à bord de bateaux étrangers pour demander du travail. En général, elles venaient laver et laver la vaisselle, d’après les dires de mes collègues. Leur salaire n’était pas très élevé. Elles se contentaient des restes des repas ou de boîtes de bière vides. Toutes choses que nous jetions habituellement par-dessus bord.


Comme j’étais à ce moment le plus ancien à bord, la décision m’appartenait. Je la regardai encore une fois et sus ce que j’avais à faire, car elle me faisait un peu pitié. Nous convînmes qu’elle laverait la vaisselle, en échange des restants de nourriture.

J’oubliai très vite Lee, car je m’étais remis à la lecture des revues érotiques dont les photos glacées ne me laissaient pas de marbre, au point de me faire bander de plus en plus fort. Je n’en pouvais plus, et il faudrait très bientôt que je trouve un moyen pour libérer mes couilles ankylosées, mes mains ne suffiraient pas ! Deux ou trois heures plus tard, je décidai d’aller voir comment cela se passait au réfectoire où l’équipage prenait ses repas.

Lee n’avait vraiment pas perdu son temps ! Tout brillait, les couverts étincelaient, elle avait tout nettoyé, et même récuré à fond le plancher ! Elle me dit qu’elle avait terminé son travail et qu’elle était sur le point de rentrer chez elle.


Lorsque je vis le « salaire » qu’elle avait reçu, je crus bien m’effondrer de honte ! Un demi-paquet de margarine, quatre demi-pains desséchés et un bout de saucisson à moitié moisi ! Je lui donnai l’ordre de jeter tout cela et lui remis trois pains frais, trois boîtes de margarine, deux gros morceaux de fromage et de saucisson. Je lui dis d’emporter tout cela et de revenir le lendemain. Il fallait voir la gratitude sur son visage. On m’avait dit que les Chinois cachaient fort bien leurs sentiments, mais ce n’était pas le cas chez Lee ! Nous étions debout l’un en face de l’autre, ne sachant quoi dire. Je fus le premier à rompre le silence en lui offrant de boire quelque chose dans ma cabine.


Elle me suivit humblement. Mais le verre qu’elle prit m’étonna. En effet, cette femme qui, selon moi, ne connaissait rien du monde, avala sans sourciller un grand verre de whisky, ce qui dénotait une certaine expérience. Je lui demandai si elle ne pouvait trouver un travail plus intéressant que celui qu’elle faisait. Elle me répondit qu’elle se mariait régulièrement ! Mon visage marqua un tel étonnement qu’elle éclata de rire. Puis, elle s’expliqua : quand elle rencontrait un homme qui lui plaisait et à qui elle plaisait, quand cet homme devait séjourner quelque temps dans le port, ils allaient tous deux trouver un juge de paix qui les mariait ! Elle s’occupait alors d’entretenir les vêtements de son mari et de lui faire la cuisine. Ils habitaient ensemble dans son sampan. Elle se laissait baiser aussi souvent que son mari le désirait. Tout ce que son mari avait à faire, c’était de la sortir le soir et lui donner assez d’argent pour qu’elle puisse préparer les repas.


Je lui demandai si elle trouvait idéale cette façon de vivre. Elle me répondit que, dans tous les cas, c’était mieux que de devoir laver la vaisselle et se contenter des restants ! J’étais bien forcé d’être d’accord avec elle. Quand je le lui dis, elle se leva et vint s’asseoir sur mes genoux :



Et ses lèvres cherchèrent les miennes ! Je lui rendis volontiers son baiser. C’était la première femme que j’embrassais depuis onze mois et, avec un petit gémissement, je me laissai tomber en arrière sur la banquette, en l’attirant avec moi. Ses baisers me rendaient fou de désir. Mes mains cherchèrent, trouvèrent ses seins et s’en emparèrent avidement. Ses nichons étaient tout petits, mais tellement doux. Les bouts pointaient à travers la mince étoffe de sa blouse de soie et se mirent bientôt à durcir sous mes caresses. Sa main se glissa entre nos deux corps et se saisit de ma verge gonflée, sans cependant que Lee arrête de m’embrasser.


Soudain, elle se laissa tomber de mon corps et se mit à genoux près de la banquette. Elle déboutonna adroitement mon pantalon et, d’un geste preste, en fit sortir ma queue. Elle la regarda avec amour, puis la prit doucement dans sa main. Elle fit aller celle-ci de ma verge à ma bourse, puis jusqu’à l’entrée de mon anus, ensuite, elle remonta jusqu’à mon gland. Tout cela de la manière la plus raffinée que je n’ai jamais connue ! Elle pencha sa tête aux longs cheveux noirs, et sa bouche s’empara de ma verge. Tout doucement, elle cueillit de la pointe de ses lèvres les gouttelettes qui s’étaient formées à la sortie de mon méat, au bout de mon gland. Le goût sembla lui plaire, car elle engloutit mon membre tout entier dans sa bouche gourmande. En même temps, elle faisait lentement glisser sa langue tout le long de mon pénis. Il ne me fallut pas plus de cinq minutes pour jouir intensément, jusqu’au fond de sa gorge profonde ! Ensuite, elle se leva et alla fermer à clé la porte de ma cabine. Elle enleva sa robe, qui s’était retroussée et je pus voir son corps.

Elle ne portait qu’un slip minuscule. Qu’elle était jolie, si petite et si frêle ! On aurait dit qu’elle était faite en fine porcelaine. Lentement, elle vint vers moi et resta, silencieuse, près de la banquette. À mon tour, je me mis à genoux devant elle. Je fis glisser son petit slip et ma bouche se colla à son vagin. Elle écarta largement les jambes afin que je puisse mieux profiter de sa chaude intimité. J’enfonçai ma langue aussi loin que je pus dans sa fente humide, ce qui la troubla profondément. Elle respirait de plus en plus vite et se penchait dangereusement en arrière. Ma langue trouva son clitoris et commença à le titiller avec ardeur. Ses hanches se mirent à faire des mouvements circulaires, au point qu’il m’était difficile de maintenir le contact avec son petit bouton raidi. Finalement, elle ne put plus se retenir et, avec un gémissement de bonheur, elle se laissa tomber par terre près de moi. Elle s’étendit de tout son long sur le sol et me fit signe de la rejoindre.


Je me couchai doucement sur elle, craignant de lui faire mal avec ma grosse pine. Celle-ci glissa pourtant facilement dans sa vulve bien lubrifiée et je commençai lentement mon mouvement de va-et-vient. Elle commença, elle aussi, à remuer son derrière, et elle replia ses jambes au point que ses pieds rejoignirent presque sa tête. Cela me donnait la possibilité de la pénétrer encore plus profondément. D’une main, je cherchai son clitoris, que je me mis à caresser avec fièvre. De son côté, elle glissa sa main entre nos deux corps et commença à jouer avec mes testicules. Ma bouche s’empara d’un de ses petits mamelons, puis nous restâmes étendus, à attendre.

Mais nous ne pûmes tenir bien longtemps. Très vite, elle recommença à faire onduler ses hanches et je dus abandonner son sein pour pouvoir continuer à la baiser de plus en plus sauvagement, son derrière remuait et, en peu de temps, nous atteignîmes ensemble le sommet de la jouissance ! Elle poussait des cris à réveiller le monde entier et je dus recouvrir sa bouche de la mienne pour l’empêcher d’alerter tout l’équipage !

Nous nous couchâmes ensuite sur la banquette, pour nous reposer. Soudain, elle commença à pleurer sans bruit. Je lui demandai ce qu’elle avait : j’avais peur de lui avoir fait mal. Mais ce n’était pas le cas. Avec un sanglot, elle se jeta contre moi et me dit toute sa gratitude : de tous les hommes avec qui elle avait couché, j’étais le seul qui ait tenu compte de son plaisir. Jamais encore elle n’avait si bien joui ! Elle me demanda :



Quel homme aurait dit non à une telle proposition ? Après la Nouvelle-Guinée, c’était le paradis terrestre ! Nous convînmes que, le lendemain vers onze heures, après mon travail, j’irais la chercher et nous irions nous marier.


Le lendemain, elle était exacte au rendez-vous. En taxi, nous allâmes à Kow Loon, où nous nous arrêtâmes devant la maison d’un homme de loi. Ma première cérémonie de mariage fut vite expédiée : les formalités durèrent à peine dix minutes, me coûta cinquante dollars de Hong-Kong et fut aussi impersonnelles que possible ! Néanmoins, aux yeux de la loi, nous étions mari et femme. Heureux – et amoureux – nous reprîmes le chemin du port. Le soleil brillait sur les cheveux noirs de Lee, auxquels il donnait une teinte bleuâtre. Elle tenait son visage levé vers moi, ses lèvres étaient humides et appelaient le baiser. Elle avait une très jolie robe fendue qui, à chaque pas, dévoilait ses jambes jusqu’en haut des cuisses. Un petit canot nous conduisit à son sampan où elle nous prépara un excellent repas. J’aimais la cuisine chinoise, mais ce qu’elle me servit surpassait tout ! C’était incomparablement délicieux. Après avoir mangé, je m’étendis sur des coussins. Elle vint s’asseoir près de moi et me demanda si le repas m’avait plu. Je fis entendre un rot retentissant qui la fit éclater de rire. Elle me mit alors les bras autour du cou et m’embrassa sur la bouche.



Puis ses lèvres reprirent les miennes, mais pas pour un baiser fugitif. Cette fois, ce fut un baiser interminable qui me coupa presque le souffle. Petit à petit, elle fut à moitié couchée sur moi. Ses mains s’agitaient sur mon corps. Elles s’arrêtèrent à la ceinture de mon pantalon. Puis, Lee ouvrit ma braguette et glissa une main à l’intérieur, où elle se mit à caresser ma verge. Lentement, avec des gestes sûrs, elle me massa consciencieusement et je n’étais pas dans une position qui me permette de faire quelque chose en retour. Ce n’était d’ailleurs pas le but de Lee : je devais simplement me laisser faire. En un minimum de temps, elle me débarrassa de mon pantalon et de ma chemise.


Puis, avec une patience tout orientale, elle fit glisser ses lèvres sur tout mon corps, de la tête aux pieds. Sa langue traçait des petits cercles sur ma peau, qui frémissait de cette caresse. J’avais bien des difficultés à rester tranquille ! Finalement, ses lèvres s’attardèrent sur ma verge, qu’elle prit alors en bouche. Je puis dire sans me vanter que mon pénis n’est pas un petit format, mais elle parvint cependant à l’absorber tout entier. Je me demandais comment elle n’étouffait pas ! Pendant qu’elle me suçait, elle parvint à se débarrasser de sa robe. Sa bouche abandonna ma queue et Lee s’assit sur moi. Avec ses petites mains, elle prit mon membre dressé, le dirigea vers sa fente humide, l’appliqua contre son clitoris et s’en servit pour se branler. Elle s’était excitée en s’occupant de moi et un long gémissement sortit de sa gorge quand mon pénis toucha son clitoris. Elle se masturbait de plus en plus vite et, soudain, ce fut pour elle l’orgasme libérateur ! Avec un cri, elle enfouit ma queue tout au fond de sa vulve et se mit à remuer comme une possédée. Son premier orgasme était à peine terminé que le deuxième s’annonçait déjà. Elle dut s’arrêter pour reprendre haleine, mais je ne le lui permis pas longtemps. Je sentais que j’étais sur le point de jouir, moi aussi et je commençai à lui donner de violents coups de boutoir. Elle était si légère qu’elle était soulevée à chaque mouvement de mon bassin. Mes mains s’emparèrent de ses seins et caressèrent les petits bouts dressés fièrement. Je ne sais ce qui me prit, mais j’eus soudain envie de lui faire mal. Et la douleur que je lui causais lui donnait du plaisir ! Elle recommença à bouger son bassin et se laissa tomber en avant, nos dents se heurtèrent. Sa langue jouait furieusement avec la mienne et ses nichons, aux tétines durcies, frottaient contre ma poitrine. Elle murmurait :



Ce furent les derniers mots que je compris. Ma jouissance vint comme la foudre et j’éjaculai longuement en elle, l’inondant jusqu’à la matrice. Les derniers tressaillements de sa vulve absorbèrent mon sperme jusqu’à la dernière goutte.


La tempête passée, Lee se coucha gentiment près de moi. Au bout d’un certain temps, elle se leva et se rhabilla. Étonné, je la regardai et lui demandai où elle allait. Elle sourit mystérieusement et me répondit :



Et elle s’en alla… Je m’étendis sur les coussins et le bercement des mouvements du sampan me plongea bientôt dans un profond sommeil.

Longtemps après, un léger murmure à mon oreille me réveilla. Je me redressai. Lee était sur le pas de la porte et riait. Je me mis à rire avec elle, puis je compris que, si Lee était là, ce n’était pas elle qui avait murmuré à mon oreille ! Je regardai sur le côté et là, se trouvait une Chinoise, encore plus petite que Lee, si possible ! Elle me sourit gentiment et me dit qu’elle regrettait de m’avoir ainsi tiré du sommeil, mais elle allait, dit-elle, réparer immédiatement sa faute.

Sur quoi, elle se leva et commença à se déshabiller. Elle découvrit une paire de seins un peu plus gros que ceux de Lee, puis je vis apparaître un ventre plat et que sa toison était un rien plus fournie que celle de ma femme. À la vue de ce strip-tease, ma verge se réveilla elle aussi et se dressa dans toute sa splendeur. La jeune Chinoise passa une jambe par-dessus mon bas-ventre et ma queue se trouva très vite enserrée entre les lèvres humides de sa chatte. Elle commença à remuer son bassin et, un peu plus tard, cela sembla lui suffire. Avec un petit cri, elle se jeta en arrière et jouit comme une damnée. Entre-temps, Lee s’était déshabillée à son tour. Doucement, elle se mit à caresser les seins de l’autre fille. Leurs lèvres se joignirent pour un long baiser. C’était un spectacle excitant en diable. Je voulais jouir, moi aussi ! Je bandais comme un ours en chaleur.


Lee était parvenue à ranimer la fille qui mit sa chatte poilue contre mon bas-ventre. Dans ses yeux, on voyait clairement qu’elle voulait que je la prenne de nouveau. Quand elle s’empala une fois de plus sur ma queue, sa main se mit à titiller son clitoris. Sa respiration s’accéléra, ses yeux s’agrandirent. Lee était venue s’asseoir auprès de moi et décida de participer au travail de la fille. Sa main chercha et trouva le clitoris de celle-ci et elle commença à le masser doucement. Avec tout ce qui se passait, tout homme normal n’aurait plus eu qu’une envie : connaître l’orgasme. Ma femme avait la même envie. Au point qu’elle n’y tint plus. Elle appliqua sa vulve contre ma figure, la pressa contre mes lèvres. Ma langue trouva facilement son petit bouton, et, très vite, nous nous envolâmes vers un nouveau septième ciel. Les femmes tombèrent dans les bras l’une de l’autre, jouant des lèvres et des doigts, approchant du grand soulagement. Quand Lee remarqua que j’étais presque prêt, elle jeta la fille en bas de ma queue, qui resta brandie comme un épieu. Elle l’engloutit dans sa bouche, me fit jouir intensément et avala ma liqueur jusqu’au bout…


Je passai ainsi quatre journées mémorables. La journée, je travaillais un peu. Le soir, je retrouvais mes deux maîtresses, toutes deux prêtes à atterrir dans mon lit pour y vivre une nuit de plaisirs et de jouissances répétées. Le destin frappa le cinquième jour après mon mariage. Lorsque je quittai le bord, à midi, ma femme n’était pas là à m’attendre. Je courus vers notre sampan et y arrivai juste à temps pour voir que l’on emportait le cadavre de ma femme, de ma femme, que j’aimais tant que j’avais songé à la ramener au pays avec moi !

Le soir avant, nous étions allés dans un cabaret, où elle s’était disputée avec un marin norvégien qui voulait à tout prix danser avec elle. Lee avait refusé : elle ne voulait danser qu’avec moi ! Le Norvégien nous avait suivis, avait attendu que je parte à mon travail, puis avait commis son crime. Plus jamais je ne ferais l’amour avec ma jolie épouse.


À vingt ans, j’étais veuf…