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n° 01187Fiche technique10826 caractères10826
1867
Temps de lecture estimé : 8 mn
22/03/23
corrigé 22/03/23
Résumé:  Rencontre avec une inconnue dans le bus.
Critères:  fh frousses inconnu bus voir exhib intermast fellation cunnilingu pénétratio -rencontre
Auteur : Frout  (Ex lecteur assidu)            Envoi mini-message
Rencontre avec une inconnue dans le bus

Cette histoire est issue entièrement de mon imagination.



Je la regarde, elle est rousse, elle mesure un mètre soixante-cinq, elle est superbe, élancée, ses cheveux longs sont naturellement frisés. Elle se tient debout à l’arrêt de bus. En cette matinée de printemps, elle porte une jupe légèrement ondulée, un chemisier transparent noir sous une veste qui voile un soutien-gorge balconnet en dentelle de même couleur.


Ses jambes gainées de soie se terminent par des escarpins en velours. Je la contemple des pieds au visage, détaillant chaque trait de sa ligne, les contours de ses joues, ses cuisses sensuelles. Je la trouve très élégante. Elle dégage un charme qui m’attire irrésistiblement. Je me tiens debout, là, de l’autre côté de l’arrêt de bus. Une légère brise fait flotter le bout de ses cheveux dans l’air et m’apporte les effluves de son parfum. Je fonds littéralement devant cette femme, elle doit avoir 23 ans, je pense.


En cette matinée, je suis sorti plus tôt du travail pour pouvoir aller déambuler à la Fnac, écouter quelques CD et lire de nouvelles BD. Le bus arrive, il est quasiment vide. Seule s’y trouve une personne âgée, et une jeune maman accompagnée de sa petite fille d’environ 6 ans est assise vers l’avant.


Je laisse monter en premier cette femme envoûtante. À chaque pas, le haut de ses jambes se découvre, me permettant d’apercevoir une partie de la dentelle de ses bas noirs. Elle s’arrête pour acheter un ticket au conducteur, je suis toujours sur le trottoir, ma tête au niveau de ses cuisses à approximativement un mètre cinquante. Ses fesses sont rondes, ses jambes, parfaitement dessinées. Je sens mon sexe se gonfler dans le pantalon de mon costume.


Tout en compostant son ticket, alors que je monte à mon tour dans le bus, elle m’ausculte d’un regard furtif. Je vois pour la première fois ses jolis yeux verts et je ne peux m’empêcher de sourire, les miens pétillent. Le conducteur me sort de mes pensées en me demandant mon titre d’embarquement. Je fouille les poches intérieures de ma veste pour y trouver ma carte orange.


Pendant ce temps, elle est allée s’asseoir sur une banquette double qui faisait face à l’arrière du bus. Elle a posé ses pieds un peu en hauteur sur la protubérance que forme la carrosserie au niveau de la roue.


Je m’installe juste en face d’elle, à côté de son sac à main. Nos regards se croisent et se décroisent immédiatement, attestant de nos timidités. Mes yeux ne peuvent s’empêcher de converger vers son visage. Elle est là, je peux presque la toucher, mais n’ose pas entamer la conversation.


Je commence à la désirer fortement et peux sentir une curiosité certaine de sa part par la façon dont elle m’observe discrètement. Je souhaitais en mon for intérieur qu’un événement externe déclenche une ébauche de dialogue, mais rien ne vient. Nous roulons depuis à peu près cinq minutes. Nos regards ne se quittent plus. Sa jupe, du fait du roulis permanent du bus, s’est relevée un peu plus et laisse maintenant distinguer un fin liseré de peau blanche.


La chaleur commence à m’envahir, son attention glisse de mes yeux à mon pantalon pour remonter doucement le long de ma chemise. Elle doit être en train d’imaginer mon corps dévêtu. Je fais de même plus ou moins adroitement, mon regard plonge dans son décolleté dont elle a ôté les deux premiers boutons, il révèle la naissance d’une poitrine honorable. Ses cuisses s’écartent en fonction des remous du bus et ses jambes captivent parfois mon intérêt.


Cette situation a l’air de lui plaire, elle ne cesse de me sourire. Il fait vraiment chaud, j’ai déjà enlevé ma veste. Mon torse et mes épaules musclées moulent légèrement ma chemise et je sens ses yeux de plus en plus inquisiteurs.


N’y tenant plus, je lui demande si je peux ouvrir la fenêtre. Elle me fait un sourire et me répond que oui. Sa voix est douce et gracieuse, le son de ses mots résonne en moi. Prudemment, je me lève pour atteindre la poignée, c’est un exercice assez périlleux lorsque le bus est en mouvement… il n’y a rien pour s’agripper autour.


Soudain, le bus freine un peu plus qu’à l’accoutumée sans pour autant s’arrêter. Malgré une bonne notion d’équilibre dû à la pratique de différents sports de glisse, je me sens chanceler sans pouvoir y remédier. Pour limiter l’effet de ma chute, je me rattrape au dossier avant en posant une main de chaque côté des épaules de ma muse. Mon genou gauche vient s’appuyer contre le rebord du siège tandis que ma jambe droite vacille dans le vide.


Elle a le réflexe de m’agripper par les hanches pour me stabiliser. En tombant, je m’accroupis presque sur elle. Mon nez caresse ses cheveux et respirer cette odeur me provoque une érection instantanée. Sa tête se trouve au niveau de mon buste et je la sens inspirer profondément pour recueillir mon odeur corporelle. Ses mains glissent et viennent palper mes fesses… Elles ne laissent jamais les femmes indifférentes : bien proportionnées, rondes et fermes, elles attirent les regards… et parfois les mains ! Je la laisse faire sans rien dire.


Par réflexe, mes doigts pénètrent sa chevelure au niveau de son cou, et glissent avec une infinie tendresse. Mon nez hume ses cheveux.


En me rasseyant sur la banquette, mon visage effleure son crâne et je lui dépose un discret baiser sur le front. Ma jambe droite se faufile entre les siennes, ce qui lui fait écarter légèrement ses cuisses. Malgré une certaine expérience, je n’arrive pas à distinguer plus loin que le haut de ses bas. Cela excite ma curiosité : porte-t-elle un slip, un string, ou peut-être est-elle nue ?


Je caresse le dessus de sa main, qu’elle a posée sur mon genou, tout en lui massant l’intérieur de la cuisse. Je peux sentir la chaleur de son corps à travers la soie de son bas.


Elle pose son pied droit sur le siège juste en dessous de mon sexe. Elle offre à mon regard son entrejambe de façon tout à fait indécente. Je baisse alors les yeux et aperçois un porte-jarretelles, ainsi qu’un string en dentelle noire. J’ai failli avoir un orgasme, elle vient de me cajoler les testicules du bout de ses escarpins et ses caresses de velours circulaires sur la base de mon sexe ne me laissent pas insensible.


J’ai du mal à me contenir, de légers gémissements s’échappent de ma bouche. Non, je ne rêve pas, elle me sourit tout en me prodiguant de divines caresses. Elle se prénomme Juliette. Nos lèvres se touchent et nos langues s’entortillent dans un baiser passionné. Nous descendons à l’arrêt suivant. Elle me fixe dans les yeux en me disant qu’elle habite non loin de là. J’arrête alors un taxi qui nous dépose au pied d’un immeuble en pierre de taille de 4 étages du XVe arrondissement. J’ouvre la lourde porte en bois et la laisse passer. Je la précède, me régalant à chacun de ses pas de son déhanchement.


Elle se sait certainement observée et accentue sans aucun doute ses mouvements. Le bruit régulier de ses talons sur le sol m’excite. Je m’approche d’elle en l’enserrant de mon bras, ma main vient se poser sur sa taille et tombe rapidement sur ses fesses. Elle est craquante.


Passée la cour intérieure, nous pénétrons dans un hall. Elle habite au second étage. Dans l’ascenseur, nous auscultons le corps de l’autre. Nos caresses sont frénétiques, pleines d’envies, de désirs. Nous échangeons un profond baiser. Je me saisis d’une de ses cuisses et lui relève la jambe en la plaquant sur les portes. Elle regarde par-dessus mon épaule nos mouvements en reflet dans la glace.

Cela doit l’exciter fortement, car elle mouille énormément. Ma main est passée entre temps sous sa jupe et soulève son string pour pouvoir entrer en contact avec son intimité humide.


Elle stoppe d’un geste l’ascenseur entre le premier et le deuxième étage. Elle déboutonne mon pantalon et libère finalement mon sexe. Je fais glisser son string le long de ses jambes et l’enfouis dans l’une de mes poches non sans l’avoir humé, il a un parfum sucré. En remontant, mes mains vont et viennent de ses hanches à ses fesses.


Ma langue s’immisce entre ses lèvres la pénétrant légèrement. Mon nez s’enfonce dans sa toison rousse. Après avoir goûté à son sexe, je veux déguster ses seins, mes mains gravissent alors son ventre jusqu’au bas de sa poitrine. Je profite de cette position pour déboutonner un peu plus son chemisier. Je l’embrasse dans le cou, sa peau a une saveur de vanille. Glissant dans son dos, je ne rencontre aucun problème pour dégrafer son soutien-gorge. Ses seins sont libres, je peux les voir, les toucher à travers la transparence de son vêtement. Je lui mordille un téton tandis que d’un doigt je la pénètre.


J’approche mon sexe de sa fente, elle le guide doucement à l’entrée de son intimité et je m’y introduis sans aucune difficulté. Pour pouvoir plonger plus profondément, je la saisis au niveau des fesses et la soulève. Elle me ceinture la taille de ses jambes et mes mouvements se font plus amples, plus puissants.


Sa respiration s’accélère, de petites gouttes perlent à son front comme au mien. Je donne toute mon énergie. Malgré son faible poids (50-55 kilos), je commence à m’épuiser. Soudain, je sens les muscles de son vagin se contracter, enserrant un peu plus mon membre et décuplant mon plaisir. Elle s’agrippe à mon cou, renversant sa tête en arrière pour que je la pénètre au maximum. Elle jouit pendant quelques secondes en poussant de petits gémissements.


Je n’ai pas encore terminé, mais je ne peux plus la tenir à bout de bras. Je la repose sur le sol pour me soulager de son poids. Elle s’accroupit et avale entièrement mon sexe. Elle commence à le sucer dans toute sa longueur, sa langue effectuant des rotations sur mon gland. Ses doigts caressent ma verge, ils glissent avec une légère pression sous elle ou me masturbent fortement.


Ce qui m’étonne c’est qu’elle sait exactement comment me donner du plaisir sans que j’aie besoin de la guider. Elle me suce, gobant parfois une de mes boules, flattant mes fesses. Après cinq minutes de ce traitement buccal expert, je sens mon orgasme monter. Je la relève et la prends alors en levrette, l’une de mes positions préférées. Mes mouvements se font plus rapides, moins coordonnés. J’avais du mal à garder ses seins dans mes mains, j’ai arrêté de les malaxer depuis un moment.


Puis j’ai cette sensation intense, merveilleuse, annonciatrice de la jouissance imminente. Mes fesses se serrent, un frisson me parcourt, partant de mes bourses, remontant dans mon ventre pour finalement envahir mon cerveau. Dans un grognement, j’éjacule en elle et je sens ma semence l’inonder. Je profite de mon orgasme qui n’a que rarement été si fort. Elle aussi s’envole pour la seconde fois. Elle se retourne et m’embrasse avec tendresse, puis nettoie de sa langue mon sexe dégoulinant de nos sécrétions mêlées. Nous nous rajustons vite. Qui est-elle ? Je vais peut-être bientôt le savoir.


Deux minutes plus tard, je pénètre dans son appartement…



Suite ???