n° 01218 | Fiche technique | 6114 caractères | 6114 1024 Temps de lecture estimé : 5 mn |
08/05/23 corrigé 08/05/23 |
Résumé: Histoire d'une pénétration nocturne inconsciente... | ||||
Critères: fh couple volupté voir exhib intermast cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Frout (Ex lecteur assidu) Envoi mini-message |
Il faisait sombre dans sa chambre en cette nuit d’automne. Nous étions tous les deux nus, allongés, blottis sous la couette. Un faible halo de lumière se frayait un chemin entre les interstices des volets fermés, et sa peau reflétait la blancheur de la douce caresse lumineuse. Je la sentais là, à mes côtés, dormant d’un sommeil profond entrecoupé par de petits mouvements et gémissements issus de rêves que j’imaginais érotiques.
Mes yeux alors habitués au noir purent distinguer les détails de la chambre : là, le bureau, plus loin la porte, le siège en osier, la chaise sur laquelle avait été déposée à la hâte une de ses jupes ainsi qu’un haut noir presque transparent mis la veille. À même le sol traînait sa lingerie de dentelle. La couleur bordeaux du soutien-gorge et du string se distinguait sur fond de parquet marron clair. Le réveil indiquait : 2 h 18, en chiffres rouges.
Je m’étais réveillé au milieu d’un rêve en prenant conscience d’un orgasme imminent. J’avais encore rêvé d’elle. Mon désir de la veille provoqué par sa tenue ne s’était pas estompé, bien au contraire, la nuit avait amplifié mes envies qui se prolongeaient par une belle érection nocturne. Elle s’était vêtue de cette jupe noire, presque transparente, découvrant la moitié de ses cuisses, ses talons faisant ressortir de superbes jambes galbées recouvertes de bas en soie couleur chair. J’avais aimé la regarder au restaurant, découvrant ses jambes, caressant le fin tissu de son string pendant qu’elle dégustait son repas. Sur ces pensées, mon regard se posa sur son corps merveilleux.
Elle était en position fœtale, me tournant le dos à moitié découvert, la couette remontant jusque sous ses jolis seins si doux au toucher. J’avais depuis si longtemps eu envie de la caresser, la pénétrer, la faire jouir pendant qu’elle dormait, mais chaque fois le sommeil avait eu raison de moi et c’était elle qui, le matin, me réveillait de ses douces caresses savamment dirigées.
De plus en plus conscient, je me collai donc à elle de façon à ce que ma jambe s’intercale entre ses deux cuisses. Mon sexe érigé frôlait maintenant son intimité. Je plaquai délicatement une main contre ses seins et commençai à les malaxer doucement en faisant attention à ne pas la réveiller par un geste trop brusque. Ma main parcourut le haut de son corps, descendit vers ses hanches, son ventre plat. Je lui suçai le lobe de l’oreille, couvris son cou de bisous. Une odeur d’amour émanait de sa peau salée, odeur particulière, celle qu’elle avait après avoir fait longuement l’amour. La veille, nous nous étions endormis après un long câlin.
Je caressai ses fesses rondes, parfaites, qui me faisaient si souvent fantasmer. Mes doigts remontèrent lentement le long de ses hanches pour atteindre le bout de son sein. Je lui titillai le téton, le pinçant très légèrement, le roulant sous mes doigts. Le toucher était délicat, tendre. Je sentis sa poitrine s’affermir sous la pression de mes doigts. Ses tétons pointaient alors fièrement en avant vers le bord du lit.
Après quelques caresses entre et autour de ses mamelons, je frôlai enfin son épaule puis le dos. Elle adorait ces massages… le va-et-vient de mes mains sur son corps la détendait et elle se laissait souvent faire, accompagnant mes mouvements de soupirs de contentement. À en juger par les légères ondulations de son corps ainsi que ses petits gémissements, elle semblait apprécier, même endormie !
Mon sexe était gonflé au maximum de mon désir et frottait légèrement sur ses lèvres. La peau sensible de mon gland était maintenant imbibée de sécrétions, une goutte de sperme perlant même au bout. Mon corps était imprégné de petits mouvements incontrôlés, le frottement de nos jambes accentuait mon excitation. Je voulus me retenir d’éjaculer immédiatement pour prolonger mon plaisir et vraisemblablement le sien.
Je la retournai tout doucement sur le dos afin de pouvoir goûter de ma langue à son sexe. Je me plaçai sous ses jambes et commençai à embrasser son mont de vénus. Une de mes mains s’évertuait à lui caresser un téton, tandis que l’autre s’activait sur sa toison bouclée. Mes baisers se firent de plus en plus profonds, ma langue écarta alors ses lèvres, pénétrant son intimité humide. Mes caresses buccales furent lentes, appliquées. Je parcourais toute la longueur de son sexe, buvant de sa liqueur.
Son corps était parfois pris de légers spasmes. Ses mains s’étaient posées sur ma tête, me massant délicatement le haut du crâne. Je pensai à ce moment qu’elle avait fini par se réveiller, je me trompais. Son corps accompagnait maintenant mes caresses, son bassin se soulevait au rythme de ma langue, elle gémissait de plus en plus fort, chose que je n’avais pas l’habitude d’entendre lorsque nous faisions l’amour éveillé.
N’y tenant plus, je me relevai, la saisissant par les hanches afin d’élever son sexe au niveau de ma verge tendue. À ma grande surprise, elle souleva son bassin d’elle-même, son sexe venant se frotter au mien.
Je la pénétrai lentement pour accentuer le plaisir. Je m’introduisis profondément jusqu’à la garde. Son corps ondulait, exerçant une pression de plus en plus forte sur mon membre. Je m’activai alors en lui caressant les seins et le visage, lui passant une main dans ses cheveux. Mes boules vinrent tapoter sur son anus, produisant un bruit excitant.
Je sentis mon orgasme approcher.
Soudain, elle ouvrit les yeux et je pus lire un sourire surpris sur son visage. Elle contracta sous l’effet de surprise ses muscles, emprisonnant mon membre au fond de ses entrailles, puis, se détendant, elle me caressa le torse, me prit par les hanches, et je ne pus me retenir plus longtemps. Je lâchai, dans une série de soubresauts, toute ma semence en elle. Sentant mon sperme chaud, encore tout endormie, elle gémit pendant un court instant tout en s’agrippant à mes fesses. Elle aussi venait d’atteindre l’orgasme.
Je m’allongeai alors sur elle en déposant un baiser sur sa bouche. Sa langue vint écarter mes lèvres et elle m’embrassa goulûment. Nous restâmes ainsi quelques minutes, moi allongé sur elle, ses mains sur mes fesses, avant de nous endormir à nouveau.