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n° 01259Fiche technique12240 caractères12240
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Temps de lecture estimé : 9 mn
26/03/23
corrigé 26/03/23
Résumé:  Faire l'amour avec un couple libéré rencontré sur Internet... pourquoi pas ?
Critères:  fhh hbi couplus telnet noculotte intermast fellation cunnilingu anulingus
Auteur : Beaux bisoux  (Homme, 34 ans, de Montréal)      
Une première fois en plus de 2 ans...

Bonjour ! C’est la première fois que j’écris ici, et c’est une histoire réelle ! Je vais donc me présenter. J’ai 34 ans, j’habite à Montréal, célibataire depuis presque 3 ans, je ne suis pas spécialement beau, mais pas laid non plus, rassurez-vous ! Je suis plutôt du genre costaud, pas gros, non, vraiment costaud.


Si je suis seul, c’est presque par obligation ! Il y a un peu plus de 3 ans, j’ai eu un accident de vélo, je vous épargne les détails. Ce fut long avant de me remettre complètement et, aujourd’hui, à part une légère cicatrice, je n’ai plus de marques apparentes, mais je suis quasi impuissant. J’ai beaucoup de difficulté à obtenir et garder une érection digne de ce nom.

Mon amoureuse a supporté presque un an, mais elle m’a finalement quitté. Pourtant, je croyais que de ce côté, ce n’était quand même pas si mal ! J’ai toujours été un maniaque des préliminaires, j’ai toujours adoré caresser, masser, embrasser, lécher le corps d’une femme… Plus encore que de connaître mon propre plaisir, je raffolais de faire jouir mes partenaires autrement qu’avec mon sexe. Parfois, nous utilisions divers objets pour satisfaire la pénétration…

Bon, elle n’arrivait que très rarement à me faire jouir et elle en était plus frustrée que moi ! Elle disait que le plaisir devait être partagé, bref, elle a fini par me quitter pour un homme « normal », ce furent ses propres paroles…


Depuis, je suis seul, n’osant pas draguer, la simple idée d’avouer mon problème à une inconnue me gêne beaucoup et c’est trop tard pour le faire une fois au lit ! Avec le temps, j’ai réappris les joies de la masturbation. Heureusement, il y avait Internet pour m’aider ! J’étais devenu accro de la toile, surfant, regardant les photos, les films, lisant les histoires, pratique de parler et lire l’anglais aussi bien que le français ! J’avais même en « bookmark » presque tout ce qui se faisait en sites 3X gratuits !

Puis j’en ai eu marre… J’ai laissé des messages un peu partout en indiquant mon problème et en profitant du relatif anonymat d’Internet. Mais sans succès, parfois, j’obtenais quelques réponses, mais rien de bien intéressant. J’en étais au point de faire un trait sur l’amour et le sexe, point final ! Et au mois d’août dernier, le miracle… une réponse à l’une de mes dernières annonces ! Surpris d’abord de recevoir une réponse, mais plus encore de voir qu’elle venait d’un couple, photos à l’appui. Jacques, fin quarantaine, mince, grisonnant. Mireille, début quarantaine, un peu ronde et belle, mais belle ! Des photos « habillée »… mais réelles !


Ils me demandaient de leur envoyer ma photo et mon téléphone en spécifiant qu’ils étaient très intéressés par mon annonce. Je n’avais rien à perdre, n’est-ce pas ? Alors je leur envoyai le tout puis continuai à surfer. Moins d’une demi-heure après, ils me téléphonaient. C’était Jacques. Ils voulaient me rencontrer le soir même. Je n’avais toujours rien à perdre d’autre que mon temps !

Le temps de prendre une douche, je les rejoignis dans un restaurant de la Rive-Sud de Montréal. Ils étaient exactement comme sur la photo, mieux encore, pour Mireille. On se présenta - une poignée de main ferme de Jacques et de longues bises sur mes joues de Mireille. Nous discutâmes, je leur donnai un peu plus de détails concernant ce fichu accident de vélo, et eux, plus de détails sur eux.


Ils étaient mariés depuis presque 20 ans, s’aimaient beaucoup, mais étaient tous les deux trop attirés par le sexe sous toutes ses formes pour rester exclusifs, donc libres sexuellement, libres de vivre leurs fantasmes et leurs désirs. Mon annonce avait plu à Mireille très portée sur l’amour oral. Jacques, lui, voulait d’abord regarder puis, si j’étais d’accord, faire après l’amour avec moi. Les deux étaient bisexuels.

De mon côté, j’avais déjà essayé l’amour quelques fois avec des hommes, des masturbations mutuelles surtout, et parfois j’avais osé la fellation, mais c’était il y a longtemps ! Et pourquoi pas cette fois-ci ? Je n’en mourrais pas ! Et je pourrais enfin caresser, masser, lécher, le corps d’une femme… Mireille était une femme attirante ! Une poitrine lourde et imposante, les fesses larges, les hanches fortes… j’avais terriblement envie d’elle !

J’étais d’accord, eux aussi… alors, pourquoi perdre du temps ? Ils m’invitèrent à les suivre chez eux. Ils habitaient une grande maison, deux étages plus un sous-sol, un grand garage, bref, comme on dit chez nous, une méchante cabane !


Je les suivis au salon, Mireille nous servit à boire et nous quitta un moment. Je les aimais bien, la conversation était agréable, le vin était bon et l’atmosphère était étudiée, une musique de fond, des lumières tamisées, il ne manquait que le foyer ! En plein mois d’août… avouez que ç’aurait été bizarre !


Mireille revint en peignoir et s’assit près de moi. Ils savaient me mettre à l’aise, conscients que c’était la première fois que je vivais une telle expérience, contrairement à eux. Mireille caressait sa cuisse en me regardant, me donnant l’envie de mettre ma main à la place de la sienne ! Elle s’approcha encore plus, me regardant dans les yeux en souriant, puis ses lèvres se posèrent sur les miennes, j’étais un peu timide au début, pensant au mari qui nous regardait.


Ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas embrassé une femme ! Plus fort que moi, je me laissai aller au moment où elle prit ma main pour la poser sur sa cuisse. Nos langues tournaient, ma main caressait sa peau. Mireille se releva pour venir s’asseoir sur mes cuisses sans cesser notre baiser.

Bêtement, je caressais son dos par-dessus le peignoir. Je cessai enfin de réfléchir et de penser au mari, glissant mes mains entre nos corps pour détacher le peignoir et caresser directement sa peau, découvrant son corps du bout des doigts.


Mireille portait un corset, je ne le voyais pas, mais je le touchais, je cessai un moment de l’embrasser pour mieux voir le corset et la femme dedans. J’admirais sa poitrine nue soutenue par le vêtement, « elle ne porte pas de culotte », me dirent mes mains sur ses fesses. J’embrassais son cou, la faisant frissonner. Elle se redressa un peu et offrit un sein à mes lèvres. Je suçais ce long mamelon, tenant toujours fermement ses fesses, passais d’un sein à l’autre, suçant, léchant, mordillant ses pointes. Ses mains sur ma nuque pour presser mon visage fortement contre sa poitrine, j’étais aux anges, ayant complètement oublié Jacques.


Je connaissais tout de même une déception, je ne bandais pas… D’accord, je ne m’attendais pas à un miracle, mais après avoir tant rêvé à une femme, j’espérais que… enfin… J’essayai de ne pas y penser, plaçant ma main entre nous, je descendis vers son sexe. Surprise, elle était épilée entièrement !

Mireille me repoussa et se leva en me prenant par la main, je la suivis dans la chambre où trônait un lit immense. Pas de miroirs, heureusement, je n’aimais pas me voir faire l’amour ! Jacques était discrètement installé sur un fauteuil près du lit, toujours habillé.


Mireille laissa tomber son peignoir et entreprit de me déshabiller. Je me retrouvai nu, le sexe dans sa main alors qu’on s’embrassait. Voyant mon air déçu devant mon sexe qui se dressait à peine, elle me murmura à l’oreille de ne pas m’en faire.



Qui étais-je pour discuter ?


Elle se coucha au milieu du grand lit, sur le ventre. Je posai mes genoux de chaque côté de son corps et entrepris un doux massage des épaules. Mon pénis reposait sur ses fesses, j’aurais eu envie de hurler ma déception, mais d’un autre côté j’étais si heureux de caresser à nouveau un corps féminin ! J’embrassai ses épaules, descendis lentement vers ses fesses, les massant, glissant un doigt entre elles, agaçant son anus. Ma bouche et ma langue prirent bientôt la place de mes mains, j’ouvris ses fesses, je léchai son anneau, cherchai à y enfoncer ma langue aussi loin que possible. J’en profitai aussi pour respirer son odeur intime, elle était propre, elle sentait bon. Remarquez, je n’avais rien contre l’odeur d’une femme, tout le contraire ! Quand j’étais avec mon ex, j’adorais la lécher quand on arrivait du travail, je trouvais qu’elle goûtait la femme, la vraie femme ! Et de ma vie, je n’avais jamais rencontré une femme dont je n’avais pas aimé le goût et l’odeur, peu m’importait le moment de la journée !


Mireille se tortillait, cherchait à se retourner. Par jeu, je l’en empêchai… je vous l’ai dit, j’étais du genre costaud ! Elle rit et me demanda de la laisser se retourner, qu’elle voulait m’embrasser. Je ne pus résister à une telle demande ! Je replaçai mes jambes de chaque côté de son corps et demeurai immobile, le temps de l’admirer, de regarder ses seins lourds, son sexe épilé, sa bouche faite pour embrasser… et sucer ! Nous revoilà lèvres soudées et langues entremêlées. J’avais envie de lécher ses seins, quittant à regret cette belle bouche pour m’emparer d’un sein, de l’autre. J’avais une main sur son pubis, un doigt sur son clitoris, son sexe était ouvert, humide, prêt à recevoir ma langue… La regardant dans les yeux, je lui dis :



Elle ne protesta pas… Du coin de l’œil, je vis Jacques, le sexe sorti de son pantalon, se masturber en fumant une cigarette. Et enfin, m’y voilà ! J’étais devant le sexe de Mireille, ses jambes relevées, repliées et ouvertes, sexe offert à ma convoitise ! Je respirais encore son odeur intime, regrettais un peu qu’elle fût aussi propre… Du bout de la langue, je léchais ses grandes lèvres puis, n’en pouvant plus, je plongeai mon visage en elle. Ma langue la pénétra, mon nez sur le clitoris pour faire ce que j’avais toujours aimé le plus en amour, lécher et goûter le sexe d’une femme…


Je cherchai et trouvai facilement divers points sensibles. Je suçais son clitoris, la pénétrant tant avec ma langue qu’avec mes doigts. En la léchant, j’avais un doigt dans son anus, un autre dans son vagin, le rêve… Et quel plaisir de l’entendre gémir, de l’entendre m’encourager, de l’entendre me crier des obscénités destinées autant à Jacques qu’à moi ! Son corps trembla, ses gémissements devinrent cris, un long cri, son premier orgasme… et pas le dernier ! Je profitai de sa sensibilité pour la reconduire de nouveau au septième ciel, encore et encore, jusqu’à ce que, épuisée, elle me repousse en me tirant par les cheveux, attirant mon visage vers le sien pour m’embrasser.



Mmmpff… fut sa réponse, mes lèvres l’empêchant de parler. Je redescendis vers sa poitrine sensible, tellement sensible qu’elle recommença à gémir, une sensibilité extrême…



J’obéis, à regret, me couchant à côté d’elle, j’avais besoin d’étirer mes jambes aussi. Je vis Jacques qui se masturbait, cette fois, il était nu. Mireille lui tendit la main :



Il monta sur le lit et plaça son sexe face à la bouche de son épouse qui le lécha doucement en caressant ses testicules. Je me décidai, j’approchai mon visage et commençai aussi à lécher le sexe dur (le chanceux !) du mari. Mireille se releva un peu, fit disparaître presque entièrement le pénis dans sa bouche puis me le donna à sucer. Je le pris moins loin… et on poursuivit l’échange pendant quelques minutes. Jacques se contrôlait bien, nous encourageait. J’aimais bien sucer un homme comme ça, à deux !


Il commença à gémir, Mireille le masturba vigoureusement et on s’embrassa tous les deux jusqu’à ce qu’il explose. Son sperme jaillit sur nos deux visages et sur nos langues. Mireille le reprit dans sa bouche pour le sucer encore un peu puis me le donna et, à mon tour… Jacques se pencha vers nous et on s’embrassa à trois. Moi, en train d’embrasser un homme ? Au début, je n’aimais pas… Je n’avais aucun problème à sucer un pénis, mais beaucoup à en embrasser le propriétaire… bizarre, non ?


Voilà ! Fin de cette partie ! Si vous avez aimé et voulez connaître la suite, faites-le-moi savoir ! Vous vous doutez bien que notre soirée ne s’est pas terminée là, notre aventure a duré un mois et demi. Je suis de nouveau célibataire et, de nouveau seul devant cet ordinateur, je recommence mes longues soirées de masturbation en espérant un jour retrouver une femme, ou un couple, tentés par mes talents oraux !