n° 01278 | Fiche technique | 17374 caractères | 17374Temps de lecture estimé : 11 mn | 07/11/00 |
Résumé: Sophie et Anne s'apprêtent à partir. Une dernière soirée plutôt chaude avant le départ. | ||||
Critères: ff vacances intermast cunnilingu anulingus 69 fdanus | ||||
Auteur : Phil Cox |
DEBUT de la série | Série : Deux filles en vacances Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Moi, c’est Sophie. Ma meilleure amie, c’est Anne. Vous n’imaginez pas le nombre d’aventures qui nous sont arrivés, à toutes les deux ! Chaque fois que nous partons en vacances (toujours ensemble, depuis que nous nous connaissons, c’est-à-dire 3 ans), nous trouvons le moyen de nous mettre dans les situations les plus invraisemblables…Pour ma plus grande joie, moi qui n’ai pas froid aux yeux et qui suis aventurière dans l’âme. Pour Anne, par contre, c’est autre affaire, enfin, c’est ce qu’elle dit, car, au fond, je suis bien persuadée qu’elle se réjouit elle aussi, en son for intérieur, de mener dans ces moments-là une vie pleine d’imprévus et particulièrement riche en plaisirs…Sinon, d’ailleurs, pourquoi partirait-elle avec moi ?…
Anne, c’est bien plus qu’une amie. Nous partageons tout : notre âge (24 ans), notre boulot (on travaille dans la même boîte), nos soucis, le récit de nos aventures masculines ou féminines et, plus particulièrement, notre lit, quand nous nous retrouvons passagèrement seules et que, dans les bras l’une de l’autre, nous nous consolons des malheurs de l’existence…
J’adore cette fille, je pense même que je l’aime…Elle est d’une gentillesse, d’une douceur qui conviennent à mon caractère plus entier, moins souple. En fait, je me demande si elle a compris qu’elle peut faire de moi ce qu’elle veut…Il suffit qu’elle vienne vers moi avec son petit sourire naïf et un peu détaché pour que je cède immédiatement et que j’accepte avec plaisir tout ce qu’elle demande. En somme, vu de l’extérieur, c’est moi qui porte la culotte, mais, à y regarder de plus près, j’ai trouvé mon maître !
Pourtant, en matière de sexe, alors là, il a toujours été tacitement convenu que c’est à moi de prendre les initiatives qui s’imposent…Anne est dans ce domaine d’une timidité qui confine au ridicule. Il y a quelque chose que je n’ai jamais compris : comment une fille si belle dont les succès auprès des hommes (et des femmes) démontrent qu’il émane d’elle de puissants appels érotiques peut se trouver si coincée au point de rougir comme une communiante dès que quelqu’un lui fait des avances ? Ce n’est pas qu’elle est frigide, bien au contraire, quand elle est lancée, plus rien ne l’arrête, et je vous garantis qu’elle est capable de prendre son pied aussi bien et même mieux qu’une autre, mais il faut toujours qu’elle commence par faire des manières à n’en plus finir…
Tenez, par exemple, la veille de notre départ en vacances, elle était venue dormir chez moi car nous avions décidé de partir aux aurores. Je suis sous la douche lorsqu’on sonne : j’enfile un peignoir avant d’aller ouvrir. La voilà qui débarque avec son sac à dos et tout son bazar : tente, chaussures de randonnée etc.
Elle se déshabille, garde son slip et son soutif, ramasse son matériel de toilette et file dans la salle de bains.
Moi, ça fait une éternité que je n’ai pas fais l’amour (une bonne semaine si mes souvenirs sont exacts…), et quand je vois son corps voluptueux, ses seins un peu lourds, sa taille mince, son ventre plat, ses belles fesses épanouies et ses petits pieds que surmontent de longues jambes élancées, il me vient des idées comme qui dirait naturelles et inévitables…
Ce ne sera pas la première fois qu’on fera l’amour ensemble, loin de là. De nombreuses fois, nous avons pu jouir l’une de l’autre comme des folles et, même si nous ne sommes pas exclusivement lesbiennes, c’est là une composante de notre sexualité que nous avons reconnue (et acceptée, pour notre plus grand plaisir…) depuis longtemps.
Mais si je lui fais comprendre directement que j’ai envie de me faire sucer par sa mignonne petite bouche, je cours au-devant d’un échec, alors même qu’elle en aurait autant envie que moi ! Eh oui, elle est comme ça…Il suffit de le savoir et de s’y adapter. Comment ? Eh bien lisez la suite : mode d’emploi pour amener Anne où je veux qu’elle aille, c’est-à-dire entre mes cuisses…
Je rentre dans la salle de bains sous le prétexte de d’accrocher mon peignoir et de prendre une crème pour le corps : je suis donc toute nue. Évidemment, je fais comme si de rien n’était, je ne la regarde même pas, mais je m’enduis devant elle le corps de crème hydratante. Je prends mon temps pour masser tout mon corps en me regardant dans la glace (je sais qu’elle peut voir le reflet depuis la baignoire). J’insiste particulièrement sur mes seins (ils ne sont pas aussi lourds que les siens, plus petits, plus haut placés, j’adore leur forme…). Je me passe longuement de la crème sur les fesses dont je pétris les globes en les écartant. Puis sur les jambes, ce qui justifie que je me penche : vue imprenable sur mon anus et ma vulve…Ensuite, toujours sans la regarder, je sors. Je sais, pour bien la connaître, qu’elle n’en a pas perdu une miette ! L’étincelle a mis le feu aux brindilles, à moi de le transformer en un superbe feu de joie !
Le récit d’Anne
Vraiment, cette Sophie, je la retiens ! Me faire ce coup-là, la veille de notre départ en vacances, le soir où l’on aurait eu besoin de se reposer en prévision du voyage du lendemain !
Quand elle est venue dans la salle de bains, je ne me doutais de rien, naïve comme je suis…J’étais dans mon bain, tranquille, détendue, toute à l’idée des merveilleuses vacances qui nous attendaient, et la voilà qui entre, sous prétexte de se mettre de la crème ! comme si elle ne pouvait pas le faire ailleurs ! Et dire que sur le moment je n’y ai vu que du feu ! Alors la voilà qui se tartine de tous les côtés et moi qui ouvre les yeux comme des soucoupes ! Il faut dire qu’elle est belle ma Sophie, à damner un saint (et même une sainte, ce que je suis loin d’être…). Quand elle l’étale sur ses seins magnifiques (pas comme les miens qui sont tellement gros que j’en ai honte en permanence…), ils deviennent un instant tout luisants…ses pointes sont dressées. Et puis ses fesses ! je regarde sa raie, j’essaye d’entrevoir son petit trou mignon sans savoir que l’instant d’après, elle va se pencher pour enduire ses belles jambes douces et fines, et donc me montrer en cinémascope et 3D tout ce que j’avais tellement envie de voir ! Et la voilà qui s’en va, sans même me jeter un regard ! La garce ! Et moi, je sors de cette baignoire, les jambes flageolantes, la vulve déjà humide, mais pas seulement de l’eau du bain, ça je peux vous le dire !
Quand je la rejoins, elle est déjà au lit, en train de lire une revue (ou plutôt de faire semblant…)
Évidemment elle est nue, elle, entre ses draps, alors que je me suis crue obligée de mettre un tee-shirt XXL qui m’arrive aux genoux !
A ce stade, je suis déjà devenue incapable de lui opposer une quelconque résistance… Je m’assieds sur le lit et passe le vêtement par-dessus ma tête. Je sais que mes gros seins ballottent à chacun de mes mouvements, je trouve ça obscène…Sophie se rapproche de moi, elle se fait chatte, toute gentille, enveloppante, provocante aussi :
Mais Sophie me ferme la bouche par un baiser tout doux, d’abord sur le coin de la bouche, puis je sens sa petite langue qui force doucement mes lèvres, qui dépasse le barrage de mes dents, et qui répand le miel de sa salive dans ma bouche qui se rend…Je réponds à son baiser (comment lui résister ?) et nos langues se mêlent. Elle m’offre la sienne à sucer, c’est bon comme un fruit. Je sens ses mains descendre progressivement vers mes seins qu’elle caresse, qu’elle malaxe maintenant sans retenue
Evidemment que je les trouve trop gros ! mais ça ne m’empêche pas de pouvoir m’envoyer en l’air simplement quand on me les caresse et quand on me suce les pointes ! Y a des jours où je me dis que plus j’ai honte, plus je jouis…
Sophie a quitté ma bouche et mes seins, descend tout le long de mon corps et ouvre résolument mes jambes. Maintenant, je ne lutte plus (contre quoi, je vous le demande…), je me rends. C’est ça que j’aime : me rendre, céder après avoir résisté, rencontrer une volonté plus forte que la mienne, me laisser ravir et m’ouvrir comme une fleur au désir de l’autre…Ah, c’est bien compliqué une femme….
Sa bouche se pose maintenant sur ma vulve, sa langue déplisse mes petites lèvres, les suçotent, les aspirent, et surtout éponge la mouille qui dégouline…
Elle fait mine de se détourner de moi…Là aussi, je marche à fond :
Je n’en peux déjà plus, je sens un orgasme monter, monter, éclater quand Sophie décalotte mon bouton pour lui donner des petits coups de langue. Tout mon corps se tend comme un arc, mes mains griffent les draps, je ne sais plus ce que je dis :
Elle aspire maintenant carrément mon clitoris, lèche à grands coups de langue toute la longueur de ma vulve.
J’ai à peine le temps de récupérer : je sens tout le corps de mon amie s’agiter, se tendre, se frotter contre moi. Elle soupire :
Ah, je sais ce qu’elle aime, ma Sophie, je sais comment la faire grimper aux rideaux ! J’ai tellement de plaisir à voir son corps superbe se tordre, à l’entendre hurler une jouissance qu’elle doit à mes mains et à ma bouche ! Allons, la route est longue, mais le paradis est en vue…
Le récit de Sophie
Bon, eh bien ça y est ! je l’ai bien eue cette sainte qui se touche ! Vous auriez dû voir tout son corps se tordre de jouissance, ah, c’était beau, y pas à dire ! Il faut dire qu’elle jouit facilement, vous lui suçotez le bouton deux ou trois coups, vous lui léchouillez la moule, et si vous faites ça gentiment, avec un peu d’affection, hop, la voilà qui s’envole!
Moi, par contre, c’est une autre paire de manches…Je suis plutôt dure au décollage, il me faut une sacrée longueur de piste… et j’ai besoin de tas de caresses compliquées pour prendre mon pied. Mais attention, quand c’est parti, je franchis vite fait le mur du son, les voisins en savent quelque chose !
Après les gentilles caresses prodiguées à Anne, je commence à me trouver en état de manque aigu. Je me tortille comme un ver sur les draps défaits, je frotte ma motte contre sa cuisse, les pointes de mes seins sont dures et presque douloureuses, bref, il me faut des soins de toute urgence !
Et voilà Anne qui devient merveilleusement active. Je me laisse faire avec délices…
Elle se place sur moi et colle tout son corps au mien, comme si elle cherchait à recouvrir chaque parcelle de ma peau avec la sienne, elle épouse le plus possible tous mes pleins et mes creux, elle se fond sur moi. Nos pieds, nos jambes, nos cuisses, nos ventres, nos seins, et même nos bras et nos mains cherchent le contact le plus étroit. C’est divin… Sa bouche cherche la mienne et s’ouvre pour manger mes lèvres, enfoncer sa langue profondément. Elle me goûte avec un bel appétit ! Que j’aime cette fille quand elle est comme ça, sans aucune réserve, tout entière dans son geste d’amour !
Puis elle me retourne sur le ventre, écarte mes jambes et se place à genoux entre elles. Elle sait que j’adore montrer mes fesses ouvertes sur mon anus et, plus bas, ma vulve. Elle me masse les globes, les écarte, approche son visage pour inspecter les lieux.
Comme elle écarte encore plus mes fesses, je sens ma rosette se détendre, s’assouplir…
Elle approche son visage, sort sa petite langue, lèche d’abord ma raie sur toute sa longueur, puis, tendrement, me fais la plus délicieuse des feuilles de rose !
Elle mouille de salive son majeur, me masse doucement le pourtour de l’anneau, puis me l’enfonce entièrement…
Alors là, c’est la fête à mon cul ! Elle replace un, puis deux, et finalement trois doigts dans mon anus (comme quoi il a gardé toute sa souplesse : il faut dire que j’avais, dans l’intervalle, fait tout ce qu’il faut pour cela…). Sa bouche boit toute ma mouille, sa langue explore tous les recoins de ma vulve, ses lèvres aspirent mes petites lèvres, particulièrement proéminentes chez moi, et sucent mon bouton. C’est la totale ! Elle vient se mettre sur moi, en 69, et je déguste moi aussi, une fois de plus, son joli sexe rose. J’enfonce ma langue aussi loin que je peux dans le vagin dégoulinant, écarte ses fesses et lui glisse un doigt enduit de sa mouille dans le cul. Je ne sais pas laquelle de nous deux est partie la première, tout ce que je sais c’est qu’à un moment donné, on s’est mis toutes les deux à hurler, écartant au maximum nos cuisses, puis les resserrant convulsivement à la fin d’un orgasme qui semblait ne pas vouloir finir…
Epuisées, on s’écroule sur le lit et on s’endort dans les bras l’une de l’autre. Les vacances commençaient bien !
A suivre…