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n° 01311Fiche technique8528 caractères8528
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Temps de lecture estimé : 6 mn
23/07/23
corrigé 23/07/23
Résumé:  Lors d'un week-end de voyage, elle fait la connaissance d'un chauffeur qui s'aperçoit bientôt de ses penchants pour le mouillé
Critères:  fh hotel bus fmast intermast fellation cunnilingu pénétratio fsodo uro
Auteur : Martine Pipi      
Une aventure humide

Peu de temps après la découverte de ma vraie nature, il m’est arrivé une aventure assez piquante. Le comité d’entreprise de ma boîte avait pour habitude d’organiser des week-ends avec au programme visite de châteaux, relais gastronomiques…


À cette période, j’avais une relation plus banale avec un de mes collègues. Rien de bien vraiment passionnant. J’hésitais à lui révéler mes penchants d’autant qu’il m’avait l’air plutôt coincé. Bref, j’avais accepté de passer ce week-end en sa compagnie. Le départ devait avoir lieu à 7 h 30 devant notre société. À 7 h 45, il n’était toujours pas là. J’hésitais à partir sans lui, mais le programme de ce séjour m’avait tenté, aussi je montai dans le bus. Une vingtaine de personnes faisaient partie du voyage, et, pour la plupart, ils faisaient partie des services techniques avec lesquels j’avais fort peu de contact. J’imaginais déjà un voyage solitaire. J’en pris mon parti, décidée à savourer pleinement cette excursion. La grande majorité des personnes présentes s’étaient installées dans le fond du car, aussi préférai-je prendre place à l’avant, derrière le chauffeur. Je profitai du moment pour l’observer discrètement. Brun, une trentaine d’années, plutôt bien habillé. Il me paraissait assez peu à sa place derrière son volant. Après une heure et demie sans événement notable, une dame vint voir le chauffeur pour lui demander si un arrêt-pipi était prévu au programme de la matinée. Le chauffeur lui répondit qu’en effet cela avait prévu, mais qu’il fallait encore compter au moins trois quarts d’heure. La dame retourna s’asseoir en maugréant.


À l’évocation d’une envie d’uriner, mon esprit se mit à vagabonder vers des horizons humides. Le démon venait de se réveiller. Je sentis bientôt une douce moiteur entre mes jambes. Je fermai les yeux, faisant mine de dormir, glissai une main entre mes jambes sous ma petite jupe et commençai une douce caresse sur mon sexe au travers de ma petite culotte. Ma jouissance fut lente, savoureuse et très discrète. L’envie d’uriner était maintenant liée avec mon plaisir. Réfléchissant fort peu aux conséquences, je vidai ma vessie doucement, presque aux gouttes à gouttes. J’étais heureuse, trempée, mais heureuse. Le siège avait absorbé une bonne partie de mon pipi, mais il restait néanmoins inondé. Quelle douce sensation d’avoir les fesses dans une mare d’urine ! Je m’endormis bientôt pour de bon, rêvant à des flots d’urine se déversant sur moi telle une douche bienfaisante. Je me réveillai en sursaut pour constater que nous étions arrivés à notre première halte de la journée : un petit musée campagnard un peu ringard. Je descendis du bus pour me détendre les jambes et griller une cigarette.



C’était le chauffeur qui m’interpellait.



La conversation prit un ton amical. J’appris ainsi qu’il n’était pas le chauffeur attitré, mais le fils du propriétaire de la société de transport. Un empêchement de dernière minute l’avait contraint à faire ce remplacement. La conduite ne le gênait en rien puisqu’il avait conduit ce genre de bus pendant cinq ans avant de passer du côté administratif de l’entreprise familiale. Il était charmant et ne me laissait pas indifférente. J’aiguillai la conversation sur mon sujet de prédilection.



Sur ce, mes co-passagers sortirent du musée, mettant fin à cette brève, mais intéressante conversation. Je me jurai d’y revenir le plus vite possible. Avant de réintégrer le car, le chauffeur, Thierry, de son prénom, monta le premier afin de faire le tour des petites poubelles disposées sur l’arrière des sièges afin d’assurer un confort maximum à ces passagers. Il redescendit du car, les mains pleines de détritus divers. En passant devant moi, il me dit tout bas en souriant :



Il continua son chemin et pria les passagers à rejoindre leur place. En me regardant, il m’adressa un clin d’œil. J’étais aux anges. Ce week-end s’annonçait sous les meilleurs augures possibles. Je vous passe le reste de la journée d’autant que j’étais impatiente d’arriver au soir, pour, je l’espérais, disposer d’un peu de temps avec mon chauffeur. Après un agréable souper, alors que je fumais une cigarette dans la cour de l’hôtel où nous étions logés, il me rejoignit et m’invita à prendre un verre dans sa chambre. Je l’accompagnai, prête à tout et pleine d’espoir. Il me fit asseoir dans un fauteuil confortable et m’offrit sans me consulter une coupe de champagne. En plus, il avait les manières…


Doucement, il se mit à genoux devant moi. Il prit mes chevilles dans ses mains musclées. Redressant la tête, son regard vint chercher mon assentiment dans mes yeux. Pour toute réponse, je me contentai d’écarter un peu les jambes et de porter ma coupe de champagne aux lèvres. Mon accord tacite ainsi donné, il écarta mes jambes jusqu’à les poser sur le rebord du fauteuil. Sa tête s’enfouit sous ma jupe. Je sentais sa respiration au travers de ma culotte trempée (j’avais refait pipi deux fois sur mon siège dans l’après-midi). Il se mit à me lécher au travers de l’étoffe, m’arrachant des soupirs d’aise. Je jouis presque immédiatement sous cette caresse. Il plaqua sa bouche contre mon sexe. Je libérai un flot d’urine dans sa bouche au travers de ma culotte.


Après avoir repris mes esprits, je décidai de m’occuper de lui. Je le fis se relever et m’attaquai aussitôt à son pantalon. Son sexe se dressa devant moi. Une petite goutte perla sur le méat que je m’empressai de goûter – j’aime ce goût un peu âcre de la semence masculine. Je m’appliquai dans une fellation savante et attentive. Tout en le suçant avidement, je lui caressais les testicules bien pleins. J’aventurai un doigt sur son petit trou. Un soupir d’aise me fit comprendre qu’il appréciait ces caresses. Après avoir humidifié un doigt sur mon sexe ruisselant, je le pénétrai doucement. Comme chez bien des hommes, une si charmante attention déclencha son plaisir. Il éjacula longuement dans ma bouche avide. J’avalai le précieux nectar. Dégageant son membre de ma bouche, il me souleva les fesses et s’enfonça dans mon antre chaud et trempé. En quelques mouvements lents et puissants, il m’amena de nouveau au septième ciel – Dieu qu’il est doux de se sentir pleine d’un sexe ardent et plein de vie !


Restant planté en moi, il se mit à me caresser les bouts-de-sein en les pinçant légèrement, prolongeant ainsi mon plaisir. Me jugeant encore prête à de nombreuses jouissances, un doigt mutin vint caresser mon petit bouton d’amour hypersensible. Un plaisir violent monta au creux de mes reins. Sur le point de défaillir, je sentis alors une vague violente m’inonder jusqu’à mettre mon utérus en ébullition. Il se soulageait en moi et le plaisir que je ressentis à cet instant fût sans nul doute le plus fort, le plus long qu’il m’avait été donné de connaître. Je me pâmai littéralement. Nous reprîmes nos esprits tendrement enlacés dans le fauteuil. Nos mains parcoururent nos corps dans de tendres caresses. Je jouai quelques instants avec ses tétons qu’il avait sensibles. Je constatai que son beau sexe avait repris des proportions tout à fait intéressantes. Je me levai puis me mis à quatre pattes sur le tapis, les fesses dressées dans une invitation sans équivoque. Il prit place derrière moi, m’écarta tendrement mes globes. Je sentis son regard sur mon petit trou qui allait bientôt être comblé. Lentement, il s’enfonça en moi.


Adepte de la sodomie quand elle est pratiquée avec douceur, j’étais ravie. Ses mouvements se firent de plus en plus longs et pénétrants. D’un doigt, il agaçait mon clitoris gonflé et turgescent. Je ne tardai pas à redécoller quand je sentis son membre se contracter et libérer dans mes entrailles le fruit de son plaisir. Anéantis par ces assauts répétés, nous nous couchâmes tendrement dans un grand lit, le sommeil ne tarda pas à nous submerger. Quant à ce qui s’est passé le reste du voyage, c’est peut-être une autre histoire.




***



Merci à toutes et à tous de m’avoir lu. J’attends vos commentaires et vos encouragements pour d’autres récits. N’hésitez pas à m’écrire et à m’envoyer vos photos humides. Bisous.