n° 01340 | Fiche technique | 9124 caractères | 9124 1566 Temps de lecture estimé : 7 mn |
08/07/23 corrigé 08/07/23 |
Résumé: Fist fucking et sodomie simultanée avec sa maîtresse Catherine | ||||
Critères: fh extracon amour intermast cunnilingu fist fsodo | ||||
Auteur : Malko (Malko 42 ans et Catherine 27 ans) |
Catherine est là, allongée dans son lit. Elle me fait un beau sourire canaille. Lui ayant téléphoné quelques minutes avant de quitter le bureau, je sais qu’elle m’attend, toute nue dans la chaleur de sa couette.
En quelques instants, je suis nu moi aussi et la rejoins dans notre nid d’amour.
Je lui caresse le corps et au bout de quelques minutes, plonge sous la couette.
Je me penche sur son ventre chaud. Du bout des doigts, j’écarte doucement les grandes lèvres de son sexe et commence à lui titiller le clitoris à petits coups de langue. Ses petites lèvres se redressent imperceptiblement et son sexe devient humide.
J’ai maintenant chaud moi aussi, et repousse la couette qui tombe au pied du lit. Tout en continuant à sucer délicatement son clitoris comme un mamelon, j’introduis la première phalange du majeur de ma main droite à l’entrée de son vagin, alors que de la main gauche j’écarte plus fort ses grandes lèvres. Elle a mis à profit une partie de son après-midi pour couper court les poils de son pubis. Elle sait que j’adore ça, mais n’aime pas se raser complètement, car, bien qu’elle ait le poil doux et soyeux, ça commence à « piquer » dès le lendemain. Mais taillés court, elle aime bien.
L’effet ne se fait pas attendre, et son clitoris se gonfle encore. Je le suce de bas en haut comme elle le fait si souvent avec mon sexe. C’est comme si je lui pratiquais une petite fellation. Son ventre ondule sous moi tandis que mon doigt la pénètre complètement.
De temps en temps, je titille aussi son cul du bout de la langue, avec une légère introduction. Je vois son sphincter anal se contracter et se relâcher en cadence.
Son vagin bien dilaté est si mouillé que je lui introduis le majeur et l’index, que je fais doucement tourner dans son ventre tout en continuant de lui sucer le clito. Ressortant la main, je regroupe ensemble l’index, le majeur et l’annulaire et les fais entrer tout doucement dans son ventre après les avoir inondés de salive. À ma surprise, les trois doigts entrent facilement et complètement dans son corps.
Son vagin reste bien ouvert lorsque je les retire, et là, je tente d’introduire ensemble les quatre doigts. C’est naturellement plus difficile même si j’ai bien mouillé mes doigts en les portant à la bouche. Quelques lents mouvements de rotation permettent à ma main de la pénétrer profondément. Mes doigts, formant un cône, élargissent petit à petit son vagin.
De temps en temps, je demande à Catherine si je ne lui fais pas mal. Les yeux fermés et la respiration haletante, elle me fait comprendre que non d’un rapide mouvement de tête.
Et au bout de quelques instants, mes quatre doigts sont dans son ventre jusqu’à l’emplanture du pouce. C’est impressionnant ! Curieusement, je ressens la sensation qu’elle mouille moins maintenant. Tout doucement, je ressors mes doigts et entreprends de mouiller avec ma bouche son sexe grand ouvert. Puis vient le tour de ma main que je mouille en entier, tant et tant que je crains de manquer de salive.
Bien qu’elle, tout comme moi, joue à ce petit jeu pour la première fois, je n’ai droit à aucun reproche. Elle est en confiance et attend sans angoisse particulière la suite des événements tout en souriant.
Après avoir bien mouillé ma main, j’introduis sans peine mes quatre doigts dans son sexe, mais cette fois en y glissant le pouce. Ma main forme une sorte de cône, dont la base, au niveau le plus large, à un diamètre de huit centimètres. En poussant tout doucement tout en accompagnant mon geste de petites rotations alternées, je sens que ma main avance. Mais elle sèche très vite et il me faut fréquemment la lécher pour l’humidifier. Je dépose aussi de la salive à l’entrée de son vagin, tout autour de ma main.
Voilà. Le point le plus large est passé. Elle n’a pas ressenti de douleur et continue à ronronner les yeux fermés. À partir de ce moment-là, le dos de ma main entre très facilement, pendant que je replie mes doigts à l’intérieur de son vagin. Mon pouce est pris dans mes autres doigts.
Quelle sensation inouïe de voir mon avant-bras pénétrer son ventre comme un sexe monstrueux, et de ressentir l’entrée de son vagin serrer mon poignet. Cela me fait penser à certaines femmes qui se font pénétrer par un énorme sexe d’âne ou de poney ! C’est excitant au possible.
Toute l’opération, qui a duré près de dix minutes, a provoqué chez moi une formidable érection.
C’est alors que l’idée me vient de la sodomiser. Je lui demande de s’allonger sur le côté gauche, ce qu’elle fait immédiatement. Nous avions une grande pratique de la sodomie, qu’elle appréciait énormément pour mon plus grand plaisir. Et pourtant, avant que je ne devienne son amant, elle ne la pratiquait pas, ayant été une fois quasiment violentée par son mari peu après leur mariage. Elle avait eu très mal, et depuis, avec ses autres amants, elle s’était toujours refusée à se laisser enculer. Mais un jour, après que je lui eus procuré une jouissance buccale, elle n’opposa pas de résistance lorsque je posai l’extrémité de mon sexe à l’entrée de son cul. Tout doucement, c’était entré. J’eus l’impression qu’elle voulait me faire un cadeau à la hauteur de la jouissance que je lui avais procurée.
Depuis, je me suis souvent demandé si Catherine ne jouissait pas plus du cul que du sexe. Elle me donna un jour la réponse en toute simplicité. Elle préférait la chatte lorsque nous avions du temps pour les préliminaires, qui consistaient en un cunnilingus jusqu’à sa jouissance. Alors, elle obtenait une autre fois son plaisir lorsque nous faisions l’amour.
Mais si, pour une raison ou une autre, nous n’avions pas suffisamment de temps pour les préliminaires, elle préférait que je la sodomise. Il suffisait que je lui mouille le cul avec la langue ou avec un doigt, elle me suçait le sexe pour le mouiller également, et la pénétration anale se faisait aussi simplement qu’une pénétration vaginale. Et sans aucune douleur pour elle, bien au contraire. En maîtrisant son sphincter, elle appliquait des séries de contraction à mon sexe et me demandait souvent de la prendre plus fort.
Curieusement, je constatai que son orifice se mouillait naturellement comme le faisait son vagin. Ces sodomies fortes et menées à un rythme accéléré, qu’elle affectionnait tant, faisaient souvent perler des gouttes de sueur sur ses tempes et entre ces seins.
Mais revenons à notre histoire.
Donc, ma main remplit son ventre et elle s’allonge sur le côté gauche en écartant bien les jambes. À genoux sur le lit, je me déplace légèrement tout en me redressant pour me mettre à califourchon sur la cuisse de sa jambe gauche. Après avoir mouillé l’extrémité de mon sexe avec de la salive déposée du bout des doigts de la main gauche, j’entre délicatement dans son cul. Dès que le gland franchit la porte, j’éprouve une merveilleuse sensation, encore renforcée lorsque mon sexe est entièrement en elle.
Ma main droite et mon sexe se touchent presque, au travers de ses cloisons intimes. Dès que j’entreprends un mouvement de va-et-vient, son corps se tend au point que je crois lui avoir fait mal. Mais non ! Au contraire, elle me demande d’accélérer le mouvement, tout en simulant un autre coït dans son sexe avec mon avant-bras. Nous transpirons beaucoup tous les deux et la vue de ce membre gigantesque dans sa chatte pendant que je la sodomise m’excite plus que jamais.
Notre orgasme arrive presque exactement au même moment et il est d’une violence inouïe !
Malgré ma position tout de même un peu acrobatique, je m’allonge près d’elle durant quelques instants. Au moment où je retire mon sexe de son cul, elle aperçoit à son extrémité une belle goutte de sperme. Avec une œillade complice, elle me demande de m’approcher et boit la goutte de sperme comme une petite chatte lécherait une goutte de lait sur le bord d’une soucoupe.
Reste alors retirer ma main de son ventre. Insensible durant l’action, je commence maintenant à ressentir un peu d’ankylose en raison de la position peu usuelle de ma main. Un mouvement du poignet vers l’arrière me fait vite constater que ça ne glisse plus du tout comme pendant la pénétration. Tout s’est desséché, et tout mouvement rapide ferait certainement mal à ma petite Catherine.
C’est donc avec une infinie délicatesse que je sors ma main, lui imposant encore une dilatation vaginale de huit centimètres. Bien que n’ayant jamais eu d’enfants, et ayant un vagin naturellement étroit, Catherine ne ressent aucune douleur durant l’opération. Elle m’annonce en souriant que cela est de bon augure pour le jour où elle donnerait naissance à un enfant.
Ma main retirée nous apparaît blanche avec la peau fripée, ce qui nous fait rire encore. Quant à son sexe, il conserva une ouverture de trois à quatre centimètres pendant près d’un quart d’heure. Un temps que nous avons mis à profit pour nous embrasser et nous prodiguer mutuellement de tendres caresses.
Après une toilette intime, nous partons main dans la main nous promener dans le parc avoisinant, pleinement heureux de la « prouesse » que nous venons d’accomplir. Elle viendra, avec toutes les autres, enrichir le jardin secret de notre complicité.