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n° 01383Fiche technique20840 caractères20840
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Temps de lecture estimé : 14 mn
23/07/23
corrigé 23/07/23
Résumé:  Pendant les jeux olympiques, il va rencontrer trois jeunes et jolies femmes...
Critères:  fh fffh fbi couleurs asie collection fmast intermast fellation cunnilingu 69 fgode pénétratio fsodo
Auteur : Chris            Envoi mini-message
United Colors of Sydney.

Les Jeux olympiques 2000 furent pour moi l’occasion de réaliser un fantasme particulier, puisqu’ils me donnèrent l’opportunité de marier, mélanger, entremêler, brasser, fondre, unir, combiner les couleurs de peau dans une même relation.


Les trois couleurs concernées se trouvèrent être :


– Valérie, blanche, 30 ans, Suissesse, blonde, capiteuse, luxuriante, épanouie, touriste ;

– Amina, noire, Sénégalaise, grande, féline, animale, athlète ;

– Mishiko, jaune, 25 ans, Japonaise, menue, raffinée, aux cheveux raides mi-longs, hôtesse.


J’avais eu l’insigne chance d’être intégré dans l’équipe d’accueil et d’animation du village olympique. À ce titre, j’eus naturellement l’occasion de multiplier les rencontres intéressantes, à tous points de vue.


Alors que je déambulai dans le vieux quartier de Sydney, un après-midi de repos, peut-être à la recherche d’une occasion de rencontre, j’aperçus, assise à la terrasse d’un restaurant, une jeune femme blonde vêtue d’une robe blanche boutonnée devant, son sac sur ses genoux, en train de régler l’addition. Elle sortait une liasse de billets lorsque brusquement jaillit un jeune homme, qui, d’un geste prompt, lui arracha son argent et s’enfuit.


Hélas pour lui, le hasard m’avait mis juste devant lui, de telle sorte que faisant un pas de côté, il se heurta à moi. Je lui agrippai la ceinture et il vit à mon regard qu’il fallait mieux abandonner cette partie, de telle sorte que je lui pris les billets froissés serrés dans sa main. Je relâchai ma pression et cet indigne voleur prit la poudre d’escampette sans demander son reste.


Je me retournai alors et vis cette jolie blonde qui s’était levée, encore surprise de cette aventure, et n’osait croire à sa chance. Je revins vers elle et lui tendis ses billets. L’émotion la fit se rasseoir, ce que je fis aussi.


Elle commençait par me remercier en anglais, mais je l’interrompis bien vite reconnaissant un accent français.



Nous conversâmes ainsi quelques minutes, revivant cette histoire. Je lui indiquai que je travaillais au village Olympique, que j’étais de repos aujourd’hui et que j’en profitai pour découvrir un peu plus Sydney.


Elle m’indiqua qu’elle était en Australie comme touriste avec une amie qui avait rencontré un Australien et était partie quelques jours avec lui à la découverte du pays. Elle était donc seule pendant quelques jours et s’intéressait aux compétitions.


Elle m’apprit également qu’elle logeait dans un bel hôtel réservé depuis longtemps et occupait avec sa copine une belle chambre avec vue sur la baie. Nous échangeâmes quelques autres impressions et en fin de compte, nous nous levâmes alors et tout naturellement, nous partîmes ensemble poursuivre notre promenade.


C’était une femme très agréable, souriante, gaie, bien dans sa peau, grande, un peu ronde, mais avec des formes bien placées, ses cheveux blonds en queue de cheval, sa belle robe blanche flottant dans le vent de Sydney. Une femme très ouverte, dans tous les sens du mot, comme je devais le découvrir ce même jour.


Nous découvrions que le temps passait agréablement ensemble et continuions d’aller au gré du hasard. L’après-midi passait vite et je ne saurai jamais si c’est aussi le hasard qui nous avait conduits précisément devant son hôtel, un palace quasiment.



Je la suivis à travers le grand hall et nous prîmes l’ascenseur pour le 5e étage. Dans le grand couloir, je la suivais toujours, regardant devant moi sa croupe que je trouvai soudain un peu plus ondulante.


Elle ouvrit bientôt par sa carte magnétique la porte de la chambre 525 et me fis entrer dans une magnifique chambre au décor de dominante bleue.


J’étais debout devant elle. Soudain, je la vis commencer à défaire les boutons de sa robe blanche, un par un, me permettant ainsi de découvrir le sillon de ses seins puis un ravissant soutien-gorge à balconnet de dentelle blanche, son ventre et enfin un joli string assorti.


La robe chuta à ses pieds. Je n’avais pas bougé, admirant ce corps de rêve devant moi.



Elle sourit en sentant la présence d’une tension et tout s’accéléra. Elle tomba à genoux et par des gestes précis et rapides sortit ma queue qu’elle mit immédiatement dans sa bouche.


Je finis de bander entre le moelleux de ses lèvres et de sa langue. La coquine me regardait, souriante et manifestement ravie de sa perversité.



Elle me suçait avec ardeur, avec adresse et douceur alternant les jeux de langue et les aspirations. Je me trouvai rapidement nu et sa main me caressait les fesses en même temps qu’elle gobait ma queue au plus profond de sa gorge.


De son autre main, elle se caressait les seins, les sortants des bonnets de son soutien-gorge et excitait ses mamelons tendus.


Je m’arrachai à sa bouche et la poussant sur son lit, je me trouvai la tête entre ses cuisses, écartai son string et lui rendis sa politesse. Son sexe était trempé. Elle gémissait sous ma langue qui lui explorait la chatte. Dévorant ses lèvres intimes, son clitoris, ma langue allait partout, jusqu’entre ses fesses qu’elle m’offrait en soulevant ses cuisses.


Je lui entrai un doigt dans sa chatte, puis un autre bientôt, tout en caressant sa rosette. Je poursuivis mon léchage et bientôt je la pénétrai de deux doigts devant et d’un autre derrière. La coquine appréciait et je me rendis compte que j’avais rencontré une vraie cochonne, libérée, sans tabou, aimant le sexe.


Je vins sur elle en 69. Elle branla ma bite entre ses beaux seins tout en me léchant les couilles et le cul, malaxant les globes fermes de mes fesses.



Écartée, offerte sur son grand lit, je me mis entre ses cuisses et pris possession de sa chatte que j’enfilai, ramonai bien à fond. Elle feulait de plaisir en se malaxant les seins, regardant ma bite aller et venir en elle.


Je sortais et entrais ma queue lentement, laissant son sexe béant de désir. Elle mouillait comme une fontaine. Je lui soulevai les cuisses et vins poser ma queue enduite de cyprine sur son anus humide de cette même mouille.


Elle ne se refusa pas, bien au contraire, et poussa même son bassin à la rencontre de ma queue qui d’un coup lui pénétra le cul.


Se mordant une main, elle posa l’autre sur sa chatte et se branlait tandis que je la sodomisais.



Je me retirai de ses fesses pour la reprendre par-devant et j’alternai ainsi, un ou deux coups dans le con et un ou deux par derrière. Ses orifices disponibles avalaient ma queue de plus en plus facilement.


Avec un tel traitement qu’elle appréciait visiblement, Valérie ne tarda pas à crier sa jouissance. De mon côté, je vins à cheval sur son ventre et me branlai pour jouir sur ses seins. J’explosai bientôt et lui répandit une honnête quantité de sperme sur ses magnifiques nichons, qu’elle se caressait avec volupté.


Après un peu de repos, nous remîmes le couvert, elle me fit de nouveau gicler dans sa bouche tandis que, lui suçant sa belle chatte et son clitoris, elle eut encore un ou deux orgasmes.


Il était temps pour moi de partir et je lui dis au revoir après que nous ayons échangé nos numéros et pris rendez-vous pour le lendemain soir à l’entrée du village qu’elle voulait visiter.


Au village où je rentrai justement après cet excellent après-midi, de nombreux jeunes avaient été engagés, selon d’ailleurs des statuts multiples, mais avec une majorité de bénévoles de tous pays et continents permettant ainsi la communication avec tous, car la plupart des athlètes ne parlent que leur propre langue.


C’est ainsi qu’au centre d’accueil, je me trouvai dans une équipe fort sympathique au sein de laquelle évoluaient nombre de jeunes hommes et femmes, très heureux d’être là, et avec lesquels il était agréable de travailler. L’ambiance était excellente, et la rigueur des responsables australiens ne parvenait pas à briser cette atmosphère bon enfant, mais sérieuse.


Dans mon équipe, j’avais remarqué une jolie et délicate Japonaise qui s’appelait Mishiko, hôtesse à l’accueil et dont le travail consistait à prendre tous les messages des athlètes pour les mille et un problèmes qu’ils pouvaient rencontrer dans le village. Il faut dire, outre le japonais, qu’elle parlait coréen, anglais et français. Encore une de douée pour les langues.


Elle avait remarqué, je ne sais comment, cet intérêt de ma part pour sa personne et se montrait avec moi un peu timide, baissant les yeux, ce qui lui donnait un air de sainte nitouche qui me plaisait encore plus.


Alors que nous allions ensemble nous assurer que deux athlètes coréens avaient bien quitté le village et que leur chambre commune était libre, j’imaginai Mishiko nue entre mes bras. Je me décidai à tenter le coup.


Elle portait l’uniforme du jour à savoir jupe blanche et tee-shirt vert et jaune avec un blouson kaki. Moi-même, dans la version homme, portai le même tee-shirt et un bermuda blanc.


Nous arrivâmes au bâtiment concerné et avec entrâmes dans la chambre. Elle avait été nettoyée par une équipe de ménage, mais sur le lit, diverses affaires avaient été posées sur un des deux lits, sans doute retrouvées par la femme de ménage, oubliées par l’un ou l’autre de nos deux Coréens.


Mishiko s’approcha la première et souleva une revue à l’envers. Je vis son « Ooh » de surprise, car cette revue de papier glacé se trouva être une revue porno hard asiatique. Elle le rejeta sur le lit. Je la pris à mon tour, souriant.



Et le feuilletai.


Elle me regardait mater ces photos cochonnes. Le trouble qu’elle ressentait était manifeste. Mais nous quittâmes cette chambre avec nos paquets.


Alors que nous passions devant la discothèque, j’ouvris la porte. Il y faisait noir. J’attirai Mishiko par la main et lui dis doucement :



Je posai ma bouche sur ses lèvres et, après une ou deux secondes d’hésitation, elle ouvrit immédiatement les siennes. Je sentis sa langue venir jouer avec la mienne. D’une main, je relevai sa jupe, lui caressai ses cuisses fermes et musclées alors qu’elle-même posait sa main sur ma braguette.


Je l’entraînai sur une banquette proche. Nos yeux s’habituaient à la pénombre. Je continuai de l’embrasser tandis que nos mains s’activaient, les miennes à caresser sa fine culotte sous sa jupe et les siennes à tâter et défaire ma braguette.


J’étais penché sur elle à moitié assise sur ce banc, et elle fut la première à partir à ses fins, c’est-à-dire sortir ma queue de mon slip. Elle sourit à la vue de mon engin bandé et commença une savante masturbation. Elle savait y faire et sa main experte entourait mon gland comme une gangue de velours, puis elle astiquait vigoureusement la hampe, puis elle venant presser et caresser mes couilles, puis, dans un savant crescendo, alternant ses caresses, comme un massage raffiné, elle me faisait diablement bander.


Entre-temps, j’avais dévoilé ses seins menus que je malaxai, sentant le mamelon dur roulant sous mes doigts.


Je ne voulais pas jouir trop vite et me détachai d’elle pour l’allonger sur ce canapé. D’elle-même, elle souleva sa jupe et retira sa culotte. Je l’aidai à la faire passer sur ses chevilles et me précipitai, mon visage entre ses cuisses, pour poser ma bouche sur son minou brun, délicatement taillé. Elle sentait divinement bon. Ma langue commença un ballet de plaisir entre ses cuisses, aspirant son bouton, léchant ses nymphes sensibles. Elle ondulait de plaisir, gémissant son désir.



Elle ne tarda pas à prendre un plaisir immense criant sa jouissance en japonais.


Je vins ensuite entre ses cuisses pour lui mettre ma queue dans sa chatte étroite, mais trempée d’excitation. La coquine cachait bien son jeu et se révélait une amoureuse fort dévergondée. Je sentais ses muscles internes se serrer sur la hampe dure qui la transperçait. Ce massage intime extraordinaire et la nouveauté de la pratique déclenchèrent rapidement mon plaisir et je ne tardai à me répandre en elle.


Ce séjour s’annonçait vraiment sous des auspices érotiques favorables après des premiers jours un peu moroses, et cela d’autant que la petite Mishiko, j’allais l’avoir sous la main, si j’ose dire, à longueur de journée.


Ma rencontre intime avec Amina fut le fruit du hasard.


Le lendemain de cette prise de connaissance approfondie avec ma collègue japonaise, alors que je me rendais dans sa chambre, car elle avait signalé je ne sais plus quel incident, et la croyant absente, j’entrai avec mon passe. J’entendis de sourds gémissements et avançant de quelques pas, je surpris cette belle plante noire, nue, allongée sur son lit, en train de se masturber.


Je restai interdit devant le spectacle de sa jolie chatte rose, et de ses mains aux doigts effilés terminés par des ongles vernis en doré.



Elle ne savait que faire, manifestement gênée et aussi encore excitée. Je devais l’avoir dérangée alors que son plaisir atteignait un point de non-retour. De mon côté, je ne bougeai pas.


Puis lentement, tout en me regardant, elle reprit sa masturbation. Mes yeux suivirent sa main. La situation l’excitait, et moi aussi, d’ailleurs. Je bandais sous mon bermuda. Je vis justement son regard se porter sur ce point de mon anatomie.


Souriant, tout en la matant en train de se tripoter, ses doigts tout luisants de son excitation, j’entrepris de retirer mon blouson, puis mon tee-shirt, puis mon bermuda. En slip devant cette magnifique noire qui se caressait de plus en plus naturellement (et impudiquement), je bandais très fermement.


J’avançai de quelques pas pour être tout près de son visage, de telle sorte qu’elle voyait de près ma bosse et moi-même ses doigts entre ses cuisses.


Je baissai alors mon slip faisant jaillir mon sexe déployé. Aussitôt, elle avança sa main libre pour la refermer sur la chair de mon sexe.


Cette situation était pour moi d’un érotisme fou, ses doigts noirs sur la peau blanche de ma queue bandée. Je crois qu’elle le percevait aussi et elle commença une savante masturbation.


Le lendemain, il se produisit l’une de ces coïncidences extraordinaires comme il n’en arrive que peu souvent. Alors que j’étais à mon bureau d’accueil occupé à remplir quelques formulaires, j’aperçus Mishiko qui revenait du village, accompagnée d’Amina.


Je levai les yeux pour les regarder approcher ne sachant encore par quel miracle elles venaient ensemble, lorsque surprise encore plus grande, Valérie, à qui j’avais donné une carte d’accès athlète, entrait à son tour.


Toutes les trois s’approchaient lorsque mon téléphone sonna. Je le pris bien vite et je fus soulagé au moins provisoirement que l’on me demande de venir apporter un listing dans un bureau administratif à l’étage. Je quittai précipitamment mes trois conquêtes des derniers jours que le hasard avait réunies.


Mon entrevue avec un responsable australien dura quelques minutes et je pus alors descendre. J’aperçus aussitôt les trois femmes qui devisaient ensemble, souriantes et complices. Justement, lorsque je m’approchai, elles cessèrent leur conversation. Valérie me regarda en coin et dit :



Sur ce, elle s’approcha de moi pour m’embrasser à pleine bouche devant les deux autres.


Un peu embarrassé, après cette entrée en matière humide, je ne savais que dire. Amina vint à son tour près de moi et posa sa bouche sur la mienne non sans passer sa main sur ma braguette et me disant à l’oreille « coquin ». Ces deux-là partirent ensemble et je restai avec Mishiko, mon horaire n’étant pas terminé, non sans l’embrasser à son tour.


Je passai cette nuit avec Mishiko, et celle-ci me fit découvrir une science de l’amour et de l’érotisme à l’Asiatique, toute en subtilité, licence et volupté. Elle finit néanmoins, à son grand bonheur et au mien, par se faire fourrer et la chatte et le cul.


Ce séjour australien prenait soudain un tour bien plaisant. Mais je me demandais ce que ces trois coquines s’étaient dit ensemble. Je n’allais pas tarder à le savoir.


En cette fin d’après-midi, je quittais mon travail pour me rendre dans le centre de Sydney, honorer et le rendez-vous pris avec Valérie, « et Valérie elle-même », pensai-je. Je pris un autobus pour arriver jusqu’à son hôtel.


Je montai directement à la chambre 125 et frappai. J’entendis la voix de Valérie qui me disait « si c’est toi, Chris, entre… ».


J’avançais dans le vestibule précédant la grande chambre, et de cette mémorable soirée, c’est l’image qui me restera, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir dans la chambre d’hôtel de Valérie, non seulement celle-ci, mais également mes copines Amina et Mishiko, ces trois femmes magnifiques, qui attendaient en tenue de combat.


Je veux dire par-là qu’elles étaient toutes trois en dessous et lingerie.


Valérie portait une guêpière rouge mi-bonnets et des bas de même couleur. Un string rouge aussi minuscule qu’arachnéen complétait cette parure.


Amina avait revêtu un ensemble soutien-gorge, culotte de couleur blanche et portait des bas autofixants blancs avec un large liseré de dentelle.


Quant à Mishiko, elle avait revêtu des bas bleus, retenus par un porte-jarretelles bleu également et un foulard de soie bleue autour de son cou gracile. Elle ne portait pas de culotte.


C’est naturellement dans l’ordre de nos couleurs cocardières que j’aperçus, entrant dans la vaste chambre, surpris, ces trois femmes, qui visiblement m’attendaient pour faire la fête à ce frenchie que j’étais.


Elles avaient oublié la Marseillaise, mais je n’attachai que peu d’importance à ce détail, devant un tel spectacle. Je rencontrai l’œil malicieux de Valérie et je compris que la coquine était à l’origine de cette rencontre fort spéciale et de cet hommage érotique aux couleurs de mon pays.


Je commençai évidemment par le bleu, et me déshabillant prestement, je vins immédiatement poser ma bouche sur le minou brun de Mishiko, tout humide de rosée, pour lui languer sa jolie petite chatte.


Je passais ensuite au joli con d’Amina, excitante comme jamais avec ses dessous blancs, qui m’ouvrit à son tour largement ses cuisses pour me permettre de boire à sa fontaine d’amour. Quelques coups de langue la firent jouir très vite tandis que je voyais Mishiho continuer d’exciter sa chatte avec ses doigts.


Après la jouissance rapide d’Amina, je passais au rouge, entre les cuisses de Valérie, qui, trempée elle aussi, attendait avec impatience ma langue. Je lapai cette belle chatte humide et prête à l’emploi si j’ose dire. Tandis que ma langue explorait la grotte de Valérie et aspirait son bouton érigé, je pouvais voir Amina et Mishiko en position 69, les coquines.


Je me relevai après avoir fait jouir Valérie pour mettre ma queue dans sa bouche, ce qu’elle accepta avec grand enthousiasme. Tandis que les deux autres s’autodévoraient, je me laissai aspirer la bite par cette gourmande, en matant le 69 de Mishiko et Amina.


Je me retirai de la bouche affamée de Valérie, ne voulant jouir de suite pour venir me positionner en face de la balle chatte d’Amina, qui chevauchait tête-bêche Mishiko. Aussitôt, la petite Japonaise prit ma queue et l’enfonça dans le minou d’Amina, qu’elle léchait avec délectation. Tandis que j’enfilai Amina en levrette, Mishiko me caressait les couilles et l’anus.


Valérie avait de son côté pris son vibromasseur, et, cuisses écartées sur le lit, tournée vers nous, se branlait et se pénétrait avec ce bel engin vibrant.


Naturellement, nous variâmes les positions et alors que les filles trouvèrent l’occasion de se gouiner les unes les autres, je les pénétrai toutes dans la chatte et le cul. Ce fut une grandiose séance, si j’ose dire, un feu d’artifice.


En définitive, je me laissai exploser d’un plaisir longtemps contenu alors que, la coquine Mishiko qui se masturbant avec le vibromasseur, m’enfonçait un doigt dans l’anus, je pénétrai avec vigueur la chatte d’Amina, que je limai consciencieusement goûtant ce doigt pervers et délicieux, en même temps que légèrement penché sur le côté, je broutai la belle chatte de Valérie.


Amina dut nous quitter le lendemain avec sa délégation et Valérie entama de son côté un voyage en Australie. Heureusement, la coquine Mishiko ne demanda pas mieux que de partager mes nuits jusqu’à la fin des Jeux.