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n° 01389Fiche technique7760 caractères7760
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Temps de lecture estimé : 6 mn
24/07/23
corrigé 24/07/23
Résumé:  En rentrant du travail, une surprise m'attend
Critères:  ff frousses extracon voir lingerie hmast intermast cunnilingu fdanus anniversai essayage
Auteur : Pascal  (Cadre)      
Joyeux anniversaire

Laure et moi sommes mariés depuis dix ans. Je l’aime comme au premier jour. Nous avons une vie sexuelle épanouie, subtil mélange de tendresse et de passion.

Il y a une dizaine de jours, je suis rentré plus tôt de mon travail. En pénétrant dans le salon, une surprise m’attend. Laure était en sous-vêtement, et pas n’importe lesquels : string porte-jarretelles et soutien-gorge pigeonnant rouges. Carole, notre voisine, commerciale en lingerie, était venue avec sa collection de l’année passée pour une séance d’essayage. Elle aussi était légèrement vêtue.

Le premier émoi passé, je m’installe sur une chaise pour profiter du spectacle.



C’est donc en bougonnant que je quitte la pièce pour aller prendre un bain réparateur après une journée de travail.

La vue de ces deux femmes m’avait excité. Laure porte ses 36 ans à merveille. Elle mesure 1,73 m et a un corps svelte. Sa poitrine, sans être opulente (85 b), est magnifiquement dessinée et très ferme. Carole aussi est mignonne. Elle doit être de la même taille que ma femme. Elle est plus jeune, je crois, elle doit avoir 28 ou 29 ans. C’est une rousse aux yeux verts.

En pénétrant dans la salle de bain, mes vieux démons de voyeurs impénitents ressurgissent et je change d’avis. Je fais couler un bain, mets de la musique, signe d’occupation des lieux, mais retourne me poster dans le couloir, bien décidé à espionner. La géographie des lieux permet d’avoir une vue sur le salon grâce à une porte-fenêtre sans être découvert.



Bien entendu, pendant qu’elles se déshabillent, je n’en perds pas une miette et commence à avoir une sévère érection.

Affublées de leur nouvelle parure, les deux femmes se contemplent et se complimentent.



Joignant le geste à la parole, Carole passe un doigt sous le soutien-gorge pour le réajuster.



En disant cela, elle refait le même geste que pour le haut, mais en s’attardant plus longuement.

Ma femme ne refuse pas cet attouchement et je remarque même qu’elle ondule légèrement son bassin pour rester au contact des doigts.



Peu convaincue par ses explications, Carole plaque sa main sur le sexe de ma femme et commence à la caresser à travers la fine étoffe. Illico, je pense qu’elle va se manger une beigne. Laure n’a jamais manifesté d’intérêt pour les plaisirs saphiques malgré mes régulières suggestions sur la question. De plus, nous n’avons jamais pratiqué ni échangisme ni mélangisme, ni même envisagé de le faire. Nous avons toujours trouvé notre bonheur à deux.

Mais là, surprise, non seulement Laure ne dit rien, mais en plus elle ferme les yeux et laisse échapper un soupir, manifestation évidente de son plaisir.

Je suis dans un état bizarre : j’ai l’impression d’être trompé, mais en même temps je suis excité par le spectacle et attentif à la suite des événements, je n’ai jamais vu deux femmes s’aimer devant moi et c’est mon grand phantasme.


Tout s’enchaîne alors très vite ; toujours enlacées, elles basculent sur le canapé. Mon épouse est totalement passive, c’est Carole qui mène les ébats. Elle s’est laissée glisser entre les jambes de Laure et insère sa langue dans l’échancrure de son slip. En même temps, ses mains libèrent les seins et ses doigts titillent et pincent les tétons qui ont durci et pointent fièrement sous l’assaut des caresses. La bouche de Carole prend maintenant possession de la fente de ma femme. Elle saisit son clitoris turgescent entre ses dents et le mordille délicatement. Il est gonflé de désir, prêt à exploser. Carole mouille aussi abondamment, je peux voir sa cyprine couler le long de ses cuisses. J’ai terriblement envie d’aller la lécher et je suis dans un état d’excitation tel que j’éjacule dans mon pantalon, à ma grande honte, avant même d’avoir eu le temps de sortir mon sexe pour me branler.

J’entends en même temps un râle que je connais bien ; synonyme d’orgasme de ma femme. Je suis ému, nous avons joui en même temps.


Pensant que c’est terminé, je retourne dans la salle de bain me changer, mais j’entends Laure dire à sa complice :



Après s’être mise nue, Laure descend alors le string de Carole, s’allonge sur elle et l’embrasse à pleine bouche. Je peux voir leurs deux chattes, l’une sur l’autre se frottant délicatement. L’une brune et savamment taillée, l’autre rousse et broussailleuse. C’est la première fois que je vois une toison aussi rousse et aussi flamboyante et ça a pour effet de provoquer un nouveau durcissement de mon membre. C’est un spectacle sublime de fougue et de délicatesse ; de passion et de tendresse, d’érotisme et de pornographie.


Après un long baisé, Laure commence à caresser Carole. Elle promène doucement ses mains sur tout son corps en s’attardant sur ses seins laiteux, entre ses cuisses, autour de son pubis, mais en évitant soigneusement sa fente. Après ce balai des mains, c’est sa langue qui prend le relais excitant méthodiquement chaque millimètre carré de son corps, du lobe des oreilles aux doigts de pieds, puis remontant progressivement le long des jambes, elle parvient à la toison de feu. Elle écarte les lèvres, et souffle délicatement sur le clitoris de sa compagne. Carole gémit, indiquant qu’elle apprécie cette caresse d’Éole. Elle est au bord de l’orgasme et supplie Laure de la faire jouir. De par sa position, Laure m’offre une vue imprenable sur son intimité. Étant à califourchon, la croupe relevée et les cuisses bien écartées, elle m’exhibe involontairement son sexe et sa pastille. J’ai envie de m’approcher et de la prendre ainsi, pendant qu’elle donne du plaisir à sa partenaire, mais je me ravise au dernier moment, estimant ne pas avoir le droit de gâcher cet intense moment entre ces deux femmes. Je continue de me masturber frénétiquement et lâche ma semence sur les murs du couloir.


Tout en poursuivant ses agaceries buccales, Laure introduit deux doigts dans la fente de Carole et un dans son petit trou et commence un va-et-vient très lent, puis de plus en plus rapide. Sa respiration s’accélère, son bassin ondule de haut en bas pour bien sentir les doigts qui s’activent en elle et très vite elle crie de bonheur en jouissant. Un abondant liquide s’écoule de sa chatte que ma femme s’empresse de lécher.


En regagnant la salle de bain, je ne peux que constater les dégâts. La baignoire a débordé. Après avoir réparé le plus gros, m’être douché, j’éteins la radio et regagne le salon. Les deux filles sont rhabillées et sagement assises en sirotant un cocktail.



Je bafouille et me perds en explications vaseuses pour me justifier lorsque les deux complices explosent de rire et me lancent en cœur :