n° 01404 | Fiche technique | 15561 caractères | 15561 2774 Temps de lecture estimé : 12 mn |
23/11/23 corrigé 23/11/23 |
Résumé: Un rêve qui prend tournure... | ||||
Critères: fh toilettes revede voir exhib hmast fellation cunnilingu anulingus pénétratio coiffure | ||||
Auteur : Twin (38 ans, latin câlin & coquin, mais aussi informaticien) |
Ce qui va suivre est un rêve. Je le raconte en utilisant le temps présent pour lui donner plus de force.
Ce moment est tellement proche et intense dans ma mémoire…
Mon rêve :
C’est un samedi après-midi, il est 16 h 40 quand j’entre dans le salon de coiffure. Je sais que ma coiffeuse est là et que le salon ne doit pas tarder à fermer. Je dois abuser de mon meilleur sourire et lui dire que je suis invité à une soirée le jour même pour qu’elle accepte de me coiffer. Depuis des mois, j’essaie de la contacter par Minitel. Elle répond souvent très vite et me propose de la joindre par téléphone. J’ai toujours peur de la déranger, mais cette fascination me poursuit et me bloque aussi.
C’est ainsi, je ne vis mes aventures qu’à travers des rêves. Une timidité maladive m’empêche de la contacter directement et j’ai dû rassembler toutes mes forces pour venir. Elle semble pressée, mais s’occupe de moi avec un soin très professionnel. Le contact de ses doigts dans mon cuir chevelu est très doux et me procure déjà un plaisir pour le moins inattendu. Pendant le moment de répit qu’elle me laisse pour laisser agir le shampooing, je ne me lasse pas de la regarder dans le reflet de la glace.
Son salon n’est pas très grand, elle vaque à ses occupations sans vraiment me porter attention. Elle revient vers moi pour me rincer les cheveux et je ferme les yeux, me laissant aller à la douceur conjuguée de l’eau délicatement tiède et de ses mains. C’est presque à regret que je sens l’eau arrêter de couler, mais le contact de la serviette dont elle se sert pour me sécher sommairement a lui aussi des mérites que je ne soupçonne pas. Je l’accompagne docilement, m’installe et la laisse officier après lui avoir expliqué comment je désire me faire couper les cheveux. Elle me parle pour faire passer le temps, nous échangeons des banalités sur la météo, la vie professionnelle et la raison de ma présence dans son salon, car elle m’avoue ne pas se souvenir de moi. Je lui confie venir parfois passer un week-end à la campagne, et c’est lors d’une de ces occasions que j’ai fait sa connaissance. Je comprends aisément qu’elle ne se souvienne pas de moi ni de mes passages devant son salon n’ayant que pour but de l’apercevoir. Elle dégage une grande sympathie. Juchée sur son tabouret à roulettes, elle tourne autour de moi dans une valse de coups de ciseaux qui nous rapproche de la fin de son travail. Je bouge les jambes sans cesse, car je redoute que ce moment arrive. Elle est habillée en blanc avec un tee-shirt ample et une jupe en jean de la même couleur. Des escarpins finissent sa tenue, et lors de ses mouvements j’essaie de la regarder sans trop le montrer. Je pense qu’elle n’est pas dupe et elle sait tout aussi bien que moi que les hommes aiment de plus en plus se faire coiffer par des femmes. Lorsqu’elle se trouve sur mon côté, le fait de relever ses bras pour me couper les cheveux me laisse entrevoir la bride de son soutien-gorge. Ces petites visions rapides ne tardent pas à me faire de l’effet et j’écarte légèrement les jambes pour être plus à l’aise. Lors d’un déplacement pour couper les cheveux qui tombent sur mon front, sa jambe droite après avoir frôlé la mienne reste quelques secondes en appui sur cette dernière. Cette sensation, quoiqu’éphémère, n’en est pas moins savoureuse et je bouge légèrement, occasionnant une très légère entaille au-dessus de ma tempe. Elle se confond en excuses ; je lui avoue que c’est moi le coupable, et lui dis que je ne n’avais qu’à me tenir tranquille. Nous échangeons un sourire complice à travers la glace et elle peut continuer sa coupe. Cette dernière tire à sa fin et je me retrouve debout, prêt à payer, encore très excité par les moments vécus.
À partir de ce moment-là, le compte à rebours commence. Il faut que je trouve un moyen de rester plus longtemps ; comment faire sans attirer son attention ? C’est elle qui va me permettre de vivre ce moment le plus fort de mon existence :
Je la laisse passer devant. En la suivant, j’en profite pour la regarder un peu plus, je vis pleinement l’instant présent. Elle possède une toute petite pièce derrière son salon. Un petit coin cuisine, ce qui me semble être des toilettes et un canapé.
Elle ouvre un placard et en sort un paquet de coton et un flacon d’alcool à 90°.
Elle me fait face et tamponne doucement le coton imbibé d’alcool sur ma tempe. Je ferme les yeux et la grimace que je fais est due à la compression de mon sexe depuis trop longtemps comprimé.
Ma réponse est plus un murmure qu’une phrase et je commence à avoir les jambes qui tremblent. Toute cette timidité contenue depuis des mois et le fait d’être là avec elle, seul, et la tête me tourne.
L’odeur de l’alcool mêlé à mon excitation me donne un teint livide qui soudain lui fait peur.
L’eau froide sur mon visage me fait le plus grand bien, mais mon trouble est ailleurs.
Pendant que je me dirige dans la salle d’eau, elle repart dans son salon. Je m’enferme dans les toilettes. Il y a un petit lavabo, une serviette et une savonnette. Dans le fond, pourquoi se gêner… ? Au point où j’en suis… je ne peux pas me refuser cela… Il n’y a personne, j’en ai envie… Elle m’excite tant… advienne que pourra… Je m’assieds sur la lunette, je quitte mon pantalon, je ne peux plus me lever… victime malgré tout d’un soubresaut de pudeur…
Mon sexe est trop raide. Je baisse mon slip et entreprends de me mouiller fortement la main avec de la salive. C’est vraiment incroyable. Je me branle tranquillement les yeux mi-clos. Cette femme qui peuple mes rêves est ici, à quelques mètres de moi. L’excitation est à son comble. Je gémis de plus en plus fort… Je serre mes lèvres, grogne… halète, râle… bloque ma respiration… et je sens le gland se gonfler encore, un spasme sous mes doigts, quand soudain la magie s’éteint :
Le gland se ramollit, diminue. Les spasmes sous mes doigts s’éloignent. Je n’ai pas lâché mon sexe pendant ma réponse… Je me rajuste prestement et sors des toilettes tout aussi vite. Ma tête est encore pleine de ce moment exquis, mais cette fois je crois que l’aventure tire à sa fin. Ma coiffeuse est assise sur son canapé, les jambes croisées. Elle me regarde ironiquement :
Je balbutie une phrase incompréhensible et inintelligible. Je ne sais pas quoi faire pour me donner une contenance que je ne suis pas prêt de retrouver. Dans un espace aussi clos, elle n’a pas dû rater grand-chose de mes activités !
Elle m’a lancé ça avec un grand éclat de rire et je me demande dans quel état je suis lorsque je lui réponds :
Elle n’a cure de ma réponse et fouille déjà dans son frigo d’où elle sort deux canettes de bière.
Elle n’a pas tort, moins de cinq minutes avant je m’astiquais dans ses toilettes, et maintenant je joue les coincés !
La voilà de retour… Quelles merveilles, ces bières bien fraîches ! Nous discutons de cette campagne environnante tout à fait exceptionnelle, je lui dis en plaisantant que vu la discrétion qui entoure son salon, cet endroit est idéal pour travailler, elle me regarde droit dans les yeux et me dit :
Et moi de lui répondre :
J’ai à peine fini de dire cela qu’elle se lève face à moi et ôte son tee-shirt. Elle a un buste très droit, une taille fine, et la voilà qui passe les mains dans son dos pour enlever le soutien-gorge que je devinais un moment plus tôt. Ses seins sont beaux et fermes avec de petites auréoles claires et des tétons très durs. Elle défait le bouton de sa jupe et j’entends le crissement de la fermeture éclair. Elle la fait glisser à ses pieds pour me montrer le string que j’imagine si souvent dans mes rêves. Elle l’enlève, d’abord les hanches, puis par-devant sa chatte taillée en petit triangle impeccable, le string finit par tomber à ses pieds. Ce petit sexe aux replis si net me fait envie. J’ai envie d’y poser mes lèvres, elle agrippe mes cheveux.
Elle commence à déboutonner ma chemisette et la jette sur le canapé, ensuite elle descend ses mains sur mon pantalon, le dégrafe et le laisse glisser à terre ; je porte rarement de sous-vêtements, mais aujourd’hui j’ai un maillot de bain. Son visage est à cinq centimètres, là, tout près… Dans le maillot… une bosse… inclinée en travers… Amusée, elle pose le doigt dessus, le faisant courir tout du long, ça vibre… Une ficelle sur le nombril… elle tire dessus… la ceinture se relâche totalement… Sa main est posée sur la bosse… Un gland qui pointe le bout de son nez juste au bord… Une main sur mes reins qui descend vers mes fesses… cela devient très intéressant, d’autant plus que c’est très nouveau pour moi… tout au moins avec ma coiffeuse… Elle glisse sa main dans mon maillot et permet à mon sexe de se libérer, il est bien raide, collé au ventre, gonflé d’une manière arrogante, avec un gland turgescent, un méat presque ouvert, tendu… tendu vers ses lèvres, qu’elle mouille abondamment. Je pose une main sur sa tête et la caresse doucement. S’approchant de ce sexe bien gonflé, sa tête toujours posée sur mon ventre, elle pose ses lèvres abondamment mouillées de salive sur le bout du gland. Juste le bout… Elle touche le méat avec la langue… Puis elle pousse tout doucement, me régalant du moment présent.
Ses lèvres atteignent la collerette, hyper tendue… Elle me sent vibrer… Elle ne va pas plus loin, par plaisir… Sa langue peut tourner autour… Il est si tendu que c’est déjà volumineux dans sa bouche…
Juste le gland. Sa main enserre le reste de mon sexe et le branle doucement… Dans le bas de mon dos, elle a investi mon anus, et je laisse le plaisir monter… Elle me suce comme elle le ferait avec un sucre d’orge, essayant de m’arracher un gémissement de plaisir… Elle me branle dans sa bouche de plus en plus fort. Elle tente une pénétration buccale maximum, pour voir… Doucement, le sexe s’enfonce, sa bouche se remplit, sa gorge le taquine… Elle me sent gémir de plus en plus fort. Elle serre ses lèvres encore, je grogne… halète, râle… et bloque ma respiration… Elle ressort un peu mon sexe, ne reprenant que le gland entre ses lèvres, je le sens se gonfler encore. Je l’implore :
Elle lève la tête et me dit simplement :
Avant de me reprendre en bouche, un spasme sous ses doigts, entre ses lèvres, et encore un autre spasme… Et ça coule dans sa bouche en telle quantité qu’elle doit avaler… plusieurs fois… Les spasmes se succèdent, envoyant chaque fois une giclée sur le palais… Son doigt dans mon anus subit les contractions de ce dernier. C’est un plaisir inconnu. Puis toujours entre ses lèvres, le gland se ramollit, diminue. Les spasmes sous ses doigts s’éloignent. Elle ne m’a pas lâché pendant toute mon éjaculation, et elle m’a fait gémir mon plaisir… Je décide de lui rendre sa caresse. Je la relève et l’embrasse tendrement. Je la fais pivoter pour l’installer sur le canapé, les jambes repliées, face à moi.
Avec mes deux mains, j’écarte les cuisses, sa chatte m’apparaît plus belle qu’elle ne l’était dans mes rêves. Je la prends par les cuisses et la tire un peu vers moi de façon à faire avancer son bassin. Quand elle est dans la position que je désire, je plonge ma tête et, langue en premier, je lui titille le clitoris. Ma langue pénètre sa chatte ; d’une de ses mains, elle écarte ses grandes lèvres pour que cela soit plus facile pour moi. Ainsi libéré de ces deux belles barrières que sont les grandes lèvres, je peux me lâcher et lui lécher la chatte avidement et rapidement de bas en haut en accélérant le mouvement.
Je remonte un peu et lui titille l’anus ; au contact de ma langue, elle se contracte. Je sens son anus se contracter et m’empêcher d’entrer, mais je ne m’arrête pas. Je continue doucement, mais fermement à la lécher, et ce qui doit arriver arrive. Au bout d’un certain moment, elle se décontracte. Mes caresses buccales commencent à lui faire de l’effet… à tel point qu’elle pousse ses fesses plus fort sur mon visage pour que ma langue aille plus loin dans ses reins. Elle caresse sa poitrine puis sa main descend combler le vide au-dessus de ma langue. Elle relève ma tête, de ses deux mains elle écarte le plus possible sa chatte et attend. Je comprends directement ce qu’elle veut, j’attrape mon sexe d’une main et présente le bout de mon gland à l’entrée de sa chatte. Elle sent son entrée être envahie complètement, je m’agrippe à ses hanches et, avec une douceur incroyable, je la pénètre. Cette pénétration est très longue, et pendant tout ce temps elle s’arrête de respirer. Quand je suis bien au fond de sa chatte, elle ouvre la bouche et l’air semble brûler sa gorge. Comme un plongeur qui crève la surface de l’eau à la recherche d’une gorgée d’air.
Je ne bouge pas, j’ai l’impression que sa chatte est en feu, tellement mon sexe me brûle. Alors, doucement, comme une locomotive qui démarre, je commence à aller et venir. Ensuite, de seconde en seconde, j’augmente la vitesse ; elle se pince les lèvres. Je me dégage pour la retourner doucement sur le canapé. Je me mets à genoux derrière elle, et pour dégager ses fesses, je les lui écarte doucement à deux mains.
Comme d’un commun accord, elle écarte les genoux… et devant cette superbe chatte offerte, je ne peux résister longtemps… J’y pose mon gland turgescent. C’est chaud… C’est très humide… Je m’y enfonce doucement, très doucement, appréciant cette chaleur progressive, enveloppante, jusqu’à la garde… et je reste là, la tenant par les hanches, et sans bouger, car je sens que je vais exploser. Elle doit le sentir aussi, elle retourne son visage vers moi, et son regard, plein de malice, semble apprécier ce moment intense…
Croisant nos regards, j’y vois une formidable invite à me laisser aller, là, dans ses reins, le plus fort possible. Je ne bouge plus du tout, retardant le plus possible le moment fatidique… mais le plaisir monte… monte encore… Je vais jouir et son invitation du regard suffit… brutalement, mon foutre explose au plus profond de sa chatte, très fortement. Cela lui arrache un petit cri de plaisir… Je reste là, sentant mon organe se ramollir. Le plaisir enfui… emportant avec lui ses délicieuses secondes jouissives, mêlées des regrets de ne pas avoir pu les faire durer plus longtemps. Je me retire, et reste toujours à genoux…