Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 01468Fiche technique78640 caractères78640
Temps de lecture estimé : 43 mn
10/12/00
Résumé:  Une jeune fille ne sait pas trop comment se faire déflorer... Voulez-vous l'aider ?
Critères:  fh ff fbi hplusag extracon fépilée magasin essayage contrainte fmast intermast entreseins facial fellation cunnilingu légumes pénétratio fdanus fsodo hdanus gifle init
Auteur : Jack      
Aidez-moi à me faire déflorer


Je suis une jeune fille que vous appellerez comme vous voudrez, mais si vous n’avez pas d’imagination je vous propose ci après une liste de noms et de prénoms, choisissez en un :


PRENOMNOM
LaetitiaMarceau
GertrudeCasta
BritneyTrucmuche
MarySpears
SophiePoppins

Mes cheveux sont de la teinte que vous voudrez, mais si vous n’avez pas d’imagination, je vous propose divers coloris :


Brune
Blonde
Rousse
Châtain clair
Châtain foncé
Noir

Mes yeux sont de la teinte et de la forme et de l’aspect que vous voudrez, mais si vous n’avez pas d’imagination, je vous propose diverses couleurs :


COLORIFORME & ASPECT
BleuEn forme d’amande
VertGrands et ronds
BrunCoquins

J’ai dix-sept ans (pardon je vais un peu tricher car revebebe ne veux pas d’héroïne de moins de 18 ans), non dix-huit ans. Ça fait déjà un an que j’ai envie de me faire déflorer (non deux) comme toutes mes copines de lycée, mais j’ai su attendre car revebebe trouve ça immoral.


Qui va me déflorer ? Je n’en sais encore rien, mais vous aller m’aider. Pour ce faire il vous faut du matériel (non messieurs, n’ouvrez pas vos braguettes) : un jeu de carte. Si vous n’en avez pas, vous avez certainement dans les accessoires de votre ordinateur le jeu du solitaire, il vous suffira d’entamer une nouvelle partie et de cliquer sur les cartes retournées, la première des cartes vous donnera la couleur (soit rouge ou noir) ou la catégorie (pique, cœur, carreau ou trèfle), lorsque je vous y inviterai vous passerez de ce récit à ce jeu pour après avoir tiré une carte revenir à ce récit (si le récit ne vous intéresse pas vous pouvez jouer à Solitaire, ça détend !).


Chapitre 1


J’ai donc 17, non, 18 ans, je suis une lycéenne comme les autres, mis à part que je suis la seule de ma classe à ne pas encore avoir fait l’amour, cependant je suis belle, je suis telle que vous m’imaginez. À mon âge, toujours vierge : pourtant les représentants du sexe dit fort m’intéressent, ainsi il y a Cyril, un gars de ma classe, lui il a dix-neuf ans (oui, oui ! vous pouvez me croire, il a bien 19 ans, il a redoublé), il n’est dans notre école que depuis cette année, il est grand, blond aux yeux bleus et je ne l’ai jamais vu avec une fille, donc j’en conclus qu’il est libre.

Par ailleurs il y a Yves, mon voisin qui ne me laisse pas indifférente, il a peut-être 45 ans, c’est un ingénieur, il est très élégant, toujours tiré à quatre épingles, le teint toujours halé, une fine moustache et une chevelure poivre et sel. Le problème c’est qu’il est marié et que sa superbe femme, notre médecin de famille n’a qu’environ 35 ans. Bref, si je veux qu’il m’initie, je dois le séduire. Oh, ça ne me fait pas peur, j’ai des atouts, vous le savez puisque je suis telle que vous me fantasmez.

Il y a aussi mon oncle Georges, si l’idéal masculin se situe entre Richard Gere et Léonardo Di Caprio, lui, c’est plutôt un hybride de Gérard Jugnot et Michel Boujenah (je les aime bien tous les deux, mais ils sont loin d’être des sex-symbols), il est ventripotent, des cheveux gris toujours ébouriffés et une moustache de beauf, enfin il n’a vraiment aucun goût vestimentaire. Alors vous me direz peut-être pourquoi mon oncle ? peut-être d’abord parce que je déteste sa femme - une grande pimbêche fausse blonde - et ses enfants (mes cousins), parce qu’aussi c’est un brave type et enfin, et surtout, depuis un certain temps il a une manière de me regarder on ne peut plus équivoque et que malgré son manque évident de distinction, ses œillades me mettent dans tous mes états. Et puis . et puis il y a l’inconnu auquel je ne pense pas aussi assidûment qu’à ces trois hommes, celui qui… enfin vous le découvrirez !


Vous l’aurez compris ces hommes ne me laissent pas de marbre et souvent, dans ma chambre je me masturbe en pensant à l’un d’eux. Je passe ma main sur ma poitrine, agace et pince mes tétons, il ne faut pas attendre longtemps pour qu’ils durcissent, après quelques minutes de ce traitement mon autre main part à la rencontre de mon entrejambe déjà humide, je me caresse alors par dessus l’étoffe de ma culotte qui s’humidifie de plus en plus, à ce moment là je suis vraiment heureuse que ma chambre ne soit pas voisine de celle de mes parents car je gémis. Je me débarrasse alors de ma culotte et entreprend de me doigter, mon clitoris est très sensible et je ressens assez rapidement des orgasmes lorsque je le caresse, ceux-ci m’épuisent, c’est pourquoi je préfère pénétrer ma chatte de mes doigts, mais hier j’ai trouvé un nouveau jeu érotique, je me suis improvisé un gode sous la forme d’une banane et alors j’ai jouis comme jamais je ne l’avais fait, je faisais coulisser la banane qui me pénétrait de 7 à 8 centimètres au moins et alors, abandonnant ma poitrine, de l’autre main je me caressais le clitoris. J’ai certainement jouis dix fois. Effondrée, j’ai alors sombré dans un sommeil peuplé, comme vous vous en doutez, de rêves érotiques. C’est pourquoi il faut absolument que je me fasse déflorer.


Par qui voulez-vous que je me fasse déflorer :


Si c’est par Cyril, mon copain de classe, rendez-vous au chapitre 2 (ou faites une recherche grâce au menu Edition, cherchez les trois lettres qui commencent ce chapitre soit : Yop)

Si c’est par Yves, mon séduisant voisin, rendez-vous au chapitre 3 (ou faites une recherche grâce au menu Edition, cherchez les trois lettres qui commencent ce chapitre soit : Zic)

Si c’est par mon oncle Georges, rendez-vous au chapitre 4 (ou faites une recherche grâce au menu Edition, cherchez les trois lettres qui commencent ce chapitre soit : Pux)

Si vous faites confiance au hasard, rendez-vous au chapitre 5 (ou faites une recherche grâce au menu Edition, cherchez les trois lettres qui commencent ce chapitre soit : Wum)


Chapitre 2


Yop


L’occasion n’allait pas tarder à se présenter avec Cyril, étant en classe terminale nous organisons des soirées pour récolter des fonds afin de partir en voyage en Grèce, j’appris qu’à la prochaine soirée il travaillerait au bar avec Germain (un autre gars de la classe) et comme il manquait une personne dans l’équipe je m’arrangeais pour en faire partie. Le jour venu, je me sentais toute chose, je ne parvenais pas à me concentrer sur quoi que ce soit, vers dix-huit heures je pris un bain pour me détendre, je me plongeais dans l’eau brûlante pleine de mousse et commençais de savourer cet instant de détente, je me caressai plutôt que je ne me les lavai les seins qui durcirent, puis le gant de toilette explora mon intimité, j’insistai plus que de raison et ce qui devait arriver arriva, je me fis jouir dans mon bain. Lorsque j’en suis ressortie j’étais plus détendue et vêtue de mon seul peignoir de bain, je montai dans ma chambre choisir ma toilette. Mon choix se fixa sur un pantalon noir moulant et un top blanc. Je m’admirai dans le miroir, c’est sûr, vêtue de la sorte j’allais faire craquer Cyril.


Je me rendis à la soirée et tous trois nous prîmes possession du bar. Comme d’habitude dans ce genre de soirée, nous n’eûmes pas beaucoup de travail jusqu’aux environs de 23h00, à ce moment là la fête battait son plein et nous ne savions où donner de la tête, vu la promiscuité de l’endroit, je m’arrangeai alors pour frôler Cyril à toutes les occasions, apparemment sans effet car à plusieurs reprises j’épiai pour voir si je voyais une bosse déformer son pantalon et chaque fois mes espoirs furent déçus. Enfin, c’était peut-être la trentième fois que je me frottais à lui, alors qu’il était à côté de Germain, je vis l’érection tant attendue. Il réagissait, j’étais sur le bon chemin. Vers 3h00 du matin, un semblant de calme revint Germain et Cyril étaient assis qui sur un fût de bière vide, qui sur un casier et le Disc Jockey mit une série de slows.



Presque à regret me sembla-t-il Cyril m’emmena sur la piste. En dehors de nous un seul couple dansait. Immédiatement je me collai à Sylvain, enfouissant ma figure dans son cou, ma bouche touchant sa peau. À ce moment, le DJ se rendant compte que la série de slows n’avait pas le succès qu’il escomptait, changea de disque et mis un vieux Claude François. Je maudissais ce Disc Jockey, dépitée je suivis Cyril qui regagna le comptoir, il reprit sa place sur le fût, je m’assis sur lui, entourant son épaule de mon bras gauche. Claude François n’avait pas plus de succès que les Eagles, les lumières se rallumèrent d’autant plus qu’il y avait une bagarre dans la salle. Je manquais vraiment de chance. Une demi-heure plus tard, par ordre de police, la soirée était terminée. Après avoir fait un peu de rangement, je demandai à Cyril s’il voulait bien me reconduire étant donné qu’à cette heure, il était trop tôt ou trop tard pour avoir un bus. Il me sembla qu’il faisait une moue, mais finalement accepta. J’habitai à une quinzaine de kilomètres et pour me reconduire il fallait passer par la campagne. Après deux ou trois kilomètres je posai ma main sur son pantalon à hauteur de sa cuisse et remontai doucement, j’atteins son sexe.



Je le déboutonnai et sortis son sexe encore flasque.



J’entrepris de le masturber et son pénis prit vite une taille appréciable. Je me penchai alors et entrepris de lui faire une fellation, je n’avais jamais fait cela auparavant mais avec ce garçon je sentais que je devais prendre toutes les initiatives. Nous arrivâmes dans la campagne, il gara sa voiture sur le bas côté, moi je continuai, il grognait de plaisir. J’enfournai son sexe en entier dans ma bouche, puis le ressortis et le masturbai pour recommencer d’agacer son gland de la langue.



Moi, en même temps j’avais glissé ma main dans ma culotte et je me masturbai.



Il jouit rapidement dans ma bouche. Je voulus tout avaler.



Je m’étranglai :



Malgré l’obscurité régnant dans l’habitacle de la voiture, je pus voir qu’il devenait cramoisi.



C’était vraiment marqué pas de chance, le garçon le plus beau de la classe, celui que j’avais choisi pour me faire femme était de l’autre bord. J’étais vraiment dégouttée.


C’est pas demain la veille que je chercherai à nouveau à me faire déflorer. Pour vous l’aventure se termine ici.


Chapitre 3


Zic


Il m’était arrivé de faire du baby-sitting pour mes voisins lorsqu’ils allaient au spectacle, en général ils rentraient vers 23h00 au plus tard. C’est pourquoi je ne fus guère étonnée de m’entendre appelée par Yves ce mercredi alors que je revenais du lycée.



Le vendredi, je me présentai donc chez Yves et Elisa à l’heure convenue, j’avais pris de la lecture et un petit sac contenant ma trousse de toilettes et une nuisette. Comme d’habitude elle était superbe dans son tailleur noir, quant à lui il avait un costume trois pièce sur lequel il enfila un pardessus blanc. Il sortit et mis la voiture en marche.



Un coup de klaxon donné par Yves interrompit les embrassades qu’Elisa prodiguait à Grégory.


Je me retrouvais chez eux, Grégory était gentiment installé dans son petit fauteuil :



A 20h15 je le mis au lit et puis descendis, je rangeai la cassette vidéo dans l’armoire prévue à cet effet et commençai d’examiner les titres que contenait leurs vidéothèques, apparemment Yves et Elisa semblent apprécier Stanley Kubrick et Alfred Hitchcock. Puis, sur l’étagère du haut, je vis des vidéos personnelles. Je les pris et regardai les étiquettes : mariage de Maïté, l’anniversaire de Grégory, Vacances à Malte. Je me souvins qu’ils y étaient allés avant la naissance de Grégory et qu’ils en étaient revenus enchantés, je décidai de visionner cette cassette. Comme je les comprenais : cette île est vraiment superbe, le couple avait filmé toutes les splendides curiosités qu’on pouvait y voir. Puis ce furent des scènes de plage où tant Yves qu’Elisa tenaient le caméscope, vraiment Elisa est une superbe femme, sur une vue elle fait du mono et sa poitrine est splendide, mais Yves aussi est craquant, il semble plus musclé en torse nu qu’en costume trois pièces, le voir ainsi déambulant sur la plage avec ses lunettes de soleil me rendis toute chose, j’attendais un gros plan où il rit de toutes ses dents blanches en tendant ses mains vers la caméra vidéo et donc vers Elisa et fis un arrêt sur image. Celle-ci tremblota quelques secondes et puis se stabilisa. Quel homme ! Que j’aimerai que ce soit vers moi qu’il tende ses bras, presque inconsciemment je mis ma main dans ma culotte et commençai à me masturber en m’imaginant que ç’est Yves qui me faisait subir pareil traitement.

Mmmmmmmmmhhhhhhhhh ! ! ! ! ! ! ! ! ! que c’est bon, oh oui ! Yves, prends moi. Mes doigts sont pleins de ma mouille et je ne suis pas longue à jouir.


Pourvu que tout à l’heure…


Tirez une carte, elle est rouge ? rendez-vous au chapitre 8 ou faites une recherche sur Mpk.

Elle est noire, rendez-vous au chapitre 12 et faites une recherche sur Trh.


Chapitre 4


Pux


Mon oncle est plombier et nous avions justement un problème de chaudière, à quoi bon faire appel à une firme extérieure coûteuse alors qu’il pouvait nous dépanner à moindre frais, pourtant - comme tout plombier qui se respecte - il avait une liste d’attente énorme et il lui faudrait venir le prochain samedi. Or, nous avions prévu de rendre visite à mes grands-parents ce jour là. Qu’à cela ne tienne : mes parents iront comme convenu et je resterai avec Tonton.


Le jour venu, alors que mes parents étaient partis dès potron-minet, vers 9h arriva mon oncle. Afin d’éventuellement l’aider j’avais mis un vieux pantalon de training et un tee-shirt trop long que j’avais noué sous ma poitrine de sorte qu’il dévoilait mon ventre. Lui était en bleu de travail.



Il s’assit à la table dans la cuisine et bu son café, moi je me servis un jus d’orange et le sirotai appuyée contre le frigidaire. Il avait encore son œil lubrique, il n’arrêtait pas de détailler mes formes épanouies. Etait-ce le grand jour ? Oui j’en étais sûre, il se passera quelque chose.



J’étais un peu déçue, mais bon, peut-être me faisais-je des idées !


Moins de cinq minutes plus tard il remonta.



Je le précédai et descendis les escaliers raides de la cave, arrivé presque en bas, il perdit l’équilibre (ou fit mine de le perdre) et se retint de la main gauche à mon épaule gauche et de la main droite à ma hanche droite.



La scène n’avait duré que quelques secondes, mais j’avais senti que sa main droite s’était attardée plus que de raison sur ma peau et j’ai même cru y déceler l’amorce d’une caresse. Non je ne m’étais pas trompée.


Mon oncle s’accroupit devant la chaudière et commença de nettoyer le brûleur. Je me tenais derrière lui penchée afin de mieux voir ce qu’il faisait mais aussi, de la sorte il pouvait - lorsqu’il se retournait pour me prodiguer ses explications - voir la naissance de ma poitrine. La sueur perlant sur son front renforça ma certitude : je lui faisais de l’effet. Il préleva un peu de mazout de la citerne et entreprit de s’en servir pour nettoyer une pièce qu’il venait de retirer de la chaudière, je m’approchai encore et il m’éclaboussa :



Quelques minutes plus tard la chaudière était à nouveau opérationnelle et nous remontâmes.



Nous montâmes et je précédai mon oncle dans ma chambre. Pendant qu’il s’affairait sur le radiateur je retirai mon tee-shirt souillé puis, une fois encore me plaçai à ses cotés je m’appuyai de mon coude sur son dos si bien qu’il pouvait sentir la chaleur de ma peau à travers l’étoffe de son vêtement de travail. Il me regarda droit dans les yeux, sombrement, comme si j’étais le diable. Je lui rendis son regard. Nos visages étaient à moins de quinze centimètres l’un de l’autre, il fallait agir, alors je m’approchai encore et l’embrassai en lui caressant les cheveux. La position n’était guère confortable et nous roulâmes par terre, lui par dessus moi. Il continuait de m’embrasser, ses mains se mirent à parcourir mon corps, il défit mon soutien-gorge et se mit à embrasser mes tétons, c’était bon. Il s’interrompit et se redressa :



Ayant moins de vêtements que lui à enlever je fus nue la première je m’allongeai et regardai l’homme qui allait faire de moi une femme. Son slip était gonflé de son désir et il me rejoignit bien vite.


C’est maintenant le moment de tirer une carte au solitaire.


Elle est rouge ? rendez vous au chapitre 6 ou faites une recherche sur Kvr

Elle est noire ? rendez vous au chapitre 9 ou faites une recherche sur Gbl


Chapitre 5


Wum


Vous avez décidé de laisser jouer le hasard ? Parfois il fait bien les choses. Tirez une carte :


Il s’agit d’un cœur, rendez vous au chapitre 7 ou faites une recherche sur Trg

C’est un pique ? rendez-vous au chapitre 11 ou faites une recherche sur Lgv

Carreau ? rendez-vous au chapitre 13 ou faites une recherche sur Csf

Trèfle ? rendez-vous au chapitre 10 ou faites une recherche sur Nrj


Chapitre 6


Kvr


Nous étions nus tous deux allongés dans mon lit, il recommença de m’embrasser, ses mains caressaient mes seins, bientôt rejointes par sa bouche, il descendait, caressait ma touffe, introduisit un doigt, je mouillais abondamment, il trouvât assez rapidement mon clitoris et je fus prise de spasmes. Vous le savez, j’ai toujours aimé me masturber et mon oncle était en train de le faire à ma place et - ma foi - de manière fort experte. Sa bouche continuait de descendre et il entreprit de me lécher. Oh que c’était bon ! Mes copines me l’avaient déjà dit mais je ne savais pas que c’était à un tel point. Je fermai les yeux savourant tant de nouvelles sensation, quand je les rouvris ce fut pour découvrir son sexe débordant de passion. Il sentait fort, je le pris dans ma bouche et commençai de l’embrasser, je le décalottai et vis son gros gland violacé, je me mis à le sucer pendant qu’il continuait de me pénétrer de sa langue agile. J’engouffrai son sexe jusque la garde tout en lui caressant les bourses, en même temps que je ressentis un violent orgasme, il se raidit et éjacula de longue giclées de son sperme, j’en avais plein la bouche, que faire sinon le ravaler ? C’est ce que je fis, il vint vers moi et m’embrassa à pleine bouche partageant de la sorte nos sécrétions. Il me demanda :



En disant cela je caressais son sexe, il ne tarda pas à reprendre une taille appréciable, il s’allongea sur moi, j’écartais largement les cuisses, son gland vint se présenter à l’entrée de mes grandes lèvres, il entama une lente pénétration, je sentis une résistance puis une légère douleur, il venait de déchirer mon hymen. Alors il commença à me ramoner, je l’accompagnai dans ses mouvements, il continuait de suçoter mes seins, mes tétons étaient bandés comme jamais ils ne l’avaient été. Je ne sais combien de temps cela dura, mais ce fut divin. Après cela nous avons été prendre une douche tous les deux, nous lavant mutuellement. J’espère qu’il y aura des suites.


Mon oncle m’a déflorée, ce récit est pour vous terminé.


Chapitre 7


Trg


Il faisait vraiment beau en ce samedi de septembre, l’année scolaire venait de recommencer et je n’avais pas encore de leçon. Que faire ? Après quelques hésitations je décidai d’aller faire du shopping. Je partis vers 10h00 et pris le bus direction centre ville. Une nouvelle galerie marchande venait d’être inaugurée, je désirai la visiter.

C’est vrai que les magasins sont nombreux, mais les prix sont surfaits, je décidai donc de changer de quartier, là, je trouvai une petite boutique dans l’étalage de laquelle je flashai sur une petite robe pour deux fois rien. Je voulus rentrer , mais découvris que la porte était fermée. Il était hélas midi et le magasin ne rouvrait qu’à 13h30, la mort dans l’âme je fis demi-tour lorsque j’entendis derrière moi :



C’était à moi que s’adressait le message, je me retournai et vis dans l’embrasure de la porte de la boutique une jeune serveuse.



Je m’exécutai et la suivis dans la boutique. Elle ferma la porte derrière moi.



Je la suivis et la détaillai, elle devait avoir 22 ou 23 ans, longiligne avec cependant une poitrine assez fournie (du 90 ou du 95 C à mon avis), brune et les cheveux courts, de fines lunettes et une bouche gourmande. Elle me tendit la robe.



Je m’y rendis, tirai la tenture et commençai d’ôter mes vêtements. Puis j’enfilai la robe et regardai l’effet dans le miroir. Elle m’allait vraiment bien.



Avant que je n’aie pu me rendre compte de ce qu’elle faisait elle m’enleva la robe et dégrafa mon soutien-gorge, je me retournai afin de prendre la robe, ma main gauche barrant ma poitrine.



Elle joignit le geste à la parole.



Elle continuait de me caresser et de me pincer adroitement les tétons.



Elle se rapprocha de moi et m’embrassa dans le cou



J’étais éberluée, mais en même temps ses caresses me plaisaient de plus en plus, c’est alors que je décidai de jouer le jeu et de répondre à son baiser. Pendant ce temps ses mains continuaient de parcourir le haut de mon corps, puis elles descendirent et sa main droite s’insinua dans ma culotte tandis que de la droite elle m’enlaça à la taille. Elle introduisit deux doigts dans ma chatte qui commençait à s’humidifier, puis, continuant de m’embrasser elle commença à me masturber. Oh que c’était bon, mes jambes flageolaient, je la repoussai.



Je m’allongeai à même le sol heureusement recouvert d’une confortable moquette de couleur marron, elle se coucha sur moi, et commença de m’embrasser les seins tout en continuant de me doigter, sa bouche était agile, se faisant tour à tour tendre et passionnée, elle me retira ma culotte qui la gênait et continua d’enfoncer deux doigts dans ma chatte maintenant ruisselante de cyprine, de son pouce elle agaçait mon clitoris, je ressentis un orgasme d’une violence inouïe, puis un autre et encore un autre. Je n’étais que jouissance dans les bras de cette fille.



Elle entreprit de me faire un cunnilingus sa langue pénétrait ma vulve pendant que de ses doigts elle continuait de me caresser le clitoris, je fus surprise lorsque après m’avoir caressé la raie fessière elle introduisit sans me prévenir un doigt dans l’anus, encore une fois je jouis d’une intensité insoupçonnée. Elle continua pendant encore quelques minutes.



Ce disant elle se déshabillait. Une fois qu’elle fut nue, je remarquai que son pubis était totalement glabre, je m’y attellerai plus tard car pour l’heure je m’emparai de ses seins qui étaient vraiment trop appétissants. Je me jetai dessus et les dévorai littéralement



Pendant ce temps je descendis avec mes mains comme elle venait de le faire avec moi et commençais également à la doigter, il était surprenant de caresser son sexe épilé, elle mouillait énormément. À regret j’abandonnai ses seins, je voulais lui prodiguer également les caresses buccales qu’elle m’avait données. En plus d’être épilée elle s’était parfumée et les effluves qui émanaient de son entre jambe achevèrent de m’enivrer. J’entamai donc un cunnilingus m’abreuvant à sa fontaine d’amour, elle gémissait de plus en plus, quand enfin elle jouit, elle cria, je voulais cependant continuer.



Elle se positionna de manière à ce que nous entamions un 69, elle dessous moi dessus. Encore une fois j’allai de surprise en surprise car elle fit courir sa langue sur mon anus pendant que sa main fouillait ma chatte. C’était bon et je n’avais jamais pensé qu’une telle caresse put me faire autant de bien.


Nous continuâmes nos ébats jusqu’à la réouverture du magasin, j’aurai bien poursuivi, mais elle me dit qu’à chaque jour suffisait sa peine. Je voulais vraiment revoir cette fille qui se prénommait, me dit-elle Bérénice. Nous prîmes rendez-vous pour la semaine suivante, mais cette fois ce serait chez elle le samedi soir.


Je n’ai plus tellement envie de me faire déflorer, je crois que je vais continuer, pour un temps encore, à me consacrer aux amours saphiques. Pour vous le récit s’arrête ici.


Chapitre 8


Mpk


Vers 22h00, après avoir revêtu ma nuisette je me rendis au lit bien décidée à ne pas dormir, la chambre d’ami était en fait le bureau d’Yves dans lequel se trouvait également un lit. Cette pièce était délicieusement aménagée et était pourvue d’une bibliothèque de BD riche d’une centaine d’ouvrages. J’en lus deux distraitement en attendant le retour d’Yves, je n’étais vraiment pas à ma lecture, mais je pris bien soin de ne plus me masturber ayant peur qu’une nouvelle séance solitaire m’endormisse. Vers minuit et demie j’entendis le ronronnement d’une voiture m’annonçant le retour d’Yves, puis ce fut son entrée qui bien que non bruyante n’était quand même pas des plus silencieuses. J’attendis encore deux minutes puis me levai, je descendis en allumant la lumière du palier et débouchai dans la salle de séjour, je fis mine d’être surprise du retour d’Yves.



Je passai devant lui et entrai dans la cuisine. Il ne pouvait pas rater de voir mes sous-vêtements sous ma mini nuisette transparente.



Je revins avec mon verre de lait.



Il se massait la nuque lorsque je lui tendis son verre



Je pris place dans un fauteuil face à lui et m’installai de profil par rapport à lui de manière telle qu’il put voir ma jambe gauche dans son intégralité, hélas je n’avais pas l’air de lui produire quelque effet



C’est alors que j’ai eu le déclic.



Je me levai et vint me placer derrière lui.



Il s’exécuta, je lui massai les épaules et la nuque pendant quelques minutes, il devait apprécier car il se détendit.

Néanmoins je n’irai pas loin de la sorte d’autant plus que j’étais toujours derrière lui et qu’il ne pouvait s’exciter de ma vue.



Je passai devant lui et m’assis jambes écartées sur ses genoux, il ne parut pas surpris et se laissa faire, je lui massai donc les tempes dans des mouvements lents et circulaires et je me tortillai imperceptiblement sur ses genoux de manières à remonter, il ne pouvait s’empêcher de reluquer mon soutien-gorge par l’échancrure de ma nuisette. Une fois je baissai les yeux mais ne vit pas encore la bosse annonciatrice dans son pantalon. Ne lui faisais-je pas d’effet ? Etait-il fait de marbre ?



Il s’exécuta après avoir enlevé ses chaussures. Je me tournai vers ses pieds et commençai de lui masser les chevilles, d’où il était il devait avoir une vue imprenable sur ma fine culotte., je remontai petit à petit et, je risquai un regard vers l’arrière, et effectivement je vis qu’il était fasciné par le spectacle que je lui offrais. J’arrivai aux cuisses remontai vers l’aine et . victoire vis qu’une érection prometteuse déformait son pantalon, je n’allai pas m’arrêter en si bon chemin d’autant plus que j’entendais que sa respiration s’accélérait, si bien que mes mains s’enhardirent et s’approchèrent de son entre jambe que je massais assez vigoureusement à travers l’étoffe. Après quelques minutes de ce traitement, il me prit par la taille et m’attira à lui, je me renversai me laissant tomber et nous nous embrassâmes passionnément, il me caressait les cheveux pendant que je lui retirai le plus vite possible sa cravate et déboutonnai sa chemise.



Je le suivis dans sa chambre, il s’empressa de terminer d’enlever ses habits pendant que je retirai ma nuisette, nous nous jetâmes sur le lit, il recommença de m’embrasser, il embrassait divinement bien, moi je ne pouvais m’empêcher de caresser son torse musclé parsemé de poils eux aussi poivre et sel. Il m’enleva d’abord mon soutien-gorge, puis ma culotte alla le rejoindre sur la carpette, nous étions maintenant tous les deux nus et nous nous pelotions à qui mieux mieux, mon premier frisson fut lorsque sa bouche atteignit mes seins déjà durcis par ses attouchements. Il les léchait, les suçotait, les mordillait pendant que ses mains flattaient ma toison humide. Je ressentis mon premier orgasme quand il introduisit deux doigts dans ma vulve détrempée. Jamais je n’aurais pensé qu’un homme pu me donner autant de plaisir, il entreprit de me faire un cunnilingus, je m’abandonnai littéralement à cet homme qui me faisait femme, fermant les yeux pour savourer tous ces délicieux moments. Lorsque je les rouvris je le vis couché sur le côté en train de me brouter et son sexe débordant de passion à quelques centimètres de ma tête, j’eus alors l’idée d’entreprendre une fellation. Je n’avais jamais fait cela auparavant et l’idée même me choquait, mais je sais que les hommes apprécient ces caresses et comme lui était en train de me combler au-delà de mes désirs, je pouvais bien tenter de lui rendre la pareille. Je crois que mes premiers coups de langue furent maladroits car il grogna, puis ma bouche se fit plus douce et plus accueillante, je l’enfournai très loin, jusqu’au fond de ma gorge puis le ressortis, de ma langue j’agaçai son méat et, ça, il avait l’air de l’apprécier, de ma main droite je lui caressai les bourses, de la gauche les fesses. Au moment où pour la énième fois j’allais jouir je lui introduisis un doigt dans l’anus et aussitôt il éjacula. Je fus surprise par la quantité de sperme et faillit m’étrangler, mais finalement je ravalai tout et le nettoyai complètement. Il était encore dur lorsqu’il s’allongea sur moi et entrepris de me pénétrer, son membre se présenta à l’orée de ma vulve et lentement il l’introduisit, centimètre après centimètre lorsqu’il vint buter sur mon hymen je vis une expression de surprise se peindre sur son visage, alors je mis mes mains sur ses fesses et l’attirai à moi, il se fit plus doux alors et continua son intromission, je sentis à peine ma fleur se déchirer, aussitôt il entama un lent va-et-vient, lui se contentant de contempler mon visage où se reflétait mon plaisir, nous changeâmes plusieurs fois de position pour finir en levrette, au moment d’éjaculer il se retira de moi et m’aspergea les fesses de son foutre. Ensuite nous prîmes une douche ensemble et refîmes encore l’amour deux fois durant cette nuit mémorable.


Voilà l’histoire de mon dépucelage par Yves, nous avons encore de nombreuses fois fait l’amour par la suite, mais ça c’est une autre histoire. Pour vous mon histoire se termine ici.


Chapitre 9


Gbl.


Nous étions nus tous deux allongés dans mon lit, il recommençât de m’embrasser, ses mains caressaient mes seins, bientôt rejointes par sa bouche, il descendait, caressait ma touffe, introduisit un doigt, je mouillais abondamment, il trouvât assez rapidement mon clitoris et je fus prise de spasmes, vous le savez, j’ai toujours aimé me masturber et mon oncle était en train de le faire à ma place et, ma foi de manière fort experte. Ma main partit à la découverte de son sexe, je le trouvai et m’en emparai, j’avais déjà branlé un garçon et je commençai de le faire à mon oncle, presque immédiatement il jouit en de longues giclées. Ce faisant il poursuivait son opération de doigtage. Je gardais son sexe devenu mou en main, je continuai de le masser, mais il restait flasque, alors je me décidai à le prendre en bouche, je le nettoyai complètement, hélas il ne bandait plus. Je me redressai alors sur mes coudes et lui dit :



C’était bien ma veine, mon choix s’était porté sur un homme éjaculateur précoce et certainement piètre amant, j’étais dégouttée pour un bon bout de temps des hommes.


C’est pas demain la veille que je me ferais déflorer. Pour vous - comme pour moi - ce récit se termine ici.


Chapitre 10


Nrj


Pour l’école nous devions faire un travail d’équipe, je me retrouvai avec ma copine Rachida et puis deux garçons, Jean-Michel, l’intello de la classe, grand brun à lunettes et Thomas, le sportif, grand et musclé, cheveux ras. Le travail portait sur l’Absurde dans la littérature, il fut décidé que Rachel présenterait la partie Ionesco (elle avait déjà lu La cantatrice chauve ), il nous restait à aborder la partie Camus, je me portai volontaire pour lire le Mythe de Sisyphe, Thomas lut Caligula et Jean-Michel l’Etranger. Nous avions décidé de nous rencontrer le samedi après-midi chez Jean-Michel pour faire une synthèse commune et préparer l’exposé que nous devrons présenter à notre classe. Le matin Rachel me téléphona pour me signaler qu’elle était malade, nous convînmes qu’en me rendant chez Jean-Michel je passe chez elle pour prendre sa synthèse, ce qui fut fait. Rachida, comme son prénom l’indique, est d’origine maghrébine, elle habite dans une modeste maison ouvrière. Je sonnai chez elle, elle vint m’ouvrir et me fit entrer. Elle avait un œil au beurre noir. Elle ne me laissa pas parler.



Nous montâmes, une fois arrivé je m’installai sur le lit.



Un quart d’heure plus tard, je sortis de chez Rachida munie de ses notes et pris le bus pour me rendre chez Jean-Michel, j’étais un peu en retard. Nous avions rendez-vous à 14h00 et il était 14h30. Je sonnai et c’est Jean-Michel qui vint m’ouvrir, de suite je vis qu’il n’était pas dans son état normal.



Je pénétrai dans le séjour, Thomas était assis dans le divan, devant lui il y avait des canettes de bière, ils avaient bu !



Il faisait chaud et la proposition était tentante.



Je m’exécutai. Thomas fit un rot sonore.



Jean-Michel revint avec ma canette.



Je l’ouvris et en but une lampée, elle était bonne et fraîche.



Ici commence mon viol.


Il joignit le geste à la parole.



Celui-ci se tenait devant nous. Thomas essaya à nouveau de me peloter. Je lui administrai une gifle.



Je tentai de me lever, mais il m’agrippa et me força à m’asseoir.



Jean-Michel ne savait que faire.



Jean-Michel s’approcha et me tint les poignets. Thomas souleva mon tee-shirt et se mis à me peloter les seins, tout en me débattant je parvins à lui mordre la main.



Il me retourna une gifle magistrale, puis il se remit à me peloter, il fit sortir mes seins des balconnets et commença de les embrasser. Je ne me débattais plus, ne voulant pas me ramasser une nouvelle gifle.



Jean-Michel desserra son étreinte, il déboutonna son jean et sortit son sexe en érection. Il me le

fourra en bouche.



Je commençai à contre-cœur à le pomper, Thomas abandonna mes seins, ses mains remontèrent sous ma jupe et il introduisit un doigt dans ma culotte parvint à ma chatte. Je tentais de resserrer les jambes mais il était trop fort, Jean-Michel me tenait la tête et imprimait le rythme de la fellation que je lui administrai. Tout à coup il geignit et lâcha son foutre, je ne voulais pas l’avaler, mais il maintient ma tête plaquée contre lui. Pendant ce temps Thomas qui avait enlevé ma culotte et il commençait à me lécher la chatte. Soudain Jean-Michel s’immobilisa :



Il remit son sexe dans son pantalon. Thomas m’abandonna et je me rhabillai prestement.


Ici se termine mon viol.


Au moment où la porte s’ouvrit, tout avait l’air en ordre, je pris mon dossier et sortis les larmes aux yeux. Heureusement ils ne m’avaient pas déflorée grâce au retour des parents de Jean-Michel, n’empêche que j’avais été violée et je n’avais vraiment plus envie d’entendre parler de sexe pour un bon bout de temps.


Pour vous le récit s’arrête ici.


Chapitre 11


Lgv


Mes parents ayant été rendre visite à mes grands-parents, j’étais seule chez moi en ce samedi matin de septembre, il faisait bon et j’avais mis un bermuda (en fait un vieux jean élimé que j’avais coupé) et un dos nu. Je n’attendais personne et avais même prévu de me rendre en ville l’après-midi. Vers 11h00, tout à coup, retentit le carillon. J’allais ouvrir et là tombai nez à nez avec Sylvain Magne, le chef de bureau de mon père. Je lui signalai l’absence de mes parents, il était très contrarié car dit-il il lui fallait absolument un dossier sur lequel mon père travaillait. Je lui proposai de rentrer pendant que le tenterai de joindre mon père. Il s’exécuta, je lui proposai un drink, il opta pour un scotch, je lui servis on the rock et demandai les coordonnées du dossier. Plus qu’un patron c’était presque un ami pour mon père. Il avait fait un divorce douloureux et à cette époque il venait souvent dîner à la maison, depuis son remariage ses visites se sont espacées pour finalement presque cesser. Il y avait bien deux ans que je ne l’avais plus vu mais il n’avait pas changé, c’était un homme d’environ 55 ans, grand et mince, sa chevelure était toute blanche et il portait des lunettes d’écaille.



Je téléphonai donc à mon père. Au bout de trois sonneries il répondit :



Durant toute la durée de cette courte conversation, Monsieur Magne ne cessait de me regarder en souriant. Je raccrochai et lui rendis son sourire.



Je montai les escaliers et pénétrai dans le bureau de mon père, j’ouvris le deuxième tiroir de droite et ne trouvai rien qui ne ressemblait de près ou de loin à ce dossier, j’ouvris alors un à un les autres tiroirs et entrepris d’examiner les dossiers rapidement, décidément l’ordre et mon père faisaient réellement deux. Et Monsieur Magne qui allait s’inquiéter, je criai :



Je fus surprise, autant j’avais crié, autant sa voix me semblait étrangement proche, je me retournai et le vit apparaître dans l’embrasure de la porte.



J’étais à genoux et je regardai dans le dernier tiroir de droite. Monsieur Magne s’approcha et se pencha suivant des yeux, par dessus mon épaule, l’avancée de mes recherches. Tout à coup il me caressa les cheveux. Je me retournai éberluée.



Puis je me replongeai dans ma recherche, il continuait de caresser mes cheveux, non plus que caresser c’était jouer avec, il prenait une mèche, l’enroulait autour de ses doigts, la lâchait, recommençait avec une autre. Bref, il n’y avait aucun mal me semblait-il. Soudain je trouvai le fameux dossier Remi. Je me retournai et vit le visage de Monsieur Magne rouge pivoine, je lui tendis le dossier et d’une voix mal assurée je lui dis :



Il prit le dossier et se releva. Je fis de même et m’appuyai sur la table du bureau. Il ouvrit le dossier et le feuilleta distraitement.



Son visage était toujours rouge.



Mais se disant il trébucha et se rattrapa à mon épaule. Je m’affolai.



Il m’attrapa par l’épaule et enfoui sa tête dans mon épaule. Je ne savais que faire. Je réfléchis à toute vitesse, ma chambre était contiguë.



Bras dessus, bras dessous je l’accompagnai dans ma chambre. Il s’affala sur le lit et je lui délaçai les chaussures et les enlevai. Ensuite je descendis lui chercher son scotch. Lorsque je pénétrai de nouveau dans la chambre, il avait défait sa cravate et déboutonné les trois premiers boutons de sa chemise.



C’est alors que je remarquai la bosse qui déformait son pantalon. Cette constatation m’arriva comme un coup de point en pleine figure. Monsieur Magne avait envie de moi. Je n’y aurai jamais pensé. Il vit que j’avais vu.



Je déposai le scotch sur ma table de nuit et m’exécutai, il recommença de me caresser les cheveux puis sa main vint flatter mon épaule dénudée. Je le laissai faire, à la fois surprise et médusée de l’effet que je lui faisais, mais en même temps fière, j’étais vraiment partagée entre des sentiments contradictoires, cet homme avait près de quarante ans de plus que moi, il était marié et jamais je n’avais pensé à lui comme à un homme qui avait des pulsions sexuelles, et puis son physique ! Monsieur Magne n’était pas un sex-symbol, mais il avait un charme certain et une évidente distinction. J’en étais là de mes réflexions lorsqu’il se redressa sur son coude et commença d’embrasser mon épaule sa main libre recommença de me caresser les cheveux.



Il ne me laissa pas terminer ma phrase et happa ma bouche, son baiser était passionné, sa langue dure tournoyait dans ma bouche, je n’avais jamais connu de tels baisers, alors je décidais de m’abandonner. Je l’enlaçai et lui retournai son baiser. À partir de ce moment tout a été très vite, il m’a enlevé mon dos nu et mon bermuda, je me retrouvai devant lui en petite culotte, il m’allongea à ses côtés et commença à m’embrasser les seins. Contre ma jambe je sentais son sexe bandé à travers l’étoffe de ses pantalons, il parvint à ma culotte et me caressa par dessus, il découvrit qu’elle était trempée, puis sa main s’insinua sous le tissu il ne fut pas long à trouver mon clitoris. Autant sa langue était rapide, autant sa caresse clitoridienne était lente et savante. C’était assurément un homme qui avait connu pas mal de femme et qui savait comment les combler. Tout en lui ébouriffant les cheveux et en m’agitant dans tous les sens, je jouissait comme jamais je ne l’avais fais. Je lui dis dans un souffle :



Il enleva rapidement sa chemise, ses pantalons et son slip. Je découvris son sexe, sa toison pubienne était aussi blanche que ses cheveux. Son pénis n’était pas bien long ni bien gros (en fait je n’avais comme point de comparaison que les photos que j’avais vue dans des revues spécialisées que mes copines et moi feuilletions à la sauvette en pouffant de manière idiote), mais autant que je me fasse déflorer par une verge, certes vigoureuse, mais de dimensions non traumatisantes. Je le pris dans mes mains et commençai d’entamer une lente masturbation.



Il mit sa tête entre mes jambes et entama un cunnilingus, sa langue toujours aussi agile aspirait mon clitoris, puis le mordillait, le léchait, le suçait, j’étais aux anges, j’étais retournée, jamais je n’eus cru que tant de jouissance soit possible. Ses doigt pénétrait ma vulve, moi je massai mes seins, que dis-je ! je les martyrisai. Lorsque ses doigts furent bien enduits de ma cyprine, il abandonna ma vulve, sa langue vint les remplacer et encore une fois elle fit des miracles. Alors que je jouissait pour la énième fois il caressa mon anus de ses doigts humides, puis lorsqu’il fut bien lubrifié il en introduisit un, ce fut un choc un peu douloureux, mais il entama de sa langue et de son doigt un va-et-vient l’une fouillant ma chatte, l’autre mon cul. Ça dura un bon moment, j’avais perdu toute notion du temps, celui-ci semblant uniquement ponctué par la fréquence de mes orgasmes.


Il se redressa et me demanda.



Il se mit sur moi, j’écartai les jambes et doucement, tout en m’embrassant tendrement il commença de me pénétrer lentement. Je sentis son sexe contre mon hymen, il se retira un peu, comme pour prendre son élan et puis vint à nouveau buter avec plus de vigueur sur ma fleur qui enfin se rompit. C’était fait avec tant d’attention que je n’ai pas ressenti la moindre douleur. Je m’unis alors à lui des jambes et des bras et il entama un lent va-et-vient. Je sentis ma jouissance monter progressivement, il pouvait s’en rendre compte en contemplant mon visage, je me mordais la lèvre pour ne pas crier et puis, à quoi bon, je me laissai aller.



Il prit ma jambe gauche qu’il plaça sur son épaule droite et continua de me limer tandis que de sa main droite il introduit encore un doigt dans mon anus, oh que c’était bon . un deuxième doigt vint rejoindre le premier. Je n’étais que jouissance. Il se retira.



Je me positionnai comme il me le demanda, appuyée sur les coudes la croupe bien relevée, il prit un peu de ma cyprine et recommença encore à me lubrifier de ses deux doigts, puis je sentis sa bouche sur ma rosette, sa langue s’insinua dans mon intimité anale, pendant que ses doigts repassaient à mon clitoris et à ma vulve. Je ressentis encore un orgasme.



Je me retournai et vit qu’il se redressait, il présenta son sexe à l’entrée de mon anus, je sentis son introduction, d’abord le gland puis son fin sexe, tout en entier. Il entama encore un va-et-vient. Je sentais ses testicules taper contre ma croupe.



Après avoir encore jouis à deux reprises je le sentis venir en de long jets chauds. Il se retira. Je m’assis alors face à lui et engloutis son sexe dans ma bouche, l’embrassant, le léchant, chérissant ce membre qui m’avait donné tant de plaisir. Il reprit vigueur et j’entamai alors une fellation, Sylvain voulut encore changer de position et nous nous mîmes en 69. Comme il me l’avait fait précédemment je pénétrai de mon majeur droit son anus pendant que de la main gauche je caressai ses testicules. Nous ne fûmes pas long à jouir à nouveau et nous nous écroulâmes repus dans les bras l’un de l’autre.


Sylvain avait fait de moi une femme et pour vous ce récit s’arrête ici, même si nous continuâmes d’avoir des relations durant quelques mois. Je ne serai pas complète si je ne disais pas que nous les interrompîmes d’un commun accord, nous devenions amoureux l’un de l’autre.


Chapitre 12


Trh


Vers 22h00, après avoir revêtu ma nuisette je me rendis au lit bien décidée à ne pas dormir, la chambre d’ami était en fait le bureau d’Yves dans lequel se trouvait également un lit. Cette pièce était délicieusement aménagée et était pourvue d’une bibliothèque de BD riche d’une centaine d’ouvrages. J’en lus deux distraitement en attendant le retour d’Yves, je n’étais vraiment pas à ma lecture, mais je pris bien soin de ne plus me masturber ayant peur qu’une nouvelle séance solitaire m’endormisse. Vers minuit et demie j’entendis le ronronnement d’une voiture m’annonçant le retour d’Yves, puis ce fut son entrée qui bien que non bruyante n’était quand même pas des plus silencieuses. J’attendis encore deux minutes puis me levai, je descendis en allumant la lumière du palier et débouchai dans la salle de séjour, je fis mine d’être surprise du retour d’Yves.



Je passai devant lui et entrai dans la cuisine. Il ne pouvait pas rater de voir mes sous-vêtements sous ma mini nuisette transparente.



Je revins avec mon verre de lait.



Il se massait la nuque lorsque je lui tendis son verre



Je pris place dans un fauteuil face à lui et m’installai de profil par rapport à lui de manière telle qu’il put voir ma jambe gauche dans son intégralité, hélas je n’avais pas l’air de lui produire quelqu’effet



C’est alors que j’ai eu le déclic.



Je me levai et vint me placer derrière lui.



Il s’exécuta, je lui massai les épaules et la nuque pendant quelques minutes, il devait apprécier car il se détendit.

Néanmoins je n’irai pas loin de la sorte d’autant plus que j’étais toujours derrière lui et qu’il ne pouvait s’exciter de ma vue.



Je passai devant lui et m’assis jambes écartées sur ses genoux, il ne parut pas surpris et se laissa faire, je lui massai donc les tempes dans des mouvements lents et circulaires et je me tortillai imperceptiblement sur ses genoux de manières à remonter, il ne pouvait s’empêcher de reluquer mon soutien-gorge par l’échancrure de ma nuisette. Une fois je baissai les yeux mais ne vit pas encore la bosse annonciatrice dans son pantalon. Ne lui faisais-je pas d’effet ? Etait-il fait de marbre ?



dos


Il s’exécuta après avoir enlevé ses chaussures. Je me tournai vers ses pieds et commençai de lui masser les chevilles, d’où il était il devait avoir une vue imprenable sur ma fine culotte., je remontai petit à petit et, je risquai un regard vers l’arrière, et effectivement je vis qu’il était fasciné par le spectacle que je lui offrais. J’arrivai aux cuisses remontai vers l’aine et . victoire vis qu’une érection prometteuse déformait son pantalon, je n’allai pas m’arrêter en si bon chemin d’autant plus que j’entendais que sa respiration s’accélérait, si bien que mes mains s’enhardirent et s’approchèrent de son entre jambe que je massais assez vigoureusement à travers l’étoffe. Il me souffla alors :



Je le regardai éberluée.



Je me mis alors à pleurnicher, espérant que je lui ferai pitié. Rien n’y fit, j’avais jeté mon dévolu sur un homme fidèle, c’était bien ma veine.


Je me ferai déflorer une autre fois, mais dans un bon moment, car pour le moment je suis découragée. Pour vous le récit s’arrête ici.


Chapitre 13


Csf


La pizzeria dans laquelle je travaillai durant les week-end avait ses congés annuels au mois de septembre, pourtant pour le deuxième samedi de ce mois le patron me demanda de m’y rendre. En effet, bien qu’il fût en vacances, il avait reçu une commande pour le mariage d’un de ses amis et il fallait que j’aille, avec mon amie Flora aider le pizzaiolo à emballer sa production. Le jour venu je retrouvai Flora et Luigi, ledit pizzaiolo par ailleurs beau-frère du patron. Nous travaillâmes d’arrache-pied de 17 à 21h00, heure à laquelle le livreur vint prendre sa livraison., nous étions fourbus, mais comme d’habitude, une fois le travail terminé, nous nous attablâmes et mangeâmes une pizza. Flora et moi étions amies, c’était une grande brune avec des yeux ravissants, un peu boulotte, elle rencontrait pourtant un succès fou auprès des garçons, sans doute était-ce dû à sa perpétuelle bonne humeur. Luigi devait avoir quarante-cinq ans, moustachu il était petit et trapu, toujours mal rasé il avait une calvitie avancée , il avait de gros doigts boudinés, bref un antidote pour l’amour. Il nous reluquait tout le temps, plus Flora que moi d’ailleurs. C’était encore le cas pendant que nous mangions notre pizza tout en buvant un verre de Bardolino. Une fois notre repas terminé il fallait finir la bouteille et nous restâmes à bavarder. Tout à coup Flora s’interrompit.



Il est vrai que son regard était à nouveau insistant, il semblait fasciné par la poitrine de ma copine.



Luigi devenait rouge.



Je m’amusais beaucoup de la situation.



Il enleva son tablier et défit sa ceinture son pantalon tomba à terre, il n’avait pas de slip et nous pûmes voir son sexe. Il n’était pas bien long - à peine 15 centimètres - mais qu’est-ce qu’il était gros, presque du diamètre d’une bouteille de cola de 25 cl. Une telle vision nous surpris toutes les deux. Depuis que la conversation avait pris un caractère grivois je n’avais pas encore parlé me contentant d’observer tour à tour Luigi et Flora. Pourtant je dis :



Emoustillée par la situation, je commençai alors lentement à déboutonner mon chemisier tout en bougeant d’une manière que j’espérai sensuelle, lorsqu’il n’y eu plus de boutons à défaire je décroisai les deux pans du vêtements et m’approchai de Luigi il tendit les bras, mais ne put me toucher car prestement je me dérobai. J’ôtai doucement mon chemisier et continuai de m’exhiber en soutien-gorge. Flora continuait de le masturber tout en me regardant. Luigi était littéralement hypnotisé. Je joignis mes bras derrière le dos et dégrafai mon soutien, je laissai cependant les bretelles sur mes épaules et paradai encore, je tournai le dos à mes spectateurs, mis mes mains sur mes épaules et fis enfin descendre les bretelles. Je jetai cet ultime rempart dans un coin de la pièce et croisai mes bras sur ma poitrine. Je m’approchai encore de Luigi, lorsqu’il voulut une fois encore s’emparer de moi, je me reculai à nouveau et enfin enlevai mes bras lui dévoilant ma poitrine. À la manière des spectateurs de ce type de show Flora qui continuait de branler Luigi cria :



Maintenant je commençai de me caresser les seins, pinçant mes tétons, je portai mon sein à la bouche et commençai à en lécher le haut. C’est à ce moment que Flora pris la bite de Luigi en bouche.



Le pauvre suait à grosses gouttes, malgré le dégoût qu’il m’inspirait je m’approchai, sitôt il s’empara de mes seins et commença à me les embrasser tout en les pelotant comme un fou, il geignit et je compris qu’il venait de jouir dans la bouche de Flora. Flora s’écarta alors et m’entraîna. Elle commença aussi à me caresser les seins puis sa main passa sous ma jupe, elle atteignit ma culotte toute humide, y glissa un doigt et le fit pénétrer dans ma chatte humide, après quelques minutes de ce traitement je jouis violemment. Nous nous calmâmes. Luigi le premier reprit ses esprits :



Celle-ci avait repris une taille appréciable et alors que je n’avais jamais fait de fellations de ma vie, je décidai de me lancer. Je faillis étrangler en enfournant tout son sexe et je le ressortis, je commençai alors par le gland et je léchai son méat, il grogna, de ma main gauche je lui caressai les couilles et plongeai la droite dans ma culotte et recommençai à me masturber. J’avais à peine commencé que Flora était déjà nue jusqu’au dessus de la taille, je la regardai, ses seins étaient lourd mais se tenaient bien droit, ses mamelons étaient bien bandés et ses aréoles étaient larges. Luigi lui demanda à elle aussi de s’approcher, elle lui dit :



Je ressortis la verge de Luigi de ma bouche :



J’hésitai



Luigi dit :



J’enlevai ma jupe et ma culotte, Luigi débarrassa la table, pendant que Flora recommençait de me doigter, je la regardai, nos regards se croisèrent, elle lut dans mes yeux l’étendue de mon appréhension, elle s’approcha de moi délaissant ma chatte me caressa les cheveux et m’embrassa. Je lui rendis son baiser, nous nous étreignîmes. Ce fut Luigi qui nous interrompit :



Je fis ce qu’elle me dit, elle me fit mettre les fesses au bord et s’agenouilla, elle plaça sa tête entre mes cuisses et commença de me les lécher, je mouillai abondamment, pendant ce temps, pour entretenir son érection, Luigi vint me présenter son sexe, je le pris à nouveau dans ma bouche et le suçai avidement. Je jouis rapidement sous les coups de langue agiles de Flora. Elle se redressa :



Il se retira et vint devant moi :



Il alla chercher une bouteille d’huile d’olive, en versa dans sa main et s’en enduisit le sexe puis il le présenta à l’orée de ma vulve. Tout doucement il me pénétra, je sentis les parois de mon vagin s’écarter et enrober son membre turgescent. Il buta sur mon hymen, à l’expression de frayeur qui se lisait sur mon visage, Flora répondit en enjambant la table, plaçant une jambe de chaque côté de ma tête et me présenta sa chatte, je m’en emparai de la bouche et commençai à la lécher pendant qu’elle se caressait et se léchait les seins. Luigi ressortit quelque peu comme pour prendre son élan, il vint à nouveau contre mon hymen, il fit quatre à cinq fois ce mouvement et puis d’un coup s’enfonça, je lâchai Flora et criai



Effectivement je n’eu plus de douleur, Luigi commença à me pistonner pendant que je continuai d’explorer l’intimité humide de Flora. Ces coups de boutoirs étaient violents, mais c’était bon, nous ne fûmes pas long à jouir tous trois de concert. Par la suite Flora prit ma place et fit une branlette espagnole à Luigi pendant que je lui refis un cunnilingus. Nous retournâmes vers minuit. J’étais heureuse Luigi venait de faire de moi une femme en même temps que j’avais trouvé de nouvelles occupations avec Flora. Mais ça, c’est une autre histoire.