n° 01517 | Fiche technique | 18865 caractères | 18865 3338 Temps de lecture estimé : 14 mn |
19/12/00 corrigé 01/12/23 |
Résumé: Il rencontre Sophie au Volley. Petite et ronde, ils vont bientôt être attirés l’un par l’autre | ||||
Critères: fh frousses grosseins groscul poilu(e)s sport odeurs intermast fellation uro | ||||
Auteur : Mmmm les oideurs |
Sophie, une rousse sauvage, première partie
C’est au volley que j’ai rencontré Sophie. Ce qui m’a tout de suite marqué c’est la jovialité de son regard et son entrain. On ne peut pas dire qu’elle avait le gabarit d’une volleyeuse : un mètre soixante avec un tour de poitrine de 100 D.
Au cours de la partie, je remarquais très vite que c’était une super joueuse avec une touche de balle très propre, et un sens du jeu certain. Étant passeur, je repère tout de suite qui est l’âme de l’équipe, et ce n’était pas les grands costauds qui smatchaient fort, non, c’était cette petite rousse toute en rondeur qui se démenait, plongeait dans tous les sens pour offrir des balles d’attaques sur un plateau.
Notre premier contact fut un peu brutal puisqu’un de ses coéquipiers, en redescendant d’un contre, la fit tomber et, passant sous le filet, elle vint s’écraser sur moi. Elle était trempée de sueur, et en l’aidant à se relever, son odeur animale emplit mes narines. Elle me sourit :
À la fin du match, l’entraîneur nous invita à boire un verre, et Sophie était restée. J’étais le nouveau dans le club et l’entraîneur dit :
Elle avait dit ça en me fixant dans les yeux, son regard brillait. On me questionna sur ce que je faisais, où j’avais joué avant, où j’habitais.
Sophie réagit rapidement lorsqu’elle découvrit que nous habitions le même village.
Nous nous quittâmes après une dernière bière, et Sophie vint vers moi :
Au lieu d’une bise classique, elle posa ses lèvres avec une infinie tendresse sur mes joues, je lui rendis la pareille. Elle me quitta en disant :
Pendant tout le week-end, je repensais à elle, à son parfum animal. Le mardi, j’étais dix minutes en avance devant chez elle, elle accourut tout de suite en survêtement, mais cette fois elle avait les cheveux libres, ce qui me permit d’admirer sa longue chevelure rousse et bouclée.
Nous arrivâmes au gymnase. Vers la fin de l’entraînement, suite à un faux mouvement, Sophie chopa une crampe carabinée au mollet.
Je lui enlevai sa chaussure et lui fis faire des mouvements qui décrispèrent un peu la crampe. Pendant que les autres jouaient, je commençai à lui masser la cheville, remontai son bas de survêtement jusqu’au genou et découvris un mollet poilu. Sophie devint rouge et me dit :
Maurice siffla la fin de la séance, et Sophie lui dit :
Dans la voiture, à peine avais-je démarré qu’elle posa sa tête sur mon épaule.
Elle vint m’embrasser dans le cou et commença à passer sa langue sur mon cou. J’avais du mal à conduire. En plus, elle sentait fort, une odeur qui m’électrisait, je n’avais jamais connu de rousse avant et je peux vous certifier qu’il n’y a rien de plus aphrodisiaque que le parfum d’une rousse.
Heureusement, j’arrivai devant chez elle :
À peine arrivé sur le pallier, je l’embrassai sauvagement. Elle m’avait excité, la salope ! Elle m’attira dans le salon, me fit tomber dans le canapé, se mit à quatre pattes au-dessus de moi et vint m’embrasser. Je lui retirai sa veste de survêtement, son tee-shirt, puis je libérai ses énormes seins de l’entrave de son soutif de sport. Elle avait les yeux qui brillaient d’excitation. Elle leva les bras en l’air pour détacher ses cheveux, ce qui releva ses seins et découvrit ses aisselles fournies de poils roux humides. Je me relevai et entrepris de respirer ses dessous de bras puis commençai à les lui lécher
:
Puis elle me déshabilla à son tour, le tee-shirt puis le survêtement, elle attrapa mon sexe, baissa ma culotte.
Ma bite sentait fort aussi et je craignis qu’elle n’ait pas les mêmes attirances que moi pour les odeurs.
Et elle avala mon sexe tout en me caressant les fesses. Elle y mit beaucoup d’ardeur, je n’en pouvais plus :
Elle avala tout ! Elle se releva et vint m’embrasser, nos lèvres humides se mêlèrent, et quand nos langues se joignirent, je sentis une substance un peu âcre m’envahir la bouche. Sophie me roula une pelle au sperme puis elle me repoussa dans le canapé et commença à se caresser les seins.
Elle continua par un strip-tease, découvrant son gros cul dans une culotte blanche toute simple. Les poils de sa chatte dépassaient de celle-ci, ce qui était très excitant.
Elle s’approcha de moi, se retourna, fit saillir ses grosses fesses à cinq centimètres de mon visage et choisit ce moment pour baisser son slip. Elle recula et me frotta son cul sur le visage. Je sortis ma langue et elle me dit :
Elle retira complètement sa culotte et me la lança en riant, je lui dis merci et commençai à la respirer. Elle sentait terriblement bon et fort ce subtil parfum de mouille, de sueur et d’urine. Mmmm, c’était un délice !
Sophie, en rousse sauvage, seconde partie
Notre première nuit avait été torride et une odeur de sueur et de sexe emplissait la chambre. À 7 h, Sophie se réveilla brutalement.
Elle arriva cinq minutes plus tard en tailleur strict, le chignon tiré à quatre épingles. Elle but son café d’une traite et me dit :
Puis elle glissa un morceau de tissu dans ma poche de chemise.
En fait de tissu, il s’agissait de sa petite culotte d’hier soir, je l’enlevai de ma poche et la respirai à plein nez
:
Au bureau, je n’avais vraiment pas la tête au travail, je repensais à son corps, à son regard coquin, son sourire gourmand.
À 15 h, je l’appelle :
- — Allo, Sophie, c’est Bertrand !
- — Ah, j’ai eu peur que tu n’appelles pas.
- — Tu sais, tu vas peut-être me trouver con, mais il faut absolument que je te parle.
- — Qu’est-ce qu’il y a, tu ne veux plus que nous ayons des relations ?
- — Non, au contraire, au téléphone j’aime pas trop parler, je veux juste te dire que, comment dire, hier, c’était super entre nous
- — Moi aussi, j’ai adoooooré !
- — Je sais que c’est très tôt, mais il faut que je te dise que tu me plais énormément. Je ne sais pas, je sens comme quelque chose de magique entre nous. Voilà, je crois que je t’aime ? Tu me trouves peut-être ridicule ?
- — Oh non, Bertrand, c’est complètement fou dans ma tête, je te jure, j’avais qu’une trouille, c’est que tu me quittes en me disant, que sexuellement c’était super, mais que ta vie est ailleurs…
On arrivait plus à parler, on entendait juste nos souffles.
- — Bertrand ?
- — Oui, Sophie ?
- — Tu termines à quelle heure !
- — 18 h, mais je peux me libérer plus tôt, si tu veux.
- — Oh ouiiii, je ne pourrais pas attendre si tard.
- — Si on se retrouvait à 16 h 30 au café ?
- — Je te propose un pâtissier-salon de thé, c’est un maître chocolatier.
- — OK, j’adore le chocolat, mon trésor !
À 16 h 30, j’arrivai au salon de thé, Sophie m’attendait. Nous nous sommes jetés dans les bras l’un de l’autre et embrassés fougueusement comme deux collégiens.
On s’assoit dans un coin discret, Sophie me dit que toute la journée elle a eu peur que ses collègues remarquent qu’elle n’avait pas eu le temps de se doucher.
Elle sourit.
La serveuse, une brune de cinquante ans bien en chair, vint prendre la commande.
Je demandai :
Sophie éclata de rire devant mon lapsus, mais la serveuse, sans se démonter, me répondit avec un sourire espiègle.
Sophie en rajouta :
Elle revint avec nos forêts noires.
Elle se passa la langue sur les lèvres et repartit.
Pendant que je dégustais ma forêt noire, je sentis la main de Sophie se poser sur la bosse de mon pantalon.
Elle accéléra ses caresses.
Elle frotta encore plus fort, et j’explosai dans mon slip tout en roulant une pelle à ma belle Sophie.
Puis elle me dit :
Je me glissai sous la table et me dirigeai entre ses cuisses gainées de bas couleur chair. Le parfum sauvage de sa touffe me sauta à la figure. Ces essences de jus de chatte, de sueur et d’urine étaient enivrantes. Sophie écarta les cuisses pour mieux m’offrir son intimité, en fait, elle n’avait pas remis de culotte ce matin. Je me jetai alors sur sa grosse moule, elle était vraiment trempée ; je bus son jus et suçai sa cerise, très vite je la sentis se tendre et trembler. Elle avait joui sans dire un mot. En sortant de dessous la table, je fus surpris de me trouver nez à nez avec la serveuse qui me demanda :
Rouge de confusion, je lui répondis que cette forêt rousse était un grand millésime. La serveuse nous sourit et Sophie récupéra alors sa petite culotte, releva sa jupe, s’essuya la chatte avec et dit :
Elle lui tendit sa petite culotte souillée et la serveuse la respira et la lécha.
Un client entra, elle nous dit :
Une fois dehors, en nous dirigeant vers le parking, Sophie me dit :
Elle s’accroupit, remonta complètement sa jupe et, tout en me fixant, relâcha sa vessie. Le bruit du jet m’a toujours excité.
Ses yeux brillèrent, elle s’assit sur le bord de mon siège, écarta les cuisses et m’offrit sa foune sauvage à lécher.
Après cette petite gâterie, Sophie reprit sa voiture et me donna rendez-vous chez elle. Moi, je pris juste le temps d’aller chez moi prendre quelques affaires.
Sophie, en rousse sauvage, troisième partie
Donc, après l’épisode du salon de thé, je rejoignis Sophie chez elle avec mes affaires. En arrivant de l’hôtel avec mes valises, elle m’ouvrit. Sophie avait détaché son chignon strict, libérant sa merveilleuse chevelure rousse qui descend jusqu’au bas du dos. Vous savez, cette limite où commence un sillon sublime partageant deux magnifiques rondeurs.
Elle avait remplacé son tailleur par un simple tee-shirt blanc et un panti noir qui moulait admirablement son gros cul bien rond. Elle me montra les armoires pour ranger mes affaires et me dit :
Elle revint cinq minutes plus tard, et pendant que j’accrochais une chemise dans l’armoire elle vint se coller contre mon dos et me caressa le torse. Elle fit sauter deux boutons de ma chemise et glissa sa main contre mon poitrail velu
:
Elle défit mon pantalon, me laissa juste mon slip et commença à me lécher sur le ventre. Je la fis relever et lui ôtai son tee-shirt découvrant ses deux gros seins libres qui, malgré leur taille, se tenaient superbement.
Nous allâmes dans la salle de bain, où un bain nous attendait. Sophie s’agenouilla et embrassa mon slip déformé par l’excitation. Elle mordillait mon sexe à travers le tissu.
Je lui retirai son panti découvrant sa grosse touffe rousse et odorante ; Sophie ne s’épile jamais au-dessus du genou, et sa toison est très développée. Aussitôt, je frottai mon visage contre ce gazon humide aux délicieuses senteurs de sueur, de mouille et d’urine.
Elle se positionna de côté par rapport à l’armoire à glace et fit saillir ses grosses fesses dont la raie était ourlée de poils frisés. Je me plaçai derrière elle, Sophie attrapa ma queue et la guida vers sa grotte humide.
Je la pris d’un coup sec et commençai un va-et-vient rapide (dans la glace, je voyais ses nibards ballotter dans tous les sens sous mes coups de reins). Sophie me regardait à travers la glace en criant des « oh oui » et des « mmmmm ». Elle fixait aussi ma queue qui lui pilonnait la chatte.
Et elle s’écroula par terre. J’avais réussi à me retenir, mais c’était juste. Elle me regarda et me dit :
Sophie se mit deux doigts dans la chatte et enduisit sa rondelle de mouille.
J’appuyai mon gland sur sa rondelle, fou d’excitation. Je la saisis par les hanches et commençai à la pénétrer. Elle poussait en même temps. Je commençai des va-et-vient dans ce conduit serré. Et étant au bord de l’explosion, je dis :
À ce moment, Sophie contracta ses sphincters, ce qui me fit hurler de plaisir.
Nous rentrâmes dans le bain encore tiède ; après une dizaine de minutes de détente, Sophie me dit :
Elle monta sur le bord de la baignoire et s’accroupit en écartant les cuisses.
Sophie contracta sa vessie et lâcha un jet d’urine qui vint rebondir sur mon ventre.
J’ouvre ma bouche et commence à sentir le liquide chaud et sous pression rebondir sur ma langue.
Le goût était bizarre, mais pas désagréable, et j’en bus plusieurs gorgées avant de nettoyer la chatte de Sophie avec ma langue.