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n° 01524Fiche technique7181 caractères7181
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Temps de lecture estimé : 5 mn
26/11/23
corrigé 26/11/23
Résumé:  Ils partent en week-end avec Christine dans le sud du Massif Central...
Critères:  fh couple voiture intermast cunnilingu pénétratio fdanus hdanus
Auteur : Frank Claude      
Une ballade en voiture qui a dégénéré

Nous partions avec Christine pour un week-end dans le sud du Massif central, il faisait assez chaud, Christine conduisait, je pouvais donc la mater à ma guise. Elle portait un débardeur à bretelle qui laissait légèrement apparaître la naissance de ses seins et les brides de son soutien-gorge.


Nous étions partis depuis environ vingt minutes et je ne résistai pas longtemps à l’envie de caresser doucement sa peau, à effleurer son corps. Je passai un doigt sur ses épaules, je descendis et caressai la chaire douce du haut de ses seins. Mais ce tissu était vraiment gênant, je fis donc tomber la bretelle du côté droit pour caresser à ma guise sa peau. Elle ne disait rien, j’avais comme l’impression que sa poitrine se gonflait, accentuant légèrement le rythme de sa respiration. Il me semblait que ses tétons pointaient sous ses vêtements et témoignaient d’une excitation naissante ?

Je décidai d’aller un peu plus loin, je glissai ma main sous son sous-tif et je saisis son sein à pleine main, pinçant légèrement son téton. Un léger soupir vint récompenser ma hardiesse et témoigna du plaisir que lui procurait cette caresse. Je décidai de me donner encore plus d’espace et, non sans quelques difficultés, je dégrafai son soutien-gorge et libérai ainsi ses deux seins. Il faut dire que Christine n’a pas des seins très gros, mais juste à la bonne taille pour que l’on puisse les saisir dans la main et avec des tétons très réactifs qui sortent très vite de l’aréole qui les entoure pour venir pointer, arrogants comme des seins d’adolescentes.

Nous n’avions toujours pas échangé une parole, mais les soupirs de Christine s’amplifiaient et ses seins se durcissaient. Ces tétons étaient maintenant bien plantés en avant et d’un rouge presque violet. Ce plaisir chez ma compagne avait aussi comme effet de m’exciter fortement et je sentais mon sexe en manque de place dans mon jean.


Je libérai complètement un sein qui profita ainsi des rayons de soleil et je vins déposer mes lèvres, goûtant à ce goût subtil qui eut pour effet de m’exciter encore davantage (Christine conduisait toujours, sa poitrine largement découverte, heureusement, nous avions atteint l’autoroute).

J’en voulais encore plus, je défis donc sa ceinture et baissai la fermeture éclair de son jean, son mont de Vénus, bien proéminent, était masqué par un slip en dentelle blanche, des petits poils qui s’en échappaient laissaient deviner sa toison brune. Je plaquai alors ma main, forçant un peu le passage, pour sentir la chaleur qui s’échappait de son sexe. J’entendis quelques protestations, un « non » timide, mais en même temps son sexe vint encore plus s’appuyer contre ma main. Je continuai donc mes caresses et je passai un doigt puis deux sous son slip. Quel plaisir !

C’était déjà complètement trempé, elle n’avait pour ainsi dire plus un poil de sec et mes doigts se baladaient dans sa fente toute lubrifiée, son ventre ondulait autant que pouvait le permettre la conduite de la voiture.


Christine aussi voulait avoir son jouet et, d’une main vive, elle déboutonna mon jean, le baissa violemment et vint saisir mon sexe qui avait bondi comme un diable hors de sa boîte.

Elle remarqua vite aussi la goutte transparente et légèrement visqueuse qui perlait au sommet de mon gland ; délicatement, elle passa le doigt puis le porta à sa bouche semblant se régaler de ce nectar. Elle répéta ainsi l’opération deux à trois fois, déclenchant à chaque passage sur mon sexe comme une décharge électrique.


Je continuai à explorer son sillon, remontant jusqu’à son clitoris que je contournai doucement avec mon doigt. Puis, avec mes doigts mouillés, je vins faire le tour de son aréole.

C’est ainsi que nous arrivâmes au péage, les seins à l’air, son pubis également profitant du soleil et mon sexe droit comme un I.

Christine cacha légèrement sa poitrine et nous passâmes rapidement, cela ne put que distraire la personne bloquée des heures dans sa cabane de verre.

Aussitôt le péage passé, nos deux mains respectives repartirent explorer, Christine était de plus en plus tendue, certaine de mes caresses déclenchaient des petits cris, ses cuisses enfermaient alors ma main comme un étau puis se relâchaient.


Nous ne pouvions plus tenir, il fallait nous arrêter, nous prîmes la sortie suivante, première route à gauche, premier chemin.

Christine coupa le moteur. Oubliant le paysan sur son tracteur dans le champ en contrebas, j’embrassai goulûment Christine, nos langues se mêlèrent, mélangeant également le goût sucré de nos sexes qui avait déjà parfumé nos salives.


Nous basculâmes à la hâte le siège du passager, et je débarrassai Christine de ses vêtements. Cela me permit d’approcher ma bouche de son sexe et de plonger dans sa toison. Ma langue trouva rapidement ses petites lèvres, et je me régalai, tantôt aspirant son liquide, tantôt mordillant son clito, ou tout simplement remontant de l’orifice de son vagin jusqu’au sommet de son clitoris. J’essayai même de rentrer ma langue au fond de son vagin, mais elle était définitivement beaucoup trop courte. Je me contentais donc de son clito, écartant avec mes doigts ses lèvres pour qu’il jaillisse, bien proéminent, prêt à être dévoré. Ces gémissements m’excitaient plus que n’importe quelle caresse. Je demandai ensuite à Christine de se retourner, elle me montra ainsi ses belles fesses rondes que j’écartai pour découvrir sa petite rosette. Je fondis dessus comme un oiseau de proie et ma langue vint titiller son petit trou tandis qu’une main en profita pour se promener sur sa fente.



Comme une fleur, sa rosette s’ouvrait puis se refermait. Le plaisir montait et je savais que je ne pouvais pas jouer trop longtemps à ce petit jeu ; ces baisers avaient toujours déclenché chez Christine un plaisir à la limite de l’orgasme. (Je regrette de n’avoir jamais pu encore lui donner du plaisir avec une sodomie, peut-être à cause d’une première expérience loupée ou du fait de son anus tellement musclé qu’il me broie mon petit doigt quand elle me laisse la pénétrer.) Je l’excitai donc avec la pointe de ma langue en essayant de l’introduire, sentant parfois sa rondelle tenter d’emprisonner mon organe titilleur.


Soudain, Christine repoussa mes mains et cria :



Elle se retourna et releva ses jambes le plus possible. Je n’eus plus qu’à m’installer entre ses cuisses et la pénétrai sans aucune résistance ; sentant son fourreau chaud entourer ma queue, ses contractions me transportèrent progressivement vers la jouissance. Je ralentis le rythme pour profiter le plus longtemps de ce plaisir, sortant presque mon sexe, puis le rentrant jusqu’à la garde. Je sentis soudain les doigts de Christine rentrer dans la chair de mes fesses, m’écartelant légèrement l’anus ; j’accélérai le mouvement sous les cris de plus en plus fort et ma sève brûlante se déchargea en flots successifs, augmentant l’orgasme de Christine qui n’en finit plus.


Nous sommes restés longtemps l’un dans l’autre, profitant de cette longue redescente de notre orgasme, puis nous sommes sortis, histoire de nous rhabiller. L’air frais qui sentait bon la campagne est venu apporter une dernière caresse.