n° 01541 | Fiche technique | 29714 caractères | 29714Temps de lecture estimé : 17 mn | 27/12/00 |
Résumé: Plusieurs mois après sa rencontre avec Claude, ce dernier propose à Pascal de créer un petit scénario prétexte pour l'emmener à la maison et y rencontrer sa femme Rachel. | ||||
Critères: fhh hbi couplus exhib intermast fellation cunnilingu préservati hdanus hsodo uro | ||||
Auteur : Edvard Stokien (Eddy - 36 ans - comptable - bisexuel) Envoi mini-message |
A Noëlle qui souhaitait cette suite avec la femme de Claude !
Etre bisexuel double vos chances d’avoir un rendez-vous le week-end (Woody Allen)
Déroutante Rachel !
Je n’avais pas de nouvelles de Claude depuis un certain temps. Dommage car la perspective d’une soirée bi avec sa femme m’avait fait fantasmer. L’affaire aurait dû se faire un peu avant les vacances. Nous étions quand même fin novembre. Je n’avais pas trop osé le relancer estimant que si lui ne le faisait pas, c’était qu’il devenait réticent. J’avais arrêté également mes visites assidues aux urinoirs, ayant eu pas mal de déconvenues pour finalement assez peu de contacts intéressants.
A vrai dire quand il me téléphona, j’étais à cent lieux de penser qu’il me recontacterait un jour.
D’emblée il me reparla de cette éventuelle soirée, il souhaitait me voir pour m’en parler et qu’on prenne une décision ferme.
Je jouais un peu les naïfs, si la solution retenue avait été celle-ci il n’aurait pas cherché à me revoir.
Le lendemain, j’envoyai un e-mail à Claude en lui annexant un petit script ridicule qui se contenterait de renommer l’un des fichiers essentiel de Windows. Son épouse qui se sert de l’ordinateur dans la journée ne pourrait donc pas le faire redémarrer. Elle appellerait son mari qui déclarerait ne rien pouvoir faire, mais une demi-heure après il re-téléphonerait tout content !
Une fois sur place nous convenons que je devrais faire durer le temps y compris avec l’aide d’une disquette programmée pour créer d’autres "faux problèmes".
Le plan me plaît assez, nous convenons d’une date.
Ce matin-là Claude avant de partir travailler introduit le fichier que je lui ai confectionné, recopié sur disquette. Il lance le script qui automatiquement commet les dégâts escomptés ! Tout se déroule suivant le scénario initial et le soir nous nous donnons rendez-vous dans Paris afin que je l’accompagne à son appartement.
Sur le chemin, il me paraît anxieux, on envisage malgré tout ensemble quatre ou cinq scénarios très simples. Au moins l’un d’entre eux devrait marcher. Et sinon tant pis ! Je lui demande de me montrer une photo de sa femme, il en pas sur lui, mais il me rassure en me disant :
On arrive à son appartement. Il me présente Rachel son épouse. Je ne la voyais pas du tout comme ça. Sans doute pas loin de la quarantaine, la peau assez mate, le visage constellé de tâche de rousseurs, les cheveux mi-courts, bouclés et teints en blond platiné, les yeux bleus. Elle s’est attifée un peu n’importe comment (un jean, et une chemise bleue à carreaux genre cow-boy), mais il me semble deviner de jolies formes en dessous tout cela. Bref, une femme charmante. Elle a l’air douce et reste souriante. Si les choses se passent comme prévues, je ne devrais pas être déçu. Claude me conduit devant l’ordinateur et je m’y installe, m’apprêtant à faire semblant de faire des tas de trucs, attendant un signal de Claude pour passer à la suite
Rachel n’avait rien d’une idiote, bien sûr elle ne pouvait deviner l’origine réelle de la panne, mais savait comment la réparer, simplement elle n’avait pas osé le faire ! Elle m’explique ce qui se passe et me propose :
Bien sûr que c’est la solution, mais si on l’applique, ma présence ici n’a plus de sens. Je ne m’attendais pas du tout à ce qu’elle intervienne sur la partie technique de notre plan. J’improvise :
Zut, zut, zut et rezut ! Elle s’y connaît vraiment pas trop mal. Le plan va fouarrer ! Je renonce à lui dire n’importe quoi…
Et qu’est ce qu’elle fait la madame ? Elle se plante à côté de moi et elle me regarde faire. Le plan basé sur des manipulations imaginaires et sur l’introduction d’une seconde disquette devient irréalisable. Je ne peux au bout de trois minutes que lui confirmer son diagnostic !
L’estocade ?
Pas terrible la répartie. Claude est obligé d’intervenir.
Ouf ! Merci Claude ! Je reprends doctement la parole.
C’est faux, on y a accès, ça me rassure un peu.
Et re-ouf ! Madame me laisse tranquille cette fois et je me livre pendant près de deux heures à cette activité hautement passionnante qui consiste à faire semblant de faire quelque chose. Vers 20 heures, Claude vient me voir et me dit discrètement :
J’annonce donc fièrement que dans 5 minutes tout marchera comme sur des roulettes. Tu parles ! Je viens juste de renommer un fichier !
Je suis maintenant incrusté dans les lieux. On peut passer à la seconde partie du plan.
Tu parles !
Et c’est parti. Claude lance son premier ballon d’essai et me pose benoîtement une question :
Et je raconte une salade : Que j’aurais travaillé dans un établissement ou une centaine de cabines est équipée de moniteurs, le tout relié à des ordinateurs, que dans les cabines les mecs se donnent parfois du plaisir, etc… Claude relance :
On ne peut aller trop loin sur ce terrain là. Rachel reste de marbre et n’intervient pas dans la conversation, on laisse tomber, on lancera un second ballon tout à l’heure.
Rachel ne réagit pas, elle était déjà d’accord. Ça nous donne deux heures pour essayer de débloquer la situation.
Pendant le repas, on essaie avec Claude de relancer des ballons, mais rien n’y fait, ni l’allusion au film " Tenue de Soirée " avec Depardieu, Blanc et MiouMiou, ni les habitudes sexuelles de Jody Foster. Nous avions prévu deux dernières cartouches au cas ou rien de fonctionnerait ! L’avant dernière était une série de blagues idiotes, la dernière serait la question directe. Donc après quelques bêtises Claude intervint :
Nous y voici, maintenant il s’agit de faire attention à ce que je vais répondre. Elle a l’air pour l’instant passionnée par le sujet, pourvu que ça dure !
La gaffe !
Claude me regarde avec des yeux de chien battu.
Nouvelle gaffe de Claude.
Il se rend compte de sa gaffe et devient rouge comme une pivoine
Vite répondre avant que Claude ne s’enterre !
Du coup le Claude surenchérit !
Rachel est défiée ! Elle hésite, il y a quand même un pas à franchir, il n’est pas si facile que cela, mais revenir en arrière en arrêtant tout lui paraît lâche et frustrant ! Et puis cette situation l’excite. Alors elle va y aller ? Oui elle y va !
On y va. Rachel est toute excitée, son visage est devenu rose, ses yeux luisent. Très vite elle avait compris la bizarrerie de la situation, confirmée par nos premiers ballons sexuels. Elle nous avait fait lanterner exprès pour voir jusqu’où on irait, et puis elle a voulu elle-même débloquer la situation, elle en est pas peu fière ! Et maintenant les choses sérieuses vont commencer. Elle hésite encore un peu, elle sait que son premier ordre va déclencher une spirale infernale que rien ne pourra arrêter.
Elle marque un temps d’arrêt, elle reprend sa respiration, elle a l’impression d’être une sauteuse à l’élastique s’élançant dans le vide pour la première fois. C’est pourtant pas compliqué ce qu’elle va leur demander.
C’est donc parti, Claude n’hésite pas, mais pourquoi hésiterait-il, je m’exécute.
Ils viennent rejoindre nos pantalons sur nos chevilles, et nous voici tous les deux les fesses à l’air.
Et bien sûr Claude avance d’un pas !
Le Claude paraît un peu déstabilisé, il recule d’un pas.
Ses mains deviennent plus insistantes, la voici qui m’écarte mes globes fessiers, les doigts deviennent fureteurs. Elle ne va quand même pas me doigter l’anus ? Pas déjà ? Le doigt disparaît un instant, le voilà qui revient, elle l’a tout simplement humecté, il s’approche de mon trou du cul dessine un cercle autour, puis se présente à l’entrée, je l’aide en détendant mes muscles locaux, elle s’introduit doucement en vrillant le doigt.
Je passe aussi au tutoiement, je ne vais quand même pas vouvoyer quelqu’un qui est en train de me foutre un doigt dans le cul !
Elle stoppe son doigtage
Je m’apprête à obéir, mais elle rectifie le tir
Ca y est, ça devient plus hard, la dame reste très correcte, elle ne dit pas branler, mais masturber, elle ne dit pas enculer, mais sodomiser. Ma bite est déjà bien bandée, et celle de Pascal que je manipule entre mes doigts est également fièrement redressée.
Nous répondons par l’affirmative et elle nous intime alors l’ordre de nous retourner.
Ah ! Le vocabulaire évolue ! Rachel est dans un drôle d’état, son chemisier est entièrement déboutonné et elle a fait glisser son sein gauche par-dessous le soutien-gorge, un joli sein bien rond, dont elle pince fermement le gros téton brun. Je n’en reviens pas ! Ma bite est au bord de l’explosion et je dois dire à Claude de ralentir la cadence de sa masturbation.
Je le fais, je garde mes chaussettes, comme je le fais habituellement, j’aime bien mes chaussettes, j’en ai toute une collection illustrée avec des personnages de bandes dessinées.
Est-ce bien raisonnable ? J’ai un peu peur de ne pas pouvoir tenir ! Mais je n’ai pas le temps de discuter, ma bite est déjà dans la bouche de Claude qui me passe de bref et voluptueux coups de langue sur mon gland, avant d’entamer une série de va-et-vient entre ses lèvres. Sur le divan, Rachel son jean sur les chevilles, sa petite culotte descendue à mi-cuisse, se masturbe frénétiquement. Et la voici soudain qui pousse un hurlement de jouissance tandis que son corps se tétanise un instant avant de retomber comme une poupée de chiffon. Quelques secondes plus tard ma bite lâchait son jus dans la bouche de Claude. Il l’avala avec une réelle gourmandise.
Rachel nous fait signe de venir la rejoindre, elle embrasse goulûment son mari, j’ose tenter une caresse sur ses cuisses, elle ne dit rien, et encouragé, je dirige ma main sur son sein, elle ne dit rien et mes caresses deviennent de plus en plus hardies. Elle abandonne un moment son baiser conjugal pour m’embrasser à mon tour sur la bouche, mais cela ne durera pas très longtemps. Elle recommence alors à bécoter son mari. Je me suis osé à lui lécher le sein et je vais bientôt m’occuper de son joli téton.
Mais voici que Rachel tressaute bizarrement, je mets quelques secondes pour me rendre compte qu’elle pleure à chaudes larmes. Qu’est ce qui ne se passe pas bien ? Claude la console lui tapote les épaules. Voici une affaire qui va se terminer en queue de poisson.
Ouf ! C’était donc ça, je peux reprendre mes caresses !
Voici une excellente idée ! Rachel prend la bite de Claude à la racine et commence par lui léchouiller le gland et elle me la tend, un peu comme une gamine qui partagerait sa sucette avec une copine. Je le languote à mon tour, puis rend la politesse à Rachel qui cette fois, la fait pénétrer plus profondément dans sa bouche. Je joue pendant ce temps avec ses couilles. Et m’amuse à les rouler dans ma bouche. Une nouvelle fois Rachel me rend la politesse et je gobe la queue de Claude sous les regards approbateurs de son épouse.
Le Claude ne se le fait pas dire 2 fois, il va chercher un préservatif dans SA poche ! Ce n’est pas Gaston la gaffe, c’est Claude La Gaffe !
Ouf ! Il s’en sort bien ! Je me mets à quatre pattes, la tête face au canapé, j’espère simplement que Rachel va accepter ce que j’ai envie de lui faire. Et tandis que Claude entreprend de me pénétrer, j’embrasse les cuisses de Rachel. Je vous l’ai dit cette femme est loin d’être idiote, elle comprend mes intentions et y répond en écartant les cuisses !
Un plaisir divin, de lécher cette chatte parfumée du jus de ses désirs tandis qu’une bonne bite me laboure le fondement. Déjà, je rebande, j’ai du mal malgré tout à sucer le clito de Rachel, mon visage ayant du mal à rester en place, victime des coups de boutoir de mon acolyte. Des coups de boutoir pourtant bien efficaces, puisque me voilà à me pâmer de désir. Décidément, il me faudrait un peu d’entraînement pour faire deux choses à la fois. Claude finit par jouir, et je peux alors reprendre mes léchouilles. Je sens le plaisir de Rachel venir, elle se tire le bout de ses seins avec une violence inouïe et finit par pousser un hurlement aussi jouissif que le précédent. Je la laisse reprendre mes esprits. J’ai envie de pisser. Je sais Claude priser les jeux uros, et il m’avait dit que sa femme n’y était pas hostile. Mais pas là sur la moquette. Un peu plus tard peut-être !
L’évolution du langage de Rachel en une demi-heure à quelque chose de remarquable.
Je m’acquittai donc de cette tâche, un peu crevé, j’eus du mal à jouir et pensais un moment que je ne pourrais le faire, quand mes yeux aperçurent ceux de Rachel qui avait un regard embué et plein d’amour pour son mari en train de se faire prendre. C’était tellement craquant que je craquai à mon tour et lâchai ma liqueur dans l’orifice anal de mon complice. Il se passa alors un moment de pure folie, Rachel se débarrassa de ce qui lui restait de vêtement, prit la main de Claude, se coucha sur le canapé et entraîna son mari sur elle !
Et le couple se mit à faire l’amour avec une frénésie incroyable, la Rachel poussant des jappements de plaisir. Et moi, je fais quoi ? Je fais banquette ? Je décidai qu’il serait sage de ne pas m’en mêler cette fois-ci ! Et m’occupais en ramassant, en triant et en pliant les vêtements des uns et des autres. Cependant je ne me rhabillais pas. Il faut toujours rester optimiste.
Nos deux tourtereaux ayant fini leurs affaires se relevèrent tout sourire ! Rachel vint gentiment me faire un petit bisou sur le bout du nez. !
Je m’allongeais sur le carrelage, Rachel s’accroupit alors juste au-dessus de ma bouche. Je pouvais donc atteindre sa chatte avec ma langue et je ne m’en privais pas.
Je suis un garçon obéissant, ça n’avait pas l’air de vouloir démarrer, quand soudain une petite goutte vint me remplir le gosier, le jet devint vite plus important. Par manque d’habitude elle ne saccadait pas son pipi. Tant pis c’était délicieux quand même et j’avalais par goulée, fermant la bouche quand ma capacité d’absorption était dépassée, et m’en foutant un peu partout.
Je crus un moment qu’elle souhaitait qu’à mon tour je lui urine dessus, non ce n’était pas cela ! Elle approcha ses lèvres des miennes et embrassa ma bouche dégoulinante de son urine.
Je voulais surtout me reposer un petit peu, mais bon…
Ouf !
Eddy Stokien . Fin 2000