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n° 01555Fiche technique9465 caractères9465
Temps de lecture estimé : 6 mn
28/12/00
corrigé 12/11/10
Résumé:  Ayant oublié un paquet, je revins sur mes pas, c'est alors que j'aperçus de la lumière venant de la cave, mais je n'étais pas au bout de mes surprises puisqu'une voix féminine s'y faisait entendre...
Critères:  fh extracon hsoumis fdomine jalousie dispute voir hgode sm attache yeuxbandés gifle fouetfesse -vengeance -hsoumisaf
Auteur : Marie-Paule Perez  (Marie-Paule, 32 ans, cultive de drôles de fantasmes.)      

Série : De la lumière dans la cave

Chapitre 01 / 02
De la lumière dans la cave

Je me prénomme Marie-Paule. J’ai trente-deux ans, mon mari trente-cinq. Nous tenons tous les deux un petit commerce, un bar qui fait un peu de restauration le midi. Nous fermons régulièrement à huit heures le soir. À ce moment-là, j’en profite pour aller rendre visite à ma mère qui est impotente pendant que Bernard reste pour faire les comptes. Du moins, c’est ce que je croyais qu’il faisait en mon absence, jusqu’à ce dimanche du mois dernier où j’ai dû revenir en catastrophe au bar parce que j’avais oublié le cadeau d’anniversaire de ma mère derrière le zinc. La lumière de la grande salle était éteinte. J’ai cru que Bernard était déjà parti, je suis entrée avec mes clés.


Et voilà que j’aperçois de la lumière qui venait de la cave.


Ça m’a intriguée, parce que nous n’éteignons pas la lumière de la salle d’habitude quand nous descendons à la cave. J’ai cru à une erreur, et je m’apprêtais à appeler Bernard, quand j’ai entendu qu’on parlait dans la cave. Une voix féminine que je ne connaissais pas ! Mon cœur a fait un bond dans ma poitrine : Bernard avait une maîtresse… Je ne croyais pas si bien dire. Je suis descendue sans faire de bruit, bien décidée à les surprendre. Je comptais faire un éclat, j’étais folle de rage. Et là, en pleine lumière, j’ai eu la surprise de ma vie ! Bernard était bien là avec cette femme. Il était nu… et attaché à la tuyauterie par des courroies de cuir. L’une d’elle était fixée au plafond et rejoignait une ceinture de cuir passée autour de sa taille. Une autre lui maintenait les poignets solidement attachés ensemble, et rejoignait un gros tuyau de plomb au ras du sol, ce qui le maintenait plié en deux le cul en l’air… Il avait les yeux bandés, et pire que tout le reste, la femme était derrière lui et l’enculait frénétiquement avec un gode à ceinture.


J’étais secouée par des sentiments contradictoires en voyant cette scène incroyable… Jalousie, étonnement bien sûr, mais aussi un trouble dont je ne m’expliquais pas la cause. Je suis restée bouche bée en bas des marches à les regarder. Ça a bien dû prendre deux minutes avant qu’ils ne réalisent ma présence, vu le délire dans lequel ils se trouvaient tous les deux. La femme avait dans les quarante ans, c’était une belle femme si on aime le genre plantureux, brune avec un visage typé d’Espagnole, très grande, au moins un mètre soixante-quinze. Elle était vêtue d’un corset de cuir à lacets qui lui comprimait la taille comme un corset 1900, et qui comportait quatre porte-jarretelles de cuir retenant des bas de nylon noir. La ceinture de cuir cloutée retenant le gode, qui disparaît presque entièrement entre les fesses écartées de mon mari, était noué par-dessus le corset. Elle portait également des souliers à talons aiguilles en cuir noir : elle devait avoir l’habitude de porter ce genre de chaussures, car malgré les ondulations très rapides de ses hanches, elle ne perdait absolument pas l’équilibre et gardant une certaine grâce dans ses mouvements. J’ai remarqué tout cela très vite parce que j’étais littéralement fascinée. Tout cela me fait l’effet d’une apparition surnaturelle.


Enfin, ils ont dû se rendre compte de ma présence. La femme s’est retournée la première. Mon mari, lui, ne pouvait pas me voir de toute façon puisqu’il avait les yeux bandés par un foulard de coton noir (qui, entre parenthèses, m’appartient…) Je ne sais pas pourquoi, mais ce détail m’a fait entrer dans une colère noire, bien plus que le fait de le trouver dans cette position insolite avec une autre femme. Je me suis jetée comme une folle sur la maîtresse de mon mari et je lui ai donné une gifle retentissante. Il faut que je précise que je suis moi-même ce qu’on peut appeler une maîtresse-femme, je mesure un mètre soixante-dix-huit, j’ai toujours fait du sport (musculation et natation), et je n’ai pas froid aux yeux comme on dit. Ma rivale en est restée sonnée. Sous le choc, le gode est sortie complètement du trou du cul de Bernard qui, les yeux voilés par son bandeau, se demandait ce qui se passait. Il a dû reconnaître ma voix quand j’ai traité cette femme de tous les noms possibles :



Je lui ai dit que je ne voulais pas qu’elle vienne faire ses cochonneries sous mon toit. J’ai fait un paquet avec ses affaires qui se trouvaient entassées dans un coin et je l’ai poussée dehors. Elle a dû enlever très vite son gode-ceinture pour enfiler ses vêtements.



J’avais déjà une idée précise de la manière dont je me vengerais de mon obsédé de mari…



J’étais dans un état de colère et d’excitation tel que je tremblais des pieds à la tête. Le gode-ceinture de sa maîtresse (dont j’ai appris ensuite qu’elle se prénommait Virginie) était composé de trois lanières de cuir assez larges, deux pour la taille et une troisième qui devait passer entre les lèvres du sexe, elles se rejoignaient au milieu des reins avec un système de clip spécial. Ma vulve était recouverte par une coque de cuir rigide de forme triangulaire qui supportait une fausse bite de bonnes dimensions (7 cm de diamètre x 25 cm de long, j’ai mesuré par la suite). Je me suis dit :



Je me suis préparée. Je n’aurais pas su dire si c’était d’excitation ou de crainte réelle. C’est vrai qu’il était totalement réduit à l’impuissance. Je pouvais faire tout ce que je voulais pour me venger de l’outrage, et je n’étais pas du genre à m’en priver. J’ai disposé la pointe du pénis de plastique rigide sur sa rosette, après lui avoir fermement écarté les fesses d’une main. Il n’arrêtait pas de gémir et de me demander ce que j’allais faire. Je n’avais jamais regardé son anus en dix ans de mariage. Il m’a semblé un peu bizarre, rouge brun, crevassé, les plis distendus… J’ai pensé qu’il avait déjà dû en voir de drôles. De fait, le gode est rentré dans ses flans comme dans une motte de beurre frais. Ça m’a énervée parce que je faisais ça pour le punir : je voulais qu’il souffre, qu’il me demande pardon. Alors je me suis tortillée de telle façon que la bite lui a baratté le cul sans pitié. À la fin, j’ai saisi la base du godemiché entre mes doigts et j’ai carrément touillé son rectum. Je ne me suis arrêtée que lorsqu’il s’est mis à gueuler et à me supplier d’arrêter. J’avais dû lui élargir encore un peu son anus, qu’il avait pourtant déjà bien accueillant. Je ne m’estimais quand même pas vengée. Je lui ai donné une bonne fessée de toutes mes forces, de la main droite. Quand j’ai eu trop mal au bras pour continuer, j’ai essayé avec la main gauche, mais ce n’était pas pratique. Je lui ai dit avec toute la méchanceté dont j’étais capable qu’il avait bien de la chance que sa maîtresse n’ait pas laissée également un martinet, car sinon il y aurait eu droit, et pas seulement sur les fesses : je lui aurais cravaché le sexe et les testicules, et les jambes sur toute la longueur. Je lui ai planté une dernière fois le gode entre ses fesses écartées, comme pour souligner mes paroles. Je me suis retirée sans douceur, ça a fait un bruit de bouteille qu’on débouche et je me suis esclaffée pour l’humilier davantage.


C’est seulement en passant devant lui pour le détacher de ses liens que j’ai réalisé que ce pervers avait le nombril tout éclaboussé de sperme frais. Ma punition n’était pas si sévère que cela, apparemment : cela avait été plutôt une récompense. Nous n’avons pas parlé ce soir-là, mais seulement deux jours plus tard. Il m’a appris qu’il me trompait avec cette Virginie depuis six mois. Il ne s’agissait pas d’une relation sentimentale, non c’était purement physique, il avait besoin de ce genre de relations sexuelles et n’avait jamais osé me les proposer. Pourtant, quelque chose en moi lui indiquait depuis le début que j’étais une dominatrice dans l’âme. Il était heureux de ce qui était arrivé. Il m’a demandé d’un ton humble si je consentirais, éventuellement, à recommencer…



C’est tout vu… Dès ce soir, quand j’aurai terminé de ce récit, il aura droit à une bonne fouettée…



Marie-Paule




PS : Ce récit imaginaire terminé depuis plusieurs mois m’a demandé une dépense d’énergie considérable. Ce que j’aimerais maintenant c’est que quelqu’un en écrive la suite (par exemple une scène à trois avec moi, Bernard et Virginie). Me contacter auparavant !

MPP