Mon histoire se passe alors que j’étais en vacances au Club Med des Maldives. C’est un site paradisiaque pour ceux et celles qui aiment la plongée sous-marine. La faune et la flore sous-marine n’ont pas leur pareil dans le monde. Une mer chaude et translucide, des poissons de toute sorte, une superbe barrière de corail et cette fois-ci une magnifique sirène.

Je veux dire par-là : une superbe fille aux cheveux mi-longs châtain clair, aux yeux vert émeraude, vingt-cinq ans environ, un mètre soixante-quinze, une poitrine de 90B environ, des courbes bien dessinées et déjà un bronzage de huit jours. Ce n’était pas la taille mannequin anorexique, mais des formes qui donnaient envie de s’y arrêter quelques instants.

Mon arrivée sur l’île se présentait sous les meilleurs hospices vu qu’elle était venue non accompagnée. Heureusement qu’il y a les barmen pour nous renseigner sur ces quelques détails.

Mon bungalow se trouvait juxtaposé à un autre, en bout d’île et à l’autre bout de la réception, des restaurants pour manger et de la piscine. J’avais demandé cet emplacement pour pouvoir être pénard sur la plage si je voulais me reposer. J’étais en train de ranger mes affaires dans ma chambre et de temps en temps je regardais par la fenêtre grande ouverte quand j’aperçus sur la plage en train de se faire bronzer la charmante personne que j’avais vue. Je m’approchais donc de la fenêtre pour admirer le spectacle. Elle avait juste un bas de maillot de bain et je voyais sa poitrine pointer fièrement vers le ciel. J’en conclus donc qu’elle avait, en plus, le bungalow à côté du mien.

Après avoir regardé cette fille quelques minutes, j’ai continué à finir de ranger mes affaires. Tout était rangé, alors je jetai un coup d’œil dehors. Elle n’était plus là, c’est alors que quelqu’un frappa à la porte. J’ouvris donc la porte.

• — Salut, je m’appelle Magalie et je suis ta voisine de bungalow.
• — Salut, moi, c’est Olivier, lui répondis-je avec un air un peu surpris.
• — J’ai vu que le bungalow était occupé alors je suis venue pour faire les présentations, je trouve cela plus sympa que de s’ignorer pendant tout notre séjour.

Je n’en croyais pas mes yeux, pour la première fois de ma vie ce n’est pas moi qui engageais la conversation avec une fille.

De plus, je l’analysai de haut en bas. Je ne m’étais pas trompé, elle était super bien foutue. Elle était devant moi avec un petit haut de maillot de bain blanc à balconnets, et un petit paréo blanc en forme de jupette nouée sur le devant qui était autour de sa taille et qui laissait entrevoir la partie gonflée par son pubis de son bas de maillot de bain blanc, lui aussi. Ce blanc ressortait parfaitement sur sa peau bronzée.

• — Ça fait plaisir de connaître si rapidement ses voisins quand ils sont aussi jolis que toi.
• — Merci, me dit-elle en rougissant un peu. Veux-tu un peu d’aide ?
• — Non, j’ai tout fini, par contre, veux-tu prendre un verre au bord de la piscine, je dois aller là-bas pour demander des renseignements sur la plongée.
• — Tu fais de la plongée ? me dit-elle.
• — Oui.
• — Moi aussi, et en plus j’adore ça !
• — Je mets un tee-shirt et j’arrive. J’étais déjà en short de bain.

Elle m’attendait, assise sur un muret à côté de la porte. Quand je sortis, elle se leva et je lui mis la main sur la hanche pour qu’elle passe avant moi. Ce contact avec cette peau chauffée par le soleil était très agréable et presque sensuel. Elle ne dit rien et se laissa faire. Pendant tout le trajet, nous parlâmes de choses et d’autres. À chaque fois que le chemin ne nous permettait pas de marcher de front, j’en profitais pour la faire passer en premier en mettant ma main sur sa hanche et admirer ses formes vues de derrière.

Je lui dis d’aller commander deux cocktails et de m’attendre au bord de la piscine pendant que j’allais me renseigner sur la plongée. Quand je revins, elle était allongée sur un transat, le petit paréo ouvert pour laisser ses jambes fines et longues prendre le soleil jusqu’à la commissure de son maillot de bain. Elle avait les yeux fermés, ce qui me permit d’arriver par-derrière sans faire de bruit. Je posai mes mains sur ses yeux. Elle ne sursauta pas, prit mes mains avec les siennes avec douceur, me les enleva de ses yeux et les ramena sur le haut de ses seins. Ce qui me fit descendre plus près de son corps. J’avais une vue imprenable sur sa poitrine et je pouvais sentir l’odeur douce de sa peau.

• — Je t’ai commandé un Pina Colada comme pour moi, me dit-elle en me regardant droit dans les yeux et en me lâchant les mains afin que je puisse me relever et m’asseoir sur le transat à côté d’elle.
• — Tu as choisi le bon, lui dis-je en m’asseyant sur le transat d’à côté.

Au bout de cinq minutes.

• — Tu viens piquer une tête dans la piscine, me lance-t-elle en se levant.
• — J’arrive.

Je la regardais enlever son paréo et se diriger vers la piscine, sa démarche était sensuelle et ça m’excitait. Je commençais à avoir une légère érection, alors je décidai pendant qu’elle était de dos de me lever et d’aller au plus vite dans l’eau afin qu’elle ne s’en aperçoive pas. Arrivé à sa hauteur, sans qu’elle ne m’ait vu arriver, je la pris dans les bras et sautai dans l’eau.

Une fois remontés à la surface, elle se jeta sur moi pour me couler gentiment, j’en profitai pour mettre mes mains un peu n’importe où sur son corps. Je bandais complètement, mais comme j’étais dans l’eau, elle ne pouvait s’en apercevoir.

Nous avons joué à nous couler pendant cinq minutes et j’en connaissais un peu plus sur son corps.

Elle me proposa alors de sortir, mais vu l’érection que j’avais, ça m’était impossible. J’eus à ce moment-là l’impression qu’elle s’en était aperçue et qu’elle voulait jouer avec cela.

• — Alors tu viens ou tu restes dans l’eau pour te calmer, me dit-elle un sourire aux lèvres.

Avant que je ne réponde, elle surenchérit.

• — Tu veux une serviette pour sortir, histoire de cacher quelque chose, ou tu sors comme ça et tant pis pour les apparences. Moi ça ne me gêne pas, au contraire.

Comme nous étions que tous les deux au bord de la piscine je lui dis.

• — Quel problème, je n’ai rien à cacher.

Je sortis alors de l’eau avec une belle bosse à mon maillot de bain. Sans me dépêcher, j’ai rejoint Magalie qui était déjà sur son transat et je me suis installé sur le mien. Mon sexe reprit alors une taille normale au bout de quelques instants.

• — Bravo, c’était sympa et très existant.

Nous avons fermé les yeux afin de profiter des derniers instants du soleil.

Lorsque j’ouvris les yeux, elle n’était plus là, je n’avais rien entendu. Il faut dire que j’étais un peu fatigué par le voyage.

Je pris ma serviette et décidai d’aller prendre une douche et me changer pour aller dîner en espérant qu’elle viendrait avec moi.

Je rentrai dans ma chambre, commençai à me déshabiller puis allai sur la terrasse pour déposer ma serviette humide sur une chaise afin qu’elle sèche. J’entendis un peu de bruit sur la terrasse du bungalow d’à côté. La terrasse d’à côté était celle de Magalie, mais il y avait un muret entre les deux terrasses pour que chacun puisse avoir son intimité.

Connaissant mon côté voyeur, je pris une chaise et l’approchai du mur. Discrètement, je passai un œil de l’autre côté du mur et je pus apercevoir à mon grand plaisir que Magalie était allongée nue sur sa chaise longue. Elle ne pouvait me voir. Je commençais à bander dur, car elle avait les yeux fermés et se masturbait.

Elle avait une main sur ses seins bien fermes en forme de pomme qui jouait avec ses tétons et l’autre main se chargeait de sa chatte. Je voyais disparaître et apparaître ses doigts dans son vagin. Elle poussait de petits cris, ce qui me provoquait une érection complète et de plus en plus douloureuse. Je commençai donc à prendre ma verge dans ma main et faire des mouvements de va-et-vient.

Elle ôta ses doigts de sa vulve trempée pour les porter à sa bouche. Elle suçait son jus intime pendant que son autre main rejoignit sa vulve récemment abandonnée. Après avoir bien sucé ses doigts, elle s’occupait de nouveau de ses seins. Mon plaisir était de plus en plus intense. Elle échangea de nouveau ses mains et tout en suçant de nouveau ses doigts, son autre main accéléra le mouvement et elle jouit fortement. Son corps était relâché et ses spasmes de plaisir arrêtés.

J’éjaculai à ce moment-là sur le mur. J’attendis quelques secondes que mon érection soit complètement retombée pour remettre mon maillot et allai la surprendre nue pour la mettre dans l’embarras comme elle m’avait mis en sortant de la piscine.

Je passai par la terrasse.

• — Salut, tu ne m’as pas attendu tout à l’heure. Oh, pardon ! dis-je en tournant légèrement la tête comme si je ne voulais pas voir sa nudité.
• — Il n’y a pas de problème, tu peux regarder, me dit-elle.

Elle venait de poser sur sa chatte son petit paréo, ce qui ne m’avait pas empêché de voir précédemment sa vulve rougie et gonflée par le plaisir et ses poils de son pubis collés par la liqueur de son vagin.

Il y avait dans l’air l’odeur enivrante de son jus intime.

• — Je prends ma douche et je viens te chercher pour manger, lui dis-je.
• — Moi aussi, donne-moi un quart d’heure et je suis prête.

Au bout d’un quart d’heure, je frappai à sa porte. En la voyant, j’eus un mouvement de recul tellement elle était belle. Elle était entièrement vêtue de blanc. Elle portait une mini-jupe blanche, une veste blanche avec juste un soutien-gorge à balconnets dessous et un collier en or. Un léger maquillage finalisait le tout.

Nous avons mangé et dansé toute la soirée. Nous partîmes ensuite nous coucher chacun dans notre bungalow en nous donnant rendez-vous le lendemain matin pour partir faire une plongée ensemble.

Après avoir passé une nuit à ne penser qu’à Magalie et au plaisir que nous pourrions prendre ensemble, nous nous sommes retrouvés près de l’embarcadère pour notre plongée

Nous avons pris un zodiaque pour aller au large. Elle était juste vêtue d’un maillot de bain deux-pièces noir. Je l’aidai à enfiler ses bouteilles, je mis les miennes et nous voilà partis sous l’eau. Pendant la descente, je n’arrêtais pas d’admirer son corps, ce qui me provoquait des érections. Nous étions au fond à une vingtaine de mètres et j’avais envie d’elle. Je décidai donc de lui faire l’amour au fond de l’eau. Je ne l’avais jamais fait auparavant.

Je m’approchai donc d’elle, j’étais au-dessus d’elle et je lui mis mes mains sur ses hanches pour tester sa réaction. D’elle-même, elle posa les siennes sur les miennes et les dirigea vers ses seins. C’était gagné. Je ne me laissai pas prier et commençai à lui caresser les seins en passant mes mains sous le tissu de son soutien-gorge.

Elle reprit mes mains et les dirigea vers son bas ventre. Je mis mes mains de chaque côté de son maillot de bain et le lui enlevai. Elle se retourna, elle était face à moi, nue. Je descendis vers sa chatte, pris une grande bouffée d’air, enlevai mon détendeur et commençai à lui lécher son clitoris et à rentrer ma langue à l’intérieur de sa vulve. Je reprenais de l’air de temps en temps et continuais à lui donner du plaisir. Elle se mit à jouir dans ma bouche et malgré l’eau salée j’avais quand même le goût de sa liqueur intime.

Je repris mon détendeur et c’est elle cette fois-ci qui m’enleva mon short et entreprit une fellation subaquatique. Elle léchait ma verge, la prenait entièrement dans sa bouche et à chaque fois qu’elle reprenait de l’air, elle faisait un va-et-vient avec ses mains. Je ne tardai pas à jouir, d’abord dans l’eau pour le premier jet et les autres jets dans sa bouche. C’était fantastique de se faire sucer à vingt mètres sous l’eau. C’était sûrement l’ivresse des profondeurs !

Elle continuait à me sucer pour lui redonner une dureté qui arriva très vite. Je me mis derrière elle qui était à genoux sur le fond et je la pénétrai en levrette. Pendant que je faisais mes va-et-vient dans cette chatte bien lubrifiée en m’aidant de mes mains posées sur ses hanches, elle se masturbait le clitoris et mettait de temps en temps ses doigts dans sa vulve en même temps que ma verge, alors que de l’autre main elle me malaxait les testicules et me caressait l’anus. Au moment où j’allais jouir, j’excitai son clitoris avec ma main et nous jouîmes ensemble.

Il était temps de remonter, nous fîmes les paliers de décompression obligatoire et une fois à la surface, près du bateau, nous nous aperçûmes que nous avions oublié nos bas de maillots de bain. Tout cela à cause de l’excitation. Sur le bateau, nous étions nus tous les deux, nous sommes tombés dans les bras l’un de l’autre et nous nous sommes embrassés en entremêlant nos langues pendant au moins cinq minutes.

Ma verge était de nouveau en érection, j’allongeai Magalie dans le bateau, levai ses jambes en les posant sur mes épaules et la pénétrai. Je caressais d’une main son bouton de plaisir et de l’autre ses seins. Juste avant de jouir, Magalie fut prise d’un fou rire qui coupa mon envie d’éjaculer.

• — Qu’est-ce qu’il y a, Magalie, lui dis-je ?
• — J’ai une envie intense de faire pipi, tu appuies sur ma vessie. Pardonne-moi, mais tu finiras après que j’ai fait pipi.
• — J’ai un fantasme, veux-tu le réaliser ?
• — Je vois lequel… D’accord, allonge-toi sur le dos.

Je m’allongeai sur le dos, elle prit ma verge dans sa main, se pénétra avec, puis commença à monter et à descendre à sa cadence. Je fermai les yeux en prenant de plus en plus de plaisir quand je sentis d’un seul coup un liquide chaud me couler sur le ventre et entre les cuisses ce qui me fit éjaculer instantanément au plus profond de son vagin.

Elle se retira, mais comme elle n’avait pas encore joui, je l’emmenai à me mettre sa vulve chaude et dégoulinante de mon sperme, de ses sécrétions vaginales et de son urine sur ma bouche. Ce mélange inconnu m’excita fortement et je lui nettoyai son petit minou qui m’avait donné autant de plaisir. Elle jouit rapidement une dernière fois.

Nous retournâmes une dernière fois dans l’eau pour nous nettoyer.

Nous sommes passés par notre bungalow pour prendre un maillot de bain avant de rapporter le bateau ainsi que le matériel de plongée au centre nautique.

Nous avons passé la semaine dans le même bungalow la nuit comme le jour et avons recommencé cette expérience inconnue pour nous deux au fond de l’eau.