n° 01569 | Fiche technique | 25502 caractères | 25502Temps de lecture estimé : 16 mn | 03/01/01 |
Résumé: Suite des aventures d'un jeune homme timide et de sa belle-mère qui l'initie aux plaisirs du sexe. | ||||
Critères: fh fplusag voir exhib noculotte entreseins pénétratio | ||||
Auteur : Amenophis |
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Vincent, jeune homme plutôt timide, a découvert les joies du sexe avec Elizabeth sa belle-mère, épouse insatisfaite de son père après l’avoir épiée en train de se masturber nue dans la salle de bains familiale. La jeune femme décide de prendre en mains la vie sexuelle du jeune homme.
Elizabeth avait son idée en disant à Vincent qu’il aurait bientôt l’occasion d’exercer ses talents de baiseur. Elle avait en effet une amie très intime qui était dans une situation tout à fait similaire à la sienne. Denise avait aussi épousé un homme plus âgé, déjà pourvu de deux grands enfants. Et surtout, pour elle aussi, il était difficile, à 36 ans, d’admettre que les ardeurs maritales soient à mettre sur le compte des souvenirs. D’origine belge, elle avait un corps qui laissait à penser que dans quelques années elle aurait la plénitude des femmes de Rubens. Dotée par ailleurs d’un tempérament volcanique, ses superbes rondeurs alliées à son goût et ses aptitudes pour les joies du sexe avaient séduit de nombreux hommes avant qu’elle ne rencontre son mari. Ce dernier avait succombé aux mêmes charmes et en avait beaucoup usé. Satisfaite sur le plan physique et très à l’aise sur le plan matériel, Denise était restée fidèle. Mais la situation s’était singulièrement dégradée depuis quelques temps. C’est en partageant quelques confidences intimes, comme seules les femmes savent le faire, qu’elles avaient découvert leur frustration commune. Depuis les deux amies avaient échafaudé des plans pour remplacer leurs maris défaillants, mais aucun n’avait abouti jusqu’à présent. Elles avaient aussi envisagé de se livrer ensemble aux plaisirs de Lesbos, mais le cœur n’y était pas. Comme le disait Elizabeth à Denise :
Une telle complicité impliquait forcément qu’Elizabeth ne puisse rien cacher, même pas ses amours incestueuses, à son amie. Elle était d’ailleurs tout à fait prête à partager les ardeurs juvéniles de son beau-fils avec sa compagne d’infortune.
Dès le lendemain, lorsque Denise vint lui rendre visite, elle s’empressa de lui conter son aventure.
Visiblement Denise prenait plaisir à décrire la situation. Inconsciemment elle se conditionnait pour profiter de la suite en se saoulant de mots crus.
Denise se mit à rire nerveusement.
"Vincent, tu connais mon amie Denise ? Je te prie de bien vouloir la baiser, et tout à l’heure je vous rejoindrai"?
Le lendemain, Vincent n’ayant pas cours l’après-midi, était rentré vers 14 heures. Il avait embrassé sa belle-mère sur la joue, mais avec une certaine gêne, ne sachant quelle attitude adopter. Elizabeth n’avait rien dit, rien manifesté. Une demi-heure plus tard environ, on sonna, Denise était là, souriante et particulièrement sexy. Elle portait une mini plissée qui oscillait autour de ses hanches quelque peu généreuses. Ses jambes étaient mises en valeur par de longues bottes blanches. Quant à sa poitrine, elle semblait vouloir jaillir du corsage. Denise comme beaucoup de femmes un peu rondes avait une poitrine pleine avec une large assise qui la maintenait très droite sans le support d’un soutien-gorge. C’était le cas ce jour-là et les pointes dressées apparaissaient nettement en relief.
Elizabeth la contempla en souriant :
Les deux jeunes femmes discutèrent un quart d’heure, puis Elizabeth alla prévenir Vincent qu’elle sortait pour un court rendez-vous.
Vincent vint donc au salon, et la tenue de Denise lui fit immédiatement l’effet escompté. Elle était debout devant lui, et il crut que ses seins allaient lui sauter au visage.
Vincent ne croyait pas être si bien dire en parlant d’absence de culotte. Il en eut la preuve quelques minutes plus tard lorsque Denise se fut installée à demi assise sur un tabouret près du bar. Cuisses écartées, jupe relevée en haut des cuisses, elle dévoilait avec une totale impudeur sa toison blonde, coupée courte. Vincent assis en contrebas sur le canapé ne pouvait ignorer aucun détail.
Denise, le sourire aux lèvres observait le garçon avec satisfaction :
Elle pêcha une cigarette dans un petit coffret sur le bar, descendit du tabouret avant de se diriger vers Vincent.
Vincent prit le briquet de bureau posé sur la table de salon tandis que Denise se penchait vers lui. Lorsque son regard revint vers elle, il put plonger dans le décolleté profond. Les deux seins étaient là, chauds, vivants et prêts à toutes les caresses. Les pointes bistres étaient dardées, bien dressées par le frottement du tissu. Et puis ce sillon profond qui devait être torride. C’est cela qui l’excitait particulièrement. Tout le temps que dura l’allumage, et il dura longtemps, Denise lui tint les mains. Mais lui ne pouvait détacher ses yeux de cette paire de seins si prometteurs de délices.
Enfin Denise se releva laissant Vincent étourdi, la tête en feu et le sexe dur à lui faire mal. Elle se dirigea vers le bar, et là se baissa pour ramasser le paquet de cigarettes qu’elle avait sciemment fait tomber en descendant du tabouret. Son coup était rudement bien calculé. En se baissant la jupe remonta évidemment sur ses fesses, et Vincent crut défaillir. À deux mètres de lui, il avait la vision la plus érotique qui soit pour un jeune homme hétéro normalement constitué. Denise offrait deux fesses blondes et rondes à souhait, séparées par la raie à peine plus sombre qui s’ouvrait sur une chatte somptueuse aux poils courts, au clitoris émergeant fièrement au milieu des lèvres bien ourlées.
Vincent eut un hoquet. Ce cul épanoui et au-dessous cette chatte dont il pouvait admirer les moindres détails eurent raison de sa timidité et de son inexpérience des femmes. Sans réfléchir. Il se leva brusquement et en deux pas rejoignit l’objet de sa convoitise. Ses deux mains se plaquèrent sur les fesses offertes et se mirent à les caresser avec frénésie, puis à procéder à quelques incursions du côté du sexe de la jeune femme. Denise sourit et savoura la caresse qui se faisait de plus en plus insistante, de plus en plus précise. Elle attendit quelques secondes, le temps que Vincent introduise un doigt dans son vagin, pour se retourner avant de se relever.
Vincent décontenancé ne savait plus que faire. Rouge, les bras ballants, il attendait la suite de l’algarade.
Ce fut Denise qui remit les choses en place.
En disant cela, Denise mit carrément sa main entre les jambes du jeune homme et caressa doucement cette tige de chair dure. Elle ajouta en souriant :
Vincent, libéré par ces paroles, ne se le fit pas dire deux fois. Il enlaça la jeune femme et commença à l’embrasser un peu maladroitement à pleine bouche. Denise se mit immédiatement à jouer de la langue avec un art consommé, tandis qu’elle continuait à masser la superbe bosse qui déformait le pantalon du jeune homme. Ce dernier, ému et très impatient, tentait de toucher un maximum des trésors qu’il avait à portée de main. Il caressa d’abord les seins de Denise qu’il trouva délicieusement doux et fermes. Puis il souleva la courte jupe pour lui peloter les fesses, avant d’introduire ses doigts dans le sillon qui lui paraissait être un début de Nirvana. Denise tendit les fesses en arrière et il put lui caresser l’anus et la chatte qui déjà était bien lubrifiée et dans laquelle il put s’introduire sans difficulté. La jeune femme gémit sous la caresse.
En quelques minutes ils furent nus. Denise fut agréablement impressionnée par la taille de la verge de Vincent. Elle la flatta quelques instants, dégagea complètement le bout de sa gaine de peau, et frotta la paume de sa main sur la base du gland, là où les terminaisons nerveuses sont particulièrement nombreuses. Sous la caresse experte de Denise, une onde de plaisir intense traversa le garçon, sa verge se redressa et grossit encore et le désir fou le submergea.
Denise sourit et cessa ses agaceries :
Denise se retourna et à genoux sur le lit, cuisses écartées, offrit complaisamment et sans pudeur une vision splendide sur ses fesses magnifiques et sur sa chatte luisante de mouille, tout à fait prête à recevoir la grosse bite de Vincent qui bandait toujours aussi durement.
Le jeune homme s’approcha, pesant d’une main sur son sexe pour l’abaisser à l’horizontale, prêt à s’enfoncer d’un seul coup dans le vagin offert. Denise, dans un geste d’impudeur totale, écartait les lèvres de sa chatte pour lui indiquer le chemin. Vincent, avant de la pénétrer, put admirer le clitoris frémissant et perlé d’une goutte de foutre et au-dessus le fourreau accueillant qui ruisselait de cyprine.
Le gland toucha enfin le sexe offert. D’une seule poussée il s’introduisit en prenant la jeune femme aux hanches. Avec un "han" de bûcheron, il s’enfonça jusqu’aux couilles d’une seule poussée et se mit à la pistonner sur un rythme qui traduisait son excitation. Malgré l’intense émotion que suscitait en elle cette fougue, Denise intervint pour le discipliner un peu:
Vincent avait de plus de mal à se retenir de jouir:
La légère vexation causée par le doute émis sur ses capacités fit que Vincent put mieux contrôler son excitation. Il protesta néanmoins:
Un orgasme violent secouait Denise des pieds à la tête. Elle lançait son cul vers la verge qui lui pilonnait la chatte. Son corps se tordait de plaisir, elle mordait les draps et des larmes de bonheur coulaient sur ses joues
Vincent qui avait enregistré la déclaration de la jeune femme sur les vrais hommes qui devaient d’abord faire jouir leur partenaire, se tenait à quatre pour ne pas éjaculer à son tour. D’autant qu’il sentait le vagin tout chaud et dégoulinant de foutre se resserrer autour de son sexe comme un fourreau de soie. Son sexe y glissait avec délices, c’était à la fois doux et si enveloppant… Le foutre éjecté par la chatte de Denise était si abondant que ses couilles en étaient recouvertes. Serrant les dents, il parvenait difficilement à retenir sa décharge. Ses testicules commençaient à lui faire mal… Et Denise jouissait toujours. Sa tête roulait de droite et de gauche tandis qu’elle gémissait sans arrêt. Son foutre continuait à sourdre de son vagin, irisé, chaud et d’odeur un peu poivrée. Il semblait à Vincent qu’elle ne s’arrêterait jamais. Enfin l’orgasme décrut lentement et le gémissement de Denise se transforma en un râle de gorge. Son corps s’affala doucement sur le lit, libérant la queue du garçon de son fourreau de chair juteuse.
Vincent avait apprécié le goût des secrétions féminines lorsqu’il avait sucé sa belle-mère. Aussi, oubliant pour un temps son envie de décharger, il voulut profiter de l’aubaine.. Denise s’était retournée sur le dos et toujours impudique, remontait les genoux écartés jusqu’à ses seins. Elle offrait ainsi largement sa chatte à son amant. Sans attendre, Vincent enfouit son visage dans la vallée torride, dont les poils luisants de cyprine étaient collés ensemble. Il se mit à brouter la motte offerte, labourant de sa langue rigide, le clitoris sensible et gonflé par l’orgasme, aspirant les longues traînées de foutre qui s’étiraient en fils qui adhéraient encore quelques instants à la chair en feu.
Denise sous la caresse rugit férocement. Son plaisir, un instant en sommeil, se réveilla brutalement et un nouvel orgasme la secoua. De son vagin sortit une nouvelle coulée de foutre que Vincent s’empressa d’avaler. Cette nouvelle jouissance anéantit complètement la jeune femme, et bien que le jeune homme soit toujours en train de lui lécher le clitoris, elle n’eut plus aucune réaction.
Lorsque son jeune amant s’arracha aux délices des chairs vaginales, Denise refit surface lentement.
Elle positionna Vincent allongé les jambes pendantes hors du lit puis, redressant la queue qui battait contre son ventre, elle la plaça entre ses seins de manière à ce que le gland montre juste sa petite bouche dans le haut de la vallée. Puis doucement, pressant de ses deux mains ses seins magnifiques, elle se mit à monter et descendre, faisant frotter toute la longueur du sexe contre sa chair chaude et douce.
Vincent fermait les yeux, savourant la nouvelle sensation. Un frisson de plaisir s’irradiait depuis son sexe dans tout son corps.
Alors que les dernières gouttes de sperme jaillissaient du gland de Vincent, Elizabeth qui attendait depuis un moment en regardant l’évolution de la situation par la porte entrebaillée, entra.
A suivre