n° 01627 | Fiche technique | 12219 caractères | 12219 2102 Temps de lecture estimé : 9 mn |
29/05/23 corrigé 29/05/23 |
Résumé: Je fais partie d’un ensemble musical où je suis majorette. Quand il y a des majorettes, il y a bien sûr des musiciens… | ||||
Critères: fh bus intermast fellation | ||||
Auteur : Flo (Fille qui aime le sexe et l’amour) |
Je compte vous raconter une histoire vraie (pas des bobards, une vraie de chez vraie !). C’est l’histoire de mes premiers émois avec mon mec de maintenant ; c’est frais d’il y a deux ans. Je compte juste changer quelques trucs, car je pourrais être démasquée.
J’avais 18 ans (pour respecter les règles de publication, car j’en ai aujourd’hui 19, trouvez l’erreur) et traversais depuis six bons mois un désert sentimental terrible. J’avais quitté mon ancien copain sur un coup de colère, une futilité, comme souvent. J’espérais qu’il me revienne ou qu’il fasse au moins le premier pas, mais il a préféré se faire une de mes copines (tous des s…, les mecs !). J’étais donc disponible, voire carrément à l’affût d’une occasion, même éphémère, histoire de rompre la monotonie des jours qui se suivaient sans la moindre émotion sentimentale.
Je comptais bien mettre à profit notre déplacement en Espagne pour essayer quelque chose. Je dois préciser que je fais partie d’un ensemble musical où je suis majorette, et quand il y a des majorettes, il y a bien sûr des musiciens ! Le déplacement était long (plus de huit heures de bus) et le mélange filles/garçons courant dans les bus. L’occasion était trop belle.
Depuis longtemps, je connaissais un mec, saxophoniste de son état, franchement beau garçon. C’était un dragueur patenté, certaines majorettes avaient succombé à son charme, mais son cœur volage le faisait butiner de fleur en fleur sans réellement en apprécier la saveur (c’est bien dit, hein !). « Radio copine » me laissait entendre qu’il était seul comme moi en ce moment et que c’était peut-être l’occasion d’essayer quelque chose. Je dois avouer qu’on me classe plutôt dans les filles mignonnes, 1,70 m, une poitrine bien faite de taille plutôt mince avec des jambes longues et fines. Il avait d’ailleurs à une époque tenté sa chance, mais j’étais avec ce s…
À l’aller, j’étais à cinq places devant lui et il jouait aux cartes avec des copains. Rien n’était perdu, c’était plutôt le retour qui était propice aux tentatives. Le festival se déroulait bien, le repas du soir aussi. En fin de repas, je m’arrangeai pour passer à côté de lui et l’abordai avec un sujet bidon. C’était l’occasion de monter avec lui dans le bus et, de ce fait, de m’asseoir à ses côtés. À mon avis, il n’était pas dupe de la situation. Nous avions choisi la banquette du fond qui avait été désertée par une équipe de trois jeunes de dix ans. Nous avons bavardé pendant un petit moment, la nuit était tombée et l’obscurité s’était installée dans le bus. Le chahut de la première heure avait laissé place au silence. Le sommeil, avec l’aide de la monotonie du trajet en autoroute, avait eu raison des plus courageux.
Je commençais à trouver le temps long moi aussi, assise à côté de lui sans rien faire. Ma déception devant son manque d’initiative me faisait bientôt tomber dans un léger sommeil. Je profitai de l’occasion pour poser ma tête sur son épaule. Je sentis son bras faire le tour et me prendre par l’épaule. Avec son autre main, il souleva doucement mon menton avec son index et déposa délicatement ses lèvres sur les miennes. J’entrouvris ma bouche comme signe de consentement. Nos langues se mélangèrent délicatement pendant de longs instants. La tendresse de ce baiser fit monter très vite mon excitation. Sa main libre descendit le long de mon cou pour s’arrêter sur un de mes seins. Il le prit délicatement à pleine main, puis titilla le téton à travers le chemisier. Je sentis ses doigts agiles faire des merveilles et le plaisir commença à naître en moi. Mon excitation monta d’un cran. Le tissu fin, associé au fait que je ne portais pas de soutien-gorge, rendit la caresse vraiment délicieuse. Je crois que de sentir mes seins directement sous ses doigts n’était pas étranger à l’accélération de son souffle.
Sa main remonta jusqu’au premier bouton de mon chemisier qu’il enleva facilement. Sa bouche quitta alors la mienne à mon grand regret pour descendre dans un premier temps dans mon cou, et s’arrêter ensuite sur la partie de ma peau mise à nu où il déposa un délicat baiser. Il enleva les trois boutons suivants qu’il accompagna aussi d’un baiser sur ma peau brûlante. D’un geste expert, il entrouvrit mon chemisier pour dégager un de mes seins. Je regardai discrètement pour voir si tout le monde dormait encore ; ça semblait être le cas. Les bouts de mes seins devenaient hyper sensibles et l’arrivée de sa langue sur mon sein dénudé accentua encore le phénomène. Il s’y prenait de façon admirable et je sentis mon corps s’enflammer. Mon sexe commença à mouiller sérieux et on ne faisait pourtant que commencer. Je ne savais pas dire si c’étaient mes six mois de sevrage, son expérience évidente ou la peur d’être vue dans le bus, mais mon excitation était déjà à son paroxysme et je ne pouvais m’empêcher de soupirer à chaque coup de langue savamment prodigué. Sa main quitta le sein pour descendre sur mes cuisses. Je portais une minijupe noire plissée. Le début de nos ébats avait déjà notablement remonté ma jupe et sa main n’eut aucun mal à remonter jusqu’à ma culotte de soie. Il caressa l’intérieur de mes cuisses légèrement entrouvertes de bas en haut et de haut en bas en s’arrêtant à la hauteur de ma culotte, il redescendait ensuite jusqu’aux genoux. Ses mains frôlaient ma peau et provoquaient en moi des frissons de bonheur. J’avais besoin de sa bouche, ce qu’il fit aussitôt. Sa main remonta cette fois-ci plus doucement et se plaqua sur mon sexe en feu. De son index, il dessinait mon sillon à travers la soie fine. Je sentis son doigt à l’entrée de mes grandes lèvres. Il continua à me caresser à travers la culotte un petit moment. Ma pauvre culotte devait être dans un état… je ruisselais de plaisir. Sa langue se mélangeait fougueusement à la mienne et je sentais que ses caresses et ses baisers me conduiraient bien vite à l’orgasme.
Soudain, sa main arrêta de malmener ma culotte. Il prit ma main dans la sienne et la guida jusqu’à sa braguette. Sa main était collante et témoignait, s’il en était besoin, de mon excitation. J’entrepris de dégrafer son pantalon, sans résultat (pas douée, la gonzesse, hein !). Il faut dire que c’était la première fois que j’essayai la manipulation. Devant mon manque d’efficacité, il prit, si l’on peut dire, les choses en main et dégrafa lui-même son pantalon. Il baissa légèrement son slip pour laisser sortir une barre de chair d’une taille tout à fait honorable ! Il prit ma main qu’il déposa sur son sexe. Je le pris délicatement entre mes doigts et entrepris de le décalotter doucement. Les lueurs des phares des voitures que l’on croisait laissaient entrevoir un gland luisant, signe d’une excitation avancée. J’entrepris de le masturber, ce que je n’avais pas fait dans cette position jusqu’à ce jour. Il sembla apprécier la manœuvre (enfin, je crois), je sentis sa main prendre ma nuque et attirer mon visage vers sa verge. Je compris bien vite ce qu’il voulait. C’était une chose que je n’avais jamais faite, je trouvais ça sale et mon copain de l’époque ne le souhaitait pas plus que ça, donc nous étions restés à des caresses classiques. L’excitation aidant, je ne trouvai plus ça si sale que ça, voire même excitant de voir si j’étais à la hauteur du challenge. Je ne comptais pas rester devant cette queue comme une poule devant un couteau. Je finis l’approche et déposai mes lèvres sur le gland. Il y avait une légère odeur de fauve (mais sans plus). Je décidai de le sucer un peu puis de le lécher. Je décidai ensuite de commencer à l’introduire dans ma bouche. Je réussis à introduire le gland complet et réalisai des va-et-vient en aspirant et faisant glisser le gland sur ma langue. Sa main se mit à prendre le relais et imprimer elle-même le rythme des va-et-vient et la profondeur de la pénétration de son sexe dans ma bouche. Il alla alors profond et eut tendance à buter sur mon palais. Tout à coup, je sentis un raidissement de ses cuisses. Un instant de panique à l’idée de sentir du sperme dans ma bouche me fit redresser la tête. Ce fut au moment de la sortie du sexe de ma bouche qu’une grosse giclée de sperme aspergea mon visage. La main me prit de nouveau fermement la nuque et me réintroduisit presque de force le sexe dans la bouche pour redémarrer les mouvements. Il fut plus vif et sa bite alla encore plus profond dans ma bouche. Je sentis de nouveau des spasmes se produire, mais je ne pus rien faire d’autre que d’avaler les quatre giclées de sperme qui en suivirent.
Il relâcha ensuite l’étreinte de ma nuque, ce qui annonça la fin des ébats. Je me redressai, assez fière de mon résultat malgré le sperme qui ruisselait de mon visage. Je jetai de nouveau un œil dans le car, tout semblait calme. Tout ceci n’avait fait qu’entretenir mon excitation, ce qui n’échappa pas à mon partenaire. Il me demanda de m’adosser à cheval entre le fauteuil et la fenêtre de façon à bien être cachée. Je m’exécutai sans attendre. Il prit mes cuisses qu’il posa sur les siennes. Je sentais le sperme continuer sa descente entre mes seins sous l’effet de mes mouvements. Il glissa ses mains entre mes cuisses de façon à les écarter et avoir le champ libre. Je coopérai bien évidemment à la réussite de l’opération. Délicatement, il fit remonter ses mains par l’extérieur de mes cuisses pour remonter jusqu’à mes hanches. Je sentis ses doigts s’introduire dans l’élastique de ma culotte. Il baissa ma culotte jusqu’au premier tiers de mes cuisses, juste assez pour décoller ma culotte de mon sexe gluant et laisser libre accès à mon petit triangle. Mon excitation venait de redoubler.
Sa main caressa l’intérieur de mes cuisses jusqu’à l’entrée de mon sexe. Il glissa son index à l’intérieur de ma fente pour y trouver mon petit bouton. Son doigt s’introduisait légèrement dans mes petites lèvres et ressortait titiller mon clitoris. Je ne me maîtrisais presque plus. Je gémissais de plaisir, totalement livrée à ses caresses. Il devint plus entreprenant et introduisit deux doigts dans ma fente ruisselante. Il entreprit un va-et-vient savoureux et j’entendis un bruit de succion à chaque aller-retour. Il se mit à accélérer tout en profitant de sa main libre pour titiller de nouveau mon clitoris. Le plaisir décupla très vite et accentua aussi des gémissements. Un orgasme d’une violence jamais atteinte (7 sur l’échelle de Richter) ne tarda pas à naître. Il était très violent et prolongé, car il continuait ses caresses. Je dus mettre ma main sur ma bouche pour étouffer mes gémissements. Quand enfin mon volcan intérieur fut éteint, j’étais toute molle et à demi somnolente !
J’enlevai péniblement mes cuisses des genoux de mon bienfaiteur et jetai un œil par-dessus les fauteuils pour vérifier si mes cris avaient réveillé quelques voyeurs. Tout était calme. Mon sexe battait encore tant il avait été sollicité. Je réajustai ma culotte et mon chemisier, non sans oublier d’essuyer le reste de sperme sur mon visage, dans mon décolleté et sur ma main qui avait étouffé mes cris. Mon compagnon termina aussi son réajustement. Nous terminâmes le voyage sans un mot, l’un contre l’autre. J’étais pour ma part un peu honteuse de ma fougue, craignant qu’elle ne soit mal perçue par mon brillant amant.
Le voyage toucha à sa fin. Le bus s’arrêta devant la salle municipale, notre terminus. La lumière chassa l’obscurité dans le bus. Tout le monde se leva difficilement, Je me levai aussi et croisai son regard. Il me laissa passer devant lui et nous descendîmes le bus ensemble pour récupérer nos bagages.
L’accueil de quelques copines aux sourires révélateurs à la descente du bus me fit craindre le pire. Je récupérai mes bagages, sous les regards curieux, en restant impassible. Nous nous quittâmes donc sans laisser paraître le moindre sentiment, juste un baiser sur la joue. Je rejoignis ensuite mes copines pour faire un bout de chemin ensemble. J’évitai astucieusement toutes questions sur le sujet pendant le trajet (en accélérant même un peu le pas), mais leurs regards en disaient très long. J’en soupçonnai certaines d’avoir peut-être oublié de dormir pendant le voyage retour.
Je vous raconterai une prochaine fois (si j’ai un peu de courage) la suite de nos ébats (car il y en a eu d’autres) si ça vous dit ! À voir…