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n° 01713Fiche technique13166 caractères13166
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Temps de lecture estimé : 9 mn
30/05/23
corrigé 30/05/23
Résumé:  Marika prend une auto-stoppeuse en revenant de Bordeaux ! Une curieuse auto-stoppeuse qui ne tardera pas à afficher son ambiguïté et qui subjuguera notre hénoïne !
Critères:  fh extracon voiture autostop travesti fellation cunnilingu 69 préservati fsodo hgode
Auteur : Jean-Sébastien Tiroir  (Merci de me permettre de sortir mes récits de... mes tiroirs)            Envoi mini-message
Marika Lynn

Marika est au volant de sa voiture (ou du moins, celle de son époux) elle rentre chez elle en banlieue parisienne. Ce voyage à Bordeaux n’a rien eu d’une partie de plaisir. Un enterrement n’est jamais drôle, même s’il s’agit d’une belle-mère qui la détestait. Son mari est resté quelques jours afin de régler un certain nombre de détails, il rentrera en TGV.


Marika est une femme plutôt grande (1,75 m). Elle est bronzée (les seins aussi, et ceux-ci sont de taille moyenne : 85 C). Elle a les yeux verts, les cheveux courts à peine bouclés, mais qui lui couvrent la nuque. Elle est (presque) toujours souriante. Elle est vêtue au moment où débute notre histoire d’une petite jupe blanche assez courte et d’un caraco bleu ciel en dessous duquel elle n’a pas mis de soutien-gorge, ce qui pour elle reste exceptionnel. (Pardon ? Est-ce qu’elle a une culotte ? Bien sûr qu’elle a une culotte ! Pour quelle raison n’en aurait-elle pas ?)


Elle sort de l’autoroute, elle en a marre, et d’abord elle mangerait bien un morceau, la voici maintenant sur une petite nationale qui traverse un tas de petits villages, elle cherche un restaurant, mais ne trouve rien, elle s’arrête néanmoins dans une sorte de bistrot où elle achète un sandwich. Puis elle repart, pas envie de reprendre l’autoroute, elle continue sur la nationale. Là-bas, une femme fait du stop une grande femme avec une grande robe blanche, elle rigole :


« La mariée s’est échappée ! »


Elle s’en approche et s’arrête à sa portée :



Whaa ! La voix pas possible, encore une qui doit fumer ses cinquante gitanes par jour !



« Maintenant que je me suis arrêtée, je me sens un peu obligée de la prendre, j’espère qu’elle ne va pas bombarder tout le long du chemin ! »



« Elle se fout de ma gueule ! »


Marika la regarde, elle a un look marrant, très grande, mince, peu de poitrine, mais un peu quand même, le visage est assez allongé, elle a de longs cheveux roux bouclés et surtout un grand nez pas possible.


« C’est ce qui fait son charme ! »


Elle est assez mignonne, assez pour réveiller certains démons qui ont décidément beaucoup de mal à rester tranquilles. Quelque chose cloche quand même, mais Marika ne sait pas encore dire quoi.



La conversation s’arrête, elle jette un coup d’œil sur son visage, et soudain : déclic !

Quelques imperceptibles poils sur le visage repoussent ! Un travelo ! Ou tout simplement une pauvre fille qui a des problèmes d’hormones. Et puis cette voix trop rauque. C’est instinctif, elle jette un coup d’œil dans l’entre jambe de la créature, mais l’ampleur de la robe l’empêche de découvrir le moindre indice, elle jette néanmoins un deuxième, puis un troisième coup d’œil.



Elle se rend compte de sa bévue.



Il se met à bâiller



Gilda s’endormit quasi instantanément, il ronflait littéralement. Charmant bruit de fond. Le temps passe, la route défile. Elle ne se décide à le réveiller qu’en arrivant en région parisienne !



Elle s’apprête à lui demander si elle lui plaît, mais se ravise, elle a le temps désormais.


C’est vers 20 heures que Marika se gara devant son petit pavillon de banlieue.



Après avoir fait l’inventaire des boîtes de conserve et inspecté le frigo, Marika poussa un soupir d’agacement !



En attendant l’arrivée du livreur, nos deux complices allèrent s’asseoir quelques minutes dans le jardin. Marika dévisageait Gilda, s’amusant de l’état quelque peu altéré de son maquillage sous lequel les poils de la barbe commençaient à se voir un peu trop. Malgré tout, le charme que dégageait cette créature était certain. Marika eut une idée :



Gilda n’était pas folle, elle reçut parfaitement le message, récupéra sa petite trousse de toilette dans son grand sac et entreprit de rectifier tout cela.

Elle arriva rayonnante, dans la salle à manger, où le livreur chinois venait juste d’apporter les plats. Elles dégustèrent ensemble quelques nems et du canard laqué agrémenté de riz cantonais. Elles burent aussi plusieurs verres d’un bordeaux qu’on disait excellents. Marika n’en pouvait plus de regarder cette créature qui lui faisait face et qui la faisait mouiller d’excitation. Elle avait une façon quand elle parlait de se croiser les mains, doigts tendus, mettant en valeur ses beaux ongles vernis. Des doigts faits pour la caresse ! Marika se demandait comment elle allait attaquer, mais ce fut Gilda qui fit le premier pas. D’une façon complètement innocente, elle se leva de sa place, vint se placer derrière la chaise de Marika, et lui mit les mains sur les épaules. Du bout des doigts, elle entama un mini massage.



Marika tourne légèrement son visage. Gilda se penche. Marika entrouvre la bouche et se passe la langue sur les lèvres. Gilda de sa propre langue vient caresser celle de Marika et les deux complices s’embrassent fougueusement. Un long baiser, un baiser passionné. Gilda fait alors glisser la fine bretelle du caraco de son hôtesse dévoilant un sein dont elle agace le joli téton entre deux doigts fureteurs. Marika ne veut pas être en reste et pelote les seins du travesti à travers l’étoffe. Mais ces vêtements finissent par gêner, elle l’en débarrasse, tandis que la deuxième bretelle de son caraco s’échappe à son tour. Elles sont à présent toutes les deux les seins à l’air. Ceux de Gilda sont petits, mais très mignons, terminés par de petits tétons qui savent bien se raidir au contact de la langue de Marika. Gilda apprécie la caresse et se pâme de plaisir.


Gilda fait lever sa copine de son siège et en profite pour lui descendre sa petite jupe. C’est à son tour de lécher la poitrine de son hôtesse, une poitrine un peu lourde et pourvue de larges aréoles brunes.


Nos deux diablesses s’embrassent à nouveau tendrement. Marika rigole de sentir le grand nez de Gilda cogner contre le sien un peu à la manière dont les Eskimo se disent bonjour. Marika a maintenant mis sa main sur la culotte de Gilda et palpe à travers le tissu la bite déjà raide du travesti.


Tout en continuant de s’embrasser, elles font toutes deux descendre leur culotte. Marika est donc maintenant toute nue, tandis que Gilda est en bas et porte-jarretelles blancs. Son sexe est bien bandé et présente un bel aspect, il est terminé par un ravissant petit gland de couleur rose foncé. Marika n’en peut plus, ce sexe, il lui faut, elle s’agenouille alors devant le travesti et lui lèche l’extrémité du gland, cela a pour effet immédiat de redresser encore un peu plus la chose. Elle continue pendant de longues minutes cette bonne caresse buccale ! Elle adore cela. Quelques gouttes finissent par surgir, signifiant par là que Gilda apprécie hautement cette gâterie. C’est le moment que choisit alors Marika pour commencer une fellation en règle, essayant d’introduire la verge de sa compagne du 3e sexe dans sa bouche, autant que faire se peut.


Elles décident de continuer leurs ébats dans la chambre conjugale. Gilda se couche alors sur le lit et Marika peut alors reprendre sa pipe savante. Cette dernière mouille comme elle n’a que rarement mouillé. Elle a envie de jouir, et sans lâcher de sa bouche la queue du travesti, elle change de position, se mettant en 69. Gilda a très bien compris le message et entreprend de sucer la chatte de son hôtesse qui ne tarde pas à jouir et qui s’écroule, pantelante, inachevant du coup sa fellation.


Mais personne n’est pressé ce soir, elle prend dans sa main ce joli petit sexe et le masturbe quelques instants. Soudain, Marika à une idée. Elle fouille dans le tiroir de la table de chevet et en extrait un gode-ceinture.



Marika se harnache du gode ceinture et le revêt d’un préservatif bien lubrifié, puis elle se couche. Le gode est tout de même de bonne taille. Du coup, Gilda s’empale dessus, contrôlant elle-même son introduction. Par rapport à Marika, elle s’est mise sur le côté, un pied entre les jambes de sa partenaire, l’autre à l’extérieur de ses cuisses. L’introduction est assez lente, mais elle parvient à presque tout faire entrer dans son anus, et entreprend alors des mouvements de va-et-vient. Marika en profite pour lui branler la bite qui a maintenant repris bonne forme.


Quand il eut estimé que le « chemin » était fait, Gilda quitta sa position et se mit à quatre pattes.



Elles finirent par s’écrouler sur le lit, épuisées, et se reposèrent à nouveau quelques instants.



À ces mots, Marika s’empara à nouveau du sexe de Gilda pour le revigorer d’une main experte, et se plaça en paresseuse, invitant le travesti à la sodomiser. Sa bite rentra facilement. Mais Marika aimait bien rester maîtresse de la situation, et elle préféra finir cette enculade en chevauchant Gilda, et tandis que de son corps, elle faisait coulisser le sexe dans son anus, de son autre main elle se branlait le clitoris, les yeux fermés, ivre de plaisir. Elle ne tarda pas à jouir de nouveau. Alors, Gilda de par en dessous donna quelques vigoureux coups de reins pour jouir à son tour, éjaculant dans les entrailles de son hôtesse d’un soir !



(Mais voilà qui fera l’objet d’une autre histoire !)