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n° 01735Fiche technique13170 caractères13170
Temps de lecture estimé : 8 mn
29/01/01
corrigé 24/10/22
Résumé:  Déçu par la puérilité des midinettes, il fait la connaissance d'une femme beaucoup plus mure...
Critères:  fh fplusag fagée grosseins campagne voir cunnilingu pénétratio
Auteur : Solal  (Homme, 30ans... érotiquement)
60 ans... aussi l'âge de l'amour !

Colette était une personne assez charmante pour son âge mais pas vraiment de celles qu’on remarque. Ses traits étaient fins et sa bouche bien dessinée. Ses yeux verts étaient si clairs qu’ils étaient presque transparents… Les formes arrondies de son corps traduisaient un léger surplus de poids qui charmait néanmoins mon œil et ses seins étaient lourds et gros. Colette avait une belle peau blanche et… 67 ans.


C’était il y a deux ans. J’avais 28 ans. Mes amours étaient peu nombreuses. La puérilité des midinettes m’ennuyait et je me décourageais assez vite devant les coquetteries des filles trop comme il faut. Enfin, pour tout vous dire, les femmes mûres (très) m’excitaient à la folie… Comment vous dire… L’émoi des sens… Ce mélange de charme désuet, de plénitude des formes, d’érotisme à retrouver, de sensations nouvelles, d’attente…


L’hiver finissait. Les journées baignaient dans un soleil doux et caressant. Colette était venue en vacances pour Pâques avec son fils récemment divorcé. Pierre, c’était son nom, était plus âgé que moi et, à quarante ans, il passait une étape difficile… Nous nous étions rencontré au Café du Cours à Aix puis nous nous étions revus à deux reprises. Quelques jours après, il me présenta sa mère, blonde et émouvante… Nous nous promîmes d’aller déjeuner tous les trois dans un restaurant que je connaissais, près de Pertuis.


J’avais remarqué son visage doux malgré les quelques rides, ses yeux si clairs et sa poitrine généreuse sous un chemisier bien boutonné. J’étais ému et mes regards se voulaient déjà entreprenants. Je la regardais comme on regarde une fille de mon âge, avec les yeux doux et légèrement hypocrites. Elle s’en aperçut mais trouva cela plutôt agréable et il me semble qu’elle en fut elle-même, émue.


Le lendemain, je passai à leur hôtel vers 11 h 30. Ils attendaient devant la Fontaine des Quatre Dauphins. Je ne vis qu’elle ! Elle avait un pantalon noir, un pull col roulé et un gilet ouvert. Stricte et classe à la fois. Ses cheveux gris, tombaient sur la nuque en cascades avec application. Je remarquais la forme de ses seins imposants et le dessin subtil de ses lèvres, une invitation au baiser…


Au restaurant, nous avons bu un verre dans un petit salon rustique avant de regagner notre table. Elle était en face de moi, silencieuse et souriante. De temps en temps, elle passait la langue sur ses lèvres détournant mon regard… Dieu que j’avais envie d’elle ! Envie de découvrir sa peau, ses seins, ses fesses larges, ses cuisses trop fortes, toutes ces parties du corps de la femme vouée spécifiquement à l’amour, au plaisir… mes pensées s’égaraient en la regardant et je n’entendis rien quand Pierre me proposa d’aller nous installer à table, mon regard accroché au visage de sa mère… Quand je m’en aperçus, je rougis violemment ce qui fit rire Pierre et sourire Colette… le sang m’empourprait et de grosses gouttes perlaient à mon front. Je dus m’absenter quelques minutes pour reprendre mes esprits.



Avant de nous quitter, je décidai de l’inviter à découvrir la région en voiture puisque son fils, nous apprit-il pendant le déjeuner, projetait de faire les caves à la découverte d’un bon vin de pays. Elle accepta facilement. Elle ne cessait de me sourire et, voyant qu’elle était en terrain favorable, me faisait du charme… j’étais aux anges.


En rentrant chez moi, je ne pensais qu’à elle, mes pensées n’étaient qu’érotisme… Elle vibrait pour moi aussi, j’en étais sûr… À l’idée de partager l’amour avec cette femme de l’âge de ma grand-mère, j’eus une érection violente. En arrivant à la maison, sous la douche, je me masturbai puis dans le salon, nu, traversé par mille obscénités, je recommençai. Mes mains fouillaient mon entrecuisse, je me branlais avec un bonheur parfait et à la pensée de ses fesses légèrement avachies dont elle m’offrirait la voluptueuse mollesse, je giclai très vite ma semence sur mon ventre.



Notre promenade commence. Elle porte une robe en tweed qui recouvre ses genoux admirablement ronds. Un chemisier blanc bien boutonné sous un gilet vert complète sa tenue. Très vite, je me rends compte qu’une grande tension érotique parcoure l’espace clos de ma « clio »… Elle me regarde beaucoup. Je suis un peu gêné, mais je lui rends ses regards en lui faisant comprendre combien j’ai envie d’elle…


Elle me demande :



Mes joues s’enflamment à nouveau et elle comprend.



Elle caresse ma joue. Je crois que j’aurais pu avoir un orgasme dans l’instant. Mon rêve devient réalité. Bientôt je caresserai ce corps de femme de 67 ans, je me laisserai aller à le baiser sans retenue, je le savais…


Vers 11 h, nous nous arrêtons pour marcher un peu au milieu des oliviers. Elle me prred le bras puis trouve ma main qu’elle caresse maternellement.



J’ose un baiser dans le cou. Elle ferme les yeux.



Derrière une haie de cyprès, un coin d’herbe nous attend… Elle s’allonge. Je regarde mon bonheur étendu par terre, là, âgé de 67 ans, offert…


J’ouvre son chemisier et les deux seins fabuleusement gros explosent… Ils tombent légèrement mais ils sont doux, agréables au toucher, chauds… Je les malaxe, je suce les tétons qui se dressent durs comme de petits bouts de bois. Elle ferme les yeux en gardant la bouche entrouverte…



Elle répond à la caresse habile de ma langue autour des aréoles sombres par de petits gémissements… à nouveau elle est complètement femme

Des mots d’amour lui viennent aux lèvres tandis que mes mains glissent sous la jupe et atteignent la culotte de coton mouillée comme jamais…



Elle enlève elle-même sa culotte et dégrafe sa jupe. Elle était nue ! enfin ! Je sens mon sexe laisser échapper de petites gouttes de liqueur… elle se tourne pour ôter son chemisier et je vois ses fesses, leur profusion scandaleuse, leur blancheur… je l’agrippe aussitôt. Je n’en crois pas mes doigts et je pense alors que celles qui ont le cul plat ne sont décidément pas tout à fait des femmes…


À genoux, j’embrasse son merveilleux fessier, je le lèche, je le caresse…



Répandue sur l’herbe, j’admire la blancheur de sa chair, son ventre rebondi, la tache grise du con… elle écarte les cuisses



J’enfonce un doigt dans son sexe. Ma main libre écarte les lèvres pour dégager le clitoris au milieu de la toison clairsemée… Mes doigts tournent autour de lui, l’effleurent puis retournent dans son ventre, ils fouillent son con avec des moments de va-et-vient… très vite elle a un orgasme qui secoue son corps par saccades… j’enfile ma langue en elle… elle replie les genoux, sa main m’attire en se plaçant derrière ma nuque, elle m’encourage… je sens sa substance chaude et visqueuse. Je regarde son corps de mamie se cambrer, les cuisses grandes ouvertes, obscène et belle à la fois… je la regarde gémir.



Ma langue fouille entre ses lèvres, joue sur le clitoris, baise cette chatte vieille et pourtant si divinement agréable… elle jouit encore une fois, la tête en arrière…

Elle me sourit et me dit :



Elle me retire le pull et caresse mon torse avec application et une grande douceur… elle goûte ma peau s’en délecte… Elle est en manque. Puis elle m’embrasse à pleine bouche, défait mon ceinturon et fait glisser pantalon et slip dans un même geste…



Au moment où mon sexe la pénètre, je réalise un rêve.


Mes mains empoignent ses seins énormes. Elle me reçoit avec de brefs gémissements, de petits râles, et son plaisir vient peu à peu… Elle se laisse aller à dire un peu n’importe quoi…



Son ventre n’est que lave en fusion. Mes mains caressent les cuisses, remontent sur les fesses, accrochent la masse charnue…



Elle est large. Je la baise avec délectation. Le soleil frappe mon dos, l’air doux glisse entre nos corps mêlés qui se frottent éperdument. Sa langue lèche la mienne, la suce… le sexe est une drogue et nous étions en manque tous les deux !


À nouveau, elle m’embrasse sur la bouche, ses lèvres ne veulent plus quitter les miennes. Elle est survoltée. Elle balbutie contre ma bouche tout en me léchant et ses doigts guident les miens entre les lèvres de la vulve.



Je suis surexcité et j’ai de plus en plus de mal à retenir mon plaisir.

À nouveau je la fourre, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle m’encourage.



Elle chuchote tout son plaisir, sa tête battant comme un métronome au rythme de mon sexe dans son ventre… j’avais peur de présumer de ses forces mais à 67 ans elle dégage une envie de baiser peu commune ! Je la pénètre jusqu’au fond de sa cavité lubrifiée et elle me veut encore plus profond !


Toute son âme se concentre dans les sensations d’un plaisir affolant. Nous ne faisons plus qu’un, l’âge ne compte plus. Elle a presque quarante ans de plus que moi mais seul compte notre plaisir, notre abandon… Je la trouve belle comme ça, grisonnante, les joues enflammées par le plaisir, les jambes écartées… en fait nous n’avons plus vraiment conscience de nos corps…


Enfin, j’explose. Dans un jaillissement puissant de sperme brûlant, dans cet instant d’orgasme délirant nous donnons libre cours à l’aboutissement de nos désirs…


Je reviens en elle pour la faire jouir. Mon gland s’enfonce jusqu’au fond du fourreau brûlant et soudain de ses entrailles en folie, s’écoule le fluide d’une jouissance qu’elle ne peut contenir. Elle pousse un gémissement éperdu !


Nous restons là, collés l’un à l’autre. Elle caresse ma joue. Je baise ses seins, heureux…


L’amour n’a pas d’âge cher lecteur et le plaisir est encore plus beau chez une personne âgée… plus beau ou plus émouvant… Je le sais depuis ce jour. Depuis ce jour où Colette, 67 ans et moi nous sommes rencontrés… heureuse histoire… combien de fois cette histoire devait-elle se répéter, je vous laisse le soin de l’imaginer…