n° 01774 | Fiche technique | 8601 caractères | 8601Temps de lecture estimé : 6 mn | 06/02/01 corrigé 09/04/22 |
Résumé: Un agréable dîner aux chandelles. | ||||
Critères: fhh couplus collègues fépilée voir exhib fmast hmast intermast fellation pénétratio sandwich fsodo ecriv_c | ||||
Auteur : Sangoku Envoi mini-message |
C’est encore moi, Sophie (et Benoît). L’histoire que je vais vous raconter s’est aussi réellement passée. Celle-ci s’est déroulée il y a deux jours.
Ce mercredi, je travaillais jusqu’à 17 h, comme d’habitude. Lorsque je suis revenue chez nous, je me sentais d’humeur coquine. J’ai commencé à préparer le repas et tant que ça cuisait, je me suis dit que j’allais faire une surprise à Benoît quand il rentrerait de son travail.
Je suis alors montée me laver, et ensuite je me suis habillée selon un fantasme de mon Benoît : c’est-à-dire, en étudiante.
Ça faisait longtemps qu’il m’en parlait, mais je ne trouvais jamais le temps de le faire. J’ai donc mis un petit t-shirt rouge transparent sans soutien-gorge, une micro-jupe à carreaux blancs et noirs beaucoup trop courte puisqu’on arrivait à voir le bord de mes lèvres, une paire de bas noirs que je ne pouvais dissimuler sous ma jupe et une paire d’escarpins noirs aussi.
Je me sentais terriblement sexy. Je me dis qu’il ne pourra pas faire autrement que de me sauter dessus quand il rentrerait à 20 h 30. J’avais tout préparé dans la maison : une lumière tamisée, des bougies à table pour un bon dîner aux chandelles, c’était superbe et je me sentais déjà tout excitée par ce que je commençais à m’imaginer.
Voilà, il était 20 h 30 et mon cœur battait de plus en plus fort car je savais qu’il allait arriver. Je l’attendais derrière la porte. Il sonna, je regardais d’abord si ce n’était pas un voisin (j’imaginais déjà leurs têtes en me voyant ainsi) mais c’était bien lui. J’ouvris la porte toute grande et là, j’eus la plus grande honte de ma vie : il avait ramené un collègue avec lui. Vous vous imaginez la scène : moi, dans ma tenue super sexy et provocante, et eux, les yeux qui sortaient presque de leurs orbites en me voyant. Si j’avais pu, je serais rentrée dans un trou de souris. Quelle honte !
Ils rentrèrent tous les deux et je voyais qu’ils ne pouvaient pas détacher leurs regards de moi.
Je leur dis que j’allais monter me changer mais, à mon grand étonnement, Benoît me dit que ça ne le dérangeait pas de me voir comme ça ; il se tourna vers son collègue, Raphaël, et lui posa la question. Évidemment, il répondit la même chose.
J’étais toute rouge, même écarlate, mais je commençais à sentir une douce chaleur gagner mon bas ventre et ça m’apaisait.
Je mis un couvert de plus, augmentai la lumière (ce qui leur permettait d’encore mieux me mater) et servis le repas.
Tout se passa normalement et il n’y eut plus aucune remarque sur ma tenue. J’expliquai à Benoît qu’il aurait dû me prévenir… que j’aurais préparé un peu plus pour son collègue, et il me répondit qu’il avait essayé mais que mon GSM était coupé. En effet, j’avais oublié de le recharger.
Le repas terminé, je me levai pour faire la vaisselle, mais tous les deux me dirent qu’ils ne voulaient pas que je la fasse et qu’ils allaient s’en occuper. Je leur dis qu’ils étaient adorables.
Je restais donc près d’eux, debout, et je remarquai que Raphaël ne pouvait détacher ses yeux de moi, et surtout de ce qu’il apercevait par moment : mes lèvres épilées et mes fesses.
Je me sentais vraiment très désirable et commençai à avoir vraiment besoin de sexe (c’est bizarre à dire, mais dans ces moments-là, je deviens complètement incontrôlable, je ferais tout pour en avoir).
Je m’approchai donc de mon fiancé et lui glissai à l’oreille que j’avais très envie de le sucer… tout en glissant ma main sur la braguette de son pantalon. Il ne me répondit pas, mais regarda son collègue et se contenta de sortir son sexe.
Je me mis directement accroupie, le dos appuyé contre l’armoire, et je le suçai avec avidité alors qu’il continuait de faire la vaisselle.
Raphaël ne retirait plus ses yeux de moi et regardait ma bouche avaler le sexe de mon mari.
Je mouillais terriblement et je sentais même que des filets coulaient littéralement de mes lèvres et se déposaient sur le carrelage. Je mis ma main sur ma chatte et constatai mon état. Je me mis un doigt et, à ce moment, Benoît dit à Raphaël de se mettre à l’aise s’il le voulait. Ce dernier sortit son sexe de son pantalon, et là, je fus surprise car il était bien plus gros que celui que j’avais en bouche. Ça m’excita doublement et mon Benoît me fit un clin d’œil d’approbation.
Raphaël commença à se masturber et s’approcha de moi, j’agrippai son sexe et je le branlai vigoureusement. J’étais comme en extase.
Benoît me fit lever et asseoir sur le meuble, les jambes écartées. Il montra à Raphaël mon état en me mettant directement trois doigts dans la chatte et en me masturbant. Je jouis quasi instantanément sous son emprise.
Il me dit qu’il était très heureux et très content de ma tenue et surtout de mon état actuel. Il dit à son collègue de venir sentir mon humidité avec son sexe. Raphaël s’approcha de moi et commença à frotter son gland sur mes lèvres. Celui-ci glissait dessus tellement j’étais mouillée, il entra progressivement son énorme sexe dans ma chatte tandis que Benoît m’embrassait à pleine bouche et pelotait mes seins ainsi que mes tétons qui pointaient terriblement.
Lorsqu’il fut en moi complètement, il entama ses mouvements de va-et-vient et je me sentis comme pilonnée par ce gros manche, je redoublais de plaisir. Il me caressait mes cuisses gainées de mes bas et ça redoublait encore plus mon excitation.
Il se retira d’un coup sec pour laisser la place à Benoît. Évidemment, il y avait une différence de taille, mais aussi au niveau vitesse des mouvements ; Benoît était bien plus rapide, et ça, ça me plaisait beaucoup.
Benoît me dit de l’agripper et m’emmena vers un fauteuil. Il me libéra juste devant. Il s’assit et me dit de venir m’asseoir sur lui, je n’hésitai pas une seconde. Son collègue vint alors se mettre devant moi et je commençai à sucer son gros manche.
J’étais vraiment surexcitée. Je m’empalais sur un sexe tandis que j’en gobais un autre, j’avais quatre mains qui caressaient mon corps et qui me faisaient frissonner de plaisir. J’arrivai au summum de mon excitation et gémis et jouis constamment.
À un moment, Benoît me fit lever pour que je vienne m’enfoncer son sexe dans mon petit trou. Il n’eut aucun mal à y entrer car il était déjà dilaté et mouillé par ma chatte qui coulait comme une fontaine. Son collègue ne se fit pas prier et vint directement s’installer dans ma chatte. Je ne pus plus me retenir, mes gémissements firent place à des cris que je ne contrôlai pas, j’étais un objet sexuel, j’étais flattée que deux sexes me prennent en même temps, je me sentais vraiment fière d’être femme.
Je sentis que mes deux amants allaient jouir et je ne voulus pour rien au monde en perdre une goutte. Je me levai alors, pour me recoucher sur la table basse du salon. Ils sont venus s’installer, un de chaque côté de ma tête, et je les branlai. Ils se mirent à juter comme des chiens sur mon visage, j’avais la bouche grande ouverte et la langue bien sortie, je ne voulais pas en rater une seule goutte. Je me masturbais comme une folle tout en gémissant de bonheur.
Quand ils eurent fini, mon visage était rempli de sperme et je les ai sucés chacun à leur tour pour recueillir les dernières gouttes de ce délicieux breuvage. Raphaël regarda Benoît et lui dit :
Benoît ne répondit pas, il vint m’embrasser tendrement en me glissant à l’oreille un doux :
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Si vous avez apprécié mon histoire, si vous avez des commentaires ou s’il vous est arrivé plus ou moins la même chose, vous pouvez me le raconter en m’envoyant un mail : sangoku107@hotmail.com
N’hésitez pas non plus à me donner des idées que je pourrais mettre en pratique avec mon Benoît.
À bientôt !