n° 01795 | Fiche technique | 45121 caractères | 45121Temps de lecture estimé : 27 mn | 12/02/01 corrigé 25/04/22 |
Résumé: Une nuit dans un hôtel de la France profonde | ||||
Critères: fh fplusag fagée grosseins groscul douche intermast fellation cunnilingu 69 pénétratio uro | ||||
Auteur : Bernard (Homme 44 ans) Envoi mini-message |
À cette époque, je partais pour des randonnées de plusieurs jours à vélo. Je me déplaçais seul, faisant des étapes quotidiennes d’environ 150 kilomètres. Le soir, je faisais escale à l’hôtel en en choisissant un qui, de préférence, pouvait abriter mon vélo, et qui faisait également restaurant, car c’était mon seul « repas » de la journée, me contentant d’une alimentation régulière au long de la journée pour compenser les efforts faits.
Un soir, ou plutôt un après-midi, il devait être quatre heures et demie, j’avisai un petit « Café-Hôtel-Restaurant » situé à la sortie d’un village que je venais de traverser. Comme le village suivant se situait à quinze kilomètres, je m’y arrêtai pour demander si je pouvais rester là pour la nuit.
Il y avait trois hommes au bar, de ceux que l’on trouve partout en France, et qui passent une partie non négligeable de leur temps au café à refaire le monde. Un quatrième, qui semblait avoir environ 30 ans, se tenait derrière le bar. Je m’adressai à lui pour demander si l’hôtel était ouvert.
Il ouvrit une porte située dans la pièce derrière le bar et qui donnait sur une cour. Il appela sa mère, en lui demandant de le rejoindre. Quelques minutes plus tard, une femme franchit cette même porte et entra. Elle paraissait environ soixante ans, elle était assez grande, ses cheveux étaient tenus par un foulard. Elle était vêtue d’une blouse dont on devinait qu’elle dut être bleue et sur laquelle se trouvaient des traces de terre. Elle salua les hommes au bar en les appelant par leurs prénoms et ne leur serra pas la main sous le prétexte qu’elles étaient pleines de terre. Puis, s’adressant à moi, elle répondit qu’effectivement il y avait bien un panneau Hôtel au-dessus de la porte, mais que cela faisait longtemps qu’elle ne prenait plus de clients. Je demandais alors si au village suivant il y en avait un, et les hommes présents me dirent que le prochain devait se trouver à environ 20 kilomètres, ce qui signifiait pour moi environ une heure de route. Je n’avais pas non plus l’intention de revenir sur mes pas.
Voyant ma mine déconfite, elle me proposa quand même de me montrer une chambre qui ne serait pas d’un luxe extraordinaire. Elle m’invita à la suivre pour me faire visiter ce qu’elle avait à m’offrir. Elle passa devant le bar et je la suivis au premier étage. L’escalier de bois, dont les marches résonnaient avec mes souliers de cyclistes équipés de cales de plastiques, débouchait à la jonction de deux couloirs : un en face de nous, un autre à droite. Elle m’indiqua qu’il y avait des chambres dans le couloir de droite, mais qu’elles étaient en trop mauvais état. Celles qui étaient disponibles étaient dans le couloir en face de nous. Il était assez large dans sa première partie, il comportait deux fenêtres qui devaient donner au-dessus de l’entrée du bar et qui l’éclairaient. Vers le fond, un genre de placard qui semblait avoir été rapporté occupait la partie gauche, alors qu’un autre couloir semblait déboucher sur la droite en face de ce placard. Sur la droite, il y avait trois portes. Elle ouvrit la première qui n’était pas fermée à clé – pas plus que les autres d’ailleurs – puis la referma aussitôt en me disant que le lit était hors d’usage. À la seconde chambre, elle prononça un « Non » accompagné d’un haussement d’épaules dont je ne compris pas la raison, et finalement poussa la dernière porte avant l’extrémité du couloir et me présenta la chambre qui était ce qu’elle avait de mieux.
Elle était assez grande, meublée de deux lits : un grand et un petit, ainsi qu’une armoire, une table, deux chaises, et un fauteuil de cuir. Elle comportait en outre un coin toilette avec un lavabo, mais ni WC ni douche. Je lui dis que pour une nuit cela me conviendrait, mais lui demandai s’il me serait possible de prendre quand même une douche, pensant qu’il devait y en avoir une de commune quelque part derrière une de ces portes.
Elle me regarda des pieds à la tête, et, après un court instant d’hésitation, m’invita à la suivre. Elle prit le couloir à droite, lequel comportait une petite fenêtre à gauche qui donnait sur le côté du bâtiment et deux portes : une à droite, une au fond. Elle ouvrit la porte de droite, et alluma. Je découvris alors une salle de bains qui semblait assez moderne. Elle se composait d’un lavabo, qui était en face de la porte, lequel était surmonté d’une superbe glace ovale, une grande baignoire contre le mur du fond, une machine à laver, et un WC à droite. Il y régnait cependant un certain désordre, en particulier du linge sur et à côté de la machine, et sur le séchoir au-dessus de la baignoire, parmi des serviettes de toilette, je distinguai deux ou trois culottes et un soutien-gorge de taille respectable qui y séchaient.
Puis elle ajouta :
Je lui répondis qu’effectivement je voyageais avec un minimum d’affaires. Je lui demandais également si je pouvais rentrer mon vélo dans la cour.
Je posai mon sac à dos sur la table de la chambre que je devais occuper, et je changeai mes chaussures de cycliste qui avaient une fâcheuse tendance à claquer sur le parquet par des tennis, puis je redescendis. J’annonçai que j’allais rester là pour la nuit et demandai à ranger mon vélo comme la mère de Julien me l’avait proposé. Celui-ci m’invita à rentrer dans la cour en passant par le côté de la maison. J’amenai le vélo dans la remise indiquée, pris ma sacoche de guidon, mes bidons, et, avant de monter me doucher, commandai une bière car nous étions fin juillet et il faisait très chaud. Je demandai aussi s’il était possible de rincer mes bidons, de les remplir d’eau et de les mettre au frais. Les hommes qui étaient là à mon arrivée – et qui n’étaient plus que deux – entamèrent la conversation, me demandant d’où je venais et où j’allais. Ils avaient l’air admiratif que l’on puisse encore faire de si grandes balades en vélo, alors que pour moi, il était courant de faire des sorties de 150 à 200 kilomètres, voire plus.
Après avoir bu ma bière, je laissai mes compagnons de causerie devant leurs verres, pour aller prendre ma douche. Arrivé en haut de l’escalier, je poussai la porte de la chambre dont la serrure n’était pas fermée et constatai que le lit n’était pas fait. J’ouvris les volets afin d’aérer un peu car elle sentait le renfermé. La chambre donnait sur la cour, là où j’avais rangé mon vélo quelques minutes plus tôt. Je pensai alors qu’elle avait dû poser les serviettes dans la salle de bain. Je sortis mes affaires de rechange ; un polo, un slip, un short, une paire de chaussettes ainsi que mon nécessaire de toilette, savon, mousse à raser et rasoir, car je ne me rasais que le soir à l’étape. Je me dirigeai ainsi vers la salle de bains.
À peine arrivé à l’angle du couloir, je vis que la lumière était restée allumée dans la salle de bains et je poussai la porte. Là, je fus ébahi par ce que je vis. La patronne de l’hôtel me tournait le dos, occupée à se laver les mains. Elle avait quitté sa blouse avec laquelle je l’avais vue et était tout simplement vêtue d’une combinaison blanche. La lumière, disposée au-dessus de la glace, me laissait deviner qu’elle ne portait pas de soutien-gorge et je distinguais parfaitement la marque faite par son slip qui enserrait ses larges hanches. Je fis un mouvement de recul, mais elle m’avait remarqué dans la glace. Elle prit une serviette sur le côté du lavabo et, en s’essuyant les mains, se retourna pour me dire qu’elle en avait terminé et que je pouvais disposer de la pièce. À cet instant, je distinguai la naissance de sa poitrine dans le décolleté de sa combinaison, ainsi que la forme précise de ses seins qui tombaient lourdement au travers de la combinaison. Elle ne parut pas choquée de se présenter à moi dans cette tenue, alors que j’étais pour ma part, je dois le dire, assez troublé.
Elle passa devant moi et ouvrit la porte au fond de ce petit couloir, dont j’allais apprendre qu’il s’agissait de sa chambre. La lumière entrant par les fenêtres ouvertes me permit, lorsqu’elle passa dans le contre-jour car la chambre était inondée de lumière, de découvrir la silhouette de son corps au travers du tissu de sa combinaison. Elle se dirigea vers une des deux armoires, elle l’ouvrit et en prenant les serviettes, plusieurs autres tombèrent au sol. Elle poussa un juron et se baissa pour les ramasser, me laissant découvrir, l’espace de quelques secondes, sa poitrine dans l’échancrure de la combinaison qu’elle ne chercha nullement à dissimuler.
Elle dit cela en me regardant avec un étrange regard que je n’avais pas noté auparavant, et avec un léger sourire au coin des lèvres. J’étais complètement estomaqué. Je ne savais absolument pas quoi dire ni faire à cet instant. Puis, me ravisant, je m’enhardis.
Elle me regarda en souriant et, tout en me repoussant légèrement, elle continua :
D’un seul coup, j’eus très envie d’elle. J’hésitai à la basculer sur le lit, mais le fait qu’il y avait les hommes au bar en bas, et son fils qui pouvait à tout instant monter voir si sa mère arrivait à trouver les draps…
Je pris donc les serviettes et je ressortis pour aller prendre une douche, ou plutôt un bain. Je me déshabillai, et en même temps je commençai à faire couler le bain. Je comptais mettre ce temps à profit pour laver mon cuissard, je m’aperçus alors que la porte n’était pas munie d’un verrou. Quoiqu’il en soit, c’est donc complètement nu que je lavais mon accessoire avec du savon de Marseille que j’avais trouvé sous le lavabo. C’est à cet instant qu’elle entra sans prévenir, vêtue d’une blouse propre, tout juste sortie de l’armoire à en juger par les plis du repassage.
Les WC étaient disposés de telle sorte qu’il fallait fermer la porte d’entrée pour s’asseoir sur la cuvette. Elle releva sa blouse et sa combinaison, descendit son slip et s’assit sur la cuvette. J’étais excité par le bruit de son urine qui s’écoulait et par le fait que je sentais son regard sur mes fesses. Je me retournai, ne voyant d’elle que la partie de ses cuisses situées immédiatement au-dessus des genoux, le reste étant couvert par sa blouse remontée. Je m’avançai vers elle en la regardant dans les yeux. Elle prit alors mon sexe d’une main, tandis que de l’autre elle caressa les testicules. Je me mis à bander très fort, et, poussant un peu mon avantage, je lui indiquai, sans dire un seul mot, que je voulais qu’elle le suce. Rien n’y fit. Constatant au bruit qu’elle devait avoir terminé, je lui demandai alors de l’essuyer, en prenant le rouleau de papier toilette.
Elle écarta un peu ses cuisses afin de me faciliter la tâche. Je me baissai un peu et, passant ma main entre ses cuisses rebondies, je sentis au travers du papier ses lèvres humides. Une légère friction sur son clitoris la fit réagir d’un petit coup sec au niveau de son bas-ventre.
Je notai qu’à cet instant précis elle s’était mise à me tutoyer. Cela dit, elle remonta sa culotte, me laissant entrevoir un court instant sa toison pubienne, rabattit sa combinaison et sa blouse, et ressortit comme si de rien n’était, si ce n’est qu’elle m’embrassa sur la joue.
J’étais extrêmement excité à cet instant. Ma verge était dans une érection terrible et je n’avais plus envie de me laver. Je pensais sans cesse à sa poitrine et à son sexe senti au travers du papier toilette. J’essayais de me l’imaginer nue : ses seins tombants sur son ventre ; ses hanches larges ; son sexe… Je me demandais comment j’allais la prendre le soir. Devrais-je la déshabiller ? Cette question tournait en rond dans ma tête. Je repris quand même mes esprits et finis de laver mon cuissard en essayant de penser à autre chose, puis, je m’installai dans la baignoire et m’y délassai à loisir, mon sexe retrouvant rapidement ses dimensions du repos.
Je me rhabillai, après m’être rasé, puis j’allai dans la chambre où étaient mes affaires. Je remballai l’ensemble dans mon sac à dos, puis, me ravisant, j’hésitai à tout amener dans sa chambre. À cet instant, je me rendis compte que je ne connaissais même pas son prénom. Il était alors six heures et il devait me rester une bonne heure avant le repas du soir. Vu les circonstances, je ne me voyais pas très bien rester dans la chambre, et descendre pour tomber sur les autres ivrognes ne m’enchantait guère. Ce fut pourtant cette solution que je choisis.
Le bar était vide et Julien était occupé à ranger deux ou trois bricoles devant la porte. J’étais très gêné vis-à-vis de lui. Savait-il ? Se doutait-il de quelque chose ? Il engagea la conversation avec moi, comme s’il me connaissait depuis toujours. Il avait l’air assez simple, mais très sympathique. Il m’expliqua qu’il venait travailler tous les jours chez sa mère, et qu’aujourd’hui, comme c’était mardi, il allait chercher sa fille, car il était divorcé. Il restait avec elle à R. où il avait un logement qui venait d’une tante.
Vers les six heures et demie, deux voitures s’arrêtèrent, et leurs occupants, d’autres habitués, firent une halte pour l’apéritif. Je sirotais alors le Perrier-menthe servi par Julien en terrasse. Je ne m’étais pas du tout inquiété, afin de ne pas provoquer de soupçons, de ce que préparait la mère pour le dîner. Ce fut elle qui vint me le demander. Ce qu’elle me proposa me surprit tant la liste était longue, et les noms des plats, pour simples qu’ils soient, indiquaient que je devrais faire un bon repas ce soir-là… sans parler du dessert que j’attendrais avec autant d’impatience. Elle m’indiqua que le repas serait prêt à sept heures si je le voulais.
Ce fut un des hommes qui était au bar qui m’apprit qu’elle s’appelait Irène, en l’appelant, afin qu’elle vienne pour leur remettre une tournée. Irène rentra donc les servir. Ce qui m’étonna, car quelques minutes plus tôt, Julien était encore là. Je ne me posai pas d’autres questions et continuai à attendre l’heure du repas. Après encore quelques tournées d’apéritif, les quatre hommes repartirent en me saluant.
Il était sept heures moins cinq et je rentrais pour commencer à m’installer à table. Irène, qui lavait les verres, me proposa un apéritif, mais je ne buvais jamais d’alcool pendant mes sorties à vélo. Elle installa alors ma table, dans la partie réservée aux repas. Elle avait mis la table avec goût, deux grandes assiettes, deux verres, les couverts… Elle me proposa également du vin, et j’acceptais à condition de ne pas dépasser les deux verres que je m’autorisais en pareille circonstance. Ce qui me surprit pendant tous ces préparatifs, c’est qu’à aucun moment, elle ne sembla me porter un intérêt particulier, vaquant à ces occupations comme si nous n’avions échangé aucun propos libertin quelques minutes auparavant.
Julien, que je n’avais pas vu depuis quelques minutes, réapparut, vêtu d’une chemisette, portant une veste de toile jetée sur son épaule. Il me salua et se dirigea vers sa voiture qui était garée de l’autre côté de la route.
Irène m’amena mon entrée qui était constituée d’une salade de gésiers confits, « maison », me précisa-t-elle. La quantité était telle que je lui fis remarquer que j’étais seul pour la manger, mais elle rétorqua qu’à mon âge on avait besoin de force. Elle dit cela avec ton assez autoritaire, et sans rire, comme j’aurais pu le penser maintenant que nous étions seuls tous les deux. À cet instant, je me posai la question de Julien : où couchait-il ? À quelle heure allait-il rentrer ? Cela m’inquiétait un peu, et j’aurais bien voulu en parler avec Irène.
Là encore, je fus renseigné par un client, décidément il passait beaucoup de monde, et uniquement des habitués. Vers sept heures et demie, alors que je mangeais mon coq au vin – excellent par ailleurs – qu’Irène m’avait servi, deux hommes entrèrent. C’était apparemment des bûcherons, d’après leur tenue et leurs mains. Ils prirent un apéritif qu’Irène leur servit, surpris de voir un client dîner à cette heure.
Les deux hommes burent encore un autre apéritif, saluèrent Irène, m’adressèrent un signe de tête auquel je répondis, et s’en allèrent.
À ce moment-là, j’eus un doute quant au genre d’établissement dans lequel j’étais. Je me demandai si je n’étais pas tombé dans une gargote, où, si la chère était agréable et copieuse, la patronne ne s’envoyait pas en l’air de temps en temps avec ses clients. Elle décida alors de fermer, car il ne devait plus venir des clients à cette heure. Je me trouvai donc enfermé seul avec elle. Elle m’apporta le dessert qui était composé de poires au sirop recouvertes de crème anglaise. Elle resta à mon côté, alors que je commençais à déguster ce dessert qui était succulent, et je me risquai à passer ma main autour de sa taille, ce qui la fit sursauter !
Je lui fis alors remarquer qu’elle venait de fermer la porte à clé et qu’elle avait tiré les rideaux de velours derrière les vitrines, donc personne ne pouvait nous voir ni rentrer. Elle me dit qu’il y avait quelquefois quelques clients qui, passant par la cour, venaient chez elle prendre un dernier verre. J’étais donc condamné à me tenir tranquille encore quelques minutes. Un sentiment de doute m’envahit alors. Et si elle refusait maintenant, où irais-je dormir ?
Une fois terminé le repas, je me levai et me dirigeai vers la cuisine où Irène rangeait les plats et préparait déjà le repas du lendemain midi.
Elle commença alors à me raconter sa vie, tout en continuant de vaquer à ses occupations. Elle était veuve depuis six ans, son mari étant décédé d’un cancer. Elle avait alors 56 ans, de là j’en conclus qu’elle en avait actuellement 62. Elle rangea alors toutes les affaires sur la table de cuisine et me dit qu’elle aussi voulait aller se coucher. Elle ferma la porte qui donnait sur la cour, non sans y avoir jeté un dernier coup d’œil, et elle monta l’escalier. Je la suivis avec en moi encore un doute sur ce qui se passerait. Je regrettais de ne pas l’avoir prise tout à l’heure, lorsqu’elle m’avait proposé de coucher avec elle, ou lorsqu’elle était venue uriner alors que je prenais mon bain. Je la suivis donc, et je m’arrêtai dans la chambre qu’elle m’avait présentée pour y prendre mes affaires. Elle me fit alors une remarque presque désobligeante, comme quoi je n’avais pas posé mes affaires chez elle !
Elle rentra la première, alluma la lumière et alla fermer les volets de la chambre, laissant simplement un battant entrouvert pour laisser entrer la fraîcheur. Elle se retourna alors vers moi, et me dit qu’après une journée comme celle-ci, elle aspirait à prendre un bain. Je me proposai d’aller le lui faire couler, ce qu’elle accepta. J’allai donc dans la salle de bain, j’ouvris les robinets pour remplir la baignoire comme je l’avais fait quelques heures auparavant pour moi. Elle arriva quelques minutes plus tard, sans sa blouse, vêtue uniquement de sa combinaison, comme je l’avais trouvée dans cette salle de bain plus avant dans l’après-midi. Elle la retira et je constatai alors qu’outre la blouse dessus, elle avait ôté son slip dessous.
Elle était alors vêtue de son seul soutien-gorge. Celui-ci était blanc et retenait une forte poitrine, je lui proposai de le lui ôter, elle se retourna pour que je le dégrafe, sans me dire un mot. Au lieu de cela, je posai mes mains sur ses seins, les caressant au travers du tissu, ma verge bandait au plus fort, se positionnant entre ses larges fesses. Je finis quand même par lui dégrafer le soutien-gorge et le posai sur le rebord du lavabo. Elle se retourna et je l’embrassai alors à pleine bouche, ce qui eut l’air de beaucoup lui plaire. Je restai ainsi quelques minutes à la serrer conte moi, caressant ses épaules, son dos, m’arrêtant au-dessus de ses fesses.
Elle regarda la baignoire et vit qu’elle était suffisamment remplie. Elle se décolla et se pencha pour en contrôler la température avec sa main.
Puis, elle manœuvra les robinets pour augmenter le débit d’eau froide.
Sa position penchée me permit d’observer son sexe entrouvert, il était garni de grandes et grosses lèvres de couleur sombre, et je distinguai très nettement au milieu le rose indiquant l’entrée de son vagin… ce qui m’excita beaucoup. Je posai alors mes mains sur ses fesses et l’attirai contre moi de façon à placer, au travers de mon pantalon, ma verge en érection entre ses fesses, puis je glissai mes mains vers l’avant, vers son sexe. Elle réagit alors, en se redressant et en repoussant mes mains.
Disant cela et trouvant l’eau à bonne température, elle enjamba la baignoire et s’y allongea. Ses seins, portés par l’eau, remontaient en surface, et seuls les tétons étaient à fleur d’eau. Je me déshabillai rapidement, ôtant ma chemise, mon pantalon et mon slip, et lui proposai mes bons offices pour la savonner. Elle accepta de bon cœur et, prenant la savonnette qui était sur le bord du lavabo, je la savonnai abondamment partout sur le corps. Je m’attardai volontiers sur ses seins et vis immédiatement qu’elle appréciait à la façon dont ses tétons se dressèrent. La faible largeur de la baignoire ainsi que la largeur respectable de ses hanches ne me permirent pas, comme je l’aurais souhaité, de lui laver l’entrejambe. Je lui en fis la remarque, elle se laissa alors glisser un peu et posa sa jambe droite sur le rebord, offrant à ma main son sexe béant pour un nettoyage en profondeur. Je sentais sous mes doigts les moindres détails de cette partie de sa personne, et les attouchements que je prodiguais au passage sur son clitoris lui procuraient chaque fois de petits soubresauts dans le bas ventre. Je la pénétrais doucement avec un doigt, puis deux… elle se laissait aller, fermant les yeux de plaisir. Elle me dit alors une chose étrange… En 30 ans de mariage, son mari ne s’était jamais occupé d’elle comme je le faisais.
Je l’aidai à se lever puis la rinçai abondamment avec le pommeau de douche, tout en continuant à la caresser. Lorsqu’il fallut lui rincer l’entrecuisse, elle posa sa jambe sur le bord de la baignoire, j’écartai alors ses lèvres et aspergeai l’entrée du vagin. Les poils étaient gris, longs et beaucoup moins frisés que chez une jeune personne.
Elle sortit enfin de la baignoire, et je l’essuyai avec serviette qu’elle avait apportée en venant de sa chambre. Elle me demanda alors de lui frotter le dos avec de l’eau de Cologne, dont une bouteille se trouvait sur une étagère de sa chambre. J’allai la chercher et, à mon retour, je la trouvai assise sur la cuvette des WC, les cuisses largement ouvertes, en train d’uriner.
Après qu’elle eut fini, je lui proposai à nouveau de l’essuyer et de la rincer un peu, ce qu’elle accepta de bon cœur. Je pris alors le gant à côté du lavabo, le mouillai, et lui rinçai à nouveau son sexe. J’en perçus nettement la chaleur au travers du tissu éponge, et les effleurements sur son clitoris lui procurèrent toujours les mêmes petits soubresauts du bas-ventre. Elle prit alors mon sexe dans sa main et en fit des compliments (il faut dire que depuis le temps que j’attendais cela… il était bandé au maximum), elle le décalotta, puis déposa un baiser timide sur le bout et commença à me masturber avec douceur.
Puis d’ajouter :
Ceci dit, je me penchai sur elle, embrassant cette bouche qu’elle me tendait, caressant ses seins tandis qu’elle continuait son mouvement de va-et-vient avec ma verge dans sa main. Je décollai ma bouche de la sienne et, poussant un peu mon avantage, elle comprit ce que je voulais et commença à me sucer le gland… après avoir abondamment mouillé le pourtour avec sa langue, elle l’engloutit en entier dans sa large bouche et fit aller et venir ses lèvres tout au long de mon membre, ce qui le fit encore plus durcir, alors que sa main, passant sous mes testicules, concourait à amplifier le plaisir.
Je passai alors un bras sous le sien et la relevai, car mon intention à présent était bien de l’amener sur son lit pour faire l’amour avec elle. Elle lâcha mon sexe et se colla à moi en m’embrassant de plus belle, sortant sa langue, mordant la mienne, ce qui m’excita prodigieusement. Ses seins étaient écrasés contre ma poitrine et je la sentais haleter à force de m’embrasser, ses mains parcourant tantôt ma nuque, tantôt mes épaules ou mon dos. Je fis de même, puis je glissai une main entre ses cuisses, qu’elle écarta légèrement en pliant un peu les genoux afin que je trouve l’entrée de son sexe. Dès que j’y fus arrivé, au milieu d’une toison très importante, je glissai aisément un doigt à l’intérieur, déclenchant une fontaine de liquide de sa part. Elle se tordait, en me mordant les épaules, et la poitrine. Elle redescendit ainsi jusqu’à absorber à nouveau ma verge dans sa bouche, et là, elle se mit résolument à me pomper, aspirant au maximum le gland qui était gonflé à son maximum, prêt à éclater.
Je l’invitai alors à nous diriger vers la chambre car je sentais que je ne pourrais plus résister très longtemps aux assauts conjugués de ses lèvres et de sa langue. Elle lâcha mon sexe et, se relevant, me prit par la main et m’entraîna vers son lit. Nous entrâmes tous les deux nus dans sa chambre, elle alluma la lampe de chevet, puis ouvrit le lit et s’allongeât sur le dos, jambes relevées, se caressant les seins.
Je me mis alors à genoux à côté d’elle et continuai à la caresser… ses seins ; son sexe, celui-ci était à présent largement ouvert, humide, et répandant une odeur très excitante. Je commençai alors à l’embrasser sur le corps, m’attardant longuement sur chacun de ses tétons – ils étaient durs au possible –, puis je glissai doucement sur son ventre et commençai alors à embrasser son sexe.
Je changeai de place pour me mettre à genoux face à elle, entre ses jambes grandes ouvertes. Je laissai glisser mes mains depuis ses genoux vers le haut de ses cuisses, et finis par arriver à son sexe. À cet instant, je distinguai nettement les détails de ses grandes lèvres : elles étaient longues, flasques, brunes, et laissaient entrevoir la partie rose indiquant l’entrée du vagin. Je les écartai doucement, puis me baissai pour lui sucer ce sexe si désirable, mais elle se ravisa à nouveau :
Je m’avançai, m’allongeai sur elle et, sans effort, ma verge s’engouffra à sa place prévue. À ce moment-là, elle eut un regard bizarre, les yeux grands ouverts, ne disant rien, se retenant, puis elle ouvrit tout grand la bouche et poussa un cri, violent, en poussant sur ses reins et appuyant ses mains sur les miens pour que je la pénètre davantage. Son sexe coulait comme jamais (je crois n’avoir jamais vu une femme mouiller autant, elle en inondait le lit). Elle poussa deux ou trois petits cris aigus, se tendit, puis ses bras se mirent à trembler alors qu’elle lançait sa tête de droite à gauche, en me grattant le dos, les reins, les épaules. Cela m’excita au plus haut, je ne me retins pas et j’éjaculai en elle ! Sa bouche s’ouvrit en grand, on aurait dit qu’elle cherchait l’air, des larmes coulèrent sur ses joues et elle allongea ses jambes, c’était fini ! Je restai un long moment sur elle, ma verge se ramollissant était ressortie sans que je m’en rende compte, et nos jus mêlés continuaient de s’échapper de son sexe béant.
Un long moment de silence s’en suivit. Je me laissai glisser à son côté et la regardai : elle ne disait rien, ses yeux étaient fermés, légèrement mouillés des larmes qu’elle avait échappées, son corps était retombé flasque et avachi. Ses seins qui, quelques minutes auparavant, étaient durcis contre ma poitrine ressemblaient à deux poches flasques, les tétons au même niveau que l’aréole. Dès que je passais ma main sur ce corps, elle me repoussait doucement, mais fermement.
Je n’osais parler, l’écoutant respirer, guettant le moindre geste, la moindre attitude indiquant qu’elle revenait à la surface. Elle se tourna alors vers moi et, sans prononcer un mot, passa sa main derrière ma tête et m’embrassa avec autant de fougue que lors de notre premier baiser quelques minutes plus tôt.
Sans rien dire, je me remis à la caresser doucement, et là elle ne refusa plus le contact de ma main sur son corps. Le passage de celle-ci entre ses cuisses confirma l’impression ressentie lorsque j’avais éjaculé, c’était trempé, de plus, elle et moi avions transpiré de cette relation qui, si elle avait été très brève, avait été aussi particulièrement intense.
Je me levai et me dirigeai alors vers la salle de bains. Je n’avais pas remarqué lorsque nous en étions partis que nous y avions laissé un désordre indescriptible : mes affaires étaient par terre, en vrac ; les serviettes, l’une posée sur le lavabo, l’autre sur les WC, dont la chasse d’eau n’avait pas été tirée. Je rangeai un peu et rentrai dans la baignoire pour me doucher. Comme il n’y avait pas de rideau, l’eau rebondissant sur mon corps se répandait un peu dans la salle de bains. C’est alors qu’elle arriva, nue.
Je ne répondis pas et m’exécutai. Elle arrêta l’eau et, prenant du produit douche, me savonna le dos, les épaules, le ventre, et bien sûr le sexe. Elle me lavait comme une mère, aucun de ses gestes, à ce moment-là, ne trahissait un quelconque érotisme. Dans cette position, ma tête se trouvait à hauteur de son ventre et je remarquai combien ses cuisses étaient mouillées… et ce n’était pas l’eau de la douche. Je posai ma main sur sa jambe, remontai vers son entrecuisse, et à ma grande surprise, elle les écarta légèrement pour me permettre de la caresser. Je glissai un, puis deux doigts dans son sexe, et lui masturbai le clitoris, humidifié qu’il était par nos semences respectives. Elle arrêta la douche et me demanda de lui faire une place pour que je la lave à son tour. Elle se mit également à genoux face à moi et je l’embrassai. Elle répondit en me prenant par les épaules, nous étions tous les deux face à face, à genoux dans cette baignoire, à nous étreindre. Je sentis nettement au contact de sa poitrine, que ses seins durcissaient à nouveau. Je fis comme elle quelques minutes plus tôt, prenant du produit de douche dans la paume de ma main, je passai entre ses cuisses. Toujours gênés par la faible largeur de la baignoire, elle s’appuya sur mes épaules, se releva et, posant un pied sur le bord, m’offrit à nouveau la vue de son sexe. Je le lavai pour la seconde fois de la soirée puis, cette toilette terminée et une fois rincé, je posai ma bouche dessus et commençai à passer des coups de langue sur les lèvres, puis sur son clitoris.
Je sortis de la baignoire, un peu frustré, me demandant même si elle ne voulait pas ne plus faire l’amour, pourtant, à sentir son odeur, j’étais très envieux de la sucer. Je commençai à m’essuyer, mais elle m’interrompit :
De retour dans la chambre – couverts l’un et l’autre de gouttelettes d’eau – elle rouvrit l’armoire que j’avais vue l’après-midi et en retira deux grandes serviettes. Elle m’en tendit une, et s’enveloppa dans l’autre. Ainsi vêtue, elle s’allongea à nouveau sur son lit. Je m’installai à ses côtés, à genoux, et commençai une séance de caresses. Je lui embrassai les seins dont les tétons étaient redevenus très durs, pointant vers le ciel, tandis que mes mains descendirent ostensiblement vers ses cuisses. Elle se laissait embrasser, cajoler, comme un chat qui ronronne. Ma bouche, quittant ses seins lourds, prit le chemin qui conduisait à sa partie intime, et là elle ne manifesta aucun refus. J’arrivai à la hauteur de son sexe, glissai un peu pour qu’elle puisse me caresser la verge, embrassai ses lèvres, puis réussis à trouver son clitoris, noyé au niveau des poils. Le premier contact entre ma langue et son organe fit sortir de sa bouche un petit gloussement, ainsi qu’un petit spasme de son ventre. Je continuai donc à la sucer, tandis qu’elle se mit en position pour me sucer la verge. Son sexe recommença à lâcher son odeur sensuelle et cela m’excita encore. Elle s’en aperçut certainement, car sa façon de sucer évolua vers une fellation qui en disait long sur ses intentions. Je bandais terriblement et je ne pouvais plus que me contenter de lui écarter les lèvres en les pinçant entre mes doigts… je n’avais plus la force de la sucer. Elle me poussa alors pour se mettre sur moi, en position parfaite de 69, m’aspirant complètement, ma verge toute entière entrée dans sa bouche. Quant à moi, je pus admirer à loisir son sexe béant, si large que j’y introduisis deux doigts de chaque main, et l’écartant au maximum, je rentrai au plus profond de son intimité. Je distinguais parfaitement le trou de son méat urinaire ainsi que son clitoris qui, s’il était petit, n’en était pas moins extrêmement sensible. Cette vision qui m’excitait beaucoup trop me fit exploser dans sa bouche. Elle en parut surprise, relâchant mon sexe à la première giclée qui partit à côté, puis elle se remit à sucer, me vidant complètement les testicules. Je n’avais que très rarement été aussi bien sucé. J’étais complètement vidé, en une demi-heure, j’avais eu deux éjaculations complètes ! J’aurais du mal si elle en redemandait. Elle se dégagea, puis se leva d’un seul coup et, sans dire un mot, se rendit à la salle de bains où je l’entendis se rincer la bouche.
Je me levai pour la rejoindre, et alors que je commençais à me laver le sexe, elle me le prit des mains et s’occupa de faire ma toilette. Une fois rincée, ma verge pendait, inerte. Elle se pencha, et recommença à la sucer.
J’avais alors passé ma main entre ses cuisses et je continuais à la pénétrer avec mes doigts, son clitoris roulait sous eux et je sentais que cela l’excitait.
Ceci dit, elle me prit par la main et me ramena à la chambre. Elle s’allongea sur le lit, une jambe pendant sur le côté, et elle écarta elle-même ses lèvres, offrant à ma vue son sexe béant.
Je ne pouvais refuser de donner du plaisir à cette femme tant elle m’en avait donné quelques minutes plus tôt. Son sexe était très large et ses lèvres étaient très longues. Je les prenais à tour de rôle entre mes lèvres, mais, lorsque j’arrivais, après de nombreux essais, à aspirer son clitoris de la même manière qu’elle avait aspiré ma verge, elle se mit à gémir. À chaque aspiration de celui-ci, elle poussait un gémissement de plaisir tandis qu’elle appuyait ma tête encore plus fort contre elle, à tel point qu’à un moment je ne pus plus respirer : mon nez était au plus profond de sa touffe de poils et ma bouche se remplissait de son liquide. Ce manège dura un bon moment et je crois me souvenir qu’à deux ou trois reprises, elle dut avoir des orgasmes, car elle haletait, se tendait, poussait son ventre contre ma figure, crispant ses doigts derrière ma tête.
J’avais arrêté de la sucer, car j’étais arrivé à un point où je commençais à étouffer et aussi à me fatiguer. Je me déplaçai pour m’allonger à ses côtés et, sans m’en rendre compte, je m’endormis.
Le lendemain, à mon réveil, elle n’était plus là. J’entendis du bruit en bas, me laissant deviner qu’elle était occupée à ouvrir le bar. Je me dirigeai vers la salle de bains, et pris une douche salvatrice.
Je l’attirai alors pour l’embrasser en la serrant contre moi, ce qu’elle accepta en répondant à mes baisers avec fougue. Puis elle se détacha et m’invita à prendre le petit déjeuner.
Je m’habillai et descendis au bar. J’y fis un copieux repas, ce qui me requinqua. Puis je remontai dans la chambre chercher mes affaires, espérant secrètement qu’elle vint m’y rejoindre, mais des clients arrivèrent et je compris qu’il fallait remettre mon cuissard de cycliste et repartir. Ce que je fis.
Lorsque je descendis, il y avait un couple qui prenait le petit déjeuner. Irène me demanda si je n’avais rien oublié.
J’en demeurai interloqué ! Une nuit comme ça, et zéro franc ! À peine croyable.
Je repartis, mais ce jour-là, je ne fis que 50 kilomètres, je m’arrêtai dans un hôtel et dormis plus de neuf heures d’affilée.