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n° 01867Fiche technique31121 caractères31121
Temps de lecture estimé : 18 mn
23/02/01
corrigé 12/11/10
Résumé:  Une annonce sur le net. C'est un travesti, il s'appelle Roberta. Un rendez-vous est fixé. Il ignore bien sûr ce qui s'y passera, d'ailleurs Roberta l'a prévenu, il ne se passera peut-être rien !
Critères:  hh hépilé toilettes telnet hsoumis hdomine contrainte voir travesti intermast fellation 69 préservati hdanus hsodo uro sm gifle fouetfesse piquepince humour -hsoumisah -travesti
Auteur : Edvard Stokien  (Eddy - 36 ans - comptable - bisexuel)            Envoi mini-message
Roberta

Les travestis ! Ah ! les travestis ! Vous connaissez tous ces réflexions à deux balles. Si la conversation a le hasard d’effleurer le sujet, il y aura toujours un beauf de service pour répéter doctement :



Et moi de répondre :



L’effet est garanti, les répliques suivantes qui étaient prêtes à être resservies s’évanouiront. Je passe pour un pervers particulièrement bizarre, mais je m’en fous.

Un audacieux lancera malgré tout un :



Et après vous avoir affirmé que jamais au grand jamais, il n’essaiera, le suffisant de service vous foutra la paix.

Moi, ces êtres m’ont toujours fasciné. Il y a les transsexuelles et les travestis. Ne pas confondre ! Je me régale souvent sur Internet à la vue des ces êtres magnifiques, aux visages d’anges dotés de poitrines de rêve, de jolis culs bien cambrés et… de belles quéquettes. Celles-là sont des transsexuelles, elles ont franchi un pas, celui de la féminisation de leur chair. Certaines iront encore plus loin et subiront l’ablation du pénis, elles cesseront alors de me passionner. Ce qui m’intéresse c’est justement ce côté magique de la "femme à bite" Il n’est pas évident d’avoir des rapports avec les transsexuelles, hormis la prostitution. Et puis il y a souvent la barrière de la langue. Le travesti est différent, en cela que sa condition de travesti peut n’être que temporaire. Cela va du type qui se met des sous-vêtements de femmes sous son complet veston, jusqu’à ces travestis amateurs qui après une longue séance d’épilation puis de maquillage, puis d’habillage ont la sensation un moment de se sentir femme. Si ces derniers n’exacerbent pas ma libido au point des transsexuelles, il m’est arrivé d’en voir doté de très jolies frimousses que ne renieraient pas certaines femmes….


Tenter l’expérience, je suis plusieurs fois parti en chasse du temps du minitel, mais il faut faire avec les délais de réponses, les mythomanes, les vénales, ceux qui ne lisent pas tout tout de suite, quelques cinglés, en tout genre, à force c’est lassant ! Je me suis souvent dégonflé au dernier moment, me persuadant peut-être à tort que tout cela ne déboucherait sur rien.

Sur Internet c’est plus simple, à moins d’avoir affaire à des naïfs invétérés, les tricheurs sont souvent vite repérés.

C’est ainsi que pendant plusieurs semaines j’ai chatté avec une nommée Roberta, le type avait l’intelligence de ne pas parler que de cul et nous avions des conversations passionnantes, sur la musique, le cinéma, la littérature, la cuisine. Il m’a envoyé sa photo, uniquement son visage, maquillé en femme. J’ai immédiatement flashé. Je me suis souvent posé la question : aurais-je flashé sur ce visage si je n’avais pas su qu’il s’agissait d’un travesti ? (Je ne le saurai sans doute jamais.) Avant d’envisager une rencontre, je lui demandais des photos de plein pied, il me répondit qu’il n’en avait pas, mais que justement il cherchait quelqu’un pour le photographier…

Cette proposition m’embêtait, n’étant pas un fou du clic-clac, mais étant très inspiré ce soir je balançai :



Je me demande encore où j’ai été chercher ça !

Il me répondit, en me précisant la façon dont il envisageait cette rencontre.



Je lui donnai mon accord, et nous avons alors convenu d’un rendez-vous.


Je n’avais rien à perdre, le chat ne permet pas de connaître les gens à fond, tout cela reste malgré tout superficiel, peut-être tomberais-je sur un emmerdeur ou sur un cinglé. Bof ! Je verrais bien !


Il avait envie d’être traité comme une vraie femme, ce n’était pas un problème, j’achetais un magnifique bouquet de fleur et me rendit chez mon hôte de la soirée.



(Note de l’auteur : toutes les actions de Roberta seront ici accordées au féminin…)


J’étais content que ça lui fasse plaisir. J’avais imaginé Roberta un peu plus petite, en fait, elle devait faire ses 1,80 m, mais c’est vrai que les escarpins… Elle était vêtue d’un tailleur rouge qui lui allait très bien. La veste en était ouverte, laissant apparaître un chemisier crème, ainsi qu’un collier de perles. Les cheveux de sa perruque auburn et bouclée lui tombaient sur les épaules. Son visage était savamment maquillé, mais n’était pas pour autant transformé en pot de peinture. Cette créature possédait une beauté naturelle.



Elle me lança cette réponse avec des yeux coquins. Allusions à nos dialogues sur Internet où nous avions évoqué certains jeux fort spéciaux ? La suite le dira peut-être… Elle s’en alla chercher le champagne dans la cuisine en, tortillant du cul et en sifflotant. Sa joie de vivre faisait plaisir à regarder.


Je jetai un regard circulaire dans cette pièce, et tout d’un coup l’évidence me frappa : cette pièce n’était pas habitée par un célibataire mais par un couple, un couple hétéro. C’est vrai, je ne lui avais jamais demandé. Roberta revint bientôt avec le champagne et sortit deux coupes, et après avoir fait sauter le bouchon et rempli nos verres, elle trinqua :



On boit, elle s’assoit à côté de moi dans le canapé, ses yeux sont aussi pétillants que le champagne, elle sent bon.



Et elle éclate d’un rire communicatif.



C’est à la vitesse de l’éclair qu’elle me fait un bisou sur le bout des lèvres, manifestement elle n’a pas envie de commencer maintenant les grandes manœuvres. Ce n’est pas grave, c’était plus ou moins prévu de toute façon et j’ai tout mon temps ! On parle d’un tas de trucs ! J’apprends au passage qu’elle est effectivement mariée, mais que sa femme a un poste à l’O.N.U, elle reste donc de grandes périodes absente. Elle le trompe, Roberta le sait et a fini par s’en foutre. La conversation est certes intéressante, mais j’ai un peu peur qu’elle finisse par me proposer une partie de scrabble. J’essaie de prendre l’initiative, je m’empare d’une de ses mains ornées de faux ongles rouges.



Je vais pour refaire une autre allusion champenoise, mais me ravise…



Alors on continue à parler de choses et d’autres, elle me parle de ses plantes d’intérieur, on cause aussi ordinateur et Internet, on reboit du champagne, la bouteille est presque finie, ça fait une heure et demie qu’on bavarde comme des pies. La chaleur lui a fait retirer sa veste de tailleur, mais rien d’autre. Je me suis fait à l’idée qu’il ne se passera peut-être rien aujourd’hui.



Pourquoi pas, si ça l’amuse. On entre tous les deux dans la toilette. Je me positionne devant la cuvette.



Sans attendre ma réponse, elle me met la main à la braguette et me caresse la bite à travers le tissu du pantalon. L’érection est instantanée. Je me dis que ça ne va pas être pratique pour pisser ! Elle m’a ouvert la braguette, dégrafé le pantalon et la fait glisser sur mes chevilles, elle me masse maintenant la verge et les couilles à travers le slip, je me laisse faire, fasciné par le charisme et le charme du personnage. Soudain elle arrête, elle me regarde dans les yeux, son regard brille, je sens maintenant ses lèvres contre les miennes, sa langue cherche ma langue. C’est la première fois que j’embrase un travesti, mais j’en redemande. Si le but de l’opération était de m’exciter comme un pou, il est atteint. C’était effectivement le but !



Je m’exécute, les choses ne se passent absolument pas comme je les imaginais, c’est vrai que nous avions envisagé un scénario un peu comme cela, mais j’étais loin d’imaginer que ce serait celui de notre première rencontre.



Elle tournicote autour de moi !



Elle me caresse.



Ça va pour l’instant, comme dominatrice, elle n’est vraiment pas méchante !



Et voilà qu’il me balance une gifle ! Un instant j’ai failli me rebeller, mais non c’est un jeu, un simple jeu et j’ai accepté d’y jouer.



Tout en parlant, elle s’est saisie de mes mamelons et me les tourne entre le pouce et l’index, elle sait magnifiquement faire ça, ma bite rebande fièrement !



Roberta pousse soudain un soupir !



Roberto éclate soudain de rire.



Je me marre aussi.



Pour la deuxième fois elle approche sa bouche de la mienne et me roule un patin, j’en suis tout ému, déjà parce que c’est excitant, mais surtout la façon dont elle a dit cela me remplit de plaisir.



J’ai de plus en plus de mal à garder mon sérieux, et puis cette envie de pipi me tortille le ventre, ça devient franchement pénible de ce côté-là.



Je ne l’aurais sans doute pas accepté dans le cadre d ’une relation "classique", mais dans le cadre d’une domination, après tout pourquoi pas ? Je décide de jouer le jeu, de toute façon, on n’en est pas là ! Elle passe derrière moi et rapproche les pans de mon slip afin de bien dégager mes fesses.



Elle m’introduit maintenant un doigt dans le cul et le fait aller et venir.



Je me retortille le ventre et exagère ma grimace afin de lui faire comprendre que mon envie de pisser n’est plus tenable.



Je me demande quel est ce nouveau délire, mais j’obéis, un joli cercle mouillé pas plus grand qu’un verre de lunette vient tacher mon slip ! Une étrange sensation me gagne, le jeu m’amuse.



Je me relâche encore un peu, la moitié de la partie avant du slip est maintenant trempée. Roberta de sa main, vient étaler l’urine, et ce faisant presse sa main sur mon sexe. Elle a des doigts de fées, je le lui dis. Ses doigts cherchent ma bouche, ils sont pleins de pisse. Je crispe mes lèvres !



Et tandis que sa main gauche cherche ma bouche, la droite s’acharne sur un de mes mamelons, j’entrouvre les lèvres et me surprends à sucer ses doigts, ce n’est pas ma première expérience uro, et je reconnais ce goût qui n’a rien de d’abominable, légèrement aigre peut-être !



Elle repouffe de rire !



Elle disparaît chercher je ne sais quoi, la situation m’amuse malgré moi, mes érections à répétitions prouvant assez que j’y trouvais mon compte. Malgré tout, je ne suis pas vraiment venu pour cela. J’aurais voulu la caresser, profiter de son corps. Les rôles s’étaient complètement inversés, tout cela parce que j’avais accepté de jouer à ce jeu. Roberta revint avec deux choses, un martinet, ce qui, compte tenu de ce que nous étions en train de faire, n’avait rien d’incongru, et une nouvelle bouteille de champagne qu’elle déboucha. Devrais-je lui rappeler sa promesse de ne pas m’enivrer ?



J’ai eu peur sur le moment qu’un troisième larron ne fut caché dans un placard, mais non !



Je m’exécutai.



Du coup, Roberta, en oublie son scénario, se penche et me dépose un petit baiser sur le gland, puis me masturbe un petit peu, manifestement elle se retient de me sucer, mais finit par craquer. Mon gland est dans sa bouche, elle le lèche de savants coups de langue. Ma bite est à nouveau toute raide, ce serait super si cette maudite envie de pisser ne me taraudait pas à ce point. Elle me commence une merveilleuse fellation en règle. Je suis aux anges. J’espère simplement qu’elle ne va pas me faire jouir. Pas déjà !



Elle s’arrête, elle aurait pu continuer, nous aurions marqué une pause, mais sans doute a-t-elle craint que l’inévitable baisse d’excitation d’après jouissance nous fasse sortir du jeu. Elle s’éloigne un peu et verse du champagne dans deux coupes sans toutefois les emplir complètement. Je débande un peu, le slip toujours à mi-cuisses.



N’importe quoi ?



Je le fais, mais j’ai quelque mal à m’arrêter et quelques gouttes de trop traverse mon slip pour créer une petite flaque sur le carrelage. Je remonte mon slip. Étrangement cette curieuse sensation de mouillé me provoque un plaisir trouble.



Elle pète les plombs, je ne vais pas faire ça, je sais bien que l’urine fraîche est stérile, mais ce n’est certainement pas le cas de son carrelage, néanmoins, je ne bronche pas et me positionne à quatre pattes devant la coupable flaque.



Je sais qu’elle a pris le martinet et que je vais y avoir droit, je m’en fous, je préfère cela. Roberta passe derrière moi et me dégage les fesses.



Le coup claque, il est moyen, le deuxième sera un peu plus fort. Je crie un peu plus que nécessaire afin qu’elle cesse d’augmenter l’intensité des coups. Le troisième coup sera juste comme il faut. Où a-t-elle appris à contrôler les coups de martinets ? Elle frappe, elle frappe, je ne compte plus les coups, en plus de la douleur du cinglement vient s’y ajouter cette curieuse sensation d’échauffement, je dois avoir les fesses rouges comme des tomates.



La situation est en train de se bloquer, si je refuse, elle va me refouetter, mais ce petit jeu devra bien finir par s’arrêter, à moins que l’un des deux commette une erreur. Ce sera moi. Comme je pense qu’elle n’a pas l’intention de me faire absorber la flaque entière, je décide faire semblant. Elle ne sera pas dupe ! Et cette fois le coup fait vraiment mal.



Me révolter ! Non j’ai joué un coup et j’ai perdu, je décide d’assumer ma défaite.



Je décide de le faire, juste un peu, de toute façon ça ne va pas me tuer, je lape, surpris de m’amuser de la situation.



Et tandis que je continue à laper à la manière d’un chat, je sens un doigt me pénétrer le trou du cul.



Je sais ! Elle me l’a déjà dit. Le doigtage du cul est une caresse qu’il faut savoir faire sinon cela devient vite agaçant, mais elle sait remarquablement bien s’y prendre, je commence à me pâmer de plaisir, mais elle s’arrête.



C’est ce qui s’appelle avoir le sens de l’humour !



Elle tournicote autour de moi, en fait, elle attend que je débande un peu, puis me fait venir près de la table, là où sont les coupes de champagne !



Ça je l’aurais parié ! Je pisse dans les deux verres ! Je m’apprête à exécuter l’inévitable suite, mais non ce n’est pas pour maintenant.



Enfin, ce n’est pas trop tôt. Elle me fait asseoir sur la cuvette, m’interdit de retirer ou même de baisser mon slip !



C’est une première, j’ignore comment ça va se passer, mais manifestement je suis en pays de connaissance, je me lâche. Un déluge de sensations m’envahit, d’abord le plaisir de me soulager, puis celui de voir "l’humidité" gagner tout mon slip. Il se produit alors un amusant phénomène, alors que j’ai fini de pisser, j’entends encore le clapotis du pipi qui vient se jeter dans le fond de la cuvette. Je comprends que c’est le trop-plein de mouillé de mon slip qui s’écoule. Elle aussi attend que cela soit fini pour me demander de me relever.



Je me relève, ça dégouline un peu sur mes cuisses et sur mes jambes.



Ça ne me déplairait pas en effet, de lui rougir un peu le cul, histoire de lui rendre ce qu’elle m’a fait…



Ah je savais bien ! Elle prend un verre et le lève, je l’imite.



Elle engloutit tout d’un trait !



J’hésite à l’imiter, mais on est encore dans le jeu, alors j’y vais, ça fait beaucoup d’un coup ! Mais le goût du champagne recouvre tout en fait, seule une petite nuance salée transparaît, et une fois bu un petit arrière-goût rappelle que le champagne n’était pas pur !



Quand je reviens, elle est en sous-vêtements, elle a un petit ensemble culotte et porte jarretelle bleue, ainsi qu’un soutien-gorge à balconnet serré de telle façon qu’on puisse avoir l’illusion qu’elle a une légère poitrine, ses gros tétons sont érigés, je lorgne vers le bas !



Doucement je baisse la culotte et la lui retire, dans mon idée je m’attendais à découvrir une bite minuscule, elle est en fait plus grosse que la mienne, pour l’instant elle bandouille, je la prends dans mes mains, j’aime le doux contact de la peau du sexe, je la caresse, la masturbe un peu, elle reprend vite de la vigueur, elle est magnifique, elle est terminée par un joli gland violacé qui luit à la lumière.



Je ne me fais pas prier, je lui roule un patin d’enfer, nos langues se combattent dans un duel sans merci, mais elle a plus l’habitude que moi et je finis par me laisser faire. Ce baiser dura une éternité. Enfin, elle abandonne ma bouche, mais c’est pour s’emparer de mes seins, elle les prend, les roule savamment entre le pouce et l’index en serrant, je pousse un cri de douleur et d’extase.



Je n’hésite pas. Nous voici toutes les deux en train de nous pincer le bout des seins, nous essayons de synchroniser notre plaisir, cette caresse me rend fou, ma bite va éclater.



Je m’y allonge, elle se met sur moi à l’envers et me gobe la bite, nous voici en 69, et j’ai enfin sa bonne queue dans la bouche : qu’elle est bonne et douce, soyeuse à souhait, Contrairement à ce que l’on pense, le 69, s’il est excitant par le fait d’être à la fois suceur et sucé, ne permet toujours de faire les meilleures fellations. Roberta se dégage et s’assied sur le canapé, me demandant de venir entre ses cuisses. Dans cette position je peux à présent laper le gland de ma langue tandis que mes lèvres vont enserrer sa verge, puis entreprendre un doux mouvement de succion en va-et-vient, je sens quelques gouttes de pré-jouissance poindre. Je stoppe ma fellation. Je suis ivre de plaisir. Je ne suis plus moi, je ne suis qu’une bête à plaisir, une chienne en chaleur, comment me reconnaîtrais-je dans cette position. Je me mets à quatre pattes, et j’écarte mes fesses, agrandissant au maximum l’entrée de mon trou du cul.



Je ne regarde pas ce qui se passe derrière moi, j’espère qu’elle enfilera un préservatif, en fait j’en suis sûr. Une sensation de froid, du gel probablement et puis quelque chose force, il faut qu’elle pousse davantage pour que ça puisse rentrer… Ça y est ça passe ! Elle s’enfonce progressivement.



Elle s’arrête, c’est tout sauf une sauvage. Puis elle reprend doucement, très doucement, avant d’accélérer à nouveau. Elle est maintenant tout en moi, et commence des mouvements de va-et-vient. Elle jouit assez vite, trop vite, mon cul en voulait encore, tant pis, il faudra que l’on apprenne à se connaître. Elle s’est rappelée comment je voulais jouir et me prend dans sa bouche, ça ne devrait pas être long, je suis au bord de l’explosion, je jouis dans sa bouche. Elle me sourit. Son visage s’éclaire, de plaisir bien sûr, mais il y a autre chose, elle a presque les larmes aux yeux !



Oh là ! On se calme ! Elle m’enlace à nouveau, et nos langues se mélangent redistribuant mon sperme. Je suis complètement crevé, elle aussi.



Elle pose sa tête sur mon épaule, ferme les yeux, je la laisse comme ça. Ça a l’air de lui faire du bien, quelques ronflements très peu romantiques viennent interrompre ma rêverie cinq minutes après. Elle dort sur mon épaule. Alors je la pose délicatement sur le canapé et me couche à ses côtés pour m’endormir dans ses bras.