n° 01890 | Fiche technique | 10943 caractères | 10943Temps de lecture estimé : 7 mn | 25/02/01 corrigé 06/11/22 |
Résumé: Bérénice m'invite à un barbecue et la nuit se finit d'une manière aussi inattendue pour elle que pour moi. | ||||
Critères: fh copains noculotte hmast intermast fellation cunnilingu 69 init | ||||
Auteur : Chris 2 (Un jeune célibataire qui aime les femmes, tout simplement) |
Cette histoire s’est passée au mois d’août 2000. J’ai 25 ans, célibataire depuis 25 ans, et je n’ai jamais eu d’expérience sexuelle avec une fille, enfin, jusqu’au mois d’août de l’année passée…
Bérénice et moi, on se connaît depuis qu’on est nés. Mes parents étaient partis en vacances avec les parents de Bérénice. J’étais donc seul à la maison et elle aussi. Un jeudi, elle me téléphone dans l’après-midi pour voir si ça m’intéresse de participer à un barbecue avec quelques-uns de ses amis, afin de discuter un peu, boire un verre et rire un coup. Je lui réponds par la positive et j’arrive chez elle vers 18 h 30 avec du vin. J’étais le premier arrivé et j’ai participé à la préparation de la soirée.
Durant la préparation, Bérénice a engagé la conversation comme suit :
Et la soirée se déroule, on mange, on boit, on s’amuse tous ensemble. Et l’amusement allant bon train, 2 h du matin pointe le bout du nez et les premiers retournent chez eux. Puis 3 h du mat et on se retrouve, Bérénice et moi, à saluer les derniers amis qui prenaient le départ. C’est à ce moment que je me suis rendu compte qu’il n’était pas question que je reprenne la voiture, vu la quantité de vin que j’avais absorbé. Je propose donc à Bérénice de rester pour lui donner un coup de main pour tout ranger et débarrasser, le temps de me remettre un petit peu, ce qu’elle accepte aussitôt.
Sur le temps qu’on fît la vaisselle, Bérénice a remarqué elle aussi que je ne pouvais pas reprendre le volant, et elle s’adresse à moi comme suit :
Et je lui rétorque :
Et moi, dans ma petite tête, je me dis « GENIAL ». Il faut dire que Bérénice est une blonde de 1,75 m, yeux bleus, cheveux mi-longs, une poitrine qui doit tourner dans les 85-90 C. Et je dois dire que depuis quelque temps, elle ne me laissait pas indifférent, mais j’étais bien loin de m’imaginer que je dormirais un jour dans le même lit que ma copine d’enfance.
Et moi, pour dire de placer une pointe d’humour, je lui dis :
J’ai senti qu’elle était un peu rassurée de savoir qu’on ne dormirait pas nus dans le même lit, bien que cela ne nous aurait pas dérangés.
Et nous voilà dans son lit, moi en caleçon et t-shirt et elle avec un léger short en éponge et un t-shirt deux fois trop grand pour sa taille. Nous avons discuté une demi-heure avant de fermer la lumière et d’essayer de nous endormir, il était déjà 4 h…
Pour s’endormir, Bérénice n’a pas eu de problème, mais moi, c’était la première fois que je dormais avec une fille et je dois dire que mon imagination ne pouvait favoriser un état correct pour s’endormir.
Après 10 minutes, Bérénice était endormie, elle était couchée à ma droite, sur le dos, le bras gauche relevé et posé sur l’oreiller, ce qui me permettait, grâce à l’éclairage public qui filtrait dans les rideaux, de deviner son sein gauche qui m’avait l’air plus volumineux que quand je les voyais dans une position normale.
Puis ça a été plus fort que moi, je n’ai pas su résister à essayer de la toucher. De la main droite, j’ai effleuré sa jambe pour voir s’il y avait une réaction mais elle dormait à poings fermés. J’ai donc entrepris de lui caresser doucement le ventre en passant délicatement ma main sous son t-shirt, et toujours pas de réaction.
L’envie étant trop forte, je lui touche le sein gauche du bout du doigt et je cherche son mamelon afin de le faire durcir, ce qui n’a pas pris plus de dix secondes, et toujours pas de réaction de sa part. Pendant ce temps, moi, j’ai senti mon sexe qui commençait à durcir d’excitation. J’ai caressé l’autre sein de la même façon et toujours pas de réaction. À ce moment, j’étais surexcité et je ne me tracassais plus de savoir si elle dormait ou pas. Je me suis dit, allons-y, jouons le grand jeu. Et sans hésitation aucune, je relève délicatement son t-shirt afin d’admirer ses mamelons durs et fièrement dressés, je m’approche doucement de sa poitrine et je tends ma langue afin de frôler tendrement son téton. Je croyais que mon sexe allait exploser tellement l’excitation était forte. Et Bérénice dormait toujours comme un loir.
Pendant que je léchais et que j’embrassais goulûment cette délicieuse poitrine, ma main gauche s’est inconsciemment dirigée vers son bas ventre. J’ai donc glissé ma main dans son short et j’ai de suite remarqué qu’elle ne portait pas de culotte, ce qui ne m’a pas étonné grandement ! J’ai senti une petite toison velue qui m’avait l’air très bien entretenue, puis avançant délicatement mes doigts, je cherche son clitoris afin de ne pas le laisser en reste… À ce moment, je suis entièrement comblé, je ne me préoccupe plus de Bérénice, je suis dans un état d’excitation comme je n’avais jamais été.
Alors que je lui titillais son petit bouton de plaisir et que j’introduisais mon doigt dans son vagin qui n’avait pas tardé à être lubrifié, je sens que Bérénice pose son bras gauche sur ma tête, en gémissant doucement du plaisir que je lui procurais dans son sommeil. Ne sachant plus quoi faire, je stoppe toute activité et me retire lentement afin de ne pas l’éveiller, j’avais peur de sa réaction… Serait-elle heureuse que je la caresse si amoureusement ou m’aurait-elle jeté comme un malpropre ?
J’étais maintenant couché à côté d’elle, mais mon sexe commençait à me faire mal tellement mon érection était forte, et tout en me masturbant doucement de la main gauche, je replace ma main droite sur son sexe et recommence à la masturber, je sens un nouveau flot de cyprine qui arrive sur mes doigts et j’entends Bérénice qui gémit une seconde fois. Je porte ma main pleine de son élixir à mon nez afin de sentir l’odeur enivrante de cette sécrétion divine et là, c’était plus fort que moi, je n’ai plus su résister, j’ai léché goulûment mes doigts, je me suis mis à contresens et je suis allé sentir à plein nez (et à travers le short qui était légèrement humidifié) l’odeur alléchante qui émanait de son sexe.
Je croyais que j’allais devenir fou, n’avoir jamais eu d’expérience sexuelle et avoir une femme à qui je peux faire ce que je veux m’excitait à un point tel que je ne trouve même pas les mots pour vous l’écrire. J’avais bien eu l’occasion de sortir avec quelques filles, mais ça ne tenait jamais plus d’une ou deux semaines. Elles ne s’accrochaient pas à moi, parce qu’elles voyaient que j’étais absorbé en permanence par mes études et je ne leur consacrais pas suffisamment de temps, mais je m’éloigne de notre chère Bérénice.
Cette odeur qui me prenait au nez et ce sexe à quelques centimètres de ma langue m’excitaient donc encore plus… J’entrepris donc de lui retirer délicatement son short afin d’avoir un libre accès à ce clitoris qui, je suis sûr, n’attendait que d’être léché. C’est à ce moment que j’entends une voix connue qui me dit :
Ce qui devait arriver arriva, Bérénice était éveillée !!!
Délicatement, elle me caressa la tête et l’appliqua sur son sexe brûlant de désir. N’ayant jamais fait de cunnilingus, j’ai essayé de m’appliquer du mieux que je pouvais afin de ne pas la décevoir, et j’ai vite remarqué que ma méthode lui plaisait. Tout aussi entreprenante que moi, elle prend mon sexe en main et me masturbe lentement sur le temps que je la lèche comme un fou. Puis je sens sa jambe qui passe au-dessus de ma tête, elle se retourne sur elle-même et se pose sur moi pour faire un 69.
D’un coup d’un seul, elle happe mon sexe avec sa bouche et commence à me sucer comme je ne l’aurais jamais imaginé. Elle n’a pas le temps de faire une dizaine de mouvements de la tête que je sens une forte éjaculation qui se prépare, je lui dis :
Mais rien n’y fit, comme si c’était une liqueur de je ne sais quel fruit, elle continua à aspirer mon sexe et à me sucer. Ne pouvant plus tenir, j’explose littéralement dans sa bouche, et cela lui a plu car elle a gémi comme jamais je n’avais entendu gémir une femme. Elle continue à me sucer puis, à son tour, m’a joui également dans la bouche et s’est retirée délicatement. Pas une seule goutte n’avait atterri sur ma toison pubienne, la cochonne avait tout avalé. J’en suis encore ébahi aujourd’hui.
Elle s’est retournée, m’a embrassé comme pas deux ensembles et m’a dit à l’oreille :
Par cette réflexion, j’ai compris qu’elle préférait en rester là et me préserver comme ami d’enfance. J’étais déjà bien heureux d’en être arrivé là, presque à son insu. Il ne fallait pas demander le beurre, l’argent du beurre et encore le sourire de la crémière (et quelle crémière !!!).
Et voilà, on se recouche, dans les bras l’un de l’autre, nous regardons l’heure, il est 5 h 30. Nous nous sommes rendormis tendrement enlacés et nous avons depuis gardé un souvenir inoubliable de cette soirée barbecue plutôt hot sur la fin.