n° 01918 | Fiche technique | 15395 caractères | 15395 2468 Temps de lecture estimé : 10 mn |
11/06/23 corrigé 11/06/23 |
Résumé: Etudiant, ça lui arrive de tenir le magasin de sa logeuse pendant quelques heures | ||||
Critères: ffh fbi magasin voir exhib chaussures intermast cunnilingu fsodo | ||||
Auteur : Chris Envoi mini-message |
À cette époque, encore étudiant, je louai une chambre en centre-ville. Ma logeuse, Béatrice D., une femme d’environ 45 ans, mais qui en faisait dix de moins, exploitait en rez-de-chaussée un magasin de chaussures pour dames. Elle vendait des chaussures de marque et de luxe ; sa clientèle était pour l’essentiel constituée de femmes d’une certaine qualité, et notamment de celles qui disposaient des moyens de s’offrir les prix pratiqués.
J’acceptai, à l’occasion, une ou deux fois dans le mois, et en contrepartie d’ailleurs d’une modeste rétribution sous une forme pécuniaire, de « tenir » le magasin quelques heures. En général, il m’était proposé des horaires peu fréquentés par les clientes.
S’il est vrai qu’au cours des deux premiers remplacements, personne n’était rentré dans le magasin, cette fois-ci, alors que je lisais quelques cours, la clochette d’entrée tinta vers les dix-huit heures, et je vis entrer une fort jolie jeune femme, la trentaine bourgeoise, vêtue d’un tailleur de couturier, et d’un petit chapeau à voilette, ce qui lui donnait, avec ses cheveux blonds en chignon sur la nuque, une élégance et un raffinement qui impressionnèrent le jeune étudiant que j’étais alors.
Elle-même fut surprise de me voir et son regard fit le tour de la boutique, comme pour vérifier qu’elle ne s’était pas trompée.
Elle me regarda en levant le sourcil m’interrogeant ainsi, de manière muette et polie, de la raison de ma présence.
Elle hésitait manifestement sur la conduite à tenir.
Je me souvenais en effet qu’elle m’avait montré diverses boîtes dans la réserve, me précisant qu’il s’agissait de la dernière livraison en provenance de Milan et que si une cliente venait pendant son absence, il y avait de fortes chances qu’elle demande à voir ces nouveautés qu’elle m’avait montrées.
Le « jeune homme » ne me fait qu’à moitié plaisir, mais je l’accompagnai sur la rue devant la vitrine pour qu’elle me montre les modèles qui avaient retenu son attention. Nous rentrâmes et je la priai de prendre place sur la banquette de cuir.
Il convient de préciser que cette boutique était un peu biscornue. Elle comprenait une vitrine assez étroite sur la rue et un vestibule vitré de part et d’autre exposant les modèles. Le corps de la boutique était décalé d’un côté, éclairé par une fenêtre donnant sur une cour intérieure. Cette banquette où s’asseyaient les clients n’était donc pas visible de l’extérieur.
Je me rendais à la réserve pour repérer les modèles des trois paires d’escarpins choisis lorsque j’entendis son appel.
Je m’en retournai ainsi, ayant juste le temps de voir ses jambes se croiser. Je fus soulagé de voir que sur chaque boîte figurait le dessin de la chaussure de telle sorte qu’après quelques instants, je revins muni de plusieurs boîtes empilées, plus ou moins en équilibre. Sans doute, ce fut le moins, car dans ma maladresse, deux ou trois boîtes tombèrent sur l’épaisse moquette, sans grand dommage, mais ce qui me valut d’entendre le rire clair et légèrement moqueur de la cliente.
L’autre avantage de ma gaucherie fut de me mettre en situation d’apercevoir les cuisses gainées de bas de cette femme, qui se leva et vint m’aider à remettre les boîtes à l’endroit. Cette vision des jambes voilées de bas noirs de luxe, avec une lisière de dentelle, et d’une jarretelle rouge barrant la peau de la cuisse me fit immédiatement de l’effet et plaça la situation, de manière irrémédiable, sous un nouveau registre.
Je ne savais encore si cette découverte d’affriolants dessous était le fruit du hasard ou une approche délibérée. Tout ce que je savais, c’est que cette vision avait déclenché une excitation qui se traduisait notamment par un certain gonflement, que je m’inquiétai de dissimuler.
J’étais vêtu d’une chemise de coton et d’un simple pantalon, sans veste, gilet ou autre pull pour masquer la protubérance de ma braguette.
Je me mis à genoux devant cette cliente et ouvris rapidement la première boîte, sortant deux magnifiques escarpins.
Elle se pencha pour retirer sa chaussure et tendit son pied cambré vers moi.
Je pris un escarpin, et quelque peu emprunté, me trompant d’ailleurs de pied, je l’aidais à enfiler la chaussure.
Elle me tendit son autre jambe, ce qui eut pour effet de remonter sa jupe sur ses cuisses. Je chaussai le second escarpin. Elle tendit ses pieds pour observer l’effet, ce qui l’amena à se pencher de telle sorte que je pus voir qu’elle ne portait pas de corsage sous la veste de tailleur, mais seulement un soutien-gorge rouge à balconnet ou du moins c’est ce que je crus voir. Il va sans dire que cette nouvelle découverte n’arrangea pas ma situation.
Sans s’en rendre compte, ou jouant alors parfaitement la comédie, elle se mit debout, devant la glace proche, pour admirer les escarpins.
Je lui retirai doucement les premiers escarpins, aussi délicatement que possible, mes mains moites sur ses chevilles où les bas faisaient des petits plis. Je remarquai que sa veste de tailleur s’était ouverte légèrement et ce que je pensais être un soutien-gorge se révélait être une jolie guêpière de dentelle rouge.
Je lui tendis une autre paire. Cette fois, elle allongea la jambe vers moi, me faisant comprendre qu’il me fallait enfiler entièrement la chaussure. Cette fois, je ne pouvais manquer de voir sous sa jupe. Ce n’est pas possible, me disais-je… Elle le fait exprès… C’est une allumeuse…
Complètement saisi par un tel spectacle, je restai interdit, mes yeux fixés sur les cuisses ainsi dévoilées.
Je n’en pouvais plus. J’avais l’impression qu’elle écartait ses jambes volontairement et qu’elle prenait malice à se livrer à cette exhibition, sûre de son pouvoir de séduction, de l’érotisme qu’elle dégageait…
Elle me souriait maintenant, tandis qu’elle déboutonnait lentement les boutons de la veste de son tailleur.
Le regard exorbité le suivait le chemin de ses doigts.
La veste s’ouvrit et je rougis de plus belle, fuyant son regard amusé. J’avais eu le temps d’apercevoir les gorges et la vallée de deux seins magnifiques…
Mutine, elle me regarda derrière sa voilette, puis lentement, devant moi, qui me trouvais à genoux sur la moquette, écarta ses jambes, faisant remonter sa jupe en haut de ses cuisses.
Je découvris alors un minuscule string rouge quasiment transparent.
Elle passa un ongle verni de blanc brillant sur le tissu du string, puis d’un geste, écarta la culotte arachnéenne pour me montrer son joli minou épilé.
Béat devant cette chatte impudiquement exposée, je ne bougeais plus, les yeux exorbités.
Tenant écarté son string de sa main, elle passait son index très lentement sur sa fente, de bas en haut, arrêtant une fraction de seconde sur son clitoris tendu, écartant délicatement ses lèvres intimes.
J’entendis cette invitation, cet ordre quasiment et j’osai enfin poser une main timide sur sa cuisse, caressant son bas, et remontant sur la peau nue, infiniment douce de l’intérieur de sa cuisse.
Subjugué, attiré comme un aimant, irrésistiblement, j’avançai mon visage et bientôt je posai ma bouche sur le fruit juteux que cette femme m’offrait.
Ma langue remplaça le doigt mutin qui se retira et je goûtai alors à la suavité de cet abricot, à cette fragrance délicieuse, mêlant le parfum de luxe et l’effluve naturel de son excitation.
Déjà à l’époque, j’adorais lécher la chatte de mes copines. Aussi, je me mis en devoir de prouver que, passé le premier moment d’hésitation lorsqu’une telle situation vous tombe dessus, ma bouche, mes lèvres, ma langue et bientôt mes doigts pouvaient ensemble concourir au plaisir de cette femme qui, les cuisses écartées, indécente et licencieuse, se laissait dévorer le minou.
La vulgarité croissante dans ses propos dynamisait tant mon énergie que ma propre excitation et je m’appliquai à laper ce sexe, aspirer et sucer le clitoris sorti de sa gangue, enfiler un premier doigt puis un second.
De ma main libre et fébrilement je défis ma ceinture et descendis ma braguette, ne supportant plus l’extrême tension régnant dans mon slip.
J’en avais envie, mais je n’osais pas me masturber et préférai me concentrer sur mon ouvrage.
Elle gémissait, soupirait, exhalait son plaisir croissant.
Je vis alors qu’elle avait ouvert les pans de sa veste de tailleur découvrant sa jolie guêpière de dentelle rouge ajourée, dont elle baissait les bonnets pour se tripoter les seins et pincer ses mamelons qui roulaient sous ses doigts.
Soudain, elle serra fort les cuisses contre mes tempes et, gémissant de plus fort, mordant la chair de sa main, la coquine jouissait sous ma bouche…
J’allais chercher de quelques derniers coups de langue l’embrasement de son plaisir et pris alors ma queue rigide en main pour me masturber, la laissant goûter le retour de ses sensations.
Encore assis entre ses cuisses écartées, j’admirai son intimité ruisselante, caressant ma hampe vigoureusement dressée.
Je me levai donc et vins, flamberge érigée en avant, au-devant de son invitation manuelle. Elle empauma ma queue et commença par passer le gland sur ses mamelons turgescents, caressant doucement mon érection.
Puis, relevant sa voilette, ouvrant ses lèvres charnues et sensuelles, elle enfourna mon sexe dans sa bouche chaude, moelleuse, et entama une fellation que je qualifie aujourd’hui d’experte, en comparaison avec les pipes parfois maladroites des copines. Celle-ci savait sucer une bite et je découvrais les délices d’une savante fellation.
Je sentis le plaisir monter très rapidement. Sans doute s’en aperçut-elle, car elle releva la tête, me laissant découvrir ma queue entre ses doigts, enduite de la salive qu’elle avait généreusement répandue.
Elle lâcha ma queue, se retourna et à genoux sur le canapé, me présenta sa croupe, écartant la ficelle du string.
Quelle vision de ces fesses magnifiques, mais je n’eus pas le temps de m’extasier davantage.
Je m’approchai et tentai de positionner au mieux mon sexe sur sa chatte lorsqu’elle bougea son bassin.
Cette invitation, la première de ma vie, me figea un instant, puis, excité comme jamais, je posai mon gland encore humide de sa salive et de sa mouille, contre son anus. Je sentis sa main venir par dessous et ses doigts enduits de cyprine en couvrir mon gland.
Novice en sodomie, je tentai cette délicate manœuvre. Elle vint de nouveau à mon secours, et de sa main, posa bien ma queue sur sa rondelle.
N’écoutant plus que mon désir, je forçai bientôt le passage étroit et me retrouvai ainsi la queue entre les fesses de cette cliente friponne. La sensation était nouvelle, jouissive. J’avais l’impression de braver une sorte d’interdit, tout en me rendant compte qu’en définitive ce n’était pas aussi inaccessible, avec une femme consentante et amatrice d’une telle pratique.
Debout derrière elle, je la besognai, la sodomisai à fond…
Ses encouragements décuplaient mon excitation et mon énergie. Elle était superbe ainsi, cambrée, offerte, sa croupe superbe tendue pour avaler ma queue, avec ses bas excitants et les escarpins neufs.
Je m’activai, goûtant ce plaisir extraordinaire et alors nouveau, sentant derechef mon plaisir monter en flèche lorsque j’entendis derrière moi une voix que je connaissais.
Elle s’appelle Rébecca, me suis-je dit immédiatement. Je n’avais pas pensé à lui demander son prénom.
J’avais reconnu ma logeuse qui, sans doute entrée par la porte de la réserve, nous avait matés et venait nous surprendre dans cette scabreuse position.
Mais, cette interruption ne vainquit pas ma soif de plaisir et je continuai, dans l’impossibilité de renoncer maintenant à l’inexorable montée de ma jouissance…
Je me tournai pour apercevoir ma logeuse, Béatrice, qui approchant, regardait ma queue aller et venir entre les fesses de son amie.
Tout en étant acteur, j’avais l’impression d’assister à un film porno. Je vis Béatrice qui passait une main sous sa jupe. Ce geste suffit à déclencher l’explosion et je giclai alors de longs jets de sperme dans le fondement de Rébecca qui criait son plaisir, jouissant elle aussi de cette pénétration culière.
Après quelques instants suspendus, nos souffles courts, je vis Béatrice qui vint derrière le canapé, face à Rébecca, et sa bouche se posa sur la sienne pour un baiser saphique à la fois tendre et énergique.
C’est ainsi que je découvris que ma logeuse préférait les femmes, mais qu’apparemment elle ne semblait pas lui tenir rigueur de cet écart…