n° 01932 | Fiche technique | 8325 caractères | 8325Temps de lecture estimé : 6 mn | 03/03/01 corrigé 24/10/22 |
Résumé: Depuis la fenêtre de mon appart, je peux voir les clients dans l'hôtel d'en face.... | ||||
Critères: fh voir exhib fmast fellation pénétratio ecriv_c | ||||
Auteur : Jeune couple |
Salut, je m’appelle Anne, et je suis le côté féminin d’un jeune couple. Nous sommes plutôt classiques, mais je pense que le ressenti se passe d’apparat. En d’autres termes (tant pis si Nicolas n’aime pas que j’en parle), tous les trucs les plus fous et bizarres que j’ai pu faire avant mon copain, ne valent pas un simple missionnaire avec lui. Je vous dis pas le reste !
J’ai envie de raconter une histoire qu’il aime bien, (pas très originale, mais il y en a tellement sur ce site) et qui m’est arrivée il y a un an et demi, durant l’été 1999.
J’étais déjà avec Nicolas depuis quelques mois, et j’habitais encore au dernier étage d’un immeuble ancien ; ma fenêtre donnait sur une petite cour, et surtout devant les fenêtres d’un hôtel, un peu vieillot certes, mais je suis sûre que pas mal de lecteurs donneraient cher pour voir tout ce qui se passait en face ! Mais ce n’est pas le propos, et je ne suis pas voyeuse, alors… Par contre, je n’étais pas non plus très exhibitionniste, mais ce jour-là, je me suis découverte…
Il était à peu près 5 heures du soir, il faisait encore bien chaud (ah oui, au fait, nous sommes sur la Côte d’Azur) et je portais un tee-shirt et, tout de même (!) une culotte.
Je faisais un poil de rangement chez moi quand je vis un mec sur le balcon de l’hôtel, juste en face, en train de fumer une cigarette. J’ai bien vite remarqué qu’il jetait des regards vers moi. Ça aurait dû m’énerver, mais ce jour-là, non ; ça m’a plutôt flattée. Il regardait, je pense, plus le bas du tee-shirt qui laissait voir mon entrejambe, que moi-même, mais bon, je sais pas, ça m’a excitée et donné très vite envie d’aller plus loin.
Je ne savais pas quoi faire pour en montrer « plus » sans passer pour je ne sais quoi. Alors je continuais mes va-et-vient dans la pièce, m’arrêtant bien devant la fenêtre, me baissant parfois légèrement pour laisser un peu plus apparaître le bas de ma petite culotte.
Comme il était rentré dans sa chambre, et donc moins visible, je me lançai. Et tant pis, ce mec, je ne le verrais jamais plus ! M’écartant de la fenêtre, je retirai ma culotte et me plantai sur mon balcon, une cigarette à la main. Étant accoudée, la moitié de mon pubis était bien visible.
Il était assis sur le lit, face à moi et « lisant » une brochure. D’un coup d’œil, je remarquai une fille blonde, derrière lui, vêtue d’une petite robe. Je crois que j’étais fière qu’il me regarde plus que sa copine. Pas parce qu’elle était bien foutue (moi aussi, zut !), mais parce que je complexe un peu sur les blondes, ou plutôt sur leurs rapports avec les mecs.
J’étais rentrée lorsque je la vis retirer sa robe et partir dans ce que je sais être la salle de bain. Peut-être un peu puérilement, je fonçai dans ma salle de bain, pris au hasard quelques vêtements que je fis rapidement tremper.
Deux minutes après, j’étais devant mon étendoir, nue sous le tee-shirt, le garçon toujours à sa place. Ça m’amuse encore de penser que j’ai mouillé une fois dans ma vie en étendant du linge… J’étais vraiment excitée ; j’allongeais bien les bras pour faire remonter mon tee-shirt et découvrir tout mon pubis, et par trois fois, je m’agenouillai innocemment pour prendre des pinces à linge, écartant suffisamment les jambes pour qu’il ne puisse rien manquer de ma vulve.
En rentrant, le dos tourné, je me suis penchée comme pour prendre quelque chose par terre, lui dévoilant mes fesses et le haut sombre de mes cuisses.
À peine rentrée, j’enlevais le tee-shirt, et à peine revenue de la cuisine, je remarquai le retour de la fille, une serviette nouée en haut des seins. Peut-être y suis-je un peu pour quelques choses si le mec s’est levé pour embrasser sa copine. Il commença à caresser sa jambe, amena sa main jusqu’au sexe de la fille. J’avais peur qu’elle me voit, mais il fallait que je calme la chaleur envahissant mon entrejambe.
Tandis que sur le lit, elle lui retirait ses vêtements et dénouait sa serviette, je m’assis, dos à mon canapé. Face à eux, nue, j’écartai les jambes pour commencer à me caresser. Lui était sur elle, face à moi, et l’orgasme montait chaque fois qu’il levait la tête. Il ne pouvait pas manquer de me voir me caressant le clitoris alors qu’ils faisaient l’amour. Mon intérieur réagit encore à la pensée que je me masturbais devant eux, sans aucune honte.
Je voulais jouir, avec l’un des deux, plutôt avec la fille. Mais je n’ai rien entendu. Je crois qu’elle n’a pas eu d’orgasme, et ça m’a frustrée. J’étais, comment dire, chaude, il fallait que je jouisse. Je me suis levée et j’ai pris le téléphone pour appeler Nico. Mon cher ange arrivait dans un quart d’heure…
Je mis ma jupe portefeuille, bien sûr sans rien dessous. J’aurais volontiers mis des Dim Up qui plaisent tant à mon copain, mais il faisait vraiment trop chaud… Dommage.
Peu après, j’étais dans sa voiture.
Le temps d’acheter une bière et un coca (tant pis pour la pub subliminale !) et l’on arrive dans une rue pas trop éclairée. On s’embrasse, on commence à se caresser. Glissant une main vers mon pubis, il comprend où je veux en venir… Je ferme les yeux, sa main parcourt ma vulve. J’écarte mes jambes, et j’entends des pas sur le trottoir, juste à coté. Nico s’en fout, il a compris à mon humidité que je suis au comble de l’excitation. Quiconque passe à côté de nous ne peut que voir mon sexe recouvert de la main de mon amant.
J’entends une femme pousser un « oh ben, dis donc ! » à son passage. J’ouvre les yeux, dégrafe le jean de mon copain, sors ma partie préférée de son corps – j’avoue ! – et la prends dans ma bouche. Deux jeunes qui passent poussent un « wooouuuuuawwww » qui casse un peu l’atmosphère. Probablement vexé – sois plutôt fier, mon amour ! – Nico me demande si on peut aller ailleurs.
Tandis que nous roulons, je continue à le masturber, et à le prendre dans ma bouche dès qu’un feu se présente.
On arrive sur une hauteur de la ville, un peu à l’écart, mais il y a quand même du passage, tant mieux ! Une fois arrêtés, je le suce presque violemment ; j’ai envie de sa jouissance, j’ai envie de jouir. Nous sortons. Sans un mot, je m’appuie sur un petit muret, les jambes écartées. Il relève ma jupe sur mes reins et dirige son sexe vers le mien. Les phares d’une voiture nous éclairent pendant qu’il me pénètre. Sa bite parcourt mon tréfonds tandis que j’imagine tous les passagers des voitures nous regarder, sans doute effarés.
Je souhaite à tout le monde d’éprouver l’orgasme que j’ai eu… Toute la ville à dû m’entendre !
Quelques temps après, mon homme remplissait mon ventre de sa jouissance.
J’avoue : je suis toute humide au souvenir de ma plénitude à ce moment-là, le fruit de son plaisir au bord de mon sexe. Et je ne crois pas être la seule à être excitée, je me trompe, mon amour ?
Mon bébé, puisque tu es en train de me lire, ne veux-tu pas te lever près de moi ?
Puis-je dégrafer ton pantalon ?
Je l’adore.
Approche-toi encore, je veux t’avoir pendant que j’écris
Jouis mon amour, vas-y, s’il te plait.
Pas sur moi, dans ma bouche
Viens oui
Laisse-moi finir d’avaler ta jouissance.
J’aime ton sperme, tu sais ? J’aime te donner ce plaisir.
J’aime quand tu te masturbes sur ma bouche ouverte. Ça fait très film de cul, mais c’est peut-être pour ça que ça m’excite. Le seul truc qui m’embête un peu, c’est que tu n’as pas toujours envie après – je le comprends – et que ça pique un peu la gorge ! Mais tu sais que ça ne m’arrête pas !
Compte si tu peux, le nombre de fois où tu t’es répandu dans ma bouche… Eh bien, c’est pas assez !
S’il te plait, va dans la chambre, j’envoie ceci et te rejoins…