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n° 01945Fiche technique46733 caractères46733
Temps de lecture estimé : 27 mn
07/03/01
corrigé 24/10/22
Résumé:  Tel est surpris qui croyait prendre... ATTENTION,nous avons aussi rajouté la fin de cette histoire.
Critères:  fh couple telnet voir exhib fmast fellation préservati
Auteur : Pierre 1035  (Architecte de 50 ans)
Au bon temps du Minitel

C’était au joyeux temps du Minitel. Architecte de profession, je travaille chez moi. Mon bureau se situe dans le jardin de ma maison en région parisienne. Rentrant un soir de Paris en voiture avec mon épouse, nous tombons en arrêt à un feu rouge devant une publicité pour une messagerie en 3615 ornée d’un splendide couple nu. Mon épouse paraît ignorer ce dont il s’agit ; je le lui explique brièvement tout en faisant route vers notre domicile. Arrivés à la maison, j’allume le Minitel et me connecte sur la messagerie en question. Quelques minutes plus tard, elle a tout compris du fonctionnement de celle-ci. Pendant notre repas, nous discutons de ces messageries puis après celui-ci, je décide d’aller à mon bureau mettre la dernière main à la présentation d’un projet destiné à un de mes clients.


Je ne saurai jamais par quel hasard, à peine arrivé au bureau, je me connecte sur la messagerie en question, puis par quel hasard, je décide d’interpeller une dénommée « Isabel » ; peut-être attiré par l’origine hispanique de mon épouse. Elle me répond gentiment et nous commençons à parler de tout et de rien. Toujours prudent dans ce genre d’exercice, je me présente comme un photographe professionnel amateur de rencontres avec de belles femmes susceptibles de me servir de modèles.


« Isabel » ne paraît pas hostile à une telle rencontre. Je lui demande tout à trac si elle accepterait que je vienne tout de suite la rencontrer. Sans méfiance, elle me déclare que ce serait avec plaisir, mais que son mari qui est architecte travaille dans son bureau dans le jardin de leur propriété…


Impossible de me méprendre, c’est bien mon épouse qui se dissimule derrière le pseudo d’Isabel. Un frisson me parcourt tout le corps ; je savais mon épouse chaude et étais déjà persuadé que, comme moi d’ailleurs, elle avait connu des aventures extraconjugales, mais cette fois je me trouvais face à l’évidence de son infidélité. Tout en poursuivant mon dialogue avec « Isabel », j’allume le Minitel du bureau de mon assistante et me connecte à partir de ce second poste sur la même messagerie sous un nouveau pseudo.


Bien sûr, au bout de quelques minutes, j’interpelle « Isabel ». Quelques minutes plus tard, prétextant l’arrivée de ma femme, j’interromps ma première communication et me consacre entièrement à la seconde. Cette fois, je suis ingénieur en informatique de 35 ans (soit dix de moins que mon épouse) et divorcé. Je lui demande si elle est elle-même libre, elle me répond que son mari part souvent en voyage, qu’elle le soupçonne d’ailleurs de se faire souvent accompagner d’une maîtresse. En cela, elle se trompe complètement n’ayant pas le goût de mélanger mes affaires professionnelles et mes affaires privées. D’autant plus que j’ai remarqué depuis longtemps que les hôtels trois étoiles et plus regorgent de femmes superbes en mal d’affection.


Vient alors la phase classique :



Elle se décrit avec l’honnêteté de celle qui a déjà en tête une future rencontre et qui sait qu’elle ne doit pas trop tricher. Elle se dit blonde alors qu’elle n’est que décolorée, se donne 1,70 m alors qu’elle ne mesure que 1,68 m, vante sa poitrine plantureuse 95 D – ce qui est exact – et laisse dans l’ombre la largeur de ses hanches.



Comment va-t-elle me répondre ?



Tout ceci est rigoureusement exact, je la sens curieusement à ma merci, j’en suis assez ému.



Je risque le coup :



J’attends sa réponse avec perplexité.



À peine ai-je écrit ces derniers mots que je sors de mon bureau, évidemment sans éteindre la lumière, et, dissimulé derrière un arbre je vais observer Anne-Marie devant son Minitel. Lorsque j’arrive, elle est encore devant, toujours habillée, sans doute en train de me répondre ou peut être en train de dialoguer avec un autre. Je retourne devant mon Minitel.



Je constate qu’elle ne m’a pas envoyé de message entre deux ; c’est donc qu’elle dialogue au moins avec un autre correspondant. Mon deuxième Minitel va bientôt me servir à nouveau.

Elle ne répond pas à ma question et semble être très absorbée ailleurs. Je crains de l’avoir effarouchée et « perdue ».



J’allume le second Minitel et me connecte avec un nouveau pseudo ; on ne sait jamais ce qui peut arriver. Peut être devrai-je faire une nouvelle tentative en paraissant moins pressé.



Bien entendu, je ressors de mon bureau comme tout à l’heure et retourne me poster devant la fenêtre du jardin donnant vue sur le bureau sur lequel se trouve notre Minitel domestique. Cette fois, elle a disparu de devant son petit écran. Le temps me semble éternel ; va-t-elle vraiment obéir à son interlocuteur inconnu (!) Comme elle me l’a affirmé ?


Quelques secondes plus tard, j’ai ma réponse en la voyant arriver intégralement nue et s’asseoir devant son Minitel. Je m’empresse de retourner dans mon bureau pour poursuivre cette surprenante soirée.

Un message m’attend :



Je connais bien sûr son corps par cœur, mais l’érotisme de la situation me trouble profondément. Malgré mes 50 ans, je me surprends à bander comme un collégien.

Comme si je n’avais pas pu le vérifier, je lui demande :



Si elle savait l’effet que cela me fait vraiment de savoir cela ! Mariés depuis vingt ans, j’avais l’impression de la découvrir, où était la jeune fille timide que j’avais rencontrée quand elle avait 23 ans et moi 28, morte de honte de devoir un jour m’avouer qu’elle n’était pas vierge, qu’un autre avant moi avait fait vibrer son corps… Je décidai de prendre complètement l’avantage de la situation extraordinaire dans laquelle je me trouvais.



La question était évidente et la réponse l’aurait été aussi s’il s’était agi d’une autre femme que la mienne !



Je change de place et, de mon second minitel, je lance sous l’autre pseudo :



Elle répond à l’homme divorcé de 60 ans :



Heureusement que je peux utiliser la touche « Guide » pour lire ce que je viens d’écrire, sinon je risquerais de me mélanger entre mes deux postes ! À dessein, je décide d’utiliser le vouvoiement pour mon personnage de 60 ans, de conserver le tutoiement pour l’informaticien de 35 ans.



Cette réponse faite au divorcé de 60 ans me ravit en ce sens qu’elle est une preuve d’amour pour moi, mais me conforte dans mon idée que je connais bien mal ma femme, ou qu’elle joue bien la comédie et en rajoute un peu.



Nous étions en pleine période Basic Instinct !



L’informaticien de 35 ans doit pousser son avantage, me semble-t-il.



Mais le « vieux » divorcé est parti le premier !



Une nouvelle fois, son allusion à notre amour me vient en plein cœur et j’ai presque honte de ce que je suis en train de faire. Mais sa réponse à l’informaticien de 35 ans me défrise !



L’homme divorcé de soixante ans, lui, pose une question que je lui ai souvent posée et à laquelle elle m’a toujours répondu par la négative :



Elle répond à la question de l’homme de soixante ans sur elle et l’homosexualité :



Je lis et relis la réponse, elle n’y a plus pensé pendant longtemps… et maintenant ? Je lui réponds donc pour l’homme de 60 ans :



Elle a répondu pendant ce temps à l’informaticien.



Je lui réponds :



Je lui réponds :



L’informaticien lui répond :



Elle a répondu au vieux divorcé :



Sa réponse au jeune informaticien ne me surprend guère :



Je suis déçu et flatté qu’elle pense tout de suite à aller le rejoindre avec ce tailleur que je lui ai offert. Quand nous allons en voyage dans des endroits où nous ne sommes pas connus, je lui demande de le mettre. La jupe est en tissu extensible et tellement serrée qu’on ne peut ignorer qu’elle est nue dessous, quant à la veste, elle ne laisse rien ignorer de sa somptueuse poitrine.


Je lui ai également offert un très bel ensemble noir composé d’une immense jupe plissée noire qui masque ses hanches généreuses et qui est fendue sur toute la hauteur. Lorsqu’elle s’assied ou lorsqu’elle marche, les pans de la jupe glissent et dévoilent ses jambes… très haut, vraiment très haut. La veste qui va avec, est aussi très ample, très longue et fluide. Tellement longue et fluide, qu’elle peut la porter sans la fermer devant, à condition de ne pas faire de mouvements trop violents, ses seins maintiennent seuls les pans de la veste laissant voir la peau nue sans interruption du cou à la taille. J’aime à voir les regards concupiscents que lui jettent les hommes. J’aime à observer leur manège pour se placer de côté de manière à mieux découvrir lorsqu’elle remue la courbe presque parfaite d’un sein qui se dévoile puis se recache.


Je décide de « coucher » le jeune informaticien !



Je la sens un peu déçue par le départ imminent de l’informaticien :



Je réponds immédiatement :



Va-t-elle le donner ?



Sa réponse au « jeune » informaticien me tombe dessus comme une massue :



Je coupe le Minitel sur lequel se déroulait cette conversation. Ainsi, elle a accepté un rendez-vous avec un parfait inconnu pour aller se faire tirer comme une chatte en chaleur.



Je sais bien sûr qu’il est assez sombre, seulement éclairé par la lune quand il y en a, par les fenêtres alentour quand elles sont éclairées et ce qui n’est guère le cas à cette heure de la nuit, sauf celles de mon bureau.



Comme un zombie, je lis ses messages. Je suis abasourdi, je la savais portée sur le sexe, mais à ce point !



J’ai du mal à y croire. Je connaissais son plaisir à se montrer, mais là, je suis dépassé. Va-t-elle vraiment sortir ? Nue sous le manteau ? Peut-être joue-t-elle seulement la comédie pour ce correspondant qu’elle croit ailleurs dans Paris ?

En guise de réponse, je la vois faire le tour de la maison. Son manteau est à peine entr’ouvert mais je distingue bien sa peau blanche sur toute la hauteur ; elle est vraiment nue dessous.



Je me glisse hors du bureau et, tout en restant caché, j’attends Anne-Marie ; je ne doute pas qu’elle va obéir cette fois. En effet, elle arrive derrière la maison, s’arrête un instant pour sans doute vérifier que les lumières de mon bureau sont bien éclairées, puis cette fois, les deux pans du manteau largement ouverts sur son corps, elle continue son tour. Arrivée dans un coin un peu plus sombre et en fait abrité des regards possibles des voisins par des arbres, elle enlève son manteau, le pose et en fait le tour. Un instant, elle en profite pour se caresser les seins, le ventre et le sexe avant de reprendre le vêtement posé à terre et de disparaître derrière la maison, manteau à nouveau largement ouvert.



J’avais en effet des doutes ! Ce sont maintenant des certitudes !



Je me souvenais en effet avoir travaillé pour Bouygues à Ryad à cette époque mais les retards étant tellement nombreux, je ne me souvenais plus de celui-ci. Plus notre conversation avançait et plus j’avais l’impression de marcher au-dessus d’un gouffre, celui de la méconnaissance totale de ma femme.



Je sens que prise dans sa conversation et excitée par ce qu’elle vit, elle va répondre bientôt à quelques questions dont je n’ai jamais eu la réponse auparavant.



Elle ne m’avait donc pas menti en me disant que j’avais été le deuxième homme de sa vie, par contre, le premier n’avait rien d’une amourette de vacances !



Si elle m’en parle… je ne serai pas trop étonné !



Mon sang ne fait qu’un tour… C’est une salope, mais elle m’aime !



Comme quoi, elle n’est pas entièrement noire !



Ce matin, j’ai appelé un client qui a changé de numéro, je cherche le numéro à toute vitesse, si elle me le demande.



Et je raccroche…



Je n’éteins pas la lumière de mon bureau, j’en sors par derrière et rentre à la maison en passant devant une fenêtre donnant sur le bureau de ma femme. Elle est toujours nue devant son minitel, assise sur un tabouret. Tantôt, elle pianote quelques mots, tantôt je vois ses mains caresser son corps, ses seins et se glisser entre ses cuisses… Il fait froid, c’est l’hiver et il est plus de deux heures du matin ; si je reste ici, je vais me geler, même si le spectacle est torride. Je retourne au bureau, éteins toutes les lumières et rentre à la maison en faisant le tour du jardin.


Anne Marie est toujours devant son Minitel, absorbée par sa « conversation », elle ne s’est pas rendue compte de mon arrivée, elle entendra par compte la porte s’ouvrir. Je ne tiens pas à la surprendre, je ne saurais pas quoi dire. J’ai rarement eu l’occasion de la voir se caresser ainsi et le spectacle de son corps qui se tend sous ses doigts m’excite terriblement : sera-t-elle chaude tout à l’heure ? Ses dents mordent tour à tour sa lèvre du haut et sa lèvre du bas, signe d’un prochain orgasme. Je vais rentrer.


J’ouvre la porte comme si de rien n’était ; Anne-Marie m’apparaît juste vêtue d’une chemise m’appartenant, entièrement déboutonnée qui ne cache que ses seins. Juste ce qui a dû lui tomber sous la main lorsqu’elle a entendu que j’ouvrais la porte.



Son attitude était surprenante, était elle vraiment sincère ou jouait-elle la comédie ? Après tout, elle avait quand même donné son numéro de téléphone au moins à ces deux hommes. Il fallait absolument que je vérifie quelque chose immédiatement.



Anne-Marie sortit, je me rue sur son sac à main. Son portefeuille est là, je l’entrouvre, ma photo est bien visible… Derrière je cherche celle prise au Hilton par son vieil amant d’un après-midi. Elle n’y est pas… Je m’en doutais, elle a inventé cette histoire. Je referme le portefeuille et le sac. Il était temps, Anne-Marie arrive avec le livret de famille.



Je m’approche d’Anne-Marie et écarte les pans de la chemise ; ses seins sont toujours aussi somptueux malgré son âge. Je les lui caresse doucement, les soulevant un peu comme pour en apprécier le poids.



Anne-Marie s’agenouille, ouvre mon jean, mes mains font glisser la chemise de ses épaules pour l’avoir intégralement nue. Elle entame une fellation encore plus divine qu’à l’habitude…

Un petit bout de papier tombe de la poche de la chemise, c’est une photo déchirée en mille morceaux. Anne-Marie surprend mon regard, ramasse le morceau tombé et reprend sa fellation…


Cette nuit-là, nous avons fait plusieurs fois l’amour.