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n° 02002Fiche technique25171 caractères25171
Temps de lecture estimé : 15 mn
13/05/00
corrigé 28/10/22
Résumé:  Installateur en vidéo, il est mené à officier chez cette très jolie femme au cul rebondi comme un potiron, nymphomane et exhibitionniste, de surcroît.
Critères:  fh nympho exhib strip intermast fellation pénétratio fsodo
Auteur : Philippe      
Je m'occupe aussi des réparations !

C’était une jeune femme superbe, de longs cheveux d’un noir ardent, un charmant minois aux lèvres charnues et aux yeux de biche d’un vert très profond, une poitrine ferme et généreuse, des jambes si bien fuselées sur un corps en tous points parfait et, par-dessus tout, un cul rebondi, comme un potiron… Mais bon dieu, quelles jolies fesses désirables !


Après m’avoir laissé à mon travail, elle était revenue s’étendre sur sa terrasse et, en bikini, se laissait baigner des derniers rayons du soleil.


Je venais de terminer l’installation de son nouveau vidéo « HT-SVHS », lorsque, pour son réglage final, je plaçai ma cassette porno préférée. C’est un truc qui marche avec pas mal de femmes curieuses des jeux de l’amour !


Mon imagination partit en vadrouille et du coup, je fantasmais sur cette nana, déjà moite de désir, et, j’espérais avoir la chance de confronter, nos expériences en matière d’innovations amoureuses, et sexuelles le plus vite possible.


Je mis la cassette en marche. Les diffuseurs de sa chaîne Hi-fi commencèrent à chanter des râles rauques de jouissance ainsi que des cris aigus de plaisir.

L’imaginant nue devant moi, je ne me retins pas de me masser fermement l’entrejambe échauffé de mes mains pleines d’espérance. Perdu dans mes idées salaces, je m’étais immobilisé, mais avait-elle lu dans mes pensées ? Car, elle intervint d’une voix chaude en me palpant les fesses de ses mains fermes et volontaires :



Elle éteignit la vidéo désormais inutile. Alors que je pensais qu’elle allait m’entraîner vers sa chambre, je fus bien surpris lorsqu’elle m’attira vers la terrasse en plein air.



J’hésitai quelque peu car, je ne suis pas de nature exhibitionniste, mais le fait de nous savoir, peut-être, observés par l’un ou l’autre voyeur, avait un petit à côté inattendu et excitant en diable. Et puis ! Surtout ! Si ça lui faisait plaisir ! Nous nous retrouvâmes donc sur la terrasse, éclairés par la douce chaleur d’un soleil rougissant qui accentuait la couleur miel de sa peau mate et bronzée, et nous étions ainsi à portée des regards indiscrets.


Elle détacha le haut de son bikini, libérant une paire de seins magnifiques, en forme de poire, garnis de grands mamelons larges et redressés, puis en se tournant, elle se défit lascivement de son slip. Quel cul ! Quelles hanches ! Quelle chatte à la toison noire et fournie coincée entre ses deux cuisses effilées et parfaites ! Enfin, entièrement nue, elle s’était agenouillée devant moi, elle avait défait la ceinture de mon jean qu’elle descendit sous mes fesses, et s’attaqua à mon caleçon déformé par une curieuse protubérance. Son strip-tease m’avait déjà mis en forme égrillarde.


D’un geste preste, elle sortit ma queue ballottante et, l’empoigna vigoureusement, décalotta complètement le gland, et commença à la branler doucement d’une main, tout en me massant délicatement, consciencieusement, les testicules de l’autre, d’une façon très prometteuse.

Elle me caressait la quéquette, allait de mon gland à mes bourses en titillant l’entrée de mon anus, et cela de la manière la plus raffinée que je connaisse. Putain, j’en bandais comme un étalon en rut !


Avec délectation, elle se mit à me lécher la verge sur toute sa longueur, en s’attardant sur mon gland, qu’elle prit d’abord du bout des lèvres. Elle lécha les quelques gouttelettes qui s’étaient formées à son extrémité, et le goût sembla lui plaire car elle les avala.


Elle poursuivit ensuite son agréable traitement en couvrant toute ma pine de baisers plus ou moins appuyés tout en palpant fermement, de ses mains libertines, mes boules gonflées de foutre moelleux. Après avoir complètement mouillé de salive par de grands coups de langue gourmande ma verge brandie et décalottée, elle se décida à la prendre dans sa bouche sensuelle. L’ayant avalée goulûment, elle fit tourner sa langue autour de la couronne de mon gland, comme un serpent s’enroule autour de sa proie, et effectua de profonds mouvements de « ça-va-ça-vient » en faisant glisser mon gros organe cambré dans sa bouche suceuse.


Elle lâcha ma pine et se mit à me sucer les couilles lentement, superbement, une par une, comme des bonbons sucrés, les faisant rouler dans sa bouche délicieuse, comme dans un bain-marie, les caressant avec sa langue pour qu’elles se gorgent plus encore de nectar céleste, et les tirant de plus en plus vers le bas de manière à les entraîner profondément bien au fond de leurs bourses ramollies.


Là, elle reprit ma queue, qu’elle bouffait avec une telle frénésie, que j’eus bien du mal à me retenir de ne pas lui faire gicler, sans plus attendre, un flot de sperme chaud au fond de sa gorge goulue. Mais, il eut été dommage d’écourter cette agréable séance si bien entamée !



Spontanément, je lui répondis :



Alors, n’y tenant plus, je me défis complètement du reste de mes vêtements, je la pris par sa taille avenante, et la dirigeai promptement vers le matelas sur lequel elle prenait le soleil quelques instants auparavant. Je la mis à quatre pattes, en lui tripotant avidement les fesses et les nichons ; ensuite, je la plaçais le cul en l’air la tête en bas, en ajoutant :



Des filaments, perlés et brillants, comme une toile d’araignée, s’étalaient sur sa toison noire. En lui maintenant les cuisses largement écartées, je glissai entre les lèvres entrouvertes de sa chatte déjà bien mouillée par son désir, lentement et profondément, deux doigts caresseurs et motivés.



Mes doigts glissants en elle s’étaient enserrés dans son long vagin effilé et je sentis les muscles de sa vulve se contracter sur eux. Je continuai donc à la branler haut et fort en remuant bien mes doigts en son intérieur, les écartant, les descendants, les remontants le plus haut possible, tout en gardant le contact avec son petit bouton qui s’était raidi sous mes caresses, on aurait dit un pénis en miniature.


Mais elle n’y tint plus et se mit à jouir en comprimant mes doigts des muscles de sa vulve à plusieurs reprises en mouillant, copieusement ma main, de sa liqueur à l’odeur, marine qui s’en dégageait.



Je profitai de cette invitation pour pénétrer vigoureusement son sexe ouvert et offert de mon phallus rétablit !



Je me décidai à la ramoner aussi intensément qu’elle me l’avait demandé… Le rythme d’enfer de notre copulation m’amena à pressentir un puissant orgasme libérateur. Alors que je m’étais rétracté juste à temps pour pouvoir déverser toute ma semence chaude et visqueuse sur ses petites fesses bien dures…

Elle aussi, particulièrement excitée, ne tarda pas à jouir en criant de toutes ses forces :



On allait finir par ameuter tous les voisins ! Et tandis que de longs jets bouillonnants d’écume dense et laiteuse atterrissaient entre la raie de ses fesses, elle étala de ses doigts ce précieux liquide pour s’en oindre complètement le cul et l’entrejambe jusqu’à son clitoris tout gonflé…


D’une main elle se pétrissait les miches, tirant violemment sur ses mamelons comme pour les faire durcir encore plus, tandis que l’autre s’agitait vivement sur son clitoris rutilant. Admirant ce charmant spectacle, je décidai de participer à son plaisir évident, et, d’en préparer un nouvel autre, commun, en lui léchant de bas en haut et les lèvres de son vagin et son petit trou du cul poilu, en entrant sans cesse ma langue ferme et pointue à l’intérieur des unes et de l’autre. Elle ne tarda pas à trouver un nouvel orgasme.



Je récupérais quelque peu et recommençais lentement à bander. Lorsque, sans être rassasiée pour autant, elle me dit d’une voix autoritaire :



Elle écarta largement de ses mains ses fesses l’une de l’autre pour m’offrir un anus accueillant en diable. Comme il ne faut jamais me le demander deux fois, je la pris directement par les hanches, pour approcher mon sexe à nouveau bien rigide de son joli derrière.

J’allais tenter de forcer son trou de cul démasqué, lorsqu’elle me dit :



Elle porta deux doigts aux lèvres de sa bouche et les humecta de salive.



Ainsi trempés de salive, elle les introduisit facilement dans son anus déjà mouillé, elle les fit monter et descendre et s’écarter un peu en tournant pour dilater cet étroit passage royal, puis les retira pour laisser place à mon bel engin fièrement dressé devant moi. Je n’eus aucune difficulté à l’enfoncer délicatement, mais profondément, entre ses reins si bien lubrifiés et commençai à la labourer joyeusement par le cul !


L’amplitude de mes mouvements était telle, qu’à chaque butée, mes testicules velus venaient, en m’excitant d’avantage, cogner vigoureusement contre le doux moelleux de son minou humide.

D’une main, elle se tripotait les nibards, tandis que de l’autre, elle tentait, de ses doigts adroits, de faire pénétrer mes grelots profondément dans sa chatte brûlante et agitée, entre ses grandes lèvres avides, en me les aspirant.


Extirpant mes noix de cette étreinte incroyable, j’introduisis trois doigts dans son con béant, ce qui me permettait, en la masturbant allègrement, de masser par l’intérieur de son vagin mon gros pénis qui s’agitait dans son rectum hospitalier.

Pendant ces longues minutes d’intenses chevauchées, elle n’eut la force que de pousser des gémissements d’un plaisir intense visiblement non dissimulé. Soudain, elle rua de jouissance, tellement fort, qu’elle m’éjecta brutalement de son petit trou.


Elle se remit à genoux devant moi :



Étonnée… Elle accéda à ma requête, se lécha le majeur, l’introduisit avec tendresse dans mon anus quémandeur, et le fit aller et venir lentement et si profondément qu’elle me massait la prostate gonflée à souhait et prête à décharger à nouveau.


Après un certain temps, elle entreprit la fellation annoncée. Mon membre était si gros et si tendu dans sa bouche, que je sentais battre le sang accumulé dans mon gland au rythme accéléré de mon pouls. Ceci m’amena à vite libérer puissamment le contenu de mes bourses à nouveau bien remplies. Je jouis intensément, si fort, jusqu’au fond de sa gorge profonde, qu’elle faillit en étouffer !


Elle se recula vivement, se dégageant de ma pine active d’où s’écoulait encore un jus épais, rouvrit la bouche et laissa remonter tout le sperme dans celle-ci. Elle le mélangea à sa propre salive et brusquement reprit mon engin en train de jouir entre ses lèvres, le serrant d’une main dominatrice. Soudain, suite à une très forte pression expérimentée de sa gorge, je sentis un onctueux cocktail brûlant, remonter en moi à travers ma queue soumise par cette action à une pleine bandaison, conduit grand ouvert pour le recevoir, et mon bas-ventre aussi, afin de terminer sa course dans mes burnes moites qui faillirent exploser, sous cette poussée fulgurante d’un plaisir que j’éprouvais pour la première fois de mon existence. C’était donc ça la rétro-éjaculation ! Ce fut incroyable et sublime à la fois…


Mais elle ne restait pas pour autant inactive, massant délicatement mes couilles brûlantes ballonnées et tendues, telles des figues fraîches, grosses et mauves à la fois, pour calmer l’agréable douleur qui les étreignait. Elle branlait lentement mes bijoux intimes, comme une fermière trait sa vache, et elle faisait de l’autre main descendre en monter mon prépuce autour du gland ce qui me fit à nouveau jouir et cailler abondamment, heureux de n’être pas circoncis. En criant de plaisir, je laissais frémir convulsivement, par jets successifs, un torrent de sperme qui dévala jusqu’à sur son menton et sur son cou, elle s’en servit pour se barbouiller les seins puis s’en lécha les doigts avec délectation…


L’obscurité était venue et, avec elle, la température chuta brutalement… Nous rentrâmes pour poursuivre nos ébats à l’intérieur.



Mais il fallait récupérer quelque peu ! Elle enfila son peignoir de bain et m’emmena dans sa cuisine, ouvrit le réfrigérateur, en sortit deux bières et nous prépara des sandwichs jambon-beurre. Après avoir mangé et bu, elle vint s’installer sur mes genoux, me mit ses bras autour du cou et m’embrassa sur la bouche, mais pas pour un baiser furtif. Cette fois, ce fut un baiser interminable, qui me coupa presque le souffle.


Ses mains s’agitaient sur mon corps, elle se mit à caresser ma verge, lentement, avec des gestes sûrs, elle me massait pour mon seul plaisir. Ma queue ne tarda à réagir avec éloquence à ces caresses expertes et se redressa dans toute sa splendeur. Mes mains s’emparèrent du galbe de ses seins durs et doux à la fois et caressèrent ses gros bouts qui se dressèrent fièrement sous leurs pressions.



Je la pris dans mes bras pour la déposer sur le bord de la table. Je lui écartai tout grand les jambes et poussai ma grosse pine profondément dans sa petite fente moite, ouverte et offerte. Je sentis mon gros pieu durci venir cogner sauvagement contre les parois de son utérus. De jouissance non simulée, elle serra fortement les muscles de sa chatte en me comprimant la verge, me retenant prisonnier à l’intérieur de sa douce cellule capitonnée.


Malgré cette étreinte divine, je parvins à contenir mon orgasme et lorsque ses contractions de plaisir se dissipèrent, je continuai tranquillement à la baiser. Comme elle avait rejeté ses jambes le plus loin possible en arrière, je pouvais enfoncer ma bite sur toute la longueur, et sentir mes grosses couilles s’entrechoquer en s’écrasant contre ses petites fesses tendues, ce qui m’émoustillait d’avantage. Elle contractait sans cesse les petites lèvres vaginales autour de ma grosse queue enflée, mais par un mouvement de va-et-vient trop brusque, ma bite sortit entièrement de son cocon.


En voyant le paquet de beurre tendre qu’elle avait laissé sur la table, j’eus soudain une nouvelle idée.



Et j’introduisis une petite motte de beurre dans son anus, et une autre dans son vagin ; puis du pouce dans l’un et du majeur dans l’autre, je commençai à la masser pour faire fondre le beurre, ce qui arriva très vite…


Elle suffoquait de plaisir sous ces caresses intimes… Mais je voulais jouir moi aussi. Je la retournai donc sur le ventre et en écartant le plus possible ses jolies fesses dodues, de manière à mieux accéder à ses deux orifices à présent généreusement offerts, je pratiquai l’intromission de ma queue curieuse, successivement dans son petit trou du cul graissé, et dans son joli con baillant. D’un va-et-vient dans son anus dilaté, je changeais pour en donner un autre dans sa chatte juteuse, et ainsi de suite. Dieu comme cela glissait délicieusement bien, c’était formidable, c’était vraiment trop bon pour pouvoir continuer encore !


C’est dans son long vagin étroit que la jouissance me prit au bas-ventre et je me répandis longuement jusqu’au fond de sa matrice. Les tressaillements de sa vulve en plein orgasme, absorbèrent les dernières gouttes de mon sperme jaillissant. Elle n’en pouvait plus et lorsque, laissant sa belle érection se dissiper, ma bite molle glissa de sa fente humide, elle m’embrassa pleine de reconnaissance.



Sous la pluie d’eau tiède qui nous inondait, je la frottai avec une éponge naturelle imbibée d’un gel douche moussant, de la tête, en passant par le cou, la nuque cambrée, la gorge, les miches douces et leurs mamelons détendus, le dos, le ventre si tendre, le sexe à la toison soyeuse séparée par sa fine fente cramoisie, les fesses bien sûr avec son petit trou encore marqué de mon empreinte, les cuisses, les jambes, aux pieds si fins.


Elle se trémoussait de plaisir sous mes caresses, et se mit, elle aussi, à me laver en insistant bien sur mes zones érogènes, elle me palpait les fesses, l’intérieur des cuisses, les testicules et ma verge qui n’arrivait pas à débander. Elle la prit en main et la dirigeant vers son clitoris savonneux, elle s’en servit pour se branler. Elle se frottait tellement vite et fort, quelle en jouit sur la minute. Je lui fis faire demi-tour en la penchant vers l’avant, elle agrippa des mains les robinets de sa douche me présentant ses fesses mousseuses.



Elle avait bien compris le sens de mon désir, car, alors que seul mon gland était en son intérieur, elle le massait en ouvrant et fermant tour à tour les muscles de ses muqueuses anales avec force. Il devenait de plus en plus gonflé sous cette pression et lorsque je déchargeai, mon sperme coula lentement le long de ses cuisses mouillées.


On aurait pu rester là longtemps à s’embrasser et se caresser mutuellement, mais la fatigue nous entraîna vers son lit, dans sa chambre, pour un repos bien mérité. Une heure plus tard, alors qu’elle était toujours assoupie, je lui palpai la poitrine d’une main, de l’autre descendit le long de son ventre jusqu’à son sexe si doux, j’écartai un peu les lèvres de sa chatte et me mis à lui titiller le clitoris.

Elle ouvrit les yeux en me souriant et me proposa :



Nous nous mîmes tête-bêche, et je commençai à grands coups de langue, à lui lécher la motte, puis lui écartant les jambes et les lèvres, je suçai son petit bouton rose qui commença à durcir dans mes lèvres. De son côté, elle jouait avec mon sexe, rétracta le prépuce pour prendre le gland dans ses doigts, et s’occupa de mes couilles les léchant avec conviction.


Je descendis le long de ses cuisses jusqu’au creux de ses genoux, puis remontai jusqu’à son entrejambe en insistant avec mes ongles. Elle prit ma queue en bouche et se décida à me pomper, en continuant à me masser les testicules. Je forçai doucement son anus de mon index que j’avais mouillé dans son vagin et le fis aller et venir dans ce couloir étroit, sans pour autant cesser de lui lécher la chatte. Elle fit de même, se souvenant de ma précédente demande et suça ma pine avec sa bouche chaude et humide par des mouvements de va-et-vient savants, excitants à souhait. J’enfouis mon pouce dans sa chatte que je la massai des deux côtés à la fois, elle en gémit de bonheur et aspira ma bite si âprement que j’en éjaculai immédiatement dans sa bouche.


Aussitôt, je lui demandais une nouvelle « rétro », ce qu’elle me fit subir sur-le-champ, et le plaisir qu’elle m’administra, remontant comme une traînée de poudre foudroyante à travers ma bite grande ouverte jusqu’à mes grelots exténués par tant de nouvelles expériences brûlantes, me fit jouir moi en premier lieu puis elle intensément. De flux en reflux, elle avala toute ma liqueur jusqu’à la dernière goutte.


Mais je voulus qu’elle vienne encore et, je continuai donc à la lécher et à la caresser et ce, pendant qu’elle palpait en vain mes couilles maintenant vides. Son dernier orgasme arriva par vagues successives, et le délicieux liquide parfumé coulait tellement fort sur mon visage qu’on aurait dit un robinet mal fermé.



La nuit suffit à peine à repasser toute la cassette pour faire revivre et rejouer à deux chaque scène en adoptant les mêmes positions que dans le film. On s’essaya donc à toutes sortes de pratiques plus imaginatives les unes que les autres. Assis, debout ou couchés, têtes-bêches, par-devant ou par derrière, avec les mains, les pieds, la langue ou le sexe, nous nous fîmes des choses absolument délicieuses…


La vidéo fonctionna intensivement avec des avances rapides pour accélérer le moins intéressant, des ralentis pour certaines scènes très chaudes et même de longs arrêts sur images pour immobiliser les actions les plus hard du film…


La commande à distance nous permit de ne pas nous interrompre aux moments cruciaux…



Au petit matin, alors qu’épuisée, elle dormait encore, je repris mes affaires et quittai discrètement l’appartement. Fourbu mais très satisfait, je contemplai une dernière fois ce corps magnifique qui m’avait donné tant de plaisir et lui laissai ce petit mot :