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n° 02003Fiche technique28627 caractères28627
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21/05/00
corrigé 28/10/22
Résumé:  Martine et son mari rentrent à l'hôtel et surprennent la femme de ménage en train de fouiller dans leurs affaires.. Plutôt que le la dénoncer, ils lui proposent un marché : elle devra revenir le lendemain...
Critères:  ffh couplus vacances hotel fsoumise fdomine hdomine soubrette chantage pénétratio fdanus fsodo uro sm attache fouetfesse -couplea3
Auteur : Philippe      
Léa, la soubrette

Il n’était que 9 heures du matin mais il faisait déjà plein soleil sur la Croisette. De retour dans notre chambre d’hôtel après le petit déjeuner, quel ne fut pas notre étonnement de surprendre la femme de chambre en train de fouiner dans notre armoire à vêtements… tenant déjà à la main quelques dessous particulièrement affriolants dont Martine (ma femme) aime tellement se parer pour sortir.


Très confuse d’avoir été prise ainsi « la main dans le sac », la soubrette se défendit d’avoir voulu nous voler quoi que ce soit et nous assura en balbutiant n’avoir agi que par attrait pour cette belle lingerie dont elle rêvait tant et qu’elle aussi aurait bien aimé pouvoir porter… En outre, rouge de honte, elle nous supplia de ne pas avertir la direction de l’hôtel, craignant à juste titre d’avoir des ennuis et de perdre son emploi.


Une lueur coquine naquit immédiatement dans les yeux de Martine qui déclara tout de go à l’indélicate employée :



Et de joindre le geste à la parole, Martine lui remit le délicieux dessous particulièrement transparent.



Notre visiteuse se confondit encore en plates excuses puis, prit le body et s’enfuit aussitôt sans demander son reste.


Rien ne nous assurait que la jeune femme (au demeurant plutôt mignonne) accepterait les termes de notre tacite contrat mais nous espérions tout de même bien qu’elle revienne…



Martine est, il faut le préciser, tout à fait bisexuelle et prend, de ce fait, autant de plaisir que moi à introduire (sans mauvais jeu de mots !) une jolie personne très ouverte dans nos ébats amoureux. Le fait, qu’elle soit aussi voyeuse et exhibitionniste ajoute encore au caractère torride de nos rencontres et relations…


Ce soir-là, Martine et moi fîmes l’amour intensément en pensant déjà à ce que pourrait être notre excitante rencontre du lendemain…


À l’heure convenue, on frappa à la porte. Notre coquine de la veille entra et dit doucement :



Avançant dans la chambre, elle défit en un tour de mains sa micro-jupe en coton noir et retira son chemisier transparent qu’elle laissa tomber à ses pieds. Comme convenu, elle portait bien le body que Martine lui avait offert… et imposé de mettre. Ses formes ainsi révélées, elle était particulièrement émoustillante et franchement désirable… La blancheur de la dentelle contrastait avec son teint de méditerranéenne : une belle peau mate et splendidement bronzée mettait en valeur un corps bien proportionné : pas très grande mais avec des formes pleines et des courbes splendides qui lui donnaient une silhouette épanouie.


Ses beaux seins lourds et voluptueux se dressaient fièrement ; en leur centre, les mamelons foncés étaient déjà tout érigés sur de larges aréoles brunes… Un ventre parfaitement plat et, plus bas, une toison pubienne abondante et très sombre rappelait ses cheveux noirs de jais qui lui tombaient harmonieusement sur les épaules. Un cul resplendissant mais parfaitement rond et bien ferme ; attirant comme une belle pomme à croquer : très appétissante !


Elle portait à la cheville gauche une chaînette en or qui donnait à sa fine cheville un air absolument féminin. Lentement, elle se retourna et nous exhiba, sous la fesse gauche, un petit tatouage représentant un cornet de crème glacée.



Gardant ses petits mocassins vernis qui terminaient si gracieusement de splendides jambes visiblement très douces, elle fit quelques pas, arriva au lit, se coucha lascivement sur le dos et écarta largement ses cuisses déjà relevées pour nous révéler impudiquement son intimité : sa fente ténébreuse semblait déjà s’humecter de désir… Elle dit alors calmement :



Martine était subjuguée… Cette fille s’était offerte à nous au-delà de toutes espérances. De plus, elle représentait un contraste saisissant avec Martine : grande, mince, blonde, peau laiteuse et le sexe complètement épilé alors que Léa était plus petite, brune, avec des formes généreuse et bien fournies partout…


Sans plus attendre, Martine se débarrassa de son peignoir de bain. Entièrement nue, elle aussi, elle s’approcha doucement de Léa et lui chuchota tendrement à l’oreille :



Alors qu’elle prononçait ces paroles, Martine entreprit de retirer à Léa son body devenu encombrant. Elle fit d’abord glisser les fines bretelles sur ses épaules pour découvrir ses seins magnifiques. Elle saisit ceux-ci délicatement, les caressa et les malaxa avec amour. Sans plus attendre, elle embrassa les deux magnifiques globes de chair, en emprisonna les pointes dressées entre ses lèvres brûlantes de désir et les suça si intensément qu’elle y laissa l’empreinte de ses dents. Lorsqu’elle se retira après de longues et intenses minutes, je pus les voir tout mouillés de salive ; cela commençait à devenir excitant ! Moi qui brûlais d’impatience d’intervenir au plutôt, je n’eus pas le cœur d’interrompre cette délicieuse montée de plaisir saphique et fus contraint de rester un simple spectateur passif de cette scène en me masturbant doucement sur le fauteuil… Martine m’avait fait un signe discret qui signifiait « reste en dehors de cela pour le moment ! »


Elle progressait rapidement et avait déjà atteint le bas-ventre de notre nouvelle amie, roulant le mince vêtement pour dévêtir Léa plus promptement et commença à la masturber furieusement.



Comme mu par un aimant, son visage s’approcha encore du sexe de Léa et vient s’y coller de telle sorte que sa bouche put aspirer goulûment le petit clitoris quelle venait de dégager délicatement avec deux doigts. Bientôt, je ne distinguai plus que la langue de Martine pénétrant profondément dans la fente trempée de Léa ; celle-ci soufflait, gémissait et donnait à son bassin le rythme envoûtant de la possession… Ce ne furent plus alors que de ravissants bruits de léchage et de suçon qu’interrompaient seulement les soupirs d’une exquise jouissance qui ne tarderait pas à éclater… Martine s’activait sur le petit bouton rose de Léa qu’elle dévorait comme un enfant savoure une friandise. Apparemment, celle-ci éprouvait beaucoup de plaisir aux caresses buccales de ma femme et ne manquait pas de le faire savoir :



Martine ne se fit pas prier…


Sans arrêter un seul instant de lécher avec délice l’entrecuisse de Léa, elle glissa un doigt entre les fesses de sa compagne… D’une langue habile, elle humecta parfaitement ce passage serré et y présenta son majeur pour constater avec ravissement que Léa approchait d’elle-même son anus du doigt dressé… si bien qu’elle vint littéralement s’empaler sur celui-ci… Martine la pénétra sans ménagement et apprécia le fait que son petit trou se dilate tout naturellement au fur et à mesure qu’elle s’y enfonçait !


Très vite, tout le doigt de Martine disparut dans l’étroit canal… Martine décida alors de prolonger ce délicieux supplice en essayant d’y introduire un deuxième doigt de nature à remplir davantage encore ce précieux endroit… en attendant qu’il soit occupé par un visiteur de plus gros calibre ! Cette manœuvre sembla décupler le plaisir de Léa car l’effet fut immédiat : elle se cabra et, poussant tout son corps en avant, dit avec passion :



S’étant immédiatement renversées, les deux lubriques entamèrent alors un délirant 69… Jambes entremêlées, saisissant à pleines mains les formes de leur égale, ces deux félines avaient le visage vissé au sexe de leur partenaire et les deux corps ne firent bientôt plus qu’un seul amas de chair mu par le plaisir. Je distinguais des doigts qui, sortant d’une chatte pour rentrer aussitôt dans un cul, étaient immédiatement happés par des bouches gourmandes…



Le rythme de leurs ébats s’accélérait : les deux amies étaient au bord de l’orgasme… Aucun tabou, elles changeaient tour à tour de position et ne reculaient devant aucune audace sexuelle… Elles semblaient se procurer tellement de plaisir l’une à l’autre que j’aurais fini par me croire inutile si Martine n’avait soudainement pensé à souffler entre deux râles de satisfaction :



Je n’y croyais presque plus… Pour tout dire, j’aurais déjà joui plusieurs fois devant un spectacle si émouvant si je ne m’étais pas retenu… Voilà déjà près d’une heure que ces deux chattes en chaleur se caressaient, se léchaient, se broutaient le minou et se doigtaient le vagin et le cul sans retenue.


Je ne me fis pas prier plus longtemps et pus apprécier la tendre complicité qui m’unit à Martine : ma compagne avait déjà préparé notre invitée de telle sorte que celle-ci était « mise en position » pour me recevoir. Espérant sans doute commencer par une traditionnelle fellation en bonne et due forme, Léa fut un peu surprise que Martine lui demande de rester couchée sur le ventre, de se rapprocher du bord du lit, de poser les pieds par terre pour se présenter ainsi, les fesses largement écartées, entièrement offerte à mes désirs… Et de fait, j’arrivai aussitôt, le sexe fièrement dressé et entreprit de la sodomiser sans autre forme de procès.



Tandis que Martine tenait le derrière de Léa largement ouvert pour dégager son petit orifice froncé et faciliter mon introduction, je dirigeai d’une main habile mon sexe dur comme du béton entre les reins de Léa. Ainsi prise par derrière, elle ne tarda pas à laisser exploser sa joie en criant de plus belle :



Je m’enfonçai donc d’un seul coup entre ses fesses et appréciai le fait qu’elle soit déjà parfaitement lubrifiée par la salive de Martine. Celle-ci s’était baissée pour lécher la partie de mon sexe qui ne rentrait pas dans les fesses de Léa et en profita pour faire coulisser deux doigts dans son vagin tout en pressant ses seins de son autre main. Léa était aux anges. De fait, Martine se déplaça alors pour offrir sa chatte gluante à la bouche avide de Léa ; celle-ci s’empressa d’y enfouir sa langue au plus profond !


La suite fut plus excitante encore… Mes va-et-vient dans l’arrière-train de Léa s’accélérant à une vitesse démentielle, j’arrivai assez rapidement au bout de mon plaisir :



Aussitôt dit, aussitôt fait : je ressortis mon mandrin de son cul, le dirigeai vers son visage, me concentrai brièvement et me libérai soudainement en crachant ma chaude semence à la face de Léa… Celle-ci happa littéralement ma queue pour se l’enfoncer au plus profond de la gorge alors que Martine essayait vainement de pouvoir avaler quelques gouttes de ma précieuse liqueur.



Ayant pris un peu de repos, ces deux femelles dépravées décidèrent de s’entendre de concert pour m’offrir un spectacle pour le moins réjouissant. Côte à côte sur le lit, elles se mirent à quatre pattes pour me présenter leur croupe généreusement offerte. Étant revenu à un état de turgescence tout à fait respectable, je pris un plaisir fou à les pénétrer successivement en levrette ; mon sexe passant de l’une à l’autre sans la moindre difficulté…


Adorable différence supplémentaire entre mes deux proies ; alors que je connaissais Martine comme large et spacieuse, le conduit vaginal de Léa était plutôt étroit et enserrait parfaitement mon sexe. De plus, elle se servait diablement bien de ses muscles internes pour contracter divinement son tunnel d’amour. C’était vraiment magnifique de pouvoir ainsi labourer deux femmes si complices. Les deux compères riaient comme des folles alors que je les limais de plus belles. Léa eut alors l’idée de se « superposer » à Martine pour m’offrir deux sexes d’autant plus accueillants qu’ils étaient placés juste l’un au-dessus de l’autre…


Visage contre visage, seins contre seins et chatte contre chatte. Ces deux splendides corps féminins m’étaient offerts et je pouvais me glisser dans l’un et l’autre avec le plus complet ravissement. Curieusement, elles eurent un violent orgasme en même temps… au moment précis ou j’explosai moi-même et me répandis abondamment sur leurs fesses rebondies…


Assez fatigués – mais jamais repus – nous pensions en rester là lorsque, visiblement insatiable, Léa souffla encore pleine de désir :



Martine s’empara aussitôt d’une paire de bas avec lesquels elle attacha les poignets de Léa qui se laissa faire docilement. L’obligeant à s’agenouiller devant moi, elle lui introduisit mon sexe dans la bouche avec pour mission de lui faire retrouver toute sa vigueur dans les plus brefs délais… Entravée de la sorte, Léa ne put se servir de ses mains pour m’amener au plaisir ; mais je dois avouer qu’elle y parvient tout de même très bien.


Visiblement très habituée à cet exercice, elle n’hésita pas, après s’être un peu attardée à mouiller tout le contour du gland avec le bout de sa langue, à remonter tout le long de mon membre excité. Après quoi, elle s’empara de mes couilles qu’elle goba comme de délicats œufs de chair… Lorsqu’elle poussa la tête pour tenter de se frayer un chemin vers mon anus qu’elle renifla d’abord voluptueusement, je ne savais déjà plus trop à quoi m’attendre… Mais au moment où je sentis sa petite langue mouillée s’insinuer entre mes fesses, je ne tins plus et lui dis en éjaculant de toutes mes forces sur sa bouche et son menton :



À l’inverse de tout à l’heure et alors que c’est Léa qui entrouvrait les lèvres pour pouvoir me boire, c’est Martine qui se précipita pour avaler goulûment mes longs jets de sperme… Décontenancée, Léa sembla un peu frustrée mais se réjouit bien vite lorsque Martine lui retransmis l’exquis liquide qu’elle avait jalousement gardé en bouche… Ce baiser passionné d’où dégoulinait mon foutre, mélangé à leur salive était des plus émoustillants… Et leurs langues qui s’entrelaçaient comme deux serpents me donnaient envie de remettre cela au plus tôt… Martine grognait de plaisir.


Tenir ainsi Léa, totalement soumise et très docile, à sa merci, semblait la stimuler au plus haut point. Elle la détacha quelques instants mais ce ne fut que pour mieux la lier à nouveau ; aux barreaux du lit cette fois ! Martine ouvrit un tiroir de la commode et en sortit un splendide gode-ceinture d’un élégant latex rose qu’elle attacha aussitôt à sa taille. Entre-temps, elle avait aussi chaussé de fines chaussures de cuir à très haut talons. Ses seins étaient maintenant emprisonnés dans un brillant soutien de skaï aux bouts ouverts sur les mamelons.


Je dois encore préciser qu’elle fréquente parfois quelques chaudes lesbiennes dans de fines parties de S/M dont je suis irrémédiablement exclu. Et, à cette fin, Martine dispose de quelques ustensiles spécifiques à ce genre de pratiques dont elle comptait bien faire profiter Léa également.



Un peu dépassée par les événements et ne s’attendant peut-être pas à pareil traitement, elle supporta assez mal ce premier contact plutôt violent et se plaignit d’avoir eu mal…



C’est alors qu’elle décida de pénétrer sans plus attendre Léa avec son volumineux engin… Un coup dans le vagin, un coup dans l’anus… le gode allait et venait comme un véritable phallus. Et Martine possédait Léa comme un homme eut put défoncer une faible femme sans défense. Chevauchant sa victime à quatre pattes sur la moquette de la chambre, Martine palpait violemment les seins de Léa qu’elle malmenait avec un plaisir évident.


Après avoir obligé Léa à lui baiser les pieds et les chaussures, à lui lécher le bout des seins à travers le skaï de son soutien ouvert, Martine, au comble du plaisir, obligea même sa soumise à sucer le gros pénis artificiel avec lequel elle venait de l’enculer… Suprême humiliation, la pauvre fille avait ainsi à recueillir au plus profond de la gorge le goût âcre de ses propres sécrétions…


Fort secouée, Léa subissait donc les assauts répétés de Martine entre ses jambes et l’exquise douleur de ses fessées qui lui rougissaient le postérieur. Moi, de mon côté, je me disais que je ne tarderais pas à intervenir. Pour que le bonheur soit complet, Martine décida d’utiliser aussi un splendide chapelet de boules chinoises en inox. Reliées entre elles par un gros fil nylon, le jeu consiste à les introduire d’abord progressivement une à une dans l’orifice de son choix pour les égrainer ensuite le plus lentement possible au moment de les en ressortir… Parfaitement jouissif, ce plaisant supplice peut déchaîner des irradiations de plaisir depuis le creux des reins jusqu’au milieu du dos… Léa apprécia énormément ce traitement car, dilatant son anus pour faciliter le retrait des boules, elle cria de plaisir en mouillant comme une véritable fontaine…


Je dis alors que je devais uriner et que j’aurais bien aimé pouvoir le faire en arrosant notre ridicule esclave… Léa fut aussitôt amenée à la salle de bain où nous l’étendîmes, les mains entravées, dans la baignoire. Couchée sur le dos, les jambes largement écartées, nous lui avons bandé les yeux avec une serviette de bain pour que la surprise fût totale…



Alors que je parvenais à diriger mon jet d’urine sur tout son corps (et, surtout, volontairement sur son pubis), Martine eut l’extraordinaire chance de devoir, elle aussi, se soulager presque au même moment… Sans la moindre pudeur, elle s’assit sur le visage de Léa et inonda celui-ci de sa chaude douche dorée. Ne pouvant voir la scène, celle-ci comprit rapidement ce qui se passait et, à la limite de l’étouffement, fut bien vite contrainte d’ouvrir la bouche pour recueillir ce chaud et odoriférant liquide… Elle eut d’abord une première répulsion qui lui donna l’impression qu’elle allait vomir, puis changea radicalement d’avis et se mit à boire avidement le chaud liquide… Lorsque Martine eut vidé sa vessie et que les dernières gouttes jaillissaient de son entrejambes, Léa parvient à articuler :



Nouvelle partie de plaisir : tandis que Léa s’appliquait à lécher consciencieusement l’entrejambe de Martine, j’en profitai pour lui brouter méthodiquement le sien… C’était divin.


Après cela, nous avons alors procédé à la toilette de Léa ; en ce qui me concerne, je me suis chargé de lui savonner vigoureusement l’entre-fesses que je venais de déguster ; ce qu’elle sembla apprécier tout particulièrement puisque recommença immédiatement à gémir d’aise. Martine, de son côté, ne se lassait pas lui frotter les seins déjà tout gonflés de plaisir. Bien lavée, soigneusement séchée, Léa fut encore discrètement parfumée aux endroits « stratégiques » : cou, aisselles, creux des seins et des genoux, hanches, intérieur des cuisses, pli de l’aine et, bien entendu, raie des fesses jusqu’à l’anus… Ainsi apprêtée, Léa fut ramenée dans la chambre où elle fut immédiatement contrainte à nous attendre et à nous entendre…


Attendre parce qu’elle ne pouvait rien faire d’autre ; se retrouvant complètement entravée, attachée sur une chaise avec les bras dans le dos et le string que Martine avait porté la veille en guise de bâillon dans la bouche… Entendre parce que, pendant ce temps-là, devant nous rafraîchir-nous aussi, Martine et moi avions décidés de faire l’amour sous la douche… et que nous avons pour habitude de ne rien dissimuler de nos ébats : laisser entendre les hurlements de joie de Martine ; véritable jouisseuse-crieuse. Il faut dire que, d’où nous l’avions laissée, Léa ne pouvait absolument pas nous voir et que seuls nos cris, donc, lui parvenaient.


Nous imaginions aisément la frustration de cette chaude jeune femme, attachée de telle sorte qu’elle ne pouvait même pas se caresser en nous attendant. Et nous nous jubilions d’autant plus que Martine n’avait pas manqué de laisser à Léa deux petits accessoires pour l’aider à mieux supporter notre absence : un gros gode fiché jusqu’à la garde au plus profond de son vagin et un autre plus fin mais plus lisse presque entièrement introduit par derrière. Inutile de préciser qu’ainsi envahie, Léa ne restait que difficilement assise…


Après quelques moments de tendresse et d’intimité à deux, Martine et moi sommes revenus dans la chambre. Nous y avons retrouvée Léa à nouveau trempée ; tant de désir que d’impatience… Nous défîmes d’abord son bâillon ; ce qui lui permit de respirer un peu. Dans la position où elle se trouvait, le haut de sa poitrine perlait de sueur et de grosses gouttes avaient même coulé entre ses seins avant de dévaler son ventre pour inonder son nombril…


Ému par tant de grâce, je m’approchai d’elle et dardais ma langue pour prolonger ce sillon humide partant tout droit de son ombilic pour se perdre au plus profond de son ombreuse vallée… Sans attendre, je noyais ma langue dans son intimité. Elle ne put cacher sa satisfaction et nous annonça de sa voix la plus câline :



Je lui retirais les gadgets de plastique qui lui distendaient les deux orifices à la limite de la douleur et la soulevait tendrement dans mes bras pour la porter jusqu’au lit. Dès que Léa fut étendue, Martine vient la câliner amoureusement en s’attachant à lui caresser la chatte avec une infinie douceur. Avec une beaucoup de tendresse, elle recommença à lui lécher le sexe en insistant sur l’intérieur des grandes lèvres de Léa et moi, j’embrassais notre conquête à pleine bouche ; avant de repasser son adorable goût de jeune femme à la mienne par d’autres baisers brûlants…


Nous avons donc reformé ce parfait triangle amoureux qui avait déjà si bien fonctionné… Les heures passèrent et la nuit entière nous parut finalement bien trop courte pour explorer tout l’appétit et la disponibilité sexuelle dont Léa nous fit la preuve… Il est vrai que nous avions rarement rencontré de jeune femme à la fois aussi expérimentée et aussi imaginative… Quand elle sortit de la chambre au petit matin, elle avait la mine ravagée de ceux qui sont fourbus mais comblés par de nombreuse heure d’insomnies et de plaisir. Nous nous sommes longuement embrassés et étreints tous les trois comme de jeunes tourtereaux obligés de se quitter en de déchirants adieux. Des adieux touchants et sincères pour nous…


Nous quittâmes l’hôtel vers midi. Au moment de régler la note à la réception, nous vîmes s’entrouvrir une porte indiquée « direction ». Et à ce moment, stupeur, ce fut Léa qui nous apparut ! Dans un strict tailleur gris, soigneusement coiffée et maquillée, elle nous rejoignit pour nous serrer la main en disant simplement :



Nous en sommes restés le souffle coupé, incapables de prononcer la moindre parole. Comme dernière image, nous garderons celle de Léa refermant délicatement la porte de son bureau… non sans nous avoir adressé un dernier petit clin d’œil complice en se passant la langue sur les lèvres. Nos vacances étaient terminées.


Récit écrit en septembre 1997 (comme le temps passe !)