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n° 02019Fiche technique26599 caractères26599
Temps de lecture estimé : 14 mn
24/03/01
corrigé 25/10/22
Résumé:  Laurence l'a invité pour dîner tout en lui promettant une surprise.
Critères:  ffh fbi collègues grosseins voir exhib strip hmast intermast fellation cunnilingu anulingus fgode jeu aliments
Auteur : Chris            Envoi mini-message
Le strip dîner

À la suite du contrôle fiscal qui m’avait été imposé, j’avais découvert Laurence, ma comptable, sous un jour totalement nouveau.


Légèrement mais agréablement ronde, brune aux cheveux mi-longs frisés, 30 ans, Laurence était dotée d’une poitrine avantageuse et d’un tempérament certain qui nous amenait souvent, à l’occasion de rencontres laborieuses, de joindre l’utile à l’agréable, et même au très agréable, tant sur le bureau que dessous.


Elle appréciait particulièrement ces récréations et les suscitait d’ailleurs par de subtils mais suggestifs jeux de jambes ou de poitrine, qui laissaient découvrir quelques appâts provocateurs ou délices cachées sous un chemisier ou une jupe.


Ma capacité de résistance à de telles sollicitations étant faible, je me laissais souvent fléchir par la vision d’un porte-jarretelles, d’un décolleté outrageusement pigeonnant ou plus prosaïquement, par l’effet dévastateur de ses doigts glissés dans ma braguette prestement ouverte.


Je ne m’attendais pas à ce qu’elle m’adressât une invitation à dîner en sa résidence personnelle. Elle y avait mis la forme par l’envoi d’un charmant carton d’invitation, où l’on évoquait à la fois une cuisine pour gourmet et une cuisinière pour gourmand. Le message me paraissait clair, mais ce carton se terminait par cette mention : « Il sera aussi servi une jolie surprise ».


Enchanté de cette invitation d’une très charmante comptable à poursuivre nos entretiens pénétrants de la semaine, le soir venu – un samedi – muni d’un royal bouquet de roses, et revêtu de mes atours de week-end, je carillonnai à la porte d’un appartement au troisième et dernier étage d’un petit collectif de quartier chic.


J’entendis quelque pas précipités et la porte s’ouvrit sur une silhouette plutôt inattendue car la personne qui se tenait devant moi n’était pas Laurence mais Véronique.



J’entrai alors pour découvrir, passé le hall d’accueil, un joli salon avec un coin salle-à-manger où se trouvait une table joliment dressée avec trois couverts et un chandelier aux bougies allumées.



Va-t-il enfin nous dire qui est cette Véronique, vous demandez-vous ? Je ne vous ferai pas attendre davantage.


Véronique est tout simplement ma secrétaire. Elle travaille en mon entreprise depuis près de cinq ans. C’est une femme mariée, 35 ans, lunettes parfois, cheveux châtains assez longs, très féminine, discrète, sérieuse et compétente.


Je n’aurais pas imaginé qu’elle puisse être pour moi une personne autre que celle de son statut. Certes, il arrive couramment que certaines secrétaires tombent amoureuses de leur patron mais, concernant Véronique, je n’avais détecté aucun signe d’une telle inclination, platonique ou autre, ni tentative de séduction. Moi-même très respectueux de la distance qui me semblait être entretenue dans nos rapports exclusivement professionnels, je n’avais jamais pensé à autre chose.


Pour l’heure, je me tenais coi, au milieu du salon douillet et confortable de Laurence qui ne tarda pas à se montrer, pétulante et naturelle.



Je regardai alors mes deux collaboratrices et répondis que j’en étais sûr aussi.


Il me semble important de préciser que tant Laurence que Véronique avaient revêtu une tenue fonctionnelle, dirons-nous, à savoir, chacune un joli tailleur, bref, leur habituel, quoiqu’en plus chic, vêtement de travail.


Toutes deux portaient de charmants escarpins et leurs jambes, pour ce que je pouvais alors observer, étaient gainées de nylon. Pour Laurence, qui m’avait déjà habitué à d’affriolantes découvertes, je n’avais aucun doute qu’elle portait des bas. Pour Véronique, le mystère était encore obscur, mais je gageai in petto que je n’allais pas tarder à le savoir.


Nous nous installâmes sur les canapés au salon. Je pris place devant ces deux dames, prêt déjà à jouir… de la vue des jolies jambes de mes deux collaboratrices. Rien de tel pour agrémenter un apéritif. Je n’imaginais pas que mes espoirs les plus fous et les plus obscènes allaient aussi rapidement prendre tournure.



Je l’encourageai en souriant, un œil déjà coquin posé sur ses cuisses, alors que je venais d’apercevoir le liseré de dentelle de ses bas blancs.



Un peu interloqué, mon regard allant de Laurence à Véronique, j’attendais la suite qui se manifesta immédiatement par le fait que Laurence se leva et vint m’embrasser sur la bouche avec, déjà, un zeste de gourmandise, et un doigt de provocation (le doigt encore au sens figuré bien sûr).



Je regardai Véronique qui souriait benoîtement, genre fausse ingénue.



Elle est dans le coup ou non ? m’interrogeai-je en sondant Véronique. On ne dirait pas…



Laurence se leva pour apporter le seau et la bouteille d’une marque et d’un millésime de qualité.



Laurence, souriante et très à l’aise, faisait le service et ajouta :



Nous trinquâmes de concert, les uns et les autres songeant aux développements probables de la soirée.



Sur ce, elle vint m’embrasser de nouveau, sa bouche pleine de champagne, qu’elle partagea avec moi.



En face de moi, Laurence avait croisé bien haut ses jambes, faisant remonter sa jupe droite, de telle sorte qu’elle offrait à notre regard ses cuisses magnifiques, ses bas blancs à large liseré et une jarretelle tendue sur sa cuisse. C’était d’un érotisme déjà bien chaud.


Je pressentais le torride avancer rapidement, alors que la mutine Véronique, pas encore tout à fait libérée, se contentait de mettre en valeur son décolleté en sirotant son champagne.


Cette ambiance libertine, la qualité des bulles, l’intimité de ce salon aux lumières douces, la gracieuse et ensorcelante présence de mes deux collaboratrices dont l’une était une cochonne confirmée, et l’autre qui le serait tout à l’heure, m’entretenait dans une délectable excitation, mais surtout une honorable bandaison, ce qui n’échappa guère aux yeux de ces dames.



Sur ce, Laurence rabattit sa jupe sur ses cuisses, mettant fin à la vision enchanteresse de ses jarretelles et se leva, nous donnant l’exemple. Véro et moi nous exécutâmes de concert.


Véro se chargea d’aller en cuisine chercher les entrées, moment dont profita Laurence pour serrer ma queue bandée à travers le tissu de ma braguette.



D’un geste, je l’interrogeai sur les qualités de Véronique, à tout le moins sur ses dispositions d’ordre intime.



Sur cet aveu d’occupations singulières dans mon entreprise (mais n’avais-je pas donné l’exemple, bon ou mauvais ?), Véronique nous servit le premier plat. Tout en devisant dans une ambiance croissante de polissonnerie délurée, nous honorâmes un agréable meursault, ce qui nous mis encore davantage en joie.


Mes yeux firent aussi les gourmands par le jeu des regards de plus en plus insistants que je jetais sur des décolletés de plus en plus ouverts.


Nous finîmes notre entrée et Laurence, d’un ton solennel, se leva pour nous indiquer que l’heure était venue de passer à une nouvelle étape.



C’est ainsi que je me trouvai torse nu devant ces deux charmantes dames en soutien-gorge. J’allais d’ailleurs protester contre la discrimination manifeste car je me trouvai dénudé alors que ces coquines ne l’étaient pas totalement. Je me retins plutôt car, dès le premier regard porté sur les attributs offerts à mes yeux de plus en plus concupiscents, je me rendis compte que ces élégants soutiens-gorge de dentelle, quasi-transparent pour Véro et à balconnet pour Laurence, mettaient en valeur leurs seins et se révélaient tout aussi érotiques que si elles avaient été nues.


Laurence nous servit alors le plat principal. On comprendra que ma mémoire ait retenu d’autres détails que la nature du mets que nous consommâmes. Nous nous efforcions de poursuivre une conversation normale mais nos propos, par des allusions de moins en moins subtiles, tendaient à dériver vers les mystères du sexe.


Dès que nous eûmes terminé ce plat de résistance, Laurence se leva de nouveau et nous annonça que, le dîner avançant, un nouveau vêtement devait être retiré.



Elle donna de nouveau l’exemple, dégrafant la jupe de son tailleur qui tomba sur ses escarpins, dévoilant ses belles cuisses fuselées gainées de la soie blanche de ses bas coquins.


De mon côté, je défis ma ceinture et ma braguette pour descendre mon pantalon et me retrouver en slip devant ces deux dames.


Naturellement, Véronique, portée par notre exécution sans réticence et aussi par l’excitation, retira avec grâce sa jupe pour se retrouver comme Laurence en jolis dessous de lingerie fine. Je découvris alors ses jolies cuisses galbées, et des bas noirs de luxe, avec un large liseré de dentelle, retenus, surtout pour les yeux, par un porte-jarretelles de dentelle rouge.


Je vous laisse imaginer la situation particulièrement excitante et surréaliste autour de la table où nous étions tous trois.



Elle me tendait une coupelle évasée.



Elle se pencha vers moi et d’une main serra la bosse sous mon slip.



Si j’étais quelque peu surpris par l’évolution des événements, je décidai néanmoins de déférer à cette invitation et commençai, devant ces deux coquines, à me masturber.


Les deux cochonnes m’encourageaient par leurs propos égrillards et leurs exhibitions.



Laurence se tripotait indécemment les mamelons sortis de son soutien-gorge à balconnet, passait sa langue sur ses lèvres d’une manière provocante, tandis que sa main, sous la nappe, semblait révéler une masturbation discrète.


Je regardai Véronique et ses seins. Elle me regarda troublée, et baissa lentement les bonnets de son soutien-gorge de dentelle très ajourée pour exhiber de jolis nibards aux tétons érigés.


Cette situation, particulièrement bandante, et le besoin de me libérer rapidement d’une tension entretenue depuis le début de la soirée, optimisait mon excitation.



Et naturellement, vint un moment où je ne pus résister et je sentis la sève monter. Laurence surveillait de très près le mouvement et au moment même où j’éjaculai et, alors que l’explosion était proche, elle s’arrangea pour me faire juter dans son petit ravier.


Coopérative, elle termina ma besogne et pressa elle-même mon gourdin tendu de sa main habile pour en extirper les ultimes gouttes.


Sur ce, Laurence se dirigea vers la cuisine et revint après deux minutes avec un plateau sur lequel il y avait trois verres de vin d’Alsace et la fameuse coupelle emplie de sperme frais.



Nous dégustâmes avec délice cette singulière originalité, et les filles me regardèrent avec des yeux plus qu’excités, boire délicatement mon sperme à la petite cuillère.


Nous avions franchi une étape dans la perversité de notre soirée.


Je rappelai à Laurence que le trou normand était un plat et que de toute façon nous arrivions au dessert, car nous avions unanimement renoncé au fromage, sans doute déjà captivés par d’autres effluves. Il y avait donc lieu de retirer un vêtement supplémentaire.



Je ne privais pas de mater ces deux coquines qui maintenant étaient nues à l’exception notable et excitante de leur porte-jarretelles, de leurs bas et de leurs escarpins. Mais nous avions considéré que ces accessoires ne seraient pas retirés. En ce qui me concerne, j’avais accepté une pénalité spéciale en retirant chaussettes et chaussures, de telle sorte que ce dîner allait se poursuivre pour ma part en tenue d’Adam, sans même la feuille de vigne.


Je surpris la main de Véronique qui délicatement, sûrement très excitée, se touchait tandis que Laurence reprit le cours du dîner.



Laurence apporta alors un grand bol de crème Chantilly, quelques griottes, des amandes pilées.



Laurence vint alors vers Véro et lui mit une bonne dose de Chantilly sur les seins, y planta une cerise sur chaque bout et commença immédiatement à déguster la première pêche melba.


Je regardai ma comptable savourer cet excellent dessert, lapant la crème, tout en n’omettant pas, ce qui rendait ce tableau particulièrement irrésistible, de se masturber.


Laurence se releva un instant pour dire que ce dessert était trop copieux pour elle et qu’elle m’invitait à l’aider pour l’autre moitié. Je ne me fis pas prier et vins immédiatement manger la griotte sur l’autre sein de Véronique, et lécher la bonne crème et rapidement, au-delà de la crème, je goûtais à une autre cerise.


Ce fut bientôt le tour de Véronique de consommer la banana slip qu’elle avait commandée (sans flamber !). Laurence fit à la perfection le service et recouvrit ma queue de crème onctueuse, parsemée de griottes et d’amandes, y compris sur les deux boules.


Quel double délice, le mien de sentir la bouche et la langue gourmandes de ma secrétaire et le sien de consommer ce dessert très spécial.


Enfin, mon tour arriva de prendre mon dessert et c’est le joli minou taillé de Laurence, recouvert de chantilly que je dévorai, affamé de l’abricot juteux et du gentil noyau tout dur qui attendaient de plus en plus impatiemment sous la crème.


Tandis que, assis sur la moquette devant les cuisses ouvertes de Laurence, je savourai ce dessert sirupeux, avec toute la volupté requise, Véronique vint prendre de nouveau ma bite en sa bouche gourmande pour la sucer, la lécher, l’aspirer avec la fougue de la nouveauté et la délectation qui sied à une cochonne.


Ce furent ensuite nos corps, nos désirs, nos caresses qui nous tinrent lieu de digestif.


Alors que je savourai toujours d’une langue aventureuse mon dessert, agrémenté d’une abondante cyprine, Laurence cria un orgasme ravageur qui déclencha une partie fine, une triangulaire dont nous sortîmes tous les trois gagnants.


Je mourrais d’envie de baiser cette coquine de Véronique, et celle-ci partageait manifestement le même projet de sentir ma queue enfiler sa jolie chatte.


Elle était à demi-couchée sur le canapé tendis que mon gland écartait ses lèvres intimes pour lui rendre l’hommage que sa belle foufoune méritait.



Laurence, remise de ses premières émotions, vint s’intéresser à ce ramonage, caressant les seins de sa collègue et sortant à l’occasion ma queue de la chatte de Véronique pour lui donner quelques coups de langue et la renfourner dans la jolie moule de sa copartouzeuse.


Ce fut ensuite le tour de Laurence, dont le conin fut aussi consciencieusement astiquée. Tandis que Véronique, à genoux, les cuisses écartées sur la bouche de Laurence se faisait lécher la cramouille.


Par la suite je me retrouvai à quatre pattes sur la moquette en train de sucer le clitoris et le joli œillet de Laurence. Je sentis soudain, une main qui me tripotait les fesses, puis une bouche les embrassant et enfin une langue qui parcourait ma raie.



Je me tournai alors vers elle et la coquine revint me faire une pipe. Sa bouche moelleuse, humide, gourmande, était un délice.


Alors que Véronique me suçait avec application, Laurence fit son apparition dans la pièce, toujours avec ses bas et son porte-jarretelles, mais munie d’un accessoire supplémentaire. Elle arborait un magnifique godemichet ceinture, de couleur noire.


Sans coup férir, manifestement très excitée, elle vint placer l’engin entre les cuisses de Véronique qui, toute à sa délectation fellatrice d’un braquemart au naturel, écarta davantage, si faire se peut, les cuisses, envisageant donc avec grande motivation, l’intromission de latex noir.


Ainsi plastiquement introduite, tant par-devant que par derrière, Véronique explosa de plaisir en quelques secondes, sa jouissance entraînant la mienne qu’elle avala sans coup férir, léchant ses lèvres enfoutrées.


Nous achevâmes la partie par d’ultimes jeux de bouche, qui extirpèrent de nos sexes les dernières parcelles de plaisir et de jouissance de ce mémorable strip-dîner aux bien douces et bien libidineuses prolongations.



Chris