n° 02047 | Fiche technique | 21087 caractères | 21087Temps de lecture estimé : 12 mn | 30/03/01 |
Résumé: Jeune militaire frais émoulu des classes, il est affecté à l'état-major de région... comme chauffeur du colonel | ||||
Critères: fh uniforme voir hmast intermast cunnilingu pénétratio fsodo hdanus hgode fouetfesse | ||||
Auteur : Chris Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Femmes en uniforme Chapitre 01 / 04 | Épisode suivant |
Madame la Colonelle
Série "Femmes en uniforme" n° 1
Jeune militaire frais émoulu de mes classes, avec le magnifique grade de caporal, je fus affecté à l’état-major de région dans la non moins magnifique tâche de chauffeur d’un officier supérieur.
Ayant obtenu ce poste envié, dans une ville proche de ma résidence habituelle, je me présentai à bonne date pour prendre mes fonctions, auprès d’un certain colonel E. de la Métairie, ainsi que cela figurait dans mon ordre de mission.
Après quelques errances au milieu de l’immense caserne, je finis par dénicher le service où officiait mon colonel, celui de la logistique de région.
Le planton de garde m’indiqua le bon bureau et j’allais frapper à la porte où se trouvait une plaque gravée "Colonel A. de la Métairie". Pas d’erreur, me dis-je rectifiant ma tenue.
J’ouvris la porte et je découvris alors une femme d’environ 40/45 ans, blonde, les cheveux en chignon, en uniforme marron clair, assise à son bureau. Je pensai d’abord à une quelconque ordonnance, mais les cinq galons de ses épaulettes me firent réagir comme il se doit.
Après ce premier contact, je m’enquis de mon logement, pris possession de la Safrane affectée à ce service, tentant de glaner toutes les informations utiles sur celle que j’allais conduire sur les routes de la région.
Je recueillis des renseignements quelque peu contradictoires, certains la qualifiaient de vraie peau de vache tandis que d’autres insinuaient qu’elle était sous ses abords froids et de distance hiérarchique, sympathique et ouverte, qu’elle était une psychorigide indécrottable pour les uns et une salope qui se tapait tous les bidasses de la caserne pour les autres.
Bref, je n’avais pas appris grand chose.
Cette première journée se passa ainsi, sans que j’eusse à débuter effectivement mes fonctions. C’est le lendemain que le premier appel me parvint pour la prendre à 13.00 heures afin de visiter un entrepôt de matériel à environ 100 km.
Elle sortit du mess des officiers, sa petite vache de cuir à la main, sanglée dans son uniforme très armée de terre mais qui lui seyait convenablement, remarquais-je, et n’enlevai rien à sa féminité. En définitive, je la jugeai très attirante.
Je m’empressai d’aller au-devant d’elle.
Elle me fusilla du regard et horreur je m’aperçus, un peu tard, du double sens de ma question, rougissant sous mon béret.
Je ne pus m’empêcher de mater ses jambes au moment où elle prenait place, sans pouvoir deviner si elle portait des bas ou des collants.
Je démarrai doucement suivant le parcours et l’itinéraire indiqués. Mon colonel avait retiré de sa sacoche un petit dossier qu’elle parcourait.
Je réglai légèrement le rétroviseur qui me donnait ainsi une vue de sa poitrine et je me fis la réflexion qu’elle n’était pas si mal que çà, ma colonelle.
Soudain, elle m’adressa la parole.
Quelques kilomètres de silence me laissèrent méditer sur ces derniers propos.
Les choses s’arrêtèrent là car nous arrivions bientôt. Je fis descendre ma passagère attendis deux heures avant qu’elle en eut terminé de cette visite. J’en profitai pour draguer une jolie bidasse de corvée de balayage. Mais ce fut l’heure de partir et je me dis qu’il en aurait fallu de seulement quelques minutes pour que l’on trouve un endroit tranquille.
Elle sourit de ce lapsus et nous reprîmes le chemin du retour.
Elle ne me dit pas un mot compulsant différentes notes mais, oh malheur, elle surprit mon regard dans le rétroviseur alors que je la regardai, son visage, mais principalement ses seins que je tentai d’imaginer.
Nous franchîmes la grille vers 18.30 heures. Il n’y avait plus personne. Je la déposais devant son bâtiment.
Ca y est, j’ai fait une connerie dès ma première journée pensais-je. Que me veut-elle ? J’échafaudai les pires hypothèses. C’est une vache. Je lui ai dit où j’habitais, elle va me muter à 1000 kilomètres d’ici, etc…
La voiture rangée au garage, je revins vers le département logistique désert à cette heure et montai à son bureau.
Je frappai à la porte discrètement.
Elle était assise à son bureau, tête nue, toujours aussi rigoureuse dans son uniforme.
Un peu intrigué, je revins vers son bureau et me tins coi, attendant ses instructions.
Elle me laissa ainsi, débout, sans rien dire, dessinant un objet longiligne sur son papier.
J’eux du mal à déglutir, remarquant le ton dur et le tutoiement, ce qui me remémora mes pires hypothèses.
Elle se leva alors de son siège, et vint vers moi, prenant au passage une fine badine de cuir.
A peine plus petite que moi, elle me toisa, puis tourna autour de moi. Je ne bougeai pas d’un cheveu, au garde-à-vous.
Soudain, elle me donne un coup de badine sur les fesses.
Je tombai à genoux sur la moquette.
Elle était derrière moi, faisant siffler sa badine dans l’air.
Je défis donc mon ceinturon, puis ma braguette et mon pantalon tomba sur mes cuisses. Elle le baissa elle-même avec la badine passant l’extrémité de cet engin sur mes cuisses, mes fesses, par-dessus le slip, donnant des petits coups, et puis un plus fort, à rythme irrégulier. Je sentis la badine entre mes cuisses remonter jusqu’à mon paquet dans mon slip.
Un nouveau coup plus appuyé retentit sur mes cuisses.
Sans demander mon reste, je descendis aussi mon slip sur mes cuisses et me trouvai devant elle, les fesses offertes à son regard et sa cravache.
Je sentais la badine passer sur mes globes sans ménagement aucun…
Sur ce, elle retourna s’asseoir sur son fauteuil, me laissant dans cette situation humiliante à souhait, cul nu devant son bureau.
Je pris cette position, devant son bureau. Je voyais ses genoux serrés et ses pieds croisés.
Je fis ce qu’elle m’ordonna. Je captai alors quelques senteurs particulières.
Elle était assise, légèrement en arrière, me regardant bien, mais ce que je voyais bien, c’est qu’elle avait relevé sa jupe droite sur ses cuisses qu’elle écartait le largement possible. Je voyais son string noir tendu sur sa motte et les bas de couleur chair soutenus par un porte-jarretelles noir.
Quelle vision me dis-je…
Elle écartait en même temps son string, dévoilant ses lèvres intimes où perlait la rosée de son excitation. Avec sa badine, elle approcha ma tête pour l’appuyer sur son sexe épilé avec soin.
Ma bouche collée à sa chatte, j’ouvris ses lèvres de ma langue et commençai à lécher, sucer, dévorer, boire le minou de ma cochonne de colonelle.
Elle gémissait de plaisir, toujours avec sa main écartant son slip, tout en proférant diverses insanités qui m’excitaient encore davantage si faire se peut.
Ma langue volait, virevoltait sur son clitoris, que j’aspirai, suçai, léchai, si bien qu’elle cria bientôt son orgasme.
Je n’étais naturellement pas en mesure de refuser de telles instructions et me mis rapidement nu.
Je m’exécutai et vins poser mes fesses sur le bord de son bureau, alors qu’elle demeurait assise devant moi, les seins à l’air et les cuisses écartées.
Elle se mit à me masturber ainsi, observant de près ma queue. Puis elle se pencha pour me sucer, ce qu’elle fit avec la virtuosité d’une pipeuse expérimentée.
Je fus à peine surpris de sentir son doigt explorer la raie de mes fesses et tâter mon œillet sur lequel elle fit une légère pression.
J’obéis à cet ordre pour lui exposer mes fesses qui semblaient particulièrement l’intéresser. Elle mit de la salive et de la mouille sur mon petit trou et le massa avec son doigt. Elle se pencha même pour cracher dessus et enfonça alors son doigt.
Je me raidis quelque peu mais sa lubrification faisait son œuvre facilitant cette intromission. Peu habitué à ce type d’exercice, j’étais tendu, doublement d’ailleurs, car à ma grande surprise, je bandais comme un âne.
Elle repris sa badine et en suça le bout, saliva sur l’extrémité pour retirer ensuite son index de mon cul et le remplacer par la badine.
Mais, incapable de résister à l’engrenage, qui allait bien au-delà de mes pratiques habituelles, je pris ma queue en main et me masturbai devant elle, imaginant le spectacle qu’elle avait devant les yeux, la coquine, alors que je pouvais de mon point de vue mater ses seins ronds aux mamelons dressés, qu’elle pinçait de temps en temps.
Elle se pencha alors et ouvrant un tiroir de son bureau, elle en sortit un gode certes effilé mais de dimension certaine. Je sus tout de suite que cet engin était pour moi.
Elle le trempa quelques instants dans sa chatte trempée au point que j’entendis le clapotement de sa mouille. Elle retira lentement la badine qui me sodomisait pour introduire ce godemichet en la place bien chaude. Cela rentra tout seul à ma grande surprise.
Ma colonelle d’une main me branlai énergiquement et de l’autre manipulai le gode dans mon fondement.
Elle se pencha pour aspirer ma queue. Sa bouche chaude, ses lèvres serrées sur ma hampe, sa main serrant mes couilles et l’autre activant le gode, eurent pour conséquence de précipiter l’explosion et sans la prévenir, je giclai de longs et puissants jets de sperme que ma colonelle avala sans rechigner, fermant bien sa bouche sur ma bite pour ne rien perdre du foutre délicieux.
Sur ce, elle vint m’embrasser sur la bouche, et je goûtai sur sa langue les dernières gouttes de ma jouissance.
Elle me retira alors le gode délicatement et sans autre fioriture, me regardant droit les yeux, le mit dans sa bouche, le nettoyant des sécrétions, de manière aussi gourmande que salope, tout en me tripotant la bite et les couilles, histoire d’entretenir une vigueur qui allait certainement servir.
Elle me fit mettre debout tandis qu’elle s’appuyait sur son bureau, à plat ventre, faisant ressortir sa croupe, jupe relevée sur ses hanches.
J’enfilai d’abord sa chatte toute baveuse de son désir. Je m’enfonçai, sans difficulté, comme dans de la crème.
Je câlinai son petit trou en même temps que je limai son fourreau. Elle gémissait, feulait de plaisir, grognait même, défoncée sur son bureau.
Je me retirai de son con pour appuyer mon gland sur sa pastille qui céda de suite, souple d’avoir probablement déjà beaucoup servie.
C’est ainsi que le plaisir nous surprit de nouveau, ma queue bien au fond du cul de ma colonelle qui recueillit de nouveau mon foutre.
Sur ces entrefesses, elle ne donna congé pour ce premier soir. Je me rhabillai rapidement la laissant quasi nue dans son bureau, une main entre ses cuisses.
C’est seulement en quittant ce bureau, que je remarquais la plaque nominative sur son bureau. Ma colonelle s’appelait Edwige de la Métairie.
"Merci Edwige" pensai-je avant d’aller vers le mess.
Durant près de huit mois, nous eûmes l’occasion de renouveler ce type d’exercices et en définitive, j’en vins à considérer que mon service national s’était passé dans d’assez bonnes conditions, même si que n’avais pas complètement, quoiqu’un peu quand même, intégré le corps des officiers, mais j’y avais au moins satisfait mon goût pour l’uniforme.
Chris
Commentaires et observations à chriscate@hotmail.com