n° 02063 | Fiche technique | 20727 caractères | 20727Temps de lecture estimé : 12 mn | 03/04/01 |
Résumé: En s'occupant de la paroisse, il fait la connaissance de Solange, une vieille fille... | ||||
Critères: fh intermast fellation cunnilingu | ||||
Auteur : Jean-Christophe |
DEBUT de la série | Série : La bigote Chapitre 01 / 04 | Épisode suivant |
Je tournais vieux garçon…
Je m’étais exilé dans ce patelin paumé simplement par peur de la vie en ville. Je n’en pouvais plus de cette vie là, de ce stress permanent, ça me rendait malade. Alors j’ai craqué, j’ai démissionné, j’ai rassemblé mes maigres économies et je me suis acheté une petite fermette au fin fond de nulle part. J’y élevais quelques bêtes, pour subsister, et surtout j’écrivais des articles dans la feuille de chou du coin, à peine de quoi survivre. Je n’ai jamais eu non plus la prétention d’être un bon écrivain.
Je partageais mon temps entre la ferme, les animaux et ma machine à écrire. Je voyais fort peu de monde, la vie associative de cette contrée reculée étant, elle-même, fort réduite !
Mais lorsqu’on m’a proposé de m’occuper de la paroisse, mes origines vendéennes sont remontées à la surface… Cela devait faire presque 10 ans que je n’avais pas mis les pieds dans une église, je me suis dit que ce serait une bonne occasion pour voir du monde, et pour sortir de l’isolement dans lequel j’étais désormais confiné.
C’est ainsi que j’ai fait la connaissance de Solange, une vieille fille, solitaire tout comme moi. Pas aussi vieille que ça d’ailleurs, et même un peu plus jeune que moi (j’avais presque la quarantaine à l’époque). Pas aussi solitaire que ça non plus, car elle était, de son côté, entourée par toute sa famille.
Nous nous sommes rencontrés lors de la préparation d’une kermesse. Nous avions besoin de recueillir des fonds pour consolider le clocher de l’église qui menaçait de s’effondrer. Il fallait de l’argent, beaucoup d’argent, et ce n’était pas les maigres subventions distribuées avec parcimonie qui pouvaient faire l’affaire. D’où l’idée de mobiliser nos paroissiens autour d’une fête.
Mais, pour animer ce coin perdu aux âmes décérébrées, il fallait véritablement déployer des trésors d’ingéniosité…
Avec ses cheveux châtains très secs, ses yeux marrons inexpressifs, son visage blafard et ses traits grossiers, Solange n’était pas à proprement parler une jolie femme, elle n’avait rien de spécialement bandant, cela expliquait peut-être en partie sa solitude.
Ceci dit, la plastique ne fait pas tout dans le jeu de séduction, et nombre de laiderons savent se rendre séduisantes. Une femme laide peut parfois dégager un érotisme torride, alors qu’une beauté glacée peut refroidir le plus vicieux des hommes. Et, dans le cas de Solange, il n’y avait rien de rédhibitoire.
Mais son handicap à elle, c’est qu’elle n’était pas non plus spécialement souriante : une vieille fille revêche, hermétique et fermée, qui n’avait de prime abord rien d’avenant, le style de personnage qui vous refroidit en plus, dès la première réplique, avec une voix froide, métallique et cassante.
Pourtant, et malgré toutes ses imperfections, vu les circonstances et la maigre densité de population qui m’entourait, Solange, j’aurais très bien pu en faire mon ordinaire, car je sais par expérience que l’on peut trouver au fond de chaque être des richesses insoupçonnables.
Mais l’obstacle principal pour une union possible, c’est le fait que j’avais une sainte horreur de ces femmes qui arborent un médaillon avec une croix ostensible autour de leurs cous graciles, celles qui ne jurent que par Dieu et qui se signent à tout bout de champ en invoquant la Bible, la morale et la pureté. Ça me rappelait trop de mauvais souvenirs, et cette soi-disant dévotion, je m’en méfiais comme de la peste.
C’est pourquoi, Solange, je la supportais à peine, il me fallait même faire des efforts pour la côtoyer… mais je devais faire contre mauvaise fortune bon coeur.
Je n’aurais jamais imaginé une seule seconde qu’il aurait pu, un jour, se passer quelque chose entre nous. Non, jamais ! Et même après une très longue abstinence !
Il y en avait quand même bien d’autres, des femmes dans cette contrée, des plus jolies et des plus moches, mais surtout des plus attirantes, des beaucoup plus vivantes, des beaucoup plus "sympas".
D’autre part, l’abstinence en question était toute relative, en ce qui me concerne. J’avais eu l’occasion, la chance devrais-je dire, de trousser récemment une petite jeunette d’une vingtaine d’années, rencontrée par hasard alors qu’elle se promenait près de ma ferme. Et cela avait dû lui plaire, car elle était revenue plusieurs fois se faire culbuter dans la paille.
Solange n’avait donc, au départ, aucune chance avec moi. Et cela a déjà mis au moins plusieurs semaines, avant qu’un semblant d’amitié ne puisse naître entre nous.
Elle devait être hospitalisée quelques jours pour une opération bénigne et, comme elle avait deux petits chiens, elle cherchait quelqu’un pour les garder. Elle aurait bien demandé à ses parents, mais ceux-ci étaient souffrants. Je me suis donc proposé, ça ne me coûtait pas grand chose et j’étais toujours disposé à rendre service.
A son retour, elle m’a invité à dîner un soir, pour me remercier. J’ai évidemment accepté, tout en me demandant de quoi nous allions bien pouvoir discuter… De Dieu évidemment, elle était très dévote, très croyante, très vieille France. Elle me gavait, mais elle avait débouché une bonne bouteille de vin et je dois dire qu’elle faisait merveilleusement bien la cuisine. Alors pourquoi pas ! Je l’écoutais poliment tout en pensant à autre chose, me contentant de hocher la tête de temps à autres, en sirotant ce divin bourgogne.
Je ne sais pas trop comment elle en est arrivée à s’embourber dans cette voie là, car c’était elle qui faisait, pour ainsi dire, les questions et les réponses… Mais elle en est arrivée à parler "mariage". Et puis, elle m’a dit qu’elle n’avait jamais été mariée, parce qu’elle avait rencontré un jour quelqu’un, qu’elle l’avait beaucoup aimé, mais que ce salopard l’avait honteusement trompée, et elle en avait été fort dépitée.
Je la regardais avec des yeux éclairés par l’alcool, je commençais à me demander si elle avait encore des toiles d’araignée entre les cuisses. J’avais déjà presque bu toute la bouteille à moi tout seul, et j’aurais bien aimé qu’elle en débouche une autre. Ou alors une petite gnole pour finir ! Au lieu de parler de bondieuseries, ç’aurait été plus intelligent…
Qu’est-ce que je n’avais pas dit là ? Une énormité, un non-sens, une grossièreté, ça m’avait malencontreusement échappé. Un AMANT ! Mais quelle insanité ! Le mariage est une chose sacrée, patati patata, et tout ce qui s’en suit, sous forme d’un savoureux lavage de cerveau intégriste. J’étais contrit, j’avais perdu une bonne occasion de me taire et j’étais passé à côté d’un hypothétique digestif.
Jusque là, me direz-vous, tout allait bien, il me restait à rentrer gentiment chez moi et prendre mon pousse-café à la maison, peinard, en oubliant cette follasse. Et justement, j’allais partir, j’avais déjà mis mon manteau, j’avais déjà dit les banalités d’usage, du style "J’ai vraiment passé une très agréable soirée, vous faites divinement bien la cuisine…".
J’étais debout, devant elle, dans le vestibule, attendant qu’elle m’ouvre la porte…
C’est alors qu’elle s’est jetée à mon cou d’une façon soudaine et abrupte, en moins de temps qu’il n’en faut pour vous le dire, alors que rien n’aurait pu le laisser présager, un peu comme si elle avait été follement amoureuse de moi, peut-être l’était-elle d’ailleurs effectivement !
Elle m’a agrippé par le cou et a cherché fiévreusement ma bouche avec la sienne. Le temps que je me remette de mes émotions, parce que vraiment je ne m’y attendais pas… elle avait déjà sa langue dans ma bouche. Devant une telle vigueur, je n’ai pas eu la force de la repousser. J’ai accepté ce long patin, elle embrassait comme une collégienne, avec une grosse langue juteuse et baveuse, pleine de fougue et de désir.
Le baiser s’éternisait, j’étais prêt à étouffer, c’était bien la première fois qu’une telle chose m’arrivait ! Mais ça fait aussi partie des bons côtés de la vie, alors mieux vaut en profiter !
Nous nous sommes bécotés un paquet de minutes dans l’entrée mais, quand j’ai commencé à vouloir la caresser, quand mes mains se sont faites un peu plus baladeuses, elle s’est immédiatement ravisée. Elle m’a violemment repoussé, puis elle s’est éloignée et m’a demandé de m’en aller sur-le-champ, avant de reprendre son vieux délire de bigote.
Je ne me suis pas incrusté, j’avais déjà eu ma dose de chrétienté ce soir-là et, après ce qui venait de se passer, je n’avais plus la force de le supporter.
Cette histoire ne m’avait pas vraiment perturbé, j’en avais vu tellement d’autres… Cela m’avait beaucoup plus amusé que réellement excité, et puis, les baisers gluants, ce n’était pas véritablement mon truc.
La vie a repris, calme et tranquille, à la ferme. J’avais un travail à finir, un rapport à rendre à un ami, et j’étais plutôt à la bourre. J’ai toujours l’habitude de faire les choses à la dernière minute !
Il n’a pas fallu plus d’une petite semaine pour que je la voie à nouveau rappliquer, avec sa petite R4 déglinguée. J’étais debout dans la grande salle, il pleuvait. Je l’ai regardée traverser la cour, essayant d’éviter maladroitement les flaques d’eau. À ce moment, j’ai compris que rien ne pourrait l’arrêter… Mais après tout pourquoi pas ? J’étais célibataire et elle aussi. Et puis, même si elle était par moments particulièrement chiante, dans un lit ça ne se verrait sans doute pas !
Elle a ouvert la porte, il pleuvait tellement fort qu’elle était vraiment trempée. Elle s’est ébrouée comme un animal. L’instant d’après, elle était de nouveau accrochée à mon cou et, telle une furie, elle me couvrait de baisers. Cette fois-ci, je pris la décision de voir venir. Je ne voulais pas, comme l’autre fois, prendre des initiatives malheureuses qui auraient pu faire tourner court cette sensuelle confrontation.
Bien m’en prit sans doute car, après moult baisers goulus, nous nous retrouvâmes sur le divan, torses nus, en train de nous bécoter. Elle avait la fièvre au corps, cette fille là. Elle était en manque, ça se sentait. Son corps tout entier était possédé par le démon et il fallait l’exorciser.
Pour ma part, je trouvais ça bougrement excitant. Mais n’importe qui, à ma place, aurait succombé, et il eut fallu être un ange pour lutter contre cette furie…
Il n’y avait qu’à voir son regard glauque et vitreux lorsque, quelques temps plus tard, elle a extrait mon membre turgescent de mon pantalon. Elle était toute baveuse d’envie en astiquant ma colonne érigée, la luxure transparaissait sur sa figure torturée par l’envie.
Elle branla maladroitement mon manche, faisant glisser ma bite noueuse entre ses doigts graciles. J’avais envie de la voir plonger vers mon dard, j’avais envie qu’elle l’engloutisse sauvagement. Savait-elle faire ? Peut-être n’avait-elle jamais englouti quoi que ce soit de vivant !
Mais elle se pencha quand même et vola un baiser à ma colonne de chair, ensuite un deuxième et puis encore un autre. Elle n’arrêtait plus de se pencher et de se redresser.
Quand elle était en bas, quand ses lèvres touchaient ma queue, elle humait toutes mes odeurs, elle semblait s’enivrer de mon fumet, elle respirait à pleins poumons l’odeur forte de mon sexe et ça semblait la satisfaire plus que de raison.
Face à une autre gourgandine, je me serais enhardi et l’aurais invitée à me sucer. Mais là, prudence ! Je ne voulais surtout pas rompre, par des initiatives hasardeuses, le fragile équilibre qui l’avait conduite entre mes cuisses. J’avais peur qu’un simple mot mal placé n’altère son enthousiasme.
Mais je n’eus pas à expliciter mon désir parce que, petit à petit, elle l’avala toute entière. Mon gland d’abord, puis de plus en plus profondément dans sa gorge, comme une damnée, une obsédée de la bite. Et même s’il était évident qu’elle ne suçait pas très bien, le mélange de sa vigueur et de son côté inexpérimenté était des plus excitant, et ne tarda pas à me conduire au bord de l’explosion.
Je voulus un instant l’arrêter, mais elle s’acharnait et ne voulait rien entendre, continuant sans relâche à faire monter la pression dans mon dard qui finit tout naturellement par tout expulser dans sa bouche. Des saccades puissantes qui la surprirent sans doute, elle ne devait pas avoir l’habitude de ce genre d’expérience.
Elle n’eut pas le temps de se retirer. Elle se contenta de déglutir et de tout avaler, tandis que je me vidais entièrement dans sa gorge, avec un plaisir non dissimulé.
Elle continuait à m’aspirer. Elle me mangea ainsi, entièrement, jusqu’à ce que je débande peu à peu dans sa bouche. Elle semblait ne jamais vouloir s’arrêter de téter ma bite et j’ai dû la repousser gentiment pour faire un petit break.
Un peu plus tard j’ai essayé de plonger ma main dans sa culotte mais elle n’a pas voulu, elle était vraiment farouche. Elle a pris peur. Une fois encore, j’avais été trop rapide. Elle s’est levée d’un bond, a récupéré ses effets au passage et est sortie torse nu dans la cour. Il pleuvait encore à verses. Je l’ai vue traverser, à moitié nue, sous la pluie battante, et regagner sa voiture, où elle s’est enfermée. Elle a marqué un temps d’arrêt, sans doute pour se rhabiller, puis elle a démarré et est partie. Curieuse fille ! Cette fois-ci c’était sûr, elle devait vraiment avoir des toiles d’araignées entre les cuisses…
Le lendemain, je devais passer à l’église pour préparer la procession organisée tous les ans pour la Ste Odile. Le curé était là avec Jean-Paul, le garde champêtre. Solange était aussi avec eux, elle m’a accueilli bien froidement. Elle devait regretter l’épisode de la veille. De telles pratiques n’étaient pas dans ses habitudes, elle avait dû passer toute la nuit à s’auto-flageller…
Nous avons sorti bibelots et parures, pour préparer la fête. Jean-Paul était un rustre, mais le curé un bon copain qui n’était jamais le dernier à plaisanter. Quitte à bosser et à faire des trucs chiants, autant s’amuser un peu. De son côté, Solange restait à l’écart et ne desserrait pas les dents.
Vers les six heures, M. le curé devait s’absenter pour visiter une de ses paroissiennes qui était alitée. Le dénommé Jean-Claude s’est proposé pour l’accompagner, profitant ainsi de la première occasion pour s’éclipser. De toute façon, ça se voyait depuis un certain qu’il en avait assez de lustrer les pieuses statues. En plus je pense que, pour lui, ce devait être l’heure de l’apéro…
Nous sommes donc restés tous les deux avec Solange, à nous regarder en chien de faïence. Je ne savais vraiment pas comment tout ceci allait se terminer, c’était vraiment une fille curieuse… Et moi, en bon salaud, je ne faisais vraiment rien pour détendre l’atmosphère !
Une nouvelle fois, elle me surprit. Nous étions tous les deux dans la sacristie, en train de faire le tri parmi les ostensoirs lorsque cette foldingue s’est à nouveau jetée sur moi. Dans ce lieu saint, je ne l’en aurais jamais crue capable. Et pas uniquement pour me faire des bisous, car elle m’a tout de suite saisi la bite à pleines mains. Quelques minutes plus tard, elle était à nouveau agenouillée devant moi, en train de me sucer. Jésus du haut de sa croix nous regardait sans trop rien dire, et moi je bandais comme un turc : un chien d’infidèle qui encourageait cette salope à lui pomper le dard, en lui maintenant fermement la tête. Cette fille démoniaque y mettait tout son coeur et toute son énergie. Visiblement elle aimait ça et était bougrement excitée. J’ai fait un clin d’oeil au bon dieu pour lui signifier qu’il n’y avait aucun mal à se faire du bien, et puis je me suis laissé aller entre les lèvres de ma dulcinée, qui a, à nouveau, tout avalé, en bavant sur mes couilles.
Par la suite elle s’est relevée. J’avoue que j’étais un tant soit peu désarmé, il me semblait que toute initiative ne pourrait être que malheureuse, elle était vraiment bizarre… J’ai même d’ailleurs failli m’en aller, mais c’est elle qui a pris ma main et qui l’a posée entre ses cuisses légèrement écartées, pour me signifier sans doute que je pouvais y aller. Elle s’est penchée en arrière, s’est appuyée contre le placard et s’est offerte. Dès les premiers attouchements, j’ai remarqué qu’elle était particulièrement électrique. J’avais légèrement baissé sa culotte et passais et repassais lentement sur sa chatte. Elle était relativement peu poilue, une forêt légère et clairsemée, mais pas du tout épilée. Je me suis immédiatement remis à bander, sévèrement. À l’approche de son clito, elle se mettait à miauler. J’ai écarté ses lèvres épaisses et j’ai recherché son bouton qui était, apparemment, assez développé.
Penchée contre la porte du placard, elle fermait les yeux et se laissait aller. Je me suis enhardi à glisser un doigt en elle, elle a crié mais n’a pas bougé, un doigt puis deux, je l’ai déchirée. Preuve qu’elle était encore vierge, mes doigts sont ressortis ensanglantés. Mais elle ne bougeait toujours pas, alors j’ai continué à la masturber. Une main, deux mains, des doigts enfoncés en elle et d’autres astiquant son clito. Elle était toute à mes caresses mais, le plaisir venant, ses jambes se sont mises à flageoler. Elle s’est effondrée le long du placard et s’est retrouvée d’un coup assise par terre. Je n’ai pas tardé à la rejoindre, puis à la faire basculer sur le sol glacé. Je me suis mis entre ses cuisses et l’ai écartelée.
Sa chatte était ensanglantée mais qu’importe, je me suis mis à la brouter avec un appétit féroce. Son corps ravagé par des convulsions incontrôlées, elle était en train de jouir à répétition. Je continuais à la bouffer. Et bien m’en prit, car l’explosion finale arriva, fulgurante, un hurlement de bête féroce remplit la sacristie, tandis qu’une vague de jus chaud s’échappait de sa chatte. Je la bouffais toujours, je n’avais jamais vu ça, jamais une réaction aussi intense, qui plus est, elle en redemandait. Elle continuait de glousser, de crier, de se tordre. J’ai lapé son clito jusqu’à ce qu’elle jouisse à nouveau, jusqu’à ce qu’elle reste pantelante sur le carreau glacé.
Par la suite, j’ai voulu la déflorer. Ma bite était dressée au-dessus de son trou béant qui ne demandait qu’à être pénétré à nouveau… Mais j’ai eu tord d’attendre qu’elle émerge de ses premières jouissances. Elle avait à peine repris ses esprits que, voyant ma queue s’approcher de son antre, elle s’est mise à crier au viol et à se débattre comme une cinglée. Or je ne suis pas du genre à forcer qui que ce soit et, pour la faire taire, je me suis simplement redressé et l’ai laissée se dégager et se rafistoler.
Elle est partie comme une flèche, complètement affolée, elle a quitté l’église comme un ouragan, croisant, sur le parvis, le curé qui venait juste d’arriver, et ne semblant pas le reconnaître. Ce dernier me confia par la suite qu’elle avait les yeux exorbités comme si elle venait de rencontrer le diable en personne !
En tout cas, le fait est que nous avions eu chaud tous les deux, car je n’aurais pas voulu avoir à m’expliquer, si le prêtre nous avait trouvés emboîtés sur le sol de sa sacristie…
(A Suivre)