n° 02073 | Fiche technique | 14321 caractères | 14321Temps de lecture estimé : 9 mn | 06/04/01 corrigé 22/02/22 |
Résumé: Une promenade en vélo avec ses deux cousins... | ||||
Critères: ffh cousins intermast attache fouetfesse ecriv_f | ||||
Auteur : Flo (Jeune fille bien dans sa peau) |
Je vous raconte ici mes premières sensations érotiques de ma vie d’adolescente. Ce fut pour moi un moment intense qui me laisse un super souvenir. Certains trouveront l’histoire un peu ringarde. Je souhaite juste partager une petite partie de mes souvenirs intimes avec vous.
Super ! les deux cousins arrivent à la maison de campagne ! Il était temps, car deux semaines avec les parents dans un coin pommé du centre de la France, bonjour le moral ! Ils sont sympas mes vieux, mais quand on a 18 ans, des vacances en tête-à-tête avec les vaches et les poules ça lasse vite. Après d’âpres négociations, j’avais enfin réussi à faire venir mes deux sauveurs pour la dernière semaine. Ils ont un an de plus que moi et on s’entend super bien. Ils sont joyeux, drôles et pleins d’entrain, on s’éclate un max quand on est ensemble ; et là, il va en falloir de l’imagination dans ce bled pour s’éclater !
Je vous les décris vite fait :
Marc est plutôt grand et bien bâti, brun aux yeux bleus (rare hein !), toujours souriant et plein d’humour, il fait des ravages chez les filles de son bahut avec un physique pareil.
Benoît lui est plus petit, cheveux noirs et la peau un peu mate (type italien), un vrai poète à ses heures perdues, un dragueur impénitent aussi. Il est très fin de visage et son sourire me ferait presque faire des bêtises (si ce n’était pas mon cousin, bien sûr !).
En somme deux beaux spécimens mâles venus pour ensoleiller ma dernière semaine qui s’annonçait morose.
Tant que j’y suis, je me présente un peu :
Je m’appelle Flo (diminutif de Florence), je mesure 1,70 m, cheveux châtains longs. Poitrine moyenne sans excès, mais bien ferme avec un « beau petit cul » comme disent mes frangins. Bien que sans aventure sérieuse jusqu’à maintenant, il me semble avoir un physique qui se laisse regarder, je pense !
La soirée de leur arrivée fut mise à profit pour la logistique, installation dans les chambres, visite de la propriété, etc. Après le repas, le programme de la journée du lendemain était établi. Grand tour de VTT à trois dans la région avec casse-croûte pour le midi.
La fin de soirée fut sage (les parents étaient là) juste quelques taquineries, histoire de se charrier un peu, et puis dodo !!!
9 h du mat, départ de la balade. Je prends la tête du convoi car à force d’errer dans le coin je commençais à connaître. Je vous passe ensuite les détails de la matinée, rien d’excitant à se mettre sous la dent ; que des coups de pédales.
Arrivés vers midi, la faim nous tenaillait et je commençais à faiblir dans les côtes, la fringale nous guettait.
Il y avait le long de la route une grange à moitié délabrée dans un champ qui nous sembla tout à fait adaptée pour la pause. On posa les vélos sur un des ballots de paille à l’entrée de la grange pour ensuite effectuer une inspection des lieux. L’endroit était parfait. La table fut dressée en un tour de main (sans table, évidemment). Les parents nous avaient donné tout ce qu’il fallait pour tenir un siège. Je comprends mieux pourquoi les côtes étaient si difficiles à monter ! Il y avait même une bouteille de vin, ce qui fut, à mon avis, un phénomène déclencheur de la suite.
Nous avons tous les trois participé à la liquidation de la bouteille, ce qui eut pour effet de détendre l’atmosphère qui n’était déjà pas triste. J’avais (je l’avoue) la secrète envie qu’il se passe un petit quelque chose entre nous, histoire d’avoir quelques souvenirs communs un peu croustillants. En y regardant d’un peu plus près, je pense qu’ils avaient aussi une idée derrière la tête. À deux reprises, l’année précédente, j’avais légèrement flirté avec Marc, mais sans insister. C’était peut-être l’occasion d’aller plus loin, sans le provoquer, bien évidemment… c’est le rôle des mecs de faire le premier pas ! De toute façon, j’étais trop timide et trop maladroite pour faire des avances.
Après le repas arrosé, nos taquineries tournèrent bien vite à la bagarre générale dans la grange. Étant la petite dernière d’une équipe de trois frères je sais ce que chahuter avec des mecs veut dire. Sauf qu’avec mes cousins, les contacts physiques eurent un autre effet, et pour tout dire, se rouler dans la paille avec deux beaux mecs, je trouvais ça bien excitant.
Après une demi-heure de déconnade, une pose à l’abreuvoir voisin était décidée par Marc. Il était vrai que la chaleur nous avait rendus tout moites. J’étais à ce moment-là enfouie dans la paille que m’avaient jetée ces deux voyous.
Lorsque je vis Marc tremper ses mains dans l’eau pour s’asperger le visage, une idée me traversa l’esprit. Je courus discrètement vers l’abreuvoir et envoyai Marc dans le bac.
Un fou rire partagé par Benoît déchira le silence qui régnait dans le pré. En le voyant sortir de l’eau, il faisait penser à mon Teckel quand il sortait du bain. Toutefois, je remarquais (sans le faire exprès) que sous son tee-shirt collé par l’eau qui ruisselait encore, il y avait un corps bien fait. Enfin, quand je dis « corps », je pense « buste » puisque le bas n’était pas visible (tout le monde avait rectifié).
Il sortit de l’abreuvoir non sans difficulté, aidé par Benoît. Ils se regardèrent et échangèrent quelques mots à voix basse en me regardant. Je compris vite que cela allait être ma fête. J’étais partagée entre crainte, curiosité et excitation. Je décidai de jouer le jeu et commençai à courir du côté opposé à mes deux larrons.
Une petite fille fragile et faible comme moi n’avait aucune chance de s’en tirer, surtout si elle était plus curieuse et excitée que craintive.
Ils me sautèrent dessus à l’entrée de la grange. Marc le premier m’attrapa au niveau des chevilles et me fit un placage. Je sentis la fraîcheur de ses bras humides sur mes mollets, ce qui n’était pas désagréable tellement il faisait chaud. J’essayais mollement de me dégager quand Benoît arriva à son tour. J’essayai de dégager mes jambes en tentant d’écarter les bras de Marc. Benoît en profita pour me prendre par les poignets et me faire faire un demi-tour. Je me retrouvai sur le ventre, maintenue par les jambes d’un côté alors que l’autre réussissait à neutraliser mes bras dans mon dos.
J’étais un peu inquiète mais très curieuse. Jusque-là, j’avais bien senti quelques mains baladeuses lors du chahut précédent, mais rien de franchement terrible et je commençais même à désespérer un peu avant de me retrouver dans cette posture délicate. Ce coup-ci, vu leur détermination, j’aurais plutôt parié pour un aller simple pour l’abreuvoir mais la suite nous le dirait…
Marc remonta le long de mes jambes en n’oubliant pas de laisser traîner ses mains sur mes cuisses pour venir s’asseoir sur mes fesses et reprendre mes poignets à la place de Benoît. Ainsi dégagé il se releva et alla farfouiller dans la grange un petit moment. Je me demandais bien ce qu’il faisait. Je mettais à profit ces instants pour tenter (un peu seulement) de me dégager, mais sans résultats (bien sûr). Benoît revint avec un large sourire et… un morceau de ficelle à lier des ballots à la main.
Je protestai un peu par principe quand je sentis mes poignets se croiser et la corde les enserrer efficacement.
Sympas, les cousins ! Je me retrouvais ligotée comme un vulgaire ballot de paille.
Ils me prirent chacun par un bras pour me relever et m’emmener dans le fond de la grange.
De toute évidence, ce n’était pas le chemin de l’abreuvoir.
La direction d’un coin tranquille et ombragé commença à m’intriguer. Quand je compris ce qui m’attendait, je fus traversée par un sentiment difficilement explicable. Un mélange de poussées d’adrénaline et d’excitation extrême. Mes jambes devinrent un peu molles et je sentis mon cœur battre la chamade. J’étais dans un état bizarre mais super.
Marc s’assit sur une souche de bois qui traînait devant nous pendant que Benoît me maintenait les deux bras par-derrière. Il me força alors à avancer vers Marc en me courbant vers l’avant. Je perdis un peu l’équilibre et me retrouvai le torse sur ses genoux. Marc me maintint plaquée contre lui en tenant mes bras alors que Benoît me prit par la taille. Je simulai une protestation de principe, sans en faire de trop quand même.
Je sentis ensuite la main de Benoît se glisser vers mon bas ventre et chercher le bouton de mon short en jean. Je pliai un peu le ventre et gesticulai pour lui rendre la tâche un peu plus difficile. Ce short collant était un obstacle efficace et la moiteur de ma peau n’arrangeait rien à la manœuvre. La défense fut efficace car le malheureux, avec ces deux mains gauches, était incapable de l’enlever.
Je m’arrangeai pour me redresser un peu et permettre à mon nigaud de cousin de réussir son entreprise. Je sentis alors mon short se desserrer un peu. C’était le signe que la main de Benoît tenait le bon bout. Je sentis, malgré mes efforts (légèrement) redoublés, mon short se desserrer petit à petit à mesure que les autres boutons lâchaient.
Ensuite, de ces deux mains bien peu agiles, il le dégagea sans accrocher la culotte au passage et le laissa tomber à mes chevilles. De sentir son sexe contre mes fesses et ses mains baladeuses contre mon bas-ventre, le trouble monta en moi.
Après cette première victoire, je sentis deux doigts froids s’introduire dans l’élastique de ma culotte au niveau de mes hanches. Je portais une culotte en soie que j’avais eu la bonne idée de mettre ce matin-là. Ma culotte commença son inexorable descente jusqu’à la moitié de mes cuisses, dégageant ainsi mes fesses, et le reste aussi. Il me plaqua carrément sur Marc.
Je sentis ses jambes poilues contre mon bas ventre, ce qui était excitant. La correction commença. Elle ne fut pas très longue et les claques étaient plutôt légères (chacun frappant une de mes fesses). Toutefois, à la longue, ça picotait quand même pas mal. Je sentis mon sexe mouiller comme jamais et commençai à avoir du mal à cacher mon trouble et mes fesses qui chauffaient. La correction prit fin quelques instants après. Benoît me releva en me collant à lui et Marc s’approcha tout près de moi à son tour. À deux, ils commencèrent à libérer mes mains, non sans laisser traîner un regard sur ma nudité.
J’aurais dû être un peu gênée mais l’excitation était la plus forte et j’éprouvai même un certain plaisir à m’exhiber. Marc passa ses bras derrière moi pour aider à la libération de mes liens. Ce qui eut pour effet de rapprocher son corps du mien. Il en profita pour déposer un léger baiser dans mon cou. Mon manque de réaction fut pris pour un consentement et il passa sa main derrière ma tête, guidant mes lèvres vers les siennes. Un long baiser fougueux s’en suivit pendant que Benoît finissait de dénouer la ficelle.
Je sentis ensuite Benoît finir de descendre ma culotte. J’essayai de protester un peu mais Marc, tout en m’embrassant, me fit faire deux pas de côté. Je perdis l’équilibre pour finir allongée sur la paille dans ses bras avec seulement mon tee-shirt sur moi.
Je préviens les filles que le romantisme d’une grange a ses limites. La paille ce n’est pas la douce moquette d’un appart ! Ça pique, et en plus ça ne sent pas très bon quand des animaux sont passés !!!
Marc reprit son fougueux baiser que je trouvai fort agréable. Benoît, de son côté, me prit par les chevilles pour écarter légèrement mes jambes. Je sentis de doux baisers se déposer sur mes mollets puis continuer en remontant doucement l’intérieur de mes cuisses.
Je ne me sentis pas la force de lui écraser la tête entre mes cuisses et le laissai remonter jusqu’à mon sexe. Marc, de son côté, commença à soulever mon tee-shirt pour en faire sortir mes seins. Il prit goulûment mes pointes rendues très sensibles dans sa bouche l’une après l’autre. Sa main douce prit le relais pour permettre de reprendre un long baiser. Benoît fit glisser un doigt inexpérimenté entre mes lèvres bien mouillées. Il le faisait glisser le long de ma fente de haut en bas puis de bas en haut, non sans s’arrêter sur mon petit bouton qu’il titillait assez efficacement. J’avoue que là, je pris peur. Je risquais de perdre le contrôle de la situation et le doigt baladeur me procurait un plaisir au goût d’interdit. Je fis comprendre à mes deux cousins qu’il était plus sage d’en rester là et que la fête était finie.
Ils furent très compréhensifs et m’aidèrent à me rhabiller, non sans déconner un peu, comme d’habitude. On reprit le VTT et la route pour terminer la balade.
Je vous passe le reste du trajet et le retour à la maison, il n’y a que des coups de pédales et des blagues nulles qui ne faisaient rire que nous.
Arrivés sur le pas de la porte, les parents nous posèrent l’évidente question : « Alors, La balade ! C’était bien ? » et nous de donner cette évidente réponse : « Oh oui ! », et là, de se regarder avec un petit sourire en coin.
Le reste des vacances fut moins érotique (quoi que !). Je dois dire que cette escapade champêtre à elle seule m’avait sauvé mes vacances.
Si j’ai du courage (ça arrive rarement, mais sait-on jamais ?), je vous raconterais la suite de la soirée et surtout la nuit qui suivit.