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n° 02174Fiche technique18580 caractères18580
Temps de lecture estimé : 12 mn
01/05/01
corrigé 11/08/07
Résumé:  Pour échapper à la zone, Nora va souvent draguer au coeur de la capitale...
Critères:  fh couleurs inconnu intermast facial fellation cunnilingu
Auteur : Nora
Née dans la zone


Je pense avoir beaucoup de mal à écrire des histoires vraiment érotiques. Si je ne raconte que la stricte vérité, c’est vrai que ce n’est pas très érotique. J’ai une vie sexuelle normale, ordinaire, même si je prends toujours beaucoup de plaisir à faire l’amour. Sans doute allez-vous trouver tout ça sans grande originalité !



Je suis née dans la zone ! Vous savez, les quartiers difficiles, les grandes tours à la con, le béton, les caves sordides, les bandes de casseurs, tagueurs, zonards, tous basanés, tous ceux qui vous foutent les chocottes en somme, vous quidam des beaux quartiers.


Je suis née dans la zone, enfin c’est ce qu’on m’a toujours dit. Mais en fait il n’en est rien. Je suis une belle petite princesse africaine qui possède un beau royaume en plein cœur de la brousse. Simplement, mon vrai père s’était maqué avec une entraîneuse, blanche de surcroît, et m’a provisoirement répudiée. Du coup, je me suis retrouvée dans cette famille de ringardos pas possibles, la honte pour une fille de mon rang qui possède du sang royal dans les veines !


Dans ma jeunesse (pas si éloignée que ça d’ailleurs), j’ai fait les 400 coups avec les loubs du quartier. Ils me trouvaient mignonne et cherchaient toujours à me draguer. Vous savez, le genre de type qui arrive tout sourire les dents blanches éclatantes et qui commence par te toucher, relou comme c’est pas permis. Il se ramène avec ses gros sabots et n’arrête plus de te draguer, il te colle, il te fait chier, ça te fout les boules. D’ailleurs, pour eux toutes les filles sont mignonnes, potentiellement bonnes et des "bons coups" en perspective.

Le problème avec les mecs c’est qu’il y a toujours un arrière fond de violence derrière tout ça… Ils sont plus grands, plus forts et plus costauds, c’est indéniable. S’ils pouvaient te coincer dans un coin en toute impunité, tu passerais rapidement à la casserole. De toute façon, pour eux toutes les meufs sont des salopes et ne demandent que ça même si elles font leurs minaudeuses !


Je pense pas être conne comme nana, j’ai pas fait de brillantes études mais j’avais pas trop le choix. Par contre, depuis toute petite je lis des tonnes de bouquins, normal, une jeune princesse se doit d’être cultivée, au-dessus de la masse des cafards qui grouillent à mes pieds… J’aimerais bien voir leurs tronches quand ils me verront à la télé dans mon joli palais doré en train de recevoir "The president of the United States of America". Ça c’est sûr, ils vont en baver, ça va faire le tour de la cité !


Finalement, je suis sortie de la cité. Dès que je pouvais, je sautais dans le RER direction la capitale, la plupart du temps, je l’avoue, sans payer. Faut dire que j’avais pas une tune en poche, comme la plupart de mes voisins. Il n’y avait d’ailleurs que trois moyens de se faire des tunes : coucher, voler ou dealer. Pour ma part, je n’ai jamais mangé de ce pain-là, sauf peut-être pour quelques menus larcins de gamine mais somme toute limités et sans grandes conséquences !


Ainsi donc, je zonais sur Paris, style forum des Halles ou même aux Champs Elysées. Je faisais aussi la sortie des lycées et des facs dans l’espoir de me faire de nouveaux amis. J’avais besoin de changer d’air, de voir autre chose, d’autres gens, de m’évader, un changement radical s’imposait !


C’est comme ça que j’ai fait la connaissance de Jean-Luc près de la Sorbonne. Pour un changement, c’en était un. Le style petit provincial, bien propre sur lui, habillé en endimanché, timide comme c’est pas possible, il n’osait pas m’aborder. Il était assis sur un banc et se contentait de me regarder.

C’est donc moi qui me suis approchée. Je lui ai tendu la main avec un gentil sourire :



Mon Dieu, il bégayait, c’était bien ma veine, ça allait être difficile de discuter.



Était-ce moi qui le mettais dans cet état ou était-ce chez lui habituel ? Il me regardait avec ses yeux de merlan frit sans faire un geste, sans dire un mot, comme si j’avais été la plus belle apparition depuis la création.



Qu’est-ce que j’avais pas dit là, il s’est mis à rougir jusqu’aux oreilles, surtout aux oreilles d’ailleurs. Vraiment il me plaisait, pas pour son physique qui était plutôt quelconque avec un long visage émacié, mais pour sa timidité/fragilité qui m’émerveillait. J’avais vraiment envie de tout lui donner, mon corps, ma vie, mon amour, tout, c’était la première fois que ça m’arrivait, la première fois que je me sentais aussi vraiment amoureuse, pour un petit mec qui n’avait pourtant rien d’exceptionnel.


Bien sûr que j’avais déjà couché et plutôt deux fois qu’une. Je n’étais plus une mijaurée, pas une salope non plus, faut pas exagérer. Non, je n’étais qu’une fille qui avait envie de profiter de la vie, de s’éclater, sans pour autant faire n’importe quoi quand même. Bref, une fille ordinaire comme il y en a tant d’autres, sauf que moi en plus j’étais princesse !


L’alcool aidant, il s’est quelque peu déridé. Il bégayait moins, se faisait plus prolixe. Il me parlait de ses études, de ses parents, de ses amis et moi de mon royaume en Centrafrique… Non, pas vrai, cette fois-là je m’étais contentée de dire que mon père était ingénieur des Ponts et Chaussées en mission en Afrique, parce que lui aussi voulait être ingénieur et que ça nous faisait une autre raison de discuter.


Il bavassait, il bavassait, ça devenait un véritable moulin à paroles, il me noyait sous le flot de sa conversation ininterrompue, alors que moi je rêvais de me retrouver dans sa chambre de bonne, en tête-à-tête avec lui. Mais ce con ne comprenait pas ou ne voulait pas comprendre. Aucune de mes allusions ne lui parvenait, aucune d’entre elles et même les plus osées ne lui faisaient tilt. Pour une fois que je draguais, je sentais que c’était vraiment mal barré.


Finalement nous nous sommes retrouvés tous les deux dans la rue.



Décourageant en diable !


Je lui ai emboîté le pas. Il a été choqué lorsque j’ai franchi la barrière en lousdé en me collant à lui. Rouge et vexé, mais il en fallait plus pour me décourager.

Dans le métro, il n’a pas desserré une fois les dents. Du coup, deux blacks se sont mis à me draguer, le style lourdingue pas très discrets. Je suis rentrée dans leur jeu rien que pour faire mousser cet abruti de Jean-Luc. Et, finalement, quand ils m’ont demandé mon numéro de portable, je leur ai donné celui d’une connasse que je connaissais. Ils nous ont quittés à la station d’après, après m’avoir envoyé un baiser, un clin d’œil et un petit "À bientôt" plein de sous-entendus.

Du coup, une fois dans la rue, Jean-Luc a piqué sa crise de jalousie. Il était furax, complètement hors de lui. Il ne comprenait vraiment pas qu’une fille puisse donner son numéro de téléphone à deux inconnus. Moi, évidemment, j’étais hyper heureuse de sa réaction, preuve s’il en est qu’il n’en avait pas rien à foutre de moi.

Il a failli me planter là mais je l’ai suivie, je me suis accrochée, même quand il a pénétré dans son vieil immeuble délabré…


Tandis qu’il s’évertuait à ouvrir la porte de sa chambre :



Et de me claquer la porte au nez. J’ai failli éclater de rire tellement la situation était cocasse. C’était vraiment trop con, ce mec-là je l’adorais. Il me restait deux tiges, j’en ai grillée une sur le palier, en me disant que la vie était après tout formidable. Puis j’ai gratté à sa porte. Gratte, gratte…



Il entrouvre la porte et nous nous regardons. Je suis hilare avec certainement un beau sourire vraiment craquant. Je crois que lorsque je souris je suis vraiment belle, alors qu’en temps normal, en toute objectivité, je suis plutôt quelconque. C’est mon sourire qui fait craquer les mecs. Ça je le sais, alors j’en use et j’en abuse, pour le simple plaisir de séduire et de les faire baver.



Lui il bavait tellement qu’il n’a même pas eu l’idée de me le proposer. Du coup il s’efface pour me laisser passer : un véritable trou à rats, cinq six mètres carrés, les chiottes sont sur le palier et les douches communes à l’étage du dessous. Un petit lit une place, des bouquins un peu partout, des fringues sales qui traînent par terre et la photo de ses parents sur une petite table branlante en bois. Je m’assois sur le lit, juste à côté d’un slip sale et d’une paire de chaussettes. Lorsqu’il voit ça, il se démerde pour les enlever, ça me fait rigoler :



Et lui de rougir de plus belle !



Et de lui décocher un clin d’œil complice qui le met hyper mal à l’aise. Il est vraiment trop craquant !

Et de surenchérir :



C’est bien ma veine, un puceau. Il faut dire que je m’en doutais, depuis le début. Il s’était contenté de flirter avec son Élodie de merde et le voici qui chie dans son froc parce qu’il se retrouve en face d’une vraie femme qui veut bien baiser, qui ne demande que ça d’ailleurs, et qu’il sait pas trop comment il va faire, le pauvre chou.

Allons, soyons pas vache ! Même si j’ai une sainte horreur de jouer aux initiatrices. En fait c’est d’ailleurs la première fois que je me retrouve dans une telle situation et je ne sais pas trop par où commencer.



Il a l’air tout tremblant, complètement paniqué.



Il s’est allongé sur moi et m’a embrassée, de longs baisers tendres et langoureux. Même avec la langue dans la bouche ça se voit bien qu’il n’a pas trop l’habitude. Mais franchement je m’en fous. Dans la vie, il faut toujours profiter du moment présent sans trop se poser de questions. Et si cela se limite à des bisous, ce sera quand même très bien.

Mais le voici qui s’enhardit, qui glisse ses mains sur mon body. Le pauvre, il a des problèmes avec mon soutif. Allons ma fille, n’éclate pas de rire sinon ça va le désarçonner, c’est fragile un mec, il faut en prendre soin. Ouf, il a réussi, quel exploit ! Pétrir mes lolos, ça ça doit être son fantasme car il y va pas de main morte. Petits seins mais gros tétons, il en profite pour me les torturer. Finalement, il se démerde pas trop mal puisque ça m’excite !! Et plutôt deux fois qu’une. Puis il relève mon body et se met à me téter :



Je dois le freiner dans ses ardeurs

Mais finalement, passée la douleur initiale, j’ai grand plaisir à être tétée, aspirée ainsi, j’ai l’impression qu’il va m’avaler tout entière… Cette aspiration me fait vibrer à l’intérieur de la poitrine, descend dans mon ventre jusqu’au nombril et encore un peu plus bas. Je me sens tout d’un coup toute bizarre. Finalement j’en redemande :



C’est un peu moins bien, un petit peu moins sensible. Mais dans ma grotte je suis déjà toute humide. Au moins j’aurai découvert ça ce jour-là, le plaisir d’être tétée…

Désormais il descend sur mon ventre. J’ai envie qu’il m’arrache tout, qu’il se mette à me manger l’entrecuisse.

Je l’aide à se débarrasser de ma jupe, retire ma petite lolotte au passage, lui dévoile mon intimité. Il se met à me laper partout avec vivacité mais complètement désordonné, un véritable chien fou avec une langue râpeuse… Faudra mettre de l’ordre dans tout ça par la suite mais pour cette fois ça ira comme ça !


Je me redresse un peu déçue et entreprends de lui dégrafer la braguette pour ressortir une queue plutôt molle et de taille relativement modeste. Il va falloir le rassurer. Je le caresse doucettement avec tendresse et volupté. Puis, après l’avoir fait s’allonger, je me mets entre ses cuisses et commence à la lui lécher. Au début, aucune réaction, panique à bord, mais il en faut beaucoup plus pour me décourager. Usant de toute ma science, avec mes doigts, mes lèvres, ma langue, je parviens lentement à la faire grossir jusqu’à ce petit déclic qui la fait tout d’un coup se redresser. Victoire, c’est gagné ! Désormais je sais ce qu’il faut faire pour accroître sa rigidité. Je me fais vicieuse, la gobe toute entière, entièrement dans ma bouche, la recrache, titille son gland avec la langue, lui aspire ses petites couilles poilues tout en continuant de le branler. Il se laisse faire en me regardant. Pour un coup d’essai c’est un coup de maître, je vais le faire durer, durer. Il est désormais bien rigide, bien dressé, bien gros dans ma bouche et j’adore ça, avoir le sexe de mon mec entre mes lèvres pulpeuses…

Je me demande si je vais pas venir le chevaucher mais il faudrait mettre une capote (on ne sait jamais !) et j’ai bien peur de le traumatiser avec ça. J’en connais plus d’un qui perdent tous leurs moyens quand il s’agit d’enfiler ce petit tube de latex. Donc je reste raisonnable et continue de le pomper, aspirant les gouttes de pré-sperme qui s’échappent de sa queue :



Pas si grosse que ça mais qu’importe ! Et puis ça fait toujours plaisir à entendre, ça flatte leurs vanités !



J’avoue que j’y vais de bon cœur maintenant que je la sens gonfler… Je me fais tigresse et le dévore avec appétit. Les tressaillements dans sa grosse tige annoncent la libération prochaine…

Ça monte, ça monte, voilà ça vient, je vais m’en mettre plein la figure, c’est vrai que j’adore le sperme !!!

Et le voici qui se vide, à grands jets, qui me couvre le visage de son jus gluant. Je frotte son gland partout sur ma figure pour bien tout étaler.



Malheureusement, pour moi, le "négresse" était de trop, je me relève, furax, attrape mes frusques et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je sors à moitié à poil sur le palier en claquant furieusement la porte :



Je dévale les escaliers quatre à quatre en me rhabillant. Et lorsque j’émerge dans la rue je suis à peu près décente, excepté sans doute quelques traces de sperme sur mon visage que je ne tarde pas à essuyer :



Un peu plus tard, dans le RER, un arabe se met à me draguer, je lui réponds en lui décochant un regard de tueuse, style "Si tu insistes, je te décalque". Je suis de très mauvaise humeur, alors inutile de me faire chier.