n° 02204 | Fiche technique | 11407 caractères | 11407Temps de lecture estimé : 7 mn | 06/05/01 |
Résumé: Notre nouvelle vie avec Lucie... | ||||
Critères: fh couple amour fellation pénétratio | ||||
Auteur : Arno 2 (Jeune homme 22 ans) |
Épisode précédent | Série : Le sourire de Lucie Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Toujours son merveilleux sourire… Elle était en face de moi dans notre nouvel appartement à Paris, et me regardait avec tendresse. Tout était allé si vite depuis notre première nuit tous les deux, il y a quelques mois. Mais surtout, tout s’était fait si naturellement. À mon grand étonnement, notre relation n’avait surpris personne parmi nos amis. Comme s’ils s’y attendaient depuis longtemps…
En fait, la seule personne surprise, ce fut moi. Je n’arrivais toujours pas à comprendre ce qui l’avait poussée vers moi, et surtout ce qui la faisait rester. Elle semblait rayonnante et me disait n’avoir jamais été aussi heureuse. Mais au fond de moi, j’avais des difficultés à vraiment réaliser ce qui m’arrivait.
Mon malaise fut renforcé par la réaction de mes amis à Paris que Lucie ne connaissait pas. Quand je leur appris que j’avais une petite amie, ils furent tous contents. Ils me chambrèrent copieusement et surtout me demandèrent quand je leur présenterai. Mais quand ce jour arriva, je fus quelque peu mal à l’aise. En effet, ils semblèrent presque surpris de me voir avec une aussi jolie fille.
Immédiatement, je sentis qu’elle leur plaisait. Et pas seulement par sa personnalité, d’après les regards intéressés que je remarquais. Ce qui me gênait, c’était leur étonnement de me voir avec une jeune fille aussi belle et brillante. Ils me voyaient comme un garçon sympa et calme, mais pas du tout le genre à sortir avec une fille comme elle.
Cela m’amenait à me poser encore plus de questions quant à notre relation. Je me sentais en quelque sorte inférieure à elle : moins séduisant, moins brillant… Et je ne comprenais pas ce qu’elle faisait avec moi, bien qu’elle ne fasse rien qui pouvait me le faire croire.
Le pire, c’était au niveau sexuel… En effet, mon expérience en la matière était de très loin inférieure à la sienne. Elle avait connu de nombreux garçons et étais très libérée à ce niveau. Ce n’était pas ce que l’on appelle une salope, loin de là. Elle était seulement à l’aise avec le sexe. Ces filles libérées m’ont toujours énormément plu.
Une fois de plus, j’étais attiré par une fille qui était le contraire de moi : le principe de l’aimant peut-être… En tout cas, je n’étais pas aussi à l’aise qu’elle. La situation était donc très difficile pour moi… Je trouvais que je m’en tirais honorablement, mais au fil du temps, je sentais une certaine lassitude chez elle. Elle ne m’en disait rien naturellement, mais parfois je trouvais ses soupirs de plaisir quelque peu exagéré.
En fait, il me semblait qu’elle aimait particulièrement que ce soit moi qui prenne l’initiative lors de nos rapports. Je devinais qu’elle semblait apprécier une certaine forme de domination. Mais pas de ces pratiques dévalorisante pour la femme, et qui ont pour seul but de satisfaire des instincts machos chez l’homme. Non, quelque chose de plus psychologique, accepté et voulu… Comme si elle voulait inverser le rapport qui existait entre nous dans la vie : moi plutôt discret et calme, elle extravertie et volontaire.
Mais si j’imaginais tout cela au cours de mes pensées, la réalité était tout autre. Nous avions des rapports très classiques avec beaucoup de tendresse et d’amour. Mais au final, tellement attentionné que cela en devenait presque lassant. Je pensais sans arrêt à ce que j’avais envie de faire, à ces gestes dont je rêvais mais que je n’osais pas. Et finalement, moi aussi, je finissais par ressentir un certain ennui. Jusqu’à cette soirée…
Je me trouvais dans le salon lorsque je la vis apparaître. Elle arriva en riant, imitant la démarche des tops models : accentuant ses mouvements de hanche et me regardant d’un air aguicheur… Elle avait mis la nouvelle jupe qu’elle venait de s’acheter, pour, comme elle le disait : " Fêter l’arrivée du printemps ". C’était une petite jupe qui arrivait au genou et qui lui allait vraiment très bien … Avec, elle portait un chemisier sombre en lin, qui mettait bien ses seins en valeur, mais avec discrétion. Je la trouvais vraiment magnifique dans cette tenue, et j’étais étonné par ce brusque accès d’élégance chez elle, qui, généralement portait peu d’attention à sa tenue vestimentaire.
Nous étions invités à une soirée chez des amis qui habitaient non loin de chez nous. Cette soirée ne m’enchantait guère, car je m’étais quelque peu éloigné de mes amis à Paris depuis ma liaison récente avec Lucie. Mais comme ils avaient insisté, je n’avais pas pu résister et avait accepté leur invitation.
Finalement, comme c’est souvent le cas, cette soirée se révéla beaucoup plus agréable que je ne me l’étais imaginé. Nous étions environ une vingtaine avec de nombreuses personnes que je ne connaissais pas. J’allais de groupes en groupes et je dois dire que je passais un bon moment. En plus, le punch était délicieux et j’en avais légèrement abusé.
Comme à notre habitude avec Lucie, nous n’avons passé que peu de temps ensemble au cours de la soirée. Nous nous disions souvent que nous avions largement le temps de parler lorsque nous n’étions que tous les deux. Et qu’il ne fallait pas manquer des occasions de découvrir de nouvelles personnes et de s’ouvrir aux autres.
Mais contrairement à notre habitude, lorsque Lucie passait près de moi, nous échangions des baisers ou des caresses. En effet, en règle générale, nous n’étions que peu démonstratifs à ce niveau-là. D’ailleurs je voyais bien les regards envieux que me jetaient de nombreux garçons, et pour une fois, cela me plaisait et m’encourageait à continuer.
La soirée se termina vers 3h00 et Lucie et moi nous sommes rentrés à pied. C’était une belle nuit de printemps. Nous marchions en silence dans la rue, quand, tout à coup nous nous sommes arrêtés et avons échangé un long baiser passionné. La douceur de cette première belle nuit de printemps, le punch dont j’avais peut-être abusé et la tenue inhabituelle de Lucie commençaient à faire monter en moi un très grand désir. Et je sentais que ce désir étais partagé par Lucie.
Après ce baiser, nous sommes rentrés rapidement chez nous. Nous ne parlions pas et sentions tous les deux l’urgence de la situation. Si bien qu’à peine refermée la porte d’entrée, nos bouches se sont retrouvées avec passion. Pendant plusieurs minutes nous n’avons fait que nous embrasser avec avidité, savourant la joie de pouvoir enfin combler notre désir. Tout en m’embrassant, elle se retourna, puis leva les bras qu’elle passa autour de mon cou.
Mes mains commencèrent à la caresser, et trouvèrent ses seins, que je me mis à pétrir au travers de son chemisier. Je lui prenais les seins dans mes mains, les pétrissant avec force, jusqu’à lui faire pousser un petit cri de douleur. Alors je fis descendre mes mains vers ses hanches, puis ses fesses. Je relevais doucement sa jupe, et fit glisser sa petite culotte. Elle écarta légèrement les hanches et je commençais à lui caresser le minou, passant la main entre ses jambes. Elle était déjà très humide, et cette caresse aggrava encore la situation.
Elle m’embrassait toujours avec fougue, nos langues tournoyant l’une autour de l’autre. Alors, mon doigt se fit plus insistant, et je franchis la minuscule barrière qui séparait son minou de son petit trou. Je pressais doucement mon doigt à son entrée et il pénétra très facilement, parfaitement lubrifié grâce à elle. Elle sursauta et poussa un léger cri de surprise. Mais je sentis bien que cela ne lui déplaisait pas du tout, bien au contraire…
Alors que je commençais à faire de légers allers-retours avec mon doigt, elle se pencha légèrement en avant et m’embrassa avec encore plus de fougue, confirmant encore mes impressions. Après quelques instants, elle se retourna, et je pus enfin prendre possession de ses seins. Je lui retirais rapidement son chemisier, ainsi que son soutien-gorge. Je la contemplais quelques instants, puis ai tiré vers moi ses hanches, la cambrant légèrement. Alors seulement, j’ai posé ma bouche sur ses tétons et ai commencé à les lécher. Elle avait toujours été très sensible de la poitrine, mais jamais encore à ce point là. Elle poussait déjà des cris de plaisir et de longs soupirs évocateurs. Je passais d’un sein à l’autre, profitant de cette magnifique poitrine offerte.
Mais, si elle avait été relativement passive depuis le début, elle reprit rapidement le contrôle de la situation. Elle me poussa contre le mur, retira avec fébrilité mon pantalon et mon caleçon. Alors elle s’agenouilla devant moi, et prit d’un coup mon sexe dans sa bouche. Dès le début de notre relation, je m’étais rendu compte qu’elle aimait beaucoup la fellation. Elle m’affirmait qu’elle prenait énormément de plaisir à la pratiquer, et que ce n’était pas seulement la joie de " faire plaisir ". Cependant, elle refusait son côté soumission, ayant horreur des phrases du type : " Suce salope ".
Ce soir-là, elle me fit la meilleure fellation que l’on ne m’avait jamais faite. Et je dus lui demander de s’arrêter car je sentais que je ne tiendrai plus très longtemps. Alors, nous nous sommes dirigés rapidement vers notre chambre. Elle s’allongea sur le ventre, et je me mis au-dessus d’elle. Je lui ai alors soulevé les hanches pour la mettre à quatre pattes, et me suis introduit avec douceur en elle. Pendant quelques secondes, nous n’avons pas bougé, savourant l’union tant attendue de nos deux corps.
Puis, j’ai commencé à imprimer de lents mouvements d’aller et retour avec mon bassin. Mouvements qui rapidement s’accélérèrent avec la montée du désir. Ce furent très vite de véritables coups de boutoir, arrachant à chaque fois à Lucie des cris de plaisir. La vision que j’avais faisait monter mon excitation à son plus haut point. Je voyais ses magnifiques fesses, ses hanches, sa nuque, et surtout ses deux seins se balançant au rythme de nos mouvements. Souvent, je me penchais vers elle, et nos bouches se retrouvaient pour de longs baisers.
A ce rythme et vu l’excitation dans laquelle je me trouvais, je sentis rapidement que j’allais jouir. Elle dut aussi le sentir, car elle se dégagea, et me fit m’allonger sur le dos. Elle recommença alors à prendre mon sexe dans sa bouche. Elle faisait de grands mouvements avec sa bouche le long de mon sexe. Je sentis que j’allais exploser, et ai essayé de l’éloigner. Mais au contraire, elle accéléra encore ses mouvements. Alors ne parvenant plus à me contenir, j’ai éjaculé avec force dans sa bouche.
Elle vint alors se coucher à mes côtés, et nous sommes restés un long moment côte à côte en silence. Puis elle vint se blottir dans mes bras. Tout cela avait été tellement différent de nos rapports sexuels habituels que nous étions presque gênés de nous être laissés aller de la sorte. Mais par la suite, nous en avons reparlé, et depuis, nos rapports sexuels ont bien évolué…