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n° 02213Fiche technique13209 caractères13209
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Temps de lecture estimé : 9 mn
15/10/23
corrigé 15/10/23
Résumé:  Il vit comme un ermite au fond des bois et par cet été torride il aime parfois sa rafraîchir un peu
Critères:  fh extracon groscul poilu(e)s bain campagne intermast cunnilingu pénétratio
Auteur : André Sébastien Borland
Le trou d'eau

J’étais en plein milieu de la rivière, vraiment en plein milieu, en train de nageoter parmi les nénuphars. Complètement nu évidemment. Sous ce soleil de plomb, il importait avant tout de se rafraîchir le corps. Et après cette longue période d’abstinence, il importait également de se rafraîchir l’esprit. Les deux conjugués faisaient que le courant de l’onde pure était particulièrement bénéfique pour mon corps décharné.

Je vivais comme un vaurien, un ermite, un sauvage. Depuis notre divorce, je m’étais complètement replié sur moi-même. Je me laissais aller. Je ne mangeais plus, je ne me lavais plus, je ne sortais plus non plus, caché dans ma cabane au fond des bois… J’avais une barbe de dix jours, sans doute l’air hagard et méchant, presque l’air d’un clodo crasseux et pouilleux. Je veux dire : pas du tout l’individu recommandable si vous voyez ce que je veux dire. Le genre d’individu que l’on n’espère pas rencontrer au fond des bois lorsque l’on est une jeune fille de bonne famille.


Un peu plus loin, le lit de la rivière était moins profond. Mes pieds ont heurté une souche et je me suis relevé. C’est à ce moment-là que j’ai entendu un grand « plouf » derrière mon dos… Étonné, je me suis instantanément retourné, presque pris de panique comme si quelque monstre marin froid et gluant était sur le point de me happer. J’ai cherché dans le bouillon qu’est-ce que cela pouvait être, mais je n’ai rien vu, rien du tout, simplement un gros remous comme celui provoqué par un poisson gigantesque en train de se débattre. L’espace d’un instant, je suis resté là éberlué, debout, les bras ballants en plein milieu du lit de la rivière, complètement abasourdi par ce curieux cauchemar. Enfin, quelque chose a émergé entre les nénuphars, des cheveux magnifiques, lisses et luisants, entourant un visage de sirène…

Et cette beauté me regardait, pas farouche, en nageotant au beau milieu des plantes aquatiques. Je me sentais con, squelettique, mal foutu, en tout cas peu attirant avec mes attributs qui pendouillaient entre mes cuisses. Instinctivement, j’ai posé mes mains sur mon sexe dans un geste d’autodéfense ce qui a eu pour unique effet de faire pouffer la fille. Conasse ! que j’ai pensé en mon for intérieur, blessé dans mon orgueil.


Elle a fait demi-tour sans se presser et a continué à nager vers la berge. Je regardais s’éloigner sa longue chevelure qui flottait derrière elle. Sans plus de formalité, elle s’est hissée sur le bord avec une souplesse qui n’avait d’égale que son gros cul, une énorme lune bien blanche qu’elle dévoilait sans complexe, car entièrement nue devant mes yeux ébahis. Putain, son gros fessier apparaissait comme bougrement accueillant et, comme les grosses fesses ont toujours fait partie de mes fantasmes, cela a tout de suite réveillé mon désir, de façon bientôt visible, même de loin… Elle s’est retournée, toujours en riant, impossible de lui dissimuler mon état qui s’était bien redressé…


Elle a, à nouveau, éclaté de rire, pas moqueuse en fait, plutôt sympa et joueuse :



Ce devait être la fille ou la femme d’un de ces paysans qui me regardaient avec des yeux bizarres à chaque fois qu’ils me voyaient passer dans le village. Vous parlez, un acteur, un saltimbanque, qui plus est un saltimbanque raté, ce n’est pas quelqu’un de fréquentable ni même de souhaitable au fin fond du terroir. Du coup, je ne connaissais personne, ou presque, simplement la buraliste avec laquelle j’échangeais un bonjour/bonsoir de convenance lorsque j’allais me ravitailler en nicotine…

C’est un peu comme si tous les gens de ces régions m’avaient considéré comme le dernier des parias, j’étais le fou exilé de la ville qui vivait dans sa cabane au fond des bois.

Tous avaient peur de moi, mais pas cette fille en tout cas. Tout le contraire, son visage était avenant, plein de joie, presque enjôleur. Elle semblait être heureuse d’être ici avec moi et s’exhibait debout entièrement nue devant moi sans la moindre gêne et de la façon la plus naturelle qui soit…


Elle n’était pas la plus belle qui soit, mon ex-femme, quoique plus vieille, n’avait vraiment rien à lui envier. Elle avait des formes pleines et très lourdes, mais curieusement une petite poitrine qui ne suivait pas avec le reste du personnage. Ses hanches larges et ses seins étroits la rendaient quelque peu disgracieuse avec en corps en forme de poire. Mais elle n’en était pas mal à l’aise pour autant. Elle s’était assise sur une souche et continuait à me regarder gentiment. Son visage non plus n’était pas des plus fins, des joues un peu rouges de campagnarde et un fort vilain nez. Et ses longs cheveux fins qui descendaient le long de son dos contrastaient quelque peu avec un visage plutôt grossier. En d’autres temps, d’autres lieux, une autre époque, je ne me serais pas arrêté devant elle, même nue, même si elle s’était offerte spontanément à moi. Mais il n’était plus temps de faire le difficile et je n’étais plus moi-même très jojo. Loin de là l’époque où les jeunes actrices me trouvaient plutôt beau gosse et se battaient presque pour tourner avec moi les scènes de baisers passionnés (ceci dit, je n’ai jamais été bon comme acteur, je vivotais plutôt en faisant des doublages ou des rôles de figurants dans des séries B… Ne croyez surtout pas que je sois fier de ma carrière de comédien !).


Ainsi donc, ma campagnarde me toisait en ricanant du bord de la rive et moi j’étais toujours debout les bras ballants en plein milieu du guet.



Je me suis maladroitement approché d’elle en contournant le trou d’eau, je me trouvais particulièrement gauche et incertain, ce qui m’a fait débander aussi sec. Je n’en ai été ensuite que plus intimidé.


De près, elle était encore plus grosse que de loin, en particulier des fesses et des cuisses. Encore plus imposante, mais cela n’avait nullement l’air de la gêner, pas plus que son épaisse toison en broussailles ou que ses touffes de poils dépassant sous les bras. Elle trônait Vénus primitive devant un parfait inconnu et sans la moindre gêne. Et le pire c’est qu’elle savait aussi bien détendre l’atmosphère par sa décontraction et nous faire oublier que nous étions là tous les deux à quelques centimètres l’un de l’autre, parfaitement nus sur une souche d’arbre… Tout semblait aussi naturel pour elle que si nous avions été tous les deux habillés en train de converser dans un square.

Elle saisit quelque chose dans un panier d’osier qui était juste derrière elle et me tendit une gourde avec un sourire bien franc :



La première gorgée, glacée, masquait très bien la forte teneur alcoolique de cette mixture. Je me suis étranglé et j’ai presque failli tout recracher. Je me demandais comment une faible femme pouvait avaler pareil breuvage. Mais quand je lui tendis la gourde, elle s’empiffra d’une belle rasade qu’elle avala sans sourciller. C’était fort, aride, glacé, mais finalement ça passait bien. Ce devait être une espèce d’alcool de plante, une étrange mixture dont seule cette sorcière avait le secret.


Nouvelle gorgée de breuvage qui m’ôta d’un coup toutes mes inhibitions. Du coup, je me remis à bander sévèrement en reluquant le beau cul de ma grosse campagnarde…

Jacqueline, qu’elle s’appelait, elle était en train de me parler de je ne sais quoi… Je ne l’écoutais guère, j’avais la trique et une sévère envie de la baiser… mais comme je suis un parfait gentleman, je ne voulais point me manifester par quelque goujaterie ordinaire.

C’est elle qui a posé une main sur mes cuisses, d’ailleurs, presque entre mes cuisses. Que je suis con, une fille entièrement nue contre moi, en train de me coller, c’était forcément qu’elle avait elle aussi envie de me baiser.


Quelques minutes plus tard, j’étais entre ses cuisses au milieu des marguerites. Pas la queue, pas planté, pas encore, mais la tête, le visage enfoui entre ses grosses cuisses bien pleines et la langue perdue dans sa belle forêt vierge.

Elle ne semblait guère avoir l’habitude de ce genre d’attention et semblait quelque peu surprise de ce style de dégustation. Elle avait l’air amusée, pour sa part elle m’avait directement proposé de venir en elle, droit au but. Peut-être n’était-ce pas dans les coutumes de ces contrées que de lécher les femelles avant de les saillir. Moi en tout cas, j’adorais ça et j’excellais dans ce domaine particulier. En bon samaritain, j’étais prêt à convertir ces sauvageonnes incultes au plaisir de ma langue.


J’avais rarement connu pareille toison, très épaisse, des poils très longs et bouclés, une vraie fourrure recouvrait son bas-ventre. Je n’avais non plus jamais fantasmé sur ce genre de truc, mais je dois dire qu’en situation je trouvais cela particulièrement excitant. Aussi, redoublais-je d’ardeur pour enfoncer ma langue, ouvrant tantôt ses lèvres pour titiller son bouton, ou alors m’enfonçant très loin dans sa grotte, dégoulinant d’humidité buccale dans sa cramouille épicée.


Bientôt, mes doigts en vinrent à participer à la fête et lui défoncèrent vicieusement la moule. Je la branlais, cette vicieuse, je la branlais en lui bouffant le con et elle en était tout humide, toute trempée de mouille cette cochonne et elle en redemandait…

Bientôt, il devint clair pour moi qu’elle n’avait encore jamais joui ainsi en se faisant brouter (ce qu’elle me confirma d’ailleurs verbalement par la suite) et pour cette première fois, je mis un point d’honneur à lui donner un plaisir mémorable. J’y mis toute mon énergie, tout mon savoir-faire, toute ma vitalité, tant et si bien que, malgré peut-être quelques réticences initiales dues à l’étrangeté du phénomène, elle se laissa aller et finit par éclater dans ma bouche en déversant un torrent de cyprine avec une forte odeur de pisse.

À voir les soubresauts ininterrompus qui secouaient tout son corps, on comprenait aisément qu’elle venait de prendre intensément son pied.


Loin de m’écœurer, cela ne fit qu’amplifier plus encore mon désir. Quelques instants plus tard, j’étais en train de la limer férocement sur la berge. Elle, à quatre pattes, et moi par-derrière en train de défoncer son gros cul bien blanc. Le hors-d’œuvre m’avait bougrement excité et maintenant je m’en donnais à cœur joie pour bien la labourer. Et elle répondait avec plaisir à tous mes coups de bite. Je pense qu’elle jouissait à nouveau, plusieurs fois, à répétitions, j’avais allumé la mèche et elle ne pouvait plus s’arrêter.


J’intensifiais les mouvements. J’étais au bord de l’explosion. Pour faire durer le plaisir, je ralentis quelque peu la cadence et décidai de l’embarquer avec moi vers la jouissance finale.

Désormais, c’est moi et moi seul qui contrôlais les mouvements, lentement et bien en profondeur ça semblait l’exciter encore plus. Je la pistonnais donc ainsi lentement durant de longues minutes… Humm, ma salope, j’adore pistonner ton gros cul. Humm, tu as l’air d’aimer ça, ma chienne, et à chaque compliment de ce style, elle répondait par un râle de plaisir, style Humm hautement évocateur… Jusqu’au moment où, la sentant prête, j’accélérais un peu plus encore le mouvement, nous faisant monter à l’unisson vers le septième ciel et son paradis orgasmique. Elle accueillit ma semence par un hurlement de bête fauve auquel je répondis de la même façon par un cri d’animal sauvage. Les spasmes de son vagin rythmaient les jets de mon sperme qui s’écoulaient en elle, qui inondaient son ventre et ensemençaient sa matrice. Elle me vida ainsi de tout mon jus et recueillit tout mon foutre en elle sans se poser de question et avec un plaisir évident, presque primitif…


Quelques instants plus tard, nous avons plongé à nouveau dans le trou d’eau, pour nous laver et nous rafraîchir. Nous jouions à nous asperger comme deux gamins espiègles. Ensuite, je l’enlaçai avec tout mon amour pour lui donner ainsi la plus belle des offrandes : un long et langoureux baiser d’amoureux reconnaissants.


Nous avons bu à nouveau un coup de gnôle avant qu’elle ne se rhabille. Je n’ai même pas essayé de la retenir, ni même d’en savoir plus. Y aurait-il une suite ou quoi que ce soit d’autre ? C’était ainsi, il était temps pour elle de s’en aller…


Ceci dit, le lendemain, elle est revenue et d’autres fois encore…


J’ai appris, non pas de sa bouche, ça, elle évite d’en parler, qu’elle est fille de paysans et qu’elle a dû faire un mariage de raison avec un voisin de vingt ans son aîné, un homme acariâtre qui a repris l’exploitation familiale… Je comprends que dans ces conditions elle ait parfois aussi envie de s’amuser !


Ces temps-ci, je la vois plus beaucoup. J’ai d’autres amies, d’autres amitiés. À vrai dire, cela doit faire presque six mois que je suis sans nouvelles. Il faut dire quand même que l’hiver n’est guère propice à ce genre d’aventure… Alors peut-être cet été… je vous raconterai.