n° 02227 | Fiche technique | 11178 caractères | 11178 1963 Temps de lecture estimé : 8 mn |
23/10/23 corrigé 23/10/23 |
Résumé: Elle se caresse en pensant à lui... | ||||
Critères: f grosseins amour volupté fmast fgode | ||||
Auteur : Elise |
Une très belle journée au tout début de l’été, une journée pleine de soleil et pleine d’odeurs. Le printemps a jailli, resplendissant dans la campagne. J’ai ouvert en grand la porte-fenêtre et suis assise sur la terrasse. Il fait si beau, le soleil chauffe lentement mon corps. Odeurs diverses qui émanent du jardin, odeurs de plantes aux effluves enivrants. Je me sens tout émoustillée, toute bizarre, tout excitée aussi. Et ce soleil qui darde ses rayons sur ma peau n’y est pas pour rien.
Je ferme les yeux et suis soudain assaillie de pensées coquines. Incidemment, mes mains se posent en haut de mes cuisses, je frissonne presque. Je pense à toi, mon amour, je réalise à quel point j’ai envie que tu sois là avec moi, toi qui es si loin et qui ne reviendras que dans de longs jours et moi qui suis si seule à t’attendre. Mes mains glissent entre mes cuisses, passent et repassent sur mon short, j’ai tellement envie de toi ! Des pensées coquines, je revois nos ébats, j’imagine nos retrouvailles. Un souffle d’air frais glisse sous ma chemise et caresse ma peau. Une envie folle de jouissance s’empare de moi.
J’ai envie, j’ai besoin de caresses. Je renverse ma tête en arrière, passe mes mains sur mon cou, sur mon ventre, ma poitrine. Mes doigts frottent lentement mes tétons qui s’érigent un peu dans mon soutien-gorge. J’ai entrouvert ma chemise pour mieux me caresser. C’est si bon d’être ainsi au soleil en train de se toucher. Je baisse une des bretelles de mon soutien-gorge et extrais un sein de son carcan. J’imagine tes mains posées sur moi avec délicatesse. J’imagine ton intérêt constant pour ma poitrine opulente. Mon sein gonflé de désir, je caresse son globe, je titille la pointe. Puis je libère l’autre sein. Les prenant à deux mains, pour les palper, les caresser, lentement, sous le soleil brûlant. Je suis déjà tellement excitée… Tu adores cela, sortir mes « beaux nichons », comme tu dis, et les masser entre tes doigts. Tu te mets derrière moi et, tout en me palpant tendrement la poitrine, tu m’embrasses dans le cou avec sensualité. Je suis véritablement aux anges quand tu commences ainsi à t’occuper de moi. Tu sais si bien jouer avec la sensibilité de ma poitrine, tu es divin ! Et quand tu poses ta bouche dessus avec toute la douceur et la sensibilité dont tu es capable, tu m’enfièvres ! Je t’imagine embrassant mes tétons, les mordillant et les aspirant comme si tu voulais me téter.
Je dégrafe carrément mon soutien-gorge après m’être débarrassée de ma chemise, me retrouvant ainsi la poitrine à l’air sur la terrasse pour continuer mes attouchements. Je me dis que j’exagère, que si quelqu’un passe sur la petite route, il pourrait me voir ainsi, mais après tout, à quelques kilomètres de là, il y a bien des jeunes femmes qui se prélassent sur la plage avec les seins nus ! Je continue mes attouchements sensuels, tout le long de mon corps, sans oublier de glisser de temps en temps sous mon short. Je suis dorénavant très excitée et ce short est un obstacle à mes caresses. Il va bientôt rejoindre le tas de mes vêtements sur le sol. M’imagines-tu ainsi en petite culotte sur la terrasse ? Oui, bien sûr, tu m’y as souvent vue. Et chaque fois, je suis émerveillée par la bosse que cela fait naître sur le devant de ton pantalon. Parfois aussi, pour te provoquer, je descends aussi lentement mon string devant tes yeux pétillants de désir. Comme ceci, dans le jardin, m’exposant ainsi entièrement aux regards d’un promeneur éventuel. Et lorsque tu n’es pas là je dois t’avouer que je suis tout aussi coquine et qu’il m’arrive fréquemment de me mettre entièrement nue dans le jardin et même de m’y caresser ! Je t’avoue cela même si tu dois crever de jalousie, après tout, tu ne devrais jamais me laisser si longtemps toute seule.
Aujourd’hui, donc, je fais glisser lentement mon string le long de mes cuisses fuselées. Puis, d’un coup de pied, j’envoie valdinguer la petite culotte dans les rosiers. Si tu revenais ce soir, tu serais fou de la trouver là… mais je suis une véritable petite salope, tu le sais bien ! Je commence même à me caresser dans la balancelle, tellement je suis bien et à l’aise sous ce soleil onctueux. Je glisse mes doigts entre mes cuisses brûlantes d’un désir fou. J’ai tellement besoin de toi et tellement besoin d’être satisfaite ! J’imagine que ce soleil, c’est ton corps près de moi, brûlant et resplendissant.
Le bruit d’une camionnette sur la petite route a vite fait de me faire fuir, je ne suis pas si osée que cela et pas aussi salope que tu aimes parfois à le penser. Je cours me réfugier dans la chambre tout en gardant ouverte la porte-fenêtre. Ce contretemps a quelque peu perturbé mon désir. Mais la chambre, avec tout ce qu’elle contient de souvenir de toi a tôt fait de raviver ma flamme. Allongée, nue sur notre lit d’amour, je recommence mes caresses en essayant d’imiter le passage de tes mains douces sur mon corps enfiévré. Je t’imagine penché sur moi, en train de lécher mes seins, mes fesses, mes cuisses, mes pieds aussi, en train de parcourir tout mon corps chaud avec ta bouche goulue. Maintenant, j’écarte les cuisses largement pour mieux m’offrir aux caresses, pour mieux savourer ce plaisir qui monte lentement en moi. Mes doigts passent sur mon sexe brûlant et déjà humide d’un désir insatiable. Humm, imagine mon odeur de chatte en folie qui monte vers tes narines, qui titille tous tes sens. Une fontaine de plaisir coule entre mes cuisses et remplit la chambre tandis que je plonge mes doigts dans ma source d’amour.
Si seulement tu étais là, près de moi, je n’aurais pas besoin de m’encombrer d’un godemiché. Tu te souviens, c’est toi qui me l’as offert, pour rigoler, comme tu disais, mais aussi et surtout parce que tu sais que je suis très chaude, insatiable, et que tu préfères que je m’occupe toute seule lorsque tu n’es pas là plutôt que d’aller voir ailleurs, comme tu dis. Pourtant je suis très sage, très sage et très fidèle. Et si ce n’est tes longues absences, je n’éprouve pas le besoin d’aller voir ailleurs, je n’en ai pas envie, je n’y pense même pas. Tu me conviens tout à fait…
Pourtant c’est vrai que depuis que tu m’as offert ce gode, il a déjà beaucoup servi… Je suis devenue coquine, plus coquine qu’avant en tout cas. Coquine quand tu es là avec moi, mais aussi coquine quand tu n’es pas là et que je t’attends. Moi qui ne m’étais pratiquement jamais masturbée de ma vie, maintenant, j’y passerais mes journées, même si ce n’est jamais aussi bien qu’avec toi. Tu m’as libérée sexuellement et ça me donne des envies folles auxquelles je ne peux que souscrire. Alors, ce gros gode vibrant, il est désormais toujours à portée de ma main pour que je puisse m’en servir. Je le passe sur mon corps, le long de mes courbes, entre mes gros seins que tu aimes tant. Tu sais, comme lorsque je te fais des branlettes espagnoles, je m’entraîne avec cette bite en plastique, je t’imagine entre mes seins. Je frotte ce gland synthétique sur mes tétons pour les faire durcir. Dans ce domaine, tu es un spécialiste. Mon autre main se pose sur mon autre sein et le caresse avec autant de fièvre. Je sens le désir monter un peu plus en moi, des impressions étranges dans mon corps. Ensuite, le gode vibrant (au fait, c’est fou ce que cela use comme piles, ce truc-là !) descend le long de mon ventre, une fois mes seins bien durcis par l’impatience.
Je caresse mon bas ventre et le haut de mes cuisses, mon triangle doré. Je m’attarde en périphérie, des régions parfois si sensibles que c’en est un délice, mais que tu négliges pourtant parfois, tu ne peux pas savoir à quel point c’est divin de prendre ainsi un temps infini. La chaleur monte en moi lentement, par vagues successives avant que l’envie me pousse à aller droit au but. Superficiellement tout d’abord le long de mes lèvres, en longs cercles lents concentriques, tout autour de mon clito. Je sens mon petit bouton dur, turgescent, tellement excité que j’en bave d’envie. J’ai tellement envie de toi, tellement envie que tu sois là et que tu me pénètres ! Les vibrations m’excitent encore davantage. Je déplace le vibrateur de bas en haut, le long de mes lèvres, tout contre mon clito. Je résiste jusqu’au dernier moment, jusqu’à ce que je n’en puisse plus et que l’envie d’être prise soit trop forte. Je t’imagine sur moi lorsque je l’enfonce lentement en moi, dans mon intimité tout humide de désir. En général, je n’ai même pas besoin de rajouter de lubrifiant, je suis tellement excitée que cet engin rentre sans aucune peine, au plus profond de moi. J’adore être entièrement remplie et possédée par ton gros sexe.
Tout d’abord des mouvements lents, longs et puissants. J’imagine tes halètements profonds au-dessus de moi, ton souffle chaud de mâle en rut lorsque tu vas et viens en moi. Ensuite, j’accélère un peu les vibrations, c’est fou ce que c’est pratique de pouvoir les régler suivant les circonstances. Avec une main, je fais aller le gode en moi et de l’autre je me titille le clitoris. J’adore cette double sensation, interne et externe, qui me rappelle un peu le frottement de ton pubis contre le mien tandis que tu me pénètres, quand je sens bien le poids de ton corps lourd sur le mien. Je ferme les yeux et imagine tes coups de boutoir, toute la puissance de ta pénétration, et ajuste mes propres caresses en fonction en essayant de recréer cette atmosphère de façon artificielle. Humm, quel délice de t’imaginer ainsi sur moi et en moi… ! J’accélère la cadence petit à petit. Je suis partie, complètement partie vers un autre monde où je ne contrôle plus rien.
Je suis prête à jouir, vraiment prête à jouir, mais j’attends encore un peu, c’est trop bon de faire durer les choses. J’ai envie que tu me pénètres des heures durant, c’est si bon d’être ainsi au bord de la jouissance… J’accélère encore. Je t’imagine très excité, cochon, grossier comme lorsque ton langage se fait ordurier et que tu ne maîtrises plus tes mots et que tu me traites véritablement comme une « salope », comme une « chienne ». J’adore ça, c’est tellement excitant de t’entendre ainsi ! Je ressors de ma chatte pour faire durer, masse encore mon clito, passe même dans la raie de mes fesses comme tu le fais parfois avec ta queue. Parfois aussi, je me mets à quatre pattes et me défonce par-derrière comme tu aimes le faire. Dans toutes les positions, j’aime me pénétrer ainsi en t’imaginant, en imaginant tes grosses couilles ballotter contre moi.
Cette fois-ci, je suis prête à jouir. J’enfonce à nouveau le gode au plus profond de moi, cette fois-ci à vitesse maximale, ce qui en général suffit. De temps en temps aussi je me finis à la main en caressant mon clito, et souvent, je suis si excitée que je jouis à répétition, tu sais, comme nos soirs de retrouvailles, lorsque rien ne peut m’arrêter et que tu as peur que je ne sois à jamais prisonnière de cette jouissance que tu ne comprends pas. J’éclate en spasmes puissants, tout mon corps se tortille, je suis prise dans des convulsions incontrôlables, et le pire c’est que j’ai envie que cela continue, encore et encore. J’ai envie que tu me prennes à nouveau… c’est tellement bon !
Je suis toute mouillée de jouissance entre les cuisses. Viens vite en moi, mon amour !