n° 02240 | Fiche technique | 26809 caractères | 26809 4346 Temps de lecture estimé : 18 mn |
01/12/23 corrigé 01/12/23 |
Résumé: Un blessé de la Guerre d'Algérie rencontre une mamie. tendresse, affection, amour torride. il se souvient. | ||||
Critères: fh fplusag fagée volupté fellation cunnilingu pénétratio fdanus | ||||
Auteur : Flober |
J’ai aujourd’hui atteint l’âge de soixante-six ans, celui qu’avait, au moment des faits, l’héroïne du récit que vous allez lire ; j’en avais moi-même alors un peu plus de vingt et un. C’était en juin 1956, la guerre en Algérie (qu’on appelait « maintien de l’ordre ») faisait rage. C’était le motif de ma présence sous les drapeaux. Après nous avoir fait effectuer dix-huit mois de Service militaire légal, l’Armée maintenait les jeunes du contingent au-delà de ce temps ; j’en étais donc, contre mon gré, à mes vingt-cinq mois d’Armée (j’en ferai 34).
J’avais été blessé à l’ouest de Constantine dans une embuscade. Rapatrié d’abord au Val-de-Grâce, car ma blessure était grave, j’étais à présent en convalescence à l’Hôpital militaire de Versailles. Les forces me revenaient rapidement… l’envie de vivre aussi, de profiter un peu de ma jeunesse qu’on m’avait volée, et, provincial que j’étais, de ce séjour forcé près de Paris. Jusque-là, mes amours avaient été peu nombreuses parce que mal ciblées. Les filles à soldats que l’armée mettait officieusement à notre disposition n’étaient guère de mon goût. La puérilité de midinettes, qu’attiraient l’uniforme et mon épaule bandée, m’ennuyait. En règle générale, la sensualité à fleur de peau des « jeunes » femmes m’agaçait sans parvenir à me faire réellement désirer leur corps. Pour dire vrai, ce sont les femmes épanouies qui m’avaient toujours attiré : j’y trouvais l’émoi des sens mêlé au charme désuet, la féminité portée à sa plénitude, un érotisme affiné et sage, une sensualité bien présente, effarouchée… que sais-je… l’envie de jouir encore, le tout joint à une certaine retenue imposée par l’inquiétude et les convenances.
Dois-je avouer également que la situation plus que lamentable de mes finances limitait de façon draconienne ma liberté d’action envers des demoiselles ? Pourtant, je ne crois pas, sincèrement, qu’à l’origine de ce que je vais vous conter l’argent fût le mobile principal.
Selon les conseils d’un copain de régiment – convalescent lui aussi – qui faisait des extra comme serveur dans une cafétéria installée dans la Galerie du Lido, aux Champs Élysées, j’étais résolu à tenter ma chance, ce chaud après-midi de juin, dans son Établissement. En uniforme, ma vareuse à la manche gauche repliée et vide, le bras en écharpe à l’intérieur, j’accostai donc une dame d’un âge certain, bien supérieur au mien, qui venait d’arriver et, debout, qui s’appuyait d’un coude sur l’un de ces guéridons de bois hauts qui constituaient le mobilier de l’établissement.
Sourire bienveillant et regard sympathique, mais surpris, de la dame. Instant de panique de ma part : ne venais-je pas d’accoster une de ces dames qui exercent en ce lieu le métier qu’on dit le plus vieux du monde ?
Mais non, mon choix s’était porté sur une mamie BCBG, flâneuse d’un instant, qui allait s’offrir sans arrière-pensée un express à La Maison du Café avant de reprendre d’éventuelles emplettes.
J’avais remarqué son visage adouci par quelques rides, ses yeux si clairs et sa poitrine généreuse sous un chemisier boutonné bien haut. Mon corps s’était ému et mes regards se voulaient déjà entreprenants. Je la regardais, l’esprit embué de désir, comme un autre aurait pu regarder une jeune femme de son âge. Ma question la surprit certes, mais sans paraître l’offenser :
Et aussitôt, elle se dirigea vers le comptoir où officiait mon copain, d’où elle revint prestement avec deux tasses fumantes et soucoupes sur un plateau étroit.
Mes yeux l’avaient suivie et ne pouvaient se détacher d’elle. Elle se plaça à ma gauche, posa devant moi une tasse, sa soucoupe, la cuillère et un sucre, elle garda les siens et le plateau. Grâce à ses deux mains, elle déchira sans difficulté l’enveloppe d’un morceau de sucre et le mit dans ma tasse. Je réalisai alors que, blessé, j’aurai été bien empêché de faire tout cela avec la même dextérité si elle avait accepté mon invitation.
Ce mot familier me ravit… Une mère ? Vraiment… une mamie ! Oserai-je ? Car ce n’était ni respect ni affection que j’éprouvais, mais le désir charnel de son corps. Surpris de moi-même, je sentais mon entrejambe réagir légèrement. Je la contemplais sans retenue, d’un regard où le désir devait paraître.
Elle s’aperçut de mon émoi, mais parut trouver cela plutôt agréable ; il me semble aussi qu’elle en fut flattée et que son corps peut-être s’en émut également. Son regard à présent affrontait le mien, sans étonnement, effroi, ni égard aux convenances. Respectable certes, émouvante, elle se sentait en terrain propice et, comme toute femme à tout âge, elle faisait du charme…
Ses cheveux mi-longs gris et soignés tombaient par degrés sur une nuque haut dégagée ; elle portait un gilet à boutons de corne dont l’échancrure large laissait deviner, sous le chemisier blanc et strict au décolleté sage, des seins épanouis et pigeonnants qui m’excitaient. Leurs pointes étaient visibles tout juste à la lisière du gilet qui les titillait à chaque mouvement du buste, il me sembla que, sauf artifice, ces pointes étaient divinement dressées. Érotisme discret, fantaisie et classe à la fois. Un pantalon noir, bien coupé, soulignait un cul d’une plénitude sans excès.
Nous sirotions notre café en silence, sans nous quitter des yeux, visiblement tous deux l’esprit ailleurs que dans nos tasses. Elle soufflait distraitement sur son café, entrouvrant des lèvres d’un dessin parfait rehaussées de rose. Ses pensées vagabondaient-elles vers les mêmes horizons que les miennes ?
Mon copain barman qui avait aperçu mon manège me marqua de loin une moue désabusée, puis me lança tout de même un discret clin d’œil d’encouragement.
Il se faisait bien quatre heures de l’après-midi. La désirable mamie me dit :
Voilà bien la question que, de sa part, je n’avais pas prévue ! Je bredouillai :
J’eus l’impression qu’elle désirait surtout s’informer pour elle-même, savoir de combien de temps je pouvais disposer, à tout hasard…
Mais voilà que je me découvrais, j’en disais trop et je trahissais des intentions qui, pour être peu précises encore, étaient tout de même inavouables. Elle ne sembla pas autrement surprise : entrerait-elle dans mon jeu ?
C’était inouï, inespéré, ce « nous ». Cette suggestion me parut marquer une petite complicité coquine… Celle d’une mamie avec son petit-fils à l’armée ? Pas si sûr !
Elle se tenait presque timidement debout à ma gauche, il me semblait qu’elle avait rosi en faisant cette suggestion. Un peu malhabile à cause de ma blessure, c’est ma main droite que je posai résolument sur la sienne et je l’y maintins. Nos regards se croisèrent. Ses yeux marquaient de la tendresse… et déjà de l’acquiescement.
Quelques minutes plus tard, nous étions dans sa voiture, une Simca-Aronde noire, roulant vers Versailles. À la sortie du tunnel de Saint-Cloud, elle décida de prendre ce qu’elle nomma un « chemin des écoliers », car, avait-elle déclaré, il était trop tôt encore pour que je rentre à la caserne. D’autoroute en routes larges puis étroites et sinueuses, nous roulions en cette fin de journée d’été assez lentement en forêt de Marly. Notre conversation, d’une voix sans relief, était d’une banalité mondaine lassante, entrecoupée de silences pensifs. Rompant soudain avec ces platitudes, qui visiblement l’ennuyaient, et semblant revenir au concret, elle me dit d’une voix suave et modulée pourtant mal assurée :
Si incroyable que cela semble, à mon étonnement même, je sentais déjà mon membre se raidir ! Mon rêve allait-il devenir si vite réalité ? J’eus à cet instant la certitude fulgurante que j’allais bientôt pouvoir caresser ce corps épanoui de femme de plus de soixante ans, pouvoir la baiser sans retenue, je le savais…
Sans attendre de réponse, elle stoppa sa voiture devant une barrière interdisant l’accès du chemin aux automobiles. Aux premiers pas, elle saisit ma main droite, appuya légèrement sa tête sur mon épaule, mêla ses doigts aux miens. Son bras enlaça précautionneusement ma taille d’un geste qui accentua la pression de nos corps, et je sentis le contact de son sein. Ses beaux yeux gris levés et mi-clos, elle balbutia :
Elle ferma les yeux, la tête en arrière. Nous étions face à face, je déposai un baiser sur sa gorge fripée, plaquant son corps au mien de ma main largement ouverte sur ses reins. Elle répondit d’un tressaillement, en basculant son pubis vers le mien !
Ce « tu » peut-être maternel me glaça : se repentait-elle ? Allait-elle m’éconduire comme un gamin effronté ? Mais non : ses yeux gris-vert me regardaient étrangement derrière ses paupières baissées ; elle glissa sa main dans mon col de chemise ouvert, ses doigts enveloppèrent ma nuque, un souffle où je crus discerner un « Prends-moi »…
Sur la pointe des pieds, elle poussa encore une fois son sexe vers le mien et maintint la pression, ébauchant des frottements sans équivoque de nos pubis. Puis elle attira mon visage et plaqua sans oser les desserrer ses lèvres sur les miennes. Ultime retenue de convenance, nous restâmes frémissants comme ça quelques secondes, la bouche close, et le corps intimement pressé l’un contre l’autre. Brusquement pris d’un commun désir charnel, nos lèvres s’écartèrent – la sienne comme un appel fougueux ; la mienne comme les prémices d’autres pénétrations –, nos langues se touchèrent. Je fourrai sa bouche avec passion… nos salives se firent abondantes et nous les buvions avec avidité. Elle était étonnante tant elle y mettait de résolution et, surtout, de passion.
Je m’aperçus alors qu’elle avait emporté un plaid de voiture qu’elle disposa à l’ombre de quelques arbustes.
Elle s’assit puis, tremblante et déjà soumise au plaisir, elle s’allongea, fermant à demi les yeux. Frémissant, son corps appelait charnellement le mien… Je la contemplai, étendue, en pantalon, son chemisier enserrant une poitrine palpitante…
Je déboutonnai avec soin son gilet, puis complètement son chemisier, l’extrayant de sa ceinture de pantalon ; elle haletait. Un simple soutien-gorge uni aux bonnets imposants m’apparut sur la peau blanche et délicate de sa gorge, de ses épaules et de son ventre. C’est elle qui d’un geste prompt dégrafa son soutien-gorge, offrant à mon regard avide ses deux seins opulents et leur chair laiteuse… Lourds, ils retombaient légèrement de côté… Ils étaient doux, agréables au toucher, mous et tièdes… je les palpai. Les aréoles étaient larges, brunes et plissées, je suçai les tétons roses un peu longs qui étaient déjà dressés. Elle fermait les yeux ; les lèvres entrouvertes, elle haletait doucement.
Mon corps s’emballa ; j’anticipai les caresses de ses mains. Dans mon bas-ventre, je sentis comme un chatouillis… Mon sexe se raidit délicieusement, assuré qu’il allait bientôt pouvoir pénétrer et faire jouir ce corps de femme mûre étendu, mou et chaud, encore à demi vêtu, qui s’offrait avec autant d’impudeur que de passion.
Elle répondait à la caresse de ma langue autour de ses aréoles par de petits glapissements… je la sentais complètement abandonnée, appelant sourdement le coït, je la sentais délicieusement femme, en somme…
Les mots d’amour lui vinrent naturellement aux lèvres tandis que ma main faisait glisser la fermeture de son pantalon et se glissait sur les fesses pour le faire descendre ; elle souleva complaisamment son bassin. Son pantalon sur les genoux, sa culotte était abondamment mouillée, comme le haut de ses cuisses maculé de sa liqueur gluante et âcre.
Mais c’est elle-même aussi qui, d’un coup de rein, fit glisser ensemble sa culotte de coton et son pantalon à ses pieds, qu’elle dégagea d’un mouvement rapide de l’un contre l’autre. Je la voyais donc presque nue, le désir à fleur de peau ! Je sentis de mon sexe s’échapper de petites gouttes de liqueur… Elle se souleva un peu et se tourna pour se débarrasser complètement de son soutien-gorge et de son chemisier, dans le désir ardent de s’offrir entièrement nue sous cette frondaison d’été. L’insolite de notre situation – menacés à tout moment d’être découverts par un passant – ajoutait à notre excitation commune.
J’écartai largement et sans peine ses deux fesses pourtant fermes, pour découvrir dans une vallée duveteuse et brune un œillet étonnamment large, plissé et violacé, que je léchai et caressai doucement du doigt… L’œillet se détendit, s’offrit à la pénétration. Elle tressaillit au franchissement du sphincter par mon index mouillé, puis poussa un soupir d’aise.
Ému certes, je le suivis aussi, mais surtout excité et avec encore un brin de déférence :
Une fois qu’elle fut répandue sur l’herbe, j’admirai la blancheur de son ventre peu bombé que barrait la ligne violacée pâle d’une ancienne cicatrice ; elle s’était étendue franchement sur le dos, sans doute pour éviter que se poursuive la pénétration anale de mon doigt. Je contemplai la tache pileuse de son con… les poils étaient gris, un peu clairsemés autour de sa fente rose aux bords déjà trempés de mouille ; sa toison intime, courte et bouclée, était un peu plus fournie sur son mont et vers chaque aine ; déjà, elle ouvrait grand ses cuisses un peu fortes, belles, attirantes :
Mes doigts écartèrent de grandes lèvres fripées, larges, mouillées, et à la commissure des lèvres, au milieu de sa toison clairsemée, j’entrepris la découverte de son clitoris… Je glissai l’index sous son capuchon : son bouton d’amour était là, rosé, peu gonflé et opalescent, baignant dans une liqueur visqueuse. Mon doigt tourna autour de lui, l’effleura lentement, l’écrasa en le relevant du bas vers le haut. Le bouton se colora et se dressa. Je le frottai de la pulpe de mon index et l’astiquai sans ménagement : ma main s’emplit d’une cyprine visqueuse et chaude qui s’écoula du vagin à la base de tous mes doigts tandis que ma mamie, perdant toute retenue, haletait et glapissait en soulevant son bassin en cadence. Cette frénésie me surprit et m’inquiéta. Avec un peu de perversité, je l’avoue, j’abandonnai son bouton d’amour tumescent afin d’interrompre et varier le plaisir. Mon index fouilla alors son con d’un lent mouvement circulaire qui, au passage seulement, soulevait encore son bouton, puis mes doigts entamèrent des mouvements de va-et-vient… l’index seul, d’abord, puis le majeur et enfin l’annulaire. L’épaisseur des trois doigts joints força un peu l’orifice du vagin ; j’augmentai la pression pour les faire pénétrer davantage, les remuai un peu, provoquant chez ma mamie de faibles gémissements de plaisirs et peut-être de souffrance. De la pulpe du majeur, je glissai à l’intérieur de son vagin, une zone faiblement vallonnée, je massai avec insistance et lenteur, et par un frémissement de son ventre laiteux, je compris soudain qu’elle avait un orgasme qui se propagea et secoua tout son corps par spasmes répétés… Par trois fois, je la sentis trembler, tout entière, sur son fessier opulent. Puis elle replia les genoux, les tint écartés largement en s’aidant de ses avant-bras, m’offrant frénétiquement au milieu de ses cuisses ouvertes à la chair blanche striée de veinules bleues tout son sexe largement épanoui, rose et brillant de mouille. J’enfilai ma langue dans son con inondé… De ses mains se plaçant à présent sur ma nuque, elle m’encouragea et m’imprima le rythme. Sa mouille augmentait et je bus sa chaude liqueur au parfum âcre que je sentis couler aux commissures de mes lèvres. Malgré son étreinte, je dégageai mon visage de son entrecuisse pour me reprendre un peu. Je contemplai son corps de mamie, elle s’arc-bouta alors sur ses talons, se cambra, souleva ses fesses, ouvrit plus largement encore ses cuisses. De ses doigts, elle écarta elle-même ses grandes lèvres et, frénétiquement, à ma langue avide, m’offrit sa vulve ouverte, gonflée, dégoulinante, et son puits d’amour béant. Elle était obscène et belle à la fois… naturelle, sans aucune retenue ; je la regardai haleter de plaisir.
Ma langue se remit à fouiller entre ses grandes lèvres inondées de sa liqueur que j’aspirais. C’était une sensation de moi inconnue que la présence dans ma bouche de ses lèvres intimes, grandes, molles et ruisselantes : je les aspirai et les suçai, ma langue joua tour à tour avec elles et avec le clitoris, je léchai tous les recoins humides de cette large chatte fanée si divinement sensible… Elle frissonna une fois encore, la tête rejetée en arrière…
Elle me sourit et me dit :
Elle retira avec précaution ma chemise kaki, s’effraya à peine de ma blessure, et me caressa les seins avec application et une grande douceur… Elle en lécha les pointes, surprise, ébahie de me procurer un tressautement de plaisir qui l’excita, renforça le sien et l’encouragea. Elle me lécha et se délecta littéralement de ma peau… Sa hâte, son application, son ardeur, tout montrait qu’elle était terriblement en manque, mais, malgré la jouissance sauvage qui lui tenaillait à présent son ventre désaccoutumé du plaisir, elle s’efforça de dissimuler un orgasme dévastateur avec à la fois une maladresse touchante et une ardente envie de le prolonger. Elle m’embrassa à pleine bouche, défit mon ceinturon et fit glisser pantalon et slip dans un même geste… Un désir atavique de femelle la fouaillait, et bien que ses sens étaient repus, c’était son vagin qui en voulait alors et aspirait à une ultime fusion par la pénétration d’un pénis et l’éjaculation du mâle dans l’organe béant :
Nous étions alors nus, pressés l’un contre l’autre, mes bras l’enserraient vigoureusement. Elle souleva légèrement son bassin, se cambra et bascula convulsivement son pubis vers mon sexe qu’elle sentait avide tandis que je cherchais à faire d’elle-même pénétrer ma bite volumineuse, raide et turgescente dans sa chatte. Nos toisons intimes se frottèrent frénétiquement, en vain.
Bien que sa mouille m’eût paru abondante tout à l’heure, ma bite maladroite éprouva alors quelque difficulté à trouver et pénétrer son vagin… mon membre impatient me parut même faiblir. Je le dégageai de son entrecuisse et, assis sur mes talons, j’entrepris un cunnilingus effréné, abondamment humidifié de surcroît par ma salive, puis j’enserrai de mes doigts la base de ma verge pour plus de roideur.
Après une dernière caresse du frein sur son clito, je plaçai mon gland tumescent au bord de son vagin, et d’un coup de reins vigoureux, j’enfilai magnifiquement ma bite. La mamie poussa un hoquet de surprise et de plaisir, sa respiration se bloqua un instant, retenant l’extase. Mon membre glissa alors dans son vagin sur toute sa longueur avec délices apaisants et partagés, loin, profond. Après quelques lents va-et-vient voluptueux, je sortis, m’élançai et plantai à nouveau sauvagement ma bite rigide aussi loin, aussi fortement que possible. Elle hoqueta encore de bonheur. Elle se cambra, écarta à nouveau frénétiquement les cuisses, le souffle court ; nos pubis s’écrasèrent l’un contre l’autre à en faire mal.
Ses mains saisirent ses seins volumineux ; elle les souleva, pinça leurs pointes entre l’index et le pouce. Elle souleva en cadence son bassin, je sentis son sphincter se contracter délicieusement au passage de ma bite qui s’en raffermit davantage. Elle avança son pubis pour enfouir plus profondément mon sexe. À chaque glissement de ma bite, elle poussait de brefs gémissements.
Elle était tendue, ouverte, ses formes s’étalaient, ses fesses formaient sous elle comme un coussin tandis que ses seins offraient leurs aréoles et leurs tétons roses de part et d’autre de son corps écartelé. Complètement couché sur elle, ma bouche collée à la sienne, je mêlai mes doigts aux siens et étirai ses bras en croix. Nous n’étions qu’un corps, plaquant l’un sur l’autre notre ventre ; qu’un sexe battant l’un vers l’autre en cadence dans le bruit mat de nos chairs. Je sentis le foutre monter dans ma queue, je redoutai et appelai à la fois l’éjaculation finale. Je me délectai encore un peu de la volupté de faire aller et venir en elle ma verge longue et raide, tandis qu’elle me souriait d’extase et guettait sur mon visage les signes de la jouissance délicate qu’elle continuait de me procurer en contractant au passage son sphincter sur ma bite gonflée. Le soleil frappait mon dos, l’air doux glissait entre nos corps mêlés qui se frottaient éperdument. Ma langue léchait son visage, son cou, ses seins…
À nouveau, elle m’embrassa sur la bouche, ses lèvres ne voulurent plus quitter les miennes. Elle balbutia contre ma bouche tout en me léchant et ses doigts guidèrent les miens entre les lèvres de la vulve sur son bouton que titillait déjà ma bite.
J’avais de plus en plus de mal à retenir le foutre qui montait en délicieux fourmillements de mon bas-ventre vers mon gland.
Elle hurlait tout son plaisir, secouant sa tête de droite et de gauche au rythme de mon sexe dans son ventre… j’eus peur de présumer de ses forces, mais, à soixante-six ans, elle dégagea une santé, une envie de baiser peu commune ! Je la pénétrai jusqu’au fond de sa cavité lubrifiée, elle en voulut encore et plus profond !
Toute son âme se concentrait au fond de son vagin dans les sensations d’un plaisir affolant. Nous ne faisions plus qu’un, l’âge n’existait plus. Seul comptait notre plaisir, une jouissance inouïe, égale et partagée… Je la trouvais incroyablement belle comme ça, sublime, grisonnante, cambrée, le visage empourpré par la jouissance, les cuisses largement ouvertes… sans nulle obscénité ; en fait, nous n’avions plus vraiment la conscience distincte de nos corps…
Enfin, plantant encore ma bite jusqu’au fond de son vagin, j’explosai en plusieurs jaillissements puissants de sperme brûlant qu’elle reçut dans son ventre en poussant un feulement extatique auquel je répondis aussitôt ; dans cet instant d’orgasme délirant, nous venions de donner libre cours à l’assouvissement sauvage de nos désirs les plus profonds…
Mon gland toucha le fond de son fourreau brûlant et, soudain, de ses entrailles en folie s’écoula la liqueur d’une jouissance renouvelée qu’elle ne pouvait contenir. Elle poussa un gémissement éperdu !
Nous restâmes là, apaisés, collés l’un à l’autre, humides de nos liqueurs qui se mêlaient, nos sexes emboîtés. Elle caressa ma joue. Je baisai ses seins, heureux…
L’endroit devait être peu fréquenté, car nous sommes restés là, étendus dans ce sous-bois encore une bonne heure ; la chaude journée de juin se faisait douce à nos corps rassasiés de jouir. Mon érection est retombée ; le corps de Simone a repris sa flaccidité. Sa tête reposa sur mon épaule, son sein s’étala sur ma poitrine, ses cuisses enserrèrent bien haut l’une des miennes et son pubis s’agita encore faiblement. J’ai glissé ma main jusqu’à son con dégoulinant de nos liqueurs mêlées qu’il restituait. Ma main en était toute gluante ; je lui en barbouillai l’intérieur des cuisses, le ventre, les seins. Elle prit ma main, la porta à son visage qu’elle macula également, suça les doigts, baisa la paume avec empressement et reconnaissance. Elle caressa doucement mon visage, mes seins, mon ventre, mon sexe assagi…
Inutile de préciser que je n’ai répondu ni à l’appel du soir ni au réveil au clairon…
Cette aventure merveilleuse n’est pas restée sans lendemain. J’avais encore dix mois d’armée à faire moins un mois de permission libérable. Je les passai principalement au Vésinet auprès de ma charmante et amoureuse mamie qui me comblait, accessoirement à l’Hôpital Militaire où je faisais d’épisodiques apparitions ayant trouvé une planque monumentale : secrétaire de l’aumônier juif, le rabbin attaché à l’Établissement, moi qui ne crois ni à Jéhovah ni à Satan !
Je peux dire que ce temps a été celui d’un bonheur sans égal que je n’évoque pas, quarante années plus tard, sans une profonde émotion. Amour hors du commun, certainement, mais amour véritable et de tous les instants : mamie brûlait superbement de ses derniers feux, ses ardeurs étaient dévorantes, mais baignées de sentiments de reconnaissance, d’affection, de tendresse éperdues qu’aucune femme plus jeune ne m’aurait prodiguées.
Comment cela a-t-il fini ? Mon Service militaire touchant à sa fin, le dernier dimanche, mamie s’est faite plus belle, plus désirable que jamais. Une voiture Porsche était devant sa villa, elle m’en faisait présent. Nous sommes retournés en forêt à l’endroit de notre première étreinte, le cœur serré. Elle a passé à mon doigt une chevalière ornée d’un diamant. À sa demande expresse, j’ai repris seul la voiture et suis parti après avoir dû jurer de ne rien faire pour la revoir…
J’ai tenu mon serment jusqu’à une date toute récente. En place de déposer une fleur, j’ai écrit ce récit… qui lui rend vie et hommage… in memoriam.
- FIN -