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n° 02250Fiche technique12902 caractères12902
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Temps de lecture estimé : 10 mn
28/11/23
corrigé 28/11/23
Résumé:  Deux jeunes gens découvrent l'amour physique
Critères:  fh ff amour intermast cunnilingu pénétratio init
Auteur : Michel 2  (Homme aimant les belles histoires)      
Christelle

Elle s’appelait Christelle, elle avait dix-sept ans, moi j’en avais dix-huit. Je ne sais pas si je la désirais ou si je l’aimais, mais ses beaux yeux verts, son visage de petite fille entourée de cheveux blonds sagement coupés étaient loin de me laisser indifférent. Souvent le soir, dans mon lit, ma main s’activait en pensant à elle. Je m’imaginais caressant ses seins que je devinais comme des petites poires, lui caressant son ventre plat, sa toison que je m’imaginais peu fournie. Bref, elle était loin de me laisser indifférente. De mon côté, je ne devais probablement pas la laisser complètement insensible.


Nous nous étions trouvés, perdus dans cette grande université parisienne, en première année de DEUG, après un bac brillamment réussi. La foule, les grands amphis, la brutalité de certains nous avaient rapprochés. Nous nous retrouvions pour le déjeuner, et plutôt que de faire la queue au restaurant universitaire, nous allions marcher au jardin des Plantes voisin de notre université. Nous nous tenions souvent par la main et quelquefois nous nous échangions de tendres baisers. Ni l’un ni l’autre n’osaient faire le premier pas, en tout cas pas elle. C’était toujours moi qui tentais l’approche, mais je la sentais réticente et je ne voulais pas la brusquer. Au fur et à mesure des semaines, nous avons fait plus ample connaissance. Je connaissais ses frères, ses amis, ses hobbies ; elle connaissait les miens. On a commencé à parler un peu de sexe. Un jour, alors que nous nous promenions aux jardins du Luxembourg, elle me demanda brusquement :



J’étais stupéfait et restai un instant bouche bée… Je pense que le rouge était venu sur mon visage :



J’étais seul dans ma chambre. Il devait être 9 h 30 du matin et je m’étais réveillé assez tard, et comme d’habitude, j’avais une érection énorme… Mon sexe me faisait mal d’être distendu.



Bref, je commençais à me caresser en ne pensant à rien ; c’est alors que la femme de chambre entra brusquement.


  • — Oh, excusez-moi, je pensais que vous étiez au petit déjeuner !

Puis, me voyant dans cet état et devant ma confusion, au lieu de s’en aller, elle entra et ferma la porte derrière elle.


C’était une petite brune qui devait avoir entre 20 et 25 ans, de beaux petits yeux noisette, une belle poitrine avenante et un petit arrière-train que j’avais déjà remarqué


  • — Tu en as une bien belle bite ! me dit-elle. Montre-la-moi donc !

Et elle s’approcha, elle la prit dans ses mains et soupesa mes boules…



Je repris donc :


Elle me soupesa les couilles, me tripota le sexe et les poils autour, elle passa sa main autour de mon gland, ce qui me fit frémir… elle me complimenta.


  • — Ah, qu’elles sont mignonnes, tes couilles, avec tes petits poils blonds ! Tout ceci me fait des choses. Attends, je vais te montrer…

Aussitôt, elle souleva sa jupe sous sa blouse, retira sa petite culotte et monta sur moi pour me chevaucher. Au bout de quelques va-et-vient de sa part, j’explosai complètement en elle. Elle eut l’air déçue, mais devant mon air désolé, elle déclara :


  • — T’en fais pas, c’est normal ! C’est une première fois, n’est-ce pas ?

J’acquiesçai.


  • — Eh bien, écoute, tu me dois une revanche, mais là je n’ai pas le temps, j’ai mes chambres à faire. J’ai deux heures de libres de 14 h 30 à 16 h 30, viens me rejoindre. Au sous-sol, la porte à droite du vestiaire, la troisième porte à droite.

L’après-midi, je prétextai une migraine pour ne pas faire la balade prévue et j’allai droit à sa porte. Elle m’attendait dans sa minuscule chambre où le lit prenait les quatre cinquièmes de la surface.


  • — Viens t’asseoir à côté de moi. Je vais t’apprendre comment faire plaisir à une femme. Ton plaisir sera d’autant plus grand qu’elle aura eu le sien. Ne pense qu’à elle et elle te le rendra. Enlève mon corsage, doucement, là… puis défais mon soutien-gorge.

Elle n’eut pas à me demander de caresser ses seins que déjà je les avais enveloppés de mes mains et que j’aspirais et mordillais ses tétons.


  • — Ah, mon gentil petit coq, que c’est bon de te voir ainsi ! Prends ton temps, ne t’excite pas trop, on a encore du chemin à parcourir. Défais ma jupe ! dit-elle, alors qu’elle enlevait mon tee-shirt. Fais glisser ma petite culotte ! Maintenant, à moi, je vais t’enlever ton short et ton slip… Ah, petit coquin ! ce n’est pas facile de te le faire glisser avec ta bite tout horizontale.

Nous étions nus l’un à côté de l’autre. Elle me prit la main qui se retrouva à l’intérieur de ses cuisses.


  • — Que ta peau est douce à cet endroit ! lui dis-je dans un souffle.
  • — Là, dedans, derrière ! me dit-elle un peu haletante. Continue de me caresser !

Elle n’eut pas à me le dire deux fois. Mes mains caressèrent l’intérieur de ses cuisses, s’aventurèrent sur ses fesses et osèrent le fabuleux lieu interdit de tous mes rêves. Quand elles pénétrèrent dans son antre intime, je sentis la moiteur douce et humide que j’avais toujours imaginée. Je le caressai longtemps à un doigt puis à deux doigts. Puis je recherchai son clitoris que je trouvai comme un petit bouton renflé et tendu. Je le caressai aussi. Elle haletait doucement sans rien dire, les yeux mi-clos. Je voulus regarder son sexe… sexe féminin que je n’avais vu qu’en photo ou imaginé, seul dans mon lit alors que je me caressais. Ma bouche descendit le long de son corps et le parcourut de bisous. Quand j’arrivai vers son bas-ventre, elle ouvrit spontanément ses jambes. Je pus alors admirer sa toison, son clito, sa vulve humide d’où perlait une rosée, ses lèvres qui me paraissaient immensément grandes. Une pulsion me fit porter ma bouche dessus et je suçai avidement son clitoris tandis que mes mains étaient dans la raie de ses fesses et caressaient son petit trou. Je goûtais son suc et ma langue explorait les méandres de son vagin. C’était bon, elle commençait à soupirer et à remuer dans tous les sens. Elle me dit dans un souffle :


  • — Viens, viens maintenant, mon petit coq, viens, mets-la-moi dedans, viens vite !

Je ne me fis pas prier, et heureusement qu’elle était déjà prête, car assez rapidement j’explosai dans son trésor tandis que je la sentais vibrer dans mes bras de plusieurs spasmes qui parcoururent son corps en même temps que son vagin se contractait. Puis ce fut l’extase de l’après, ses jambes bien ouvertes, son con bien ouvert, ma bite mouillée de mon sperme et de son jus. Je l’embrassai tendrement et me retrouvai allongé à côté d’elle. Elle était souriante, heureuse et me rendit mon baiser.


  • — Pour un coup d’essai, c’était un coup de maître ! me dit-elle en souriant, me montrant ainsi qu’elle avait des lettres.
  • — Oui, c’était formidable, superbe, mais j’ai bien failli éjaculer à côté et trop tôt.
  • — Ç’aurait été dommage, mais pas catastrophique. Tu aurais terminé avec tes mains, ta bouche, ta langue qui est bien câline. Le principal est de ne pas laisser ta partenaire en plan après ton plaisir. En amour, tout est permis à condition que les partenaires soient d’accord, tout se fait à deux pour le plaisir des deux.

Mes vacances se terminèrent avec elle et je ne fis plus beaucoup de balades avec les copains ou les parents. J’appris avec elle plein de trucs superbes. Ça a été ma seule, mais fantastique expérience.



Et comme pour accréditer ses dires, elle me fit un baiser sur la joue alors que ce récit m’avait beaucoup excité.



Elle ne répondit pas. J’insistai.



Elle ne répondit pas tout de suite et je vis des larmes dans ses yeux.



Comme si elle ne m’avait pas entendu, elle commença à parler.



Et elle se mit à pleurer.



Nous étions deux familles dans un gîte en Bretagne et je partageais ma chambre avec une amie de deux ans plus âgée. J’étais assez pudique et ne me montrais jamais nue. Elle n’était pas gênée et se promenait dans le plus simple appareil devant notre lavabo. Elle avait des seins bien opulents, des fesses rebondies, une toison brune très fournie. Elle faisait femme alors que moi je me voyais petite fille. Un jour, elle me demanda :


  • — Comment me trouves-tu ? Comment trouves-tu mes seins et mes fesses ?

Je bégayai :


  • — Belles ! Tu le sais bien, sans ça tu ne me le demanderais pas.
  • — C’est vrai, tu as raison.

Elle vint s’asseoir sur mon lit à côté de moi qui étais encore couchée.


  • — Et les tiens, tu ne veux pas me les montrer ? Tu te caches toujours. On est entre filles, allez, montre-moi tes seins.

Je ne pus qu’accepter, j’enlevai la couverture et ma chemise de nuit et j’apparus nue comme un ver devant elle. J’étais émue, intimidée, mais je crois que je prenais déjà du plaisir à me montrer ainsi. Elle m’examina avec gentillesse et des yeux pétillants.


  • — Mais tu es déjà une vraie femme avec des seins mignons comme tout, rebiquant vers le haut. Et tes petits bouts qui sont tout pointus ne demandent qu’à être caressés.

Elle me caressa les seins avec douceur. C’était doux. Je ne dis rien et fermai les yeux. Elle continua à me caresser les bouts, puis ses mains firent de même sur mon ventre et mes cuisses qui s’écartèrent sans que je le leur demande. Elle n’alla pas plus loin, prit mes mains et les posa sur ses gros seins. Je ne pus m’empêcher de les pétrir et de les prendre pour les goûter ; c’était bon, c’était très bon. Mais est-ce que c’était moi qui prenais du plaisir à caresser ou à être caressée par une femme ? Je n’eus plus le temps d’y penser. Je sentis sa bouche sur ma bouche alors que tous ses longs cheveux noirs recouvraient ma tête. C’était divin. Sa langue s’affolait dans ma bouche tandis que ses mains caressaient mon ventre, puis mes cuisses, puis ma petite intimité qui n’avait pas connu d’autres doigts que les miens. Elle y allait doucement, caressait une fois, repartait ailleurs puis revenait. Elle titillait mon clitoris, mes fesses. Sa bouche se détacha de la mienne et parcourut mon corps, s’attarda sur ma petite toison, suça mon clitoris comme un bonbon puis pénétra dans mon vagin et aspira le jus qui en sortait. J’eus brusquement un orgasme comme jamais, et je me sentis ouverte et mouillée comme si j’avais fait pipi sur moi. Elle ressortit d’entre mes jambes et, avec son visage mouillé de moi, m’embrassa de nouveau avec passion.


  • — C’était si bon ! dit-elle. Tu sens bon, ton jus est bon, donne-moi du plaisir, j’en suis proche.

Elle n’eut pas à me prier longtemps. Ma bouche fut de suite sur son sexe déjà trempé. Je goûtai pour la première fois ce jus âcre qui me parut délicieux et me surpris à promener ma langue près de son trou du cul, puis revenir à son con. Elle me demanda de lui présenter à nouveau le mien, et c’est tête-bêche que je pris à nouveau du plaisir avec une sécrétion intense, pendant qu’elle aussi se mit à râler et à m’inonder le visage.


Pour moi aussi, les vacances se terminèrent de la façon la plus géniale qui soit. Toutes les nuits, on partageait le même lit et on fit des trucs superbes, mais toujours si pleins de douceur. Je n’ai jamais eu autant de plaisir de ma vie. J’ai peur à présent d’être marquée par elle. Je ne veux pas être lesbienne, mais maintenant, j’ai peur des garçons. J’ai peur d’être forcée, d’avoir mal…


Je lui répondis :




L’aventure arriva, mais c’est une autre histoire. Si celle-ci vous a plu, je la raconterais…