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n° 02251Fiche technique25232 caractères25232
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Temps de lecture estimé : 18 mn
01/12/23
corrigé 01/12/23
Résumé:  Au cours d'une réunion amicale ennuyeuse, Maud-Anne rencontre furtivement Salma Etienne, une métis indienne qui la complimente sur ses pieds.
Critères:  ff couleurs fetiche intermast cunnilingu 69
Auteur : Maud-Anne Amaro  (Maud-Anne passionnée d'érotisme insolite)      
Oh ! Que vous avez de jolis pieds !

Oh ! Que vous avez de jolis pieds !


Mais c’est pour mieux que vous les embrassiez, chers amis…



Le rideau se lève, mesdames et messieurs, cette étrange histoire peut commencer ! Mais auparavant, puisque cela semble être la tradition, il me faut me présenter.

Je me prénomme Maud-Anne (c’est joli ou c’est moche ? Ça dépend des gens, en tout cas ce n’est pas vraiment commun !). Je suis assez grande (1,75 m) assez fine, souple, plutôt sportive, j’ai des seins moyens (90 C), un cul un peu trop gros, des cuisses un peu épaisses, je suis châtain clair, décolorée en blonde, les cheveux souvent attachés en chignon, mes yeux sont gris-bleus. Finalement, je suis très moyenne, mais comme on dit, je plais, il paraît que j’ai un joli sourire ! Mon âge ? Bien sûr ! On va dire trente-neuf ans, mais ça va faire quatre ans que j’ai trente-neuf ans !

Mon mari s’appelle Jean-Claude (original, non ?), et il est chef d’entreprise (ce sont des choses qui arrivent !).


Ma vie de couple est équilibrée, y compris sexuellement, du moins autant que faire se peut. Je sais mon mari dragueur et sollicité. J’ai appris à faire avec. Je suis sans doute cocue, mais je le lui rends très bien. Ça ne nous empêche pas de nous entendre, de nous respecter et de nous aimer (ben, oui) ! Je suis parfaitement bisexuelle depuis l’éveil de mes sens, j’aime les hommes et j’aime les femmes, un démon me pousse malgré tout de plus en plus vers ces dernières. C’est vrai que les rapports sont souvent moins compliqués.


En cette fin d’après-midi de mai, mon époux m’avait demandé d’avoir la gentillesse d’honorer de ma présence une petite fête donnée à sa boîte en l’honneur du départ en retraite du DRH. Quelque peu obligée de m’y rendre, donc ! Maintenant, dire que j’adore ce type de prestation serait un mensonge ! Ce genre de réception tient de lieu privilégié à l’hypocrisie et aux faux-semblants. C’est souvent dans ces occasions que se nouent et se dénouent les petites intrigues de la vie de bureau, que les cancans et les qu’en-dira-t-on s’en donnent à cœur joie. Par-dessus le marché, il faut supporter le spectacle pas toujours heureux de ces dames qui se sont crues obligées de faire dans la toilette ! Pour ma part, je ne me suis pas beaucoup cassé la tête, une longue robe turquoise très légèrement décolletée, un collier de perles, et un « petit mini ridicule sac à main que même on ne met rien dedans », et puis, ne l’oublions pas puisque ce sera le sujet de l’histoire, des petits escarpins dorés dont on ne voit pas grand-chose puisque justement leur fonction est de mettre en valeur au maximum le pied !


Enfin, c’est un mauvais moment à passer ! Et puis le champagne n’est pas si mauvais et les petits fours sont réussis ! Je vais de groupe en groupe, mais au bout d’un moment j’en ai franchement marre. Sous prétexte que je suis la régulière du patron, ils se croient obligés de me faire des courbettes. Et bonsoir, madame, et votre robe est magnifique, et votre nouvelle coiffure et gnagnagna ! Ça m’énerve, ça me casse les pieds, ça me prend la tête ! Aucune conversation n’est intéressante, ça parle vacances, sports, économie ou politique, je n’en ai rien à cirer ! Et puis, en regardant ces bonnes femmes, je m’interroge soudain : combien mon mari s’en est-il farci ? Et qu’est-ce que je suis pour elles ? Une pauvre conne, sans doute ! Tiens, ça me donne envie de gerber, je vais me casser ! Je fais signe à mon mari, il faut toujours rester correct ! Du coup, le Jean-Claude, il s’excuse et quitte son groupe, je lui ai peut-être rendu service à mon mec ?



Mais en fait, je ne l’écoute plus ! Me voici en arrêt ! En arrêt, non pas devant un bellâtre, mais devant une femme ! Elle est superbe. C’est une petite brune aux cheveux ondulants sur les épaules, un peu typée, le visage très fin, la bouche pulpeuse et les yeux noirs. Elle est vêtue d’un simple tailleur gris à carreaux qui lui donne beaucoup de classe. Elle est seule dans son coin, en train de siroter un verre de jus de fruits !



Je plante là mon Jean-Claude, il m’énerve avec son côté macho qui ressurgit parfois, alors qu’au fond de lui-même je ne pense pas qu’il le soit, et me dirige tout droit vers la créature de rêve :



Elle esquisse un sourire de politesse, et n’a manifestement rien à me dire. Je relance :



Je la quittais en me disant qu’à défaut de savoir s’il s’agissait d’une emmerdeuse, j’avais quand même la certitude qu’elle ne devait pas être tout à fait nette. Toutefois, cette fille me troublait beaucoup plus que je ne voulais bien l’admettre. Je me demandais si elle s’en était rendu compte, et j’espérais bien que non. Jean-Claude revint vers moi :



J’oubliais vite cette soirée… inutile de s’encombrer la mémoire avec des choses inutiles, par contre le visage de la petite métis me poursuivait, mais ne sachant qu’en faire sinon l’utiliser dans mes fantasmes les plus secrets, je faisais confiance au temps pour penser à d’autres choses. Je n’avais pas l’intention de la draguer ni même de la revoir.


Ce lundi, le téléphone sonna à mon domicile vers treize heures.



J’interrompais la voix !



Mais que me voulait-elle donc ? Et qui avait eu l’indiscrétion de lui communiquer mon numéro ? Je pensais flairer le sale truc, genre harcèlement sexuel de mon mari ou un machin dans le genre.



Si elle savait ? Mais faut-il que je lui dise ? Il n’est pas très sérieux pour moi d’aller butiner dans le personnel de la boîte de mon mari. Par respect pour ce dernier, je ne puis me permettre de déconsidérer totalement ma réputation. Une seule fois, je me suis amusée avec l’une de ses collaboratrices, mais c’est elle qui voulait, et d’un commun accord il n’y eut jamais de suite… Cette pétasse aurait-elle été trop bavarde ? J’ai donc, à mon grand regret, tendance à dire non, je ne suis pas nymphomane, je sais réprimer mes pulsions !



Du coup, la raison de ma réticence ne tient plus. C’est vrai que son visage est craquant, et puis bon ça ne m’engage à rien, j’accepte le rendez-vous ! Je suis folle !



Nous convenons d’un rendez-vous le lendemain dans un café de son quartier.



Je suis toujours très ponctuelle. Salma était déjà là ! Elle était vêtue d’un petit chemisier blanc savamment déboutonné ! Aguicheuse avec ça, la nana ! Je n’avais pour ma part fait aucun effort particulier de toilettes, un ensemble veste et pantalon vert amande assez classe et, en dessous, un petit tee-shirt beige.



Je lui tendis la main, elle me la serra avec un grand sourire ! Un beau sourire, un sourire craquant ! Il me paraissait évident qu’elle avait demandé à me rencontrer pour me séduire ? À ce petit jeu, je veux bien me laisser faire ! Elle a l’air ravie de me voir, certes, mais quelque chose la chiffonne :



Il est un fait qu’elle ne va jamais y arriver, je vais être obligée de l’aider, ça m’embête un peu, moi qui voulais jouer ! Je fais dans le classique :



C’est banal, mais ça a le mérite d’être vrai ! Elle rougit légèrement, puis sourit, le principal pour elle étant que j’aille dans son sens.



Faut peut-être pas pousser quand même, mais que voulez-vous, les échanges de politesses ont leurs règles.



Je pose à ce moment-là ma main droite loin sur la table, à sa portée, si elle n’est pas trop godiche elle va pouvoir me la prendre. Elle ne bouge pas, elle cause :



Si elle ne comprend pas le message, je ne vais plus savoir quoi faire… Mais cette fois, elle assure !



Je réponds d’un sourire, elle me caresse la main de la sienne !



Sa caresse se fait plus appuyée !



Ses yeux s’écarquillent, elle a cette petite expression du visage qui consiste à lever grand les sourcils et à faire simultanément un petit sourire en coin en déplaçant la tête vers l’avant d’à peine un centimètre. Ça doit pouvoir se traduire par « Hé ! Hé ! » ou quelque chose comme ça !

Et puis soudain, comme ça, tout d’un coup, elle se lâche :



Cela a dû lui coûter. Elle est consciente de prendre un risque, mais elle le sait limité ! Elle ne me caresse plus la main, elle me l’emprisonne et son regard se jette dans mes yeux !



Je ne dis rien, je souris et approuve de la tête. Son visage s’éclaire !



En fait, j’étais d’accord avec sa façon d’appréhender les choses. Je n’allais tout de même pas tomber amoureuse de cette fille, cette folie serait sans lendemain, je me serais donné du bon temps, en contrepartie si elle voulait faire joujou avec mes pieds, quelle affaire ? J’espérais simplement qu’elle ne se mettrait pas à me chatouiller !


Elle referme la porte, pose ses clefs, son sac, me fait entrer dans son petit studio, aménagé sobrement, mais avec goût ! Seul un immense poster du mahatma Gandhi rappelle sinon ses origines du moins ses racines. Et puis tout va très vite, elle se pointe devant moi, tout sourire, très près de mon corps, nos visages se rapprochent, et je ne saurais jamais laquelle de nous deux a voulu la première ! Peut-être était-ce tout simplement simultané ? Toujours est-il que nos bouches se soudent ! Quelle merveilleuse impression que d’embrasser une femme ! Quel délicieux petit arrière-goût pervers de fruit défendu ! Je n’en ai pas embrassé tant que cela d’ailleurs, il faudra un jour que je compte (ou plutôt une nuit, si je n’arrive pas à dormir, ce sera plus rigolo que les moutons, mais sans doute moins efficace). Mon Dieu, que j’aime sa langue, elle est agile, elle chahute la mienne, nos salives se brassent, l’excitation est à son paroxysme, je lui fous mes mains sur ses seins à travers son chemisier, je les caresse, je les malaxe, je déboutonne ce bouton qui a l’outrecuidance de me gêner et me voilà en train de fureter autour du soutif, j’y glisse un doigt à la recherche d’un téton, je le trouve, l’agace de mon index, il est gros, érigé, sensible. Salma pousse de petits soupirs, mes mains l’empêchent de s’occuper de moi comme elle le voudrait, elle profite d’un instant de répit pour finir d’enlever son corsage.



Bien sûr qu’on se met à poil, mais pas de panique, j’ai droit aussi à mes petits plaisirs.



Pourquoi pas, je me débarrasse de toutes mes fringues. Elle m’observe, tout sourire, ses yeux se baissent soudain, ça y est, elle flashe sur mes pieds !



Je suis sûr de la réponse, mais ça fait partie de l’ambiance !



Oh ! Que c’est joliment dit ! Il y a des paroles comme ça qui vous provoquent des frissons dans tout le corps. Mademoiselle sait donc être tendre et romantique quand elle veut, la réplique est trop craquante, je me jette à nouveau sur sa bouche, et cette fois, elle va voir comment je me débrouille ; elle se laisse faire, accepte de se soumettre dans ce jeu innocent.



Je dégrafe la chose, les seins sont un peu lourds, mais jolis, leur peau légèrement hâlée en fait briller les contours, le mamelon est d’un marron foncé sombre et terne, qu’à cela ne tienne, je vais le rendre luisant ! Ma bouche se précipite, je prends le téton entre mes lèvres tandis que ma langue entreprend un léchage latéral !



Voici des choses qu’il ne faut pas me dire deux fois. J’y imprime à présent, mais le plus légèrement possible, mes dents ; elle ne proteste pas, je prends l’autre entre mon pouce et mon index et commence à serrer, puis j’augmente ma pression.



Bon, ça va, j’ai le champ libre ! Cette fois, je mordille carrément sa pointe. Elle gémit, elle n’arrête pas de gémir d’ailleurs. Je marque une petite pause !



Je lui retire son pantalon ! Elle est mignonne, Salma ; pas un top modèle, un peu trop de ventre, quelques kilos en trop, un système pileux plutôt abondant, mais je la trouve craquante… Et puis, quel visage magnifique ! Je la contourne, lui caresse les jambes, la peau est douce, très douce, je commence à retirer la petite culotte par l’arrière, libérant ainsi son cul ; un peu dodues, les fesses, mais ce n’est pas grave et elles sont pelotables à souhait, c’est après tout le principal ! Je reviens du côté face et baisse hardiment ce morceau d’étoffe devenu inutile. C’est vraiment très très poilu tout cela, voilà qui va me changer de mes derniers ébats saphiques où la demoiselle avait le minou complètement rasé ! J’écarte tout ce fouillis pour dégager la chatte et amorce le geste d’y approcher mon visage. C’est alors qu’elle aura cette réflexion étrange :



J’avoue ne pas comprendre.



Qu’est-ce qu’elle me raconte ? Du coup, je m’approche, je hume, ben oui, ça sent la femme, ça ne sent pas la savonnette ni la crasse… il est où, le problème ? Et histoire de lui montrer que je ne suis pas bégueule, je commence à lécher tout ça, il y a effectivement un petit goût d’urine, mais ça n’a rien de catastrophique ni même de désagréable ! Il me vient, amusée, l’idée que si elle a préféré un rendez-vous matinal, sans doute est-ce par peur d’avoir une odeur trop forte en fin de journée ! Les femmes ont de ces idées, parfois ? De toute façon, je n’ai rien contre l’uro quand il est pratiqué avec modération et de façon non systématique, mais je ne n’ai pas besoin de le lui dire !



Et en plus, je suis sincère, cette nana va me rendre folle, foin de discussion, je replonge dans son sexe, à grands coups de langue cette fois ! Il est tout humide, de la cyprine vient de couler, coule encore, je lape un petit peu, mais la position est inconfortable. Pourquoi ne pas prendre nos aises ? Je lui demande de s’asseoir sur le bord de son canapé et, m’agenouillant devant elle, je peux ainsi, mieux installée, reprendre mon ouvrage ! J’aime sucer les chattes, ce n’est certes pas aussi passionnant qu’une fellation, mais presque (Ah ! Si les femmes avaient des bites ! Un de ces jours, il faudra que je fasse des trucs avec un transsexuel, ça doit être divin ce truc-là) !

Bon, je me régale, mais je veux maintenant la faire jouir, ma langue se dirige vers son petit bourgeon tout érigé comme une minuscule bite, ma langue le cogne plusieurs fois, puis je l’enferme dans mes lèvres et aspire tout en continuant mon travail avec la langue, cette technique n’est pas facile, mais bougrement efficace ; elle halète, elle pousse de petits cris de façon saccadée. J’essaie un autre truc, j’écarte à présent mes lèvres, pour laisser place aux dents, je me contente d’effleurer, puis je mordille !



Faudrait savoir ?

Je continue, les dents, la langue, les lèvres. Elle explose en bafouillant des choses incompréhensibles, puis se jette le dos en arrière sur le canapé, elle soupire, elle sourit, elle est contente, super contente, Salma !



Quelque part, je suis fière de lui avoir fait plaisir, je suis contente pour elle, mais je suis aussi contente pour moi ! Je m’allonge à son côté, on s’embrasse à nouveau fougueusement, longtemps ! Et pendant ce temps-là, sa main s’est faite baladeuse et s’est aventurée dans mon sexe, elle m’astique le clitoris avec l’extrémité des trois doigts du milieu, la méthode n’est pas mauvaise, mais je préfère qu’on me le pince. Elle se débrouille bien malgré tout, je m’aide, je l’aide en serrant mes tétons de toutes mes forces. Salma a compris le signal et vient à ma rescousse, la bouche sur un sein, la main sur l’autre tandis que la deuxième plus bas continue son travail diabolique. Mon entrecuisse dégouline et son pauvre dessus de lit va être bon pour le pressing. Je pars à mon tour, l’orgasme comme souvent chez moi est très violent, mon corps se tétanise un court instant, incapable de faire autre chose que de libérer mon plaisir, puis je décompresse ! On s’embrasse à nouveau ! Brave fille ! Tout cela a été trop rapide, j’aurais voulu la caresser davantage, profiter de sa peau, de ses seins, de tout son corps, mais après tout, la matinée n’est pas terminée ! Je sais aussi que maintenant elle va vouloir sa récompense ! Mais je ne veux pas qu’elle me le demande, je vais lui faire le cadeau de la lui offrir, ça me fait énormément plaisir de le faire !



Et tel un diable qui sort de sa boîte à ressort, la voici par terre à mes pieds, c’est le cas de le dire, elle s’empare du droit, c’est celui qui est le plus près ! Elle le caresse, le cajole, le masse, elle a des doigts de fée, la petite Indienne. Son visage se penche sur mon pied, elle en respire l’odeur, c’est marrant, son truc, ça m’amuse de la voir s’exciter ainsi, et soudain, voici qu’elle gobe mon gros orteil, elle le suce, l’aspire, le lèche, elle le gloutonne. Sa bouche s’ouvre davantage, et elle essaie d’y placer tous mes orteils ; heureusement que je ne fais pas du 44 ! Elle parvient à me sucer tout cela en même temps, le problème c’est que ça commence à chatouiller, j’ai peur de la déstabiliser, mais ce ne sera pas nécessaire, elle libère sa mâchoire. Elle est partie dans un autre monde, ses yeux sont fermés, et sa main frotte son clito de la même façon qu’elle a frotté le mien il y a quelques instants. Elle est belle dans le plaisir, son corps ruisselle de sueur, je m’excite plus de la voir dans cet état que de subir son sucement d’orteils. Mais voici qu’elle émerge un moment de son état second, me regarde, et le plus innocemment du monde me demande :



Voici qui n’était pas spécialement prévu au programme ! Mais il se trouve que ça ne me dérange pas, on se place tête-bêche, en voilà une position bizarre, ce n’est pas un soixante neuf, ce serait plutôt un… Un quoi, au juste ? Et voici qu’à quarante ans et quelques brouettes, pour la première fois de ma vie je suce à poil le gros orteil d’une créature au visage de rêve et au charme exotique, ancienne employée de mon mari de surcroît ! C’est malgré tout un peu fort, cette affaire-là, mais on s’habitue, et après c’est marrant. Je ne sais pas trop si cette pratique possède une technique particulière, alors j’improvise, je fais comme s’il s’agissait d’un sexe rabougri, je fais carrément une fellation à son pouce de pied qui devient maintenant gluant de ma salive, du coup ça commence à m’exciter… qui aurait cru ? J’essaie comme elle l’a fait elle-même de lui gober tous les doigts du pied, du coup l’odeur un peu forte qui avait disparu revient quelque peu, qu’importe, ça ne dure pas ! J’avoue m’amuser, on ne fait pas cela tous les jours ! Je libère un moment ma bouche, je vais finir par attraper une crampe de la mâchoire ! Elle en profite pour ramper, son pied s’éloigne alors de mon visage. Un moment, je me demande ce qu’elle fabrique, puis je comprends, grosse gourde que je suis, elle m’offre sa chatte, ou elle veut la mienne, de toute façon, on va faire ça toutes les deux ensemble, le voici enfin, notre vrai 69 à toutes les deux ! Et, simultanément, nous nous abreuvons de l’humidité de nos sexes !


Nous avons joui presque simultanément, puis, un peu crevées, nous avons somnolé quelques instants sur le canapé. C’était donc terminé ! Allait venir le moment des adieux. Je me lève !



J’essaie de lui dire ça très doucement, très calmement, très gentiment, le sourire accroché à mes lèvres.



Je tergiverse donc déjà !



Et puis ce fut impulsif, elle en voulait encore, mais moi aussi ! Pourquoi ne pas lui en donner davantage ? Pourquoi ne pas en recevoir davantage ?



Elle s’inquiète un peu !



Putain ! Le sourire de Salma à ce moment-là ! Rien que pour cela, ça valait le coup de prolonger les festivités.