n° 02336 | Fiche technique | 19671 caractères | 19671 3476 Temps de lecture estimé : 12 mn |
30/01/23 corrigé 30/01/23 |
Résumé: Le fantasme d’un homme pour une femme inconnue... | ||||
Critères: fh prost hsoumis fdomine hmast intermast fellation cunnilingu pénétratio hdanus hsodo sm attache yeuxbandés fouetfesse -dominatio | ||||
Auteur : Joy (Disons que je suis une femme avec beaucoup de fantasmes...) |
DEBUT de la série | Série : Il était là Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
Il était là, sous la pluie, il la regardait pour la troisième nuit. Comment oserait-il enfin l’aborder ? Il n’arrêtait pas de se dire qu’elle n’était pas pour lui… Mais ce soir, il lui demanderait enfin de la suivre. Il s’approcha doucement avec la voiture, descendit la fenêtre de la portière et lui fit signe de venir vers lui. Il ne lui arrivait pas souvent d’avoir cours à ce stratagème pour prendre du plaisir, mais la fille le hantait depuis qu’il l’avait aperçu le soir, alors qu’il rentrait du bureau. Elle lui demanda ce qu’il voulait et, sans hésiter, il lui demanda si elle accepterait de le suivre pour la nuit. Il voulait d’elle quelque chose de particulier et elle devrait faire tout ce qu’il désirait d’elle. Elle lui dit que, pour la nuit, il devrait payer un millier de dollars, mais que pour des choses particulières, 500 dollars devraient se rajouter au premier montant. Il lui fit signe de monter dans la voiture et démarra. Elle devait s’attendre à n’importe quoi, elle en avait tellement vu de ces hommes avec des fantasmes délirants et quelque peu bizarres.
Il arrêta la voiture devant la maison d’un quartier tranquille et sans histoire. Il fit le tour de la voiture et la fit descendre. Elle le suivit sans dire un mot et monta les quelques marches qui les séparaient de la porte d’entrée. À l’intérieur, il lui demanda si elle voulait à boire en se dirigeant vers le petit bar près de la cheminée.
Une femme d’une élégance racée, rien à voir avec toutes celles qui faisaient le même métier qu’elle. Des cheveux châtains et bouclés jusqu’au milieu du dos, des yeux couleur noisette et une bouche qui donnait envie d’être embrassée pendant de longues heures. Elle avait teinté ses joues d’un rose comme celui de ses lèvres. Son corps, mince et élancé, lui donnait grandement envie d’elle. Il avait deviné des formes généreuses, mais fermes, comme celles de sa superbe poitrine. Des seins d’une rondeur parfaite, avec des mamelons légèrement pointés qui donnaient le goût de les sucer, de les pincer, de les prendre entièrement dans la bouche pour les étirer encore plus. Elle semblait fragile, douce et timide pour le métier qu’elle pratiquait. Elle était surprise de cette demande. C’était la première fois qu’on lui demandait cela. Pourtant, elle en avait tant exécuté… Mais il payait, alors c’était donc lui le maître, celui à qui elle devait plaire et faire plaisir, et elle savait comment s’y prendre. Douce et timide pour le métier qu’elle pratiquait.
Ensemble, ils prirent lentement leur verre et se parlèrent doucement. Elle lui demanda où il voulait que son fantasme se déroule et il lui dit qu’il avait la place parfaite et la pièce était déjà toute préparée pour l’occasion. Il avait même pensé aux vêtements qu’elle devrait porter et lui demanda de le suivre. Elle se surprit à le détailler. Il était de beaucoup plus grand qu’elle, brun de cheveux et d’yeux, et large d’épaules. Lui non plus n’était pas comme ceux à qui elle avait l’habitude. Il était posé, calme. Il la regarda et lui demanda de descendre à la cave.
Elle se déshabilla sans dire un mot et revêtit les vêtements qu’on lui demanda de porter… Que du latex ! Noir. Elle adorait porter ce genre de vêtements. Une longue robe très étroite avec un décolleté si profond qu’il laissait presque tout voir sa belle poitrine. Il ne manquait rien de ce spectacle. Elle prenait son temps, car elle savait qu’il ne perdait rien des gestes qu’elle faisait. Il caressait, doucement, son membre qui commençait à prendre forme sous son pantalon kaki. Elle était d’une beauté… et tellement sexy, sous ces vêtements. Elle enfilait les bas et les jarretelles avec des gestes précis, mais d’une sensualité rêvée. Des souliers à talon aiguille traînaient près du lit. Il aimait les talons et il lui ferait savoir plus tard ce qu’il attendait de ces souliers. Il était très bandé maintenant, mais il lui laissa le temps de mettre les gants en latex qu’il avait choisis avec la robe. Il lui demanda de placer ses cheveux en chignon sur la tête et elle s’exécuta.
Elle était maintenant magnifique. Elle se tenait devant lui et attendait ses ordres. Il se masturbait sans dire un mot en la regardant droit dans les yeux. Il voulait lui faire savoir que, habillée de cette façon, elle avait un effet fou sur lui. Il éjacula et se détendit encore plus. Elle savait que de cette façon, il lui faudrait être encore plus à la hauteur de ce qu’il attendait d’elle. Mais elle savait s’y prendre, on ne disait pas d’elle qu’elle était une reine du plaisir pour rien.
Il se leva et en la laissant sur place, monta prendre une douche. Il redescendit, nu, et se remit entre les mains de cette maîtresse. Elle s’approcha de lui et lui demanda de l’appeler « maîtresse », à partir de maintenant, quand il aurait à lui répondre.
Il avait le cœur qui battait à tout rompre. Depuis si longtemps qu’il attendait cela… il avait trouvé la femme parfaite pour lui. Elle le regardait avec calme, mais avec dans les yeux une étincelle qui lui plaisait. Elle lui demanda de s’approcher du mur et de se mettre face à lui. Il tremblait légèrement. Soudainement, il avait peur de ce qu’il avait tant désiré. Elle lui ordonna de placer ces mains en croix au-dessus de lui et l’attacha aux anneaux qui étaient situés juste au-dessus de lui. La cave était parfaite pour ce fantasme. Le sol était de terre et une odeur de moisissure s’en dégageait. Les murs n’étaient pas finis non plus et étaient assez bruts. Elle attacha les poignets de cet homme à l’aide de cordes et fit de même avec ses chevilles en écartant ses jambes. Il était maintenant à sa merci. Il était vulnérable aux pires sévices. Elle le caressa doucement du bout de ses doigts gantés de latex. Il tressaillit.
Elle s’éloigna un instant pour prendre un des outils placés à sa disposition. Le fouet. Un long manche en cuir muni de petites lanières, fines et agrémentées de nœuds. Elle fit un geste pour mettre ce fouet en mouvement et, d’un coup sec, fit entendre le son des lanières sur le sol. Il sursauta. Il tremblait de plus en plus. Du plaisir et de la peur se lurent sur ses yeux. Avant de commencer le traitement qu’elle lui imposerait, elle lui mit un foulard sur les yeux. Ce n’était pas dans les plans de cet homme et il lui fit savoir. Il se démena pour ne pas lui laisser la possibilité de le mettre. C’est alors qu’elle se recula et lui assena son premier coup de fouet. Il cria en l’injuriant. Elle lui en porta un deuxième encore plus fort en lui disant qu’il serait mieux qu’il ne dise plus un mot, car ça serait bien pire pour lui. Son deuxième cri resta au fond de sa gorge. Elle revint vers lui et lui mit enfin le bandeau. Un bâillon n’était pas nécessaire, car elle voulait entendre ses cris de douleur. On pouvait voir déjà sur son dos des enflures dues aux premiers coups de fouet. Elle y mit les doigts et appuya sur tout le trajet qu’elle suivit.
Elle rigolait, maintenant. D’un rire sonore et vilain. Elle prit son verre et en sirota quelques gorgées tout en les laissant couler sur les cicatrices. Il hurla. Il ressentit des picotements et le froid du rhum. Elle était excitée de tout ça et sentit sa petite chatte se détendre et se mouiller doucement au son des cris et des gestes qu’elle entendait et faisait. Elle approcha ses douces lèvres de son cou et commença à déposer des baisers, tendrement et légèrement humides. Juste du bout des lèvres. Il ronronna. Il adorait cela. Mais il se doutait bien que ce n’était qu’un intermède aux coups de fouet. Elle fit un geste pour coller son corps de latex au sien et continua à promener ses lèvres et ses mains sur lui. Elle glissa ses doigts sur son membre et entreprit de le branler sans ménagement. Elle le mordit et il laissa échapper un cri. Juste au moment où elle sentit qu’il allait éjaculer, elle arrêta ses caresses et recula pour reprendre ses coups de fouet. Il hurla de rage et de douleur. Elle ne le ménagea pas un seul instant.
Alors, d’un coup encore plus violent, elle mesura son geste pour qu’il lui retombe sur les fesses. Il poussa un cri intense de douleur et essaya de se défaire de ses liens. Elle continua de plus belle.
Elle déplaça le fouet d’une dextérité et d’une force qui le laissa échapper des cris à chaque coup donné. Il la maudissait. Il tremblait de rage et d’impuissance, mais il était si dur. Il adorait avoir une érection avec le mal et elle lui en donnait comme il l’avait souhaité.
En l’entendant dire ces mots, elle lui donna encore plus de coups. Il arrêta de hurler en gardant pour lui sa souffrance. Elle avança ses doigts, toujours gantés de latex, et commença à lui caresser l’anus doucement de l’index. Il protesta violemment et hurla de nouveau en sentant pénétrer le doigt de sa maîtresse. Elle faisait un va-et-vient tout en caressant les cicatrices de sa bouche. Il commença à se détendre. À ce rythme, elle le ferait éjaculer, c’était certain. Elle fit rentrer un second doigt et l’encula avec force. Il ne pouvait plus retenir les sons qu’il gardait en lui. Elle arrêta son geste d’un seul coup, comme elle l’avait pris.
Elle ne l’écouta pas. Elle se dirigea vers le lit et enfila un des autres objets. Une ceinture de cuir avec une grosse bite bien dure. Elle revint vers lui et lui fit sentir entre ses fesses ce à quoi il devrait s’attendre par la suite. Elle lui murmura à l’oreille qu’il ferait mieux d’être gentil et de ne pas bouger. Elle rigolait et, avant de lui infliger plus de mal qu’il en avait déjà, elle le fit s’éloigner du mur et se faufila entre lui et ce dernier. Elle le regardait droit dans les yeux et lui dit qu’il était temps qu’elle lui donne un peu de douceur, avant tout le reste. Alors elle se pencha doucement et déposa ses lèvres gourmandes sur le bout de son gland. Il émit un grondement de doux plaisir. Elle avait les lèvres d’une telle douceur. Elle fit la bouche ronde et encore plus gourmande et la laissa s’ouvrir sur le gland pour l’engloutir au fond d’elle. Elle fit tourner sa langue tout au tour du gland… Elle en raffolait. Elle avait du plaisir à lui faire cette fellation. Elle descendit sa main contre sa chatte et se caressa en continuant à le lécher, à le sucer, à le déguster si doucement qu’il en émettait des gloussements de plaisir.
Elle s’enfonça trois doigts en elle et les fit aller pour les mouiller et les faire glisser sur son clitoris gonflé de ce jeu. Elle remonta ses doigts, mouillés, et lui ordonna de les lécher. Ce qu’il fit sans se faire prier davantage. Sa queue était bien dans sa bouche si douce. Elle savait bien s’y prendre. Une fellation divine. Elle le prit en entier en elle, tout au fond de sa gorge, et continua à jouer avec sa langue jusqu’aux testicules. Elle joua avec sa gorge sur son gland et fit glisser ses lèvres en sens contraire en remontant sa bouche jusque sur le bout. Elle le suça doucement en faufilant ses doigts entre ses fesses et en massant l’entrée de l’anus maintenant détendu. Il éjacula une deuxième fois sur les lèvres de sa maîtresse. Elle s’en régalait. Elle se remit debout et l’embrassa avec la bouche encore pleine de sperme. Elle souriait. Elle alla s’asseoir sur le lit et le laissa dans cette position plusieurs minutes. Elle se reprit du rhum pour se remettre doucement de cette première partie de ce jeu assez excitant.
Elle rigolait encore de cette demande tout en sirotant son verre.
Elle resta comme ça encore quelques instants et se rapprocha de lui. Elle était encore vêtue de sa sangle et de son pénis. Elle lui écarta les fesses et s’introduisit en lui sans crier gare, d’un seul coup. Tout au fond de son p’tit cul. Il hurla toute la douleur possible à hurler, mais il rebanda aussitôt cette introduction violente contre lui. Elle le prit entre ses mains et se laissa aller à le sodomiser de toute la force de son bassin. Il grondait de plaisir. Il éjacula de nouveau contre le mur et entre ses mains. Elle ne s’arrêta pas pour autant et continua de plus belle. Il ne tenait plus sur ses jambes. Il était à bout de nerfs. Elle le sentit de nouveau très dur entre ses mains et décida de se retirer. Elle retira ses sangles et entreprit de le délivrer de sa position. Il tomba sur le sol d’épuisement. Combien de temps avait-il été attaché ? Il ne pouvait le dire, car il avait perdu la notion du temps.
Elle remonta sa robe de latex et s’accroupit sur sa queue encore si dure. Elle était si mouillée, si excitée. Il la regardait avec désir. Il se mut en elle du mieux qu’il put, car avec ses blessures sur son dos, il avait mal. Mais maintenant, il avait sa maîtresse sur lui et c’était à lui de tout faire pour la remercier de ce qu’elle lui avait donné. Il la renversa sur le sol et lui remonta les genoux en lui écartant les jambes de chaque côté d’elle. Sa chatte était luisante, mais pas assez à son goût. Il s’avança vers elle, vers sa chatte, et l’écarta encore plus pour pouvoir la lécher à ne plus finir. Elle bascula dans un plaisir profond. Elle aimait sa langue savante. Il la lécha en buvant la mouille qui s’échappa d’elle. Elle se cabra, il en profita pour descendre sa langue vers son anus et remonta jusqu’à son clitoris. Elle était plus que mouillée. Des heures qu’elle attendait pour jouir, elle aussi. Il sentait bien qu’elle voulait ce plaisir, mais il prit son temps. Il ne voulait pas brusquer sa délivrance. Il la buvait, la sentait, la léchait de sa bouche qui ne désirait qu’elle. Il plaqua sa bouche sur son clitoris et entreprit de bien la sucer en lui enfonçant des doigts impatients dans sa chatte désireuse. Elle jouissait doucement en laissant échapper des petits cris de plaisir. Elle chercha un appui dans la terre de ses doigts. Elle voulait qu’il prenne possession de tout son corps et il le comprit. De sa main libre, il lui enfonça deux doigts dans son cul en faisant comme elle, c’est-à-dire sans ménagement. C’était un délire merveilleux. Il faisait un va-et-vient de ses mains en ne laissant pas le clito de sa bouche. Il lécha ses doigts en faisant glisser sa langue dans sa chatte et en remontant sur la petite boule de plaisir si gonflée. Elle allait jouir, mais il ne lui laissa pas ce plaisir-là.
Il arrêta un moment pour s’occuper un peu de ses seins. Il se leva et se dirigea vers un petit meuble près du lit et en ressortit une chaînette en argent et avec aux extrémités deux petites pinces. Il revint vers elle et installa les pinces sur chaque bout de ses seins. Elle était un peu effrayée, mais n’avait pas peur de lui. Elle savait qu’il ne lui ferait pas mal. Il souriait de ce nouveau petit jeu. Il commença à lécher du bout de la langue les petites fleurs roses. Il tira les pointes entre ses dents pour lui faire comprendre le doux plaisir qu’elle recevrait des pinces posées sur elle. En se relevant, il prit la chaîne entre ses lèvres et tira vers le haut pour rendre les pointes de ses seins encore plus dures. Elle cria de surprise. Une petite douleur se fit sentir. Il tenait la chaîne entre ses mains et entreprit de redescendre sa bouche le long de son corps pour se rendre de nouveau sur sa chatte. Il remit ses lèvres sur son clito et recommença à la sucer tout en tirant encore plus sur la chaîne. Elle ne savait plus quoi faire. C’était un supplice. Crier à cause de la douleur causée par la chaîne ou jouir doucement dans la bouche de l’homme qui s’amusait à son tour. Il ne lâcha pas la chaînette de sa main gauche, de la droite, il plaça l’index et le majeur dans sa petite chatte, et de son auriculaire, s’amusa en rentrant dans son petit anus ouvert à ses doigts. Elle hurla de plaisir et de douleur. Elle allait jouir, elle ne pouvait plus se retenir. Il s’attarda encore plus sur son clito et ne la lâcha plus jusqu’à la jouissance. Il lâcha la chaîne et se tourna de façon à lui enfoncer sa queue dans sa bouche, il avait envie de jouir aussi, avec elle. Il reprit de plus belle possession de sa chatte avec ses doigts, de sa bouche, et ne la laissa que quand elle aurait joui enfin. Il éjacula en même temps qu’elle. Il la but et elle aussi.
Il se laissa tomber sur le sol à côté d’elle. Il était épuisé de cette nuit. Mais il savait qu’il lui restait encore du temps avec elle. Elle semblait dormir doucement. Elle était ravissante. Il la prit dans ses bras et la déposa doucement sur le lit. Il prit le pot de chambre déposé sur le petit meuble et lava doucement son corps pour la rafraîchir. Elle ouvrit les yeux et lui sourit. Elle aimait cet homme. Il fouilla dans le petit tiroir et prit l’anneau qu’il remit au doigt de son épouse adorée. Ils avaient passé une nuit extraordinaire et ils savaient tous les deux que d’autres nuits de ce genre allaient suivre. Ils étaient complices de tous ces jeux. Il prit doucement son épouse dans ses bras et l’embrassa tendrement pour la première fois depuis leur rencontre sur le trottoir. Il reprit possession de sa chatte de son pénis encore désireux. Elle se mut contre lui avec douceur. Elle voyait dans les yeux de son mari tout l’amour qu’il avait pour elle. Ils jouirent de nouveau ensemble, et s’endormir côte à côte, complètement exténués. Une autre nuit délirante venait de se produire entre eux, et toute la complicité du monde les unissait.