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n° 02363Fiche technique23015 caractères23015
Temps de lecture estimé : 14 mn
06/06/01
Résumé:  Alors qu'il rentre vers la Bastide, il rencontre une jolie jeune fille habillée de blanc...
Critères:  fh vacances piscine douche intermast cunnilingu pénétratio
Auteur : Victor            Envoi mini-message

Série : La Bastide

Chapitre 06 / 06
La bastide VI



La bastide 6


Arielle était allée passer quelques jours avec Anna. Fille de la ville, elle voulait goûter les activités d’une ferme et avait la chance de pouvoir le faire avec Anna. Je restais donc seul à la Bastide, occupé par quelques menus travaux de jardinage et de remise en état de la toiture. Je faisais de longues promenades, passant mon temps à rêver aux évènements des jours derniers et déjà en train d’imaginer les retrouvailles avec Arielle et Anna.


Perdu dans mes pensées, je rentrais vers la Bastide par un chemin longeant le village et je vis au détour d’un virage, une jeune femme toute habillée de blanc qui cueillait quelques fleurs sauvages dans une clairière. Elle portait un chapeau de paille au large bord orné d’un ruban aux couleurs vives. Sa robe blanche était sage, dépassait le genou et ne montrait que le cou. Elle laissait cependant deviner une culotte de dentelles et un soutien-gorge à balconnet mettant en valeur une poitrine de taille moyenne. Je me rapprochais d’un bon pas en faisant craquer quelques brindilles. Elle se releva et je découvris le visage d’un ange entouré d’une grande brassée de graminées. Il se dégageait de son visage une impression de douceur et de gentillesse qui me bouleversa.



Et voilà les présentations étaient faites, je sortais d’un univers de luxure et de stupre et me retrouvais en face d’un frais minois, un dimanche après midi et ne savais pas quoi dire ! Trop de décalage sans doute !



Nous voilà sur le chemin du village. Arrivé sur la place du village qui résonnait du bruit des boules s’entrechoquant et des éclats de voix des joueurs qui se disputaient amicalement un point ou l’autre. Nous passâmes devant la fontaine qui chantonnait fraîchement. Deux enfants y faisaient flotter un bateau fait de bouchons de liège. Catherine se dirigea vers une petite maison, située dans un renfoncement de la place et entourée de hauts murs. Elle poussa une porte métallique et nous donna accès à un jardin luxuriant, un peu sauvage où se côtoyaient palmiers, rhododendrons et milles autres plantes colorées et odorantes. Ce jardin est à l’image de mon hôtesse, frais, sauvage et délicat. La maison était petite, couverte de tuiles romaines ocres. Elle était à l’ombre, tous les volets tirés pour ne pas laisser rentrer de lumière. Nous rentrâmes dans la maison après avoir rangé le vélo dans la remise. Il faisait frais et sombre dans le hall, à droite s’ouvrait la cuisine, à gauche un salon avec un canapé de velours et à l’autre bout de la pièce une grande table de chêne et 6 chaises. Catherine m’invita à prendre place et alla chercher la citronnade. La cruche de terre cuite se couvrit rapidement de buée et des ruisselets glissaient en hésitant vers la table basse. Catherine nous servit et s’assit en face de moi. Sa robe était boutonnée sur le devant et entre 2 boutons, parfois le tissu s’écartait dévoilant un bout de dentelle ou de peau bronzée. Catherine portait des cheveux longs, châtain clair dégageant son front bronzé. Les sourcils soulignaient 2 grands yeux clairs et rieurs. La bouche était charnue et découvrait de belles dents luisantes. Le cou disparaissait dans l’échancrure du tissu. Les jambes visibles sous la robe étaient musclées et bronzées. Les pieds reposaient dans des espadrilles et portaient un peu de poussière du chemin. Je sentais sur moi le regard de Catherine qui semblait me faire subir le même examen. Nous bûmes l’orangeade à petites gorgées, laissant picoter dans la bouche le jus de citron.



Nous passâmes dans la salle à manger dont j’avais déjà aperçu la table. Je découvris un bahut à colonnades tournées, meuble massif et sombre. Nous sortîmes de la pièce pour passer dans le couloir et la chambre de Catherine. Là aussi régnait l’ombre et la fraîcheur. Dans l’air planait une petite odeur discrète d’essence de rose. Le lit était ancien en noyer et le dessus de lit en dentelles blanches à l’ancienne. Une petite commode dans un coin était surmontée d’un miroir et une chaise basse était posée devant. Une armoire était placée face au lit et lorsque nous sommes passés devant, le plancher craqua et une des portes s’ouvrit en grinçant, découvrant quelques robes colorées et une robe en dentelle blanche. Sur une étagère, se trouvait la lingerie de Catherine et mon regard eut le temps de voir quelques soutien-gorge en dentelle et quelques culottes plutôt dans la catégorie string. Catherine, troublée ferma la porte en me regardant :



Nous sommes passé dans la salle de bain, minuscule, contenant une douche aux parois de verre transparent et une vasque en marbre vert.

Une deuxième chambre sentait un peu la poussière et quelques meubles recouverts de draps y était installés. Dans un coin, un amas d’outils, de pinceaux et de pots de peinture prouvait les travaux en cours. Nous passâmes dans la cuisine. L’évier en pierre était devant la fenêtre. LA cuisinière se trouvait à droite de la cheminée enfumée. La aussi une table de chêne plus dépouillée trônait au milieu de la pièce. Le sol était pavé de tommettes rouge brique.



Et Catherine se dirigea vers la salle de bain. Je retournais dans le salon et bientôt j’entendis l’eau de la douche couler. Je revins vers la cuisine pour reprendre un verre de citronnade et en passant dans le couloir, je vis la porte de la salle de bains ouverte. Je pouvais voir mon hôtesse prendre sa douche et je restais à l’observer. Elle me tournait le dos et je voyais ses deux fesses musclées se contracter et se relâcher. Elle se pencha pour prendre le savon qui venait de tomber par terre. En haut de ses jambes apparut un fruit adorable, qui donnait envie d’y goûter. Mon organisme régit immédiatement ce d’autant que j’étais privé des plaisirs féminins depuis quelques jours. Catherine se redressa et commença à appliquer le savon sur tout son corps, Elle s’était retournée lentement et m’apparaissait maintenant presque de face. Ses seins avaient des proportions idéales, Ils étaient bronzés, sans marque de maillot. C’est alors que je pris conscience que le postérieur était également halé. La chatte de Catherine dessinait un petit triangle pubien qui s’arrêter à la naissance des lèvres. Les yeux fermés en raison du jet, elle se savonnait maintenant ses seins dans un mouvement tournant. Ses mamelons durcirent sous la caresse. Elle descendit sur son ventre et lentement glissa vers son sexe. Sa main s’enfonça entre ses jambes à plusieurs reprises, provoquant une cambrure. L’autre main s’occupait des fesses et aborda son sexe par la voie postérieur. Je m’étais approché, attiré par tant de beauté, par ces gestes simples et pourtant hautement érotiques. Catherine coupa l’eau après s’être rincée sous le jet, les yeux toujours fermés. Elle ouvrit la porte de la douche. Je pris le drap de bains et m’approchant encore, je murmurais :



Catherine ne dit rien, elle gardait les yeux clos et avança d’un pas vers moi. Je pris le drap de bain pour la couvrir. Ses cheveux étaient presque secs et je commençais à essuyer le visage avec une grande douceur, redoutant à chaque moment une réaction qui briserait le charme de ce moment. Mes mains glissèrent sur les épaules et massèrent le haut du dos. Catherine se retourna et me laissa son dos. Le tissu parcourut tout le dos, s’arrêtant aux fesses. Puis je repassais à la face antérieure. Catherine se laissait faire, écartant à l’occasion les bras pour se faire sécher les aisselles et la face externe des seins. Cette caresse remit en tension les tétons et je dus me faire violence pour ne pas y porter la bouche. Je séchais les 2 globes, en proie à une agitation interne extrême, tout mon être voulait enlacer Catherine, mais je lui avais promis de ne rein faire qui puisse la choquer. Le drap passa sur ses fesses et glissa entre les 2 globes à plusieurs reprise en provoquant une cambrure. Délaissant le bas du ventre, je m’agenouillais et séchait les 2 pieds, remontant sur les jambes et les mollets. Les cuisses se sont écartées et une de mes mains effleura par inadvertance ses lèvres intimes. Elle revint mouillé mais je pris conscience que cette humidité n’était pas due à la douche. La serviette remplaça ma main et essuya avec conscience (dans tous les sens du terme le fruit que m’avais involontairement présenté mon hôtesse sous la douche. Catherine étant sèche, je déposais un petit baiser sur son nez et regagnait le salon pour essayer de calmer ma montée de sève. J’entendis grincer l’armoire de la chambre et quelques minutes plus tard, j’entendis Catherine revenir vers moi. Que devais je faire ? Allait elle refuser de m’accompagner à la Bastide, mon attitude me paraissait encore folle. J’avais peut être tué toutes les chances d’amitiés entre nous. Catherine passa la porte. J’eus le souffle coupé, par la beauté rayonnante de mon hôtesse qui portait une robe en dentelle de coton, aux mailles suffisamment large pour mettre en valeur son corps. Ses seins étaient libres et leur pointe encore turgescente. Un string en dentelle également attirait inévitablement le regard. Par cette tenue, Catherine me montrait clairement qu’elle ne m’en voulait pas ( et c’est peu de le dire !) Elle me sourit :



Nous sortîmes en fermant le portail. Les joueurs de boule firent à ce moment leur partie la plus mauvaise, peut être en raison d’une apparition qui détruisit toute leur concentration au jeu et étais ce le sang qui se retirait de la tête et des bras pour s’accumuler plus bas ? Toujours est il que notre sortie du village fut remarquée. Sans doute ce tableau se retrouva t-il dans les rêves masculins du village.

Après une demi-heure de marche, nous vîmes les peupliers qui bordaient ma propriété. Le portail retombé, Catherine jeta un regard circulaire et puis me regarda :



Je lui pris la main et la guidait vers la maison. Nous y déposâmes nos quelques affaires et nous courûmes vers la piscine qui miroitait en contre bas. Arrivé à la margelle, Catherine enleva sa robe, confirmant un bronzage uniforme et enleva le string sans découvrir de marques blanches. La coquine prenait bien soin de son bronzage. Elle était magnifique. Elle s’approcha du bord et plongea offrant à nouveau à mes yeux la vue d’un abricot bien mûr. Je la rejoignis immédiatement, aussi dévêtus qu’elle.

Le contact de l’eau fraîche était agréable, me permettant de reprendre un peu mes esprits. Je sentais Catherine très réservée, les caresses prodiguées lors de la douche étaient déjà une énorme intrusion dans sa vie. Je ne désirais pas la forcer à accepter ce qu’elle ne voulait pas. Je nageais donc en la suivant et profitant du spectacle qu’elle me proposait en nageant une brasse impeccable. Après une demi-heure d’exercice, nous nous sommes adossés à la margelle pour y battre un peu des pieds.



Elle se rapprocha de moi et vint poser ses lèvres sur les miennes, puis sur mon menton. Je sentis tout mon corps vibrer. Elle descendit vers mon thorax, puis prenant une inspiration plongea et pris mon sexe dans sa bouche. La fraîcheur de l’eau et la discussion avait eu une action rétrécissante sur cette partie de mon individu. Néanmoins, un afflux brutal de sang lui rendit une certaine vigueur. Elle remonta pour reprendre son souffle et replongea encore pour recommencer la fellation. Lors de la remontée suivante, je la pris dans mes bras et l’embrassais longuement !



Elle reprit ma bouche de façon fougueuse cette fois. Sa langue me fouillait littéralement, la mienne rentra dans la danse et notre union buccale devint endiablée. Profitant d’une inspiration qui me libérait la bouche, je la soulevais et l’assit sur la margelle, les 2 jambes pendantes, écartées. Je plaçais ma tête entre ses cuises et mordillant l’intérieur de ses cuisses, je rapprochais ma langue de sa fente. Elle poussa son bassin vers moi et ma langue pénétra dans son antre d’amour. Elle recueillit une goutte de son nectar et se dirigea vers son bouton qui fut lécher, mordillé, aspiré, bref toutes les actions d’excitation y passèrent. Catherine ferma les yeux, un peu de salive coulait de sa bouche. Elle fermait parfois un peu les cuisses comme pour m’encourager. MA langue continuait sont travail, mes dents mordillaient de temps en temps ses petites lèvres. Je ressentis soudain les frissons qui agitaient ma partenaire. Sa liqueur était maintenant plus abondante, elle avait bon goût et me poussait à parfaire mon travail buccal. Je sentis alors les mains de Catherine sur ma tête, comme pour me repousser, elle redescendit dans l’eau pour l’enlacer telle une liane. Mon sexe de bonne taille maintenant se dressait entre nous et devenait plus turgescent lors de chaque pression de nos corps. Catherine me murmura à l’oreille :



Je la soulevais à nouveau pour lui permettre de sorti du bassin. Je sortis à mon tour et repris une serviette pour la sécher. J’y mis la même douceur qu’après la douche, en insistant sur les seins, les fesses et le sexe, provoquant à nouveau un grand frisson chez mon amante.


Nous rentrâmes alors dans la maison, dans la vieille cuisine fraîche et accueillante. Elle fleurait bon L’ail et le romarin que j’avais utilisé le matin pour préparer un civet de lièvre.

Je sortis une bouteille de vin doux du bahut et nous trinquâmes à notre première relation. Nous ne parlions pas, mais nos regards en disaient long sur le désir qui nous habitait. En même temps, nous gardions une retenue, comme pour laisser grandir encore ce désir.

Le crépuscule tombait. Je mis la table, réchauffait le reste de civet. Je préparais quelques olives noires marinées dans l’huile et l’ail. Avec cette préparation elles perdaient leur aspect ridé et devenaient plus douces. Le fumet du civet commençait à chatouiller nos narines. Je réchauffais aussi un reste de ratatouille. Une grosse miche de pain et du saucisson sec de montagne allait étoffer notre dîner. Je sortis du cellier une bouteille de muscadet qui allait nous redonner un peu de cœur à l’ouvrage et nous faire perdre le reste de nos inhibitions. J’installais alors Catherine au salon et rangeais rapidement la cuisine. Je n’aime pas retrouver le lendemain matin au réveil une cuisine en désordre avec le reste des plats froids.

Je pris la bouteille de vieil armagnac et rejoignis Cath. Elle m’attendait.



Je pris Cath par la main et nous montâmes dans la chambre. Je la déshabillais en frôlant chaque fois que je le pouvais son épiderme, provoquant une chair de poule. Elle m’enlevant également mes habits et nous nous sommes couchés côte à côte, nous embrassant comme des fous. Nos corps se sont emmêlé. Je sentais la chaleur du corps de Cath contre le mien, ses seins pressés contre moi. Elle s’allongea sur le dos tout en continuant un baiser. Je me couchais sur elle, elle écarta un peu ses cuisses pour m’accueillir. Mon sexe lentement s’insinua entre ses cuisses, butant parfois contre son périnée et trouvant subitement un passage qui se poussait vers lui, il s’y engagea comme dans un fourreau et commença son travail de va-et-vient, lent, ample, pour faire profiter ma compagne de toute l’impression de contact. Nous restions unis, comme soudés, mon bassin bougeait en sens inverse du sien, réalisant un moment très tendre, intense, de communion absolue, d’interpénétration, de fusion. L’union de nos deux corps nous apportait un tel sentiment de plénitude que nos orgasmes nous ont surpris par leur intensité, leur durée. Il semblait que ce moment divin ne devait jamais cesser. Mes mouvements se ralentirent et nos bouches restaient unies. Je me couchais sur le côté en restant serré contre Cath. Nos pensées, nos sentiments et nos sensations se trouvaient à des années lumière de la Bastide, littéralement désincarnés. Je sentais le corps de Cath, vibrer encore. Je ne sais quand le sommeil nous saisit ni qui s’enfonça le premier dans les bras de Morphée. Cette nuit fut magique, comme peu de nuits le sont, en dehors du temps et loin de tout.