n° 02385 | Fiche technique | 26880 caractères | 26880 4425 Temps de lecture estimé : 18 mn |
10/06/23 corrigé 10/06/23 |
Résumé: Son amie Nathalie lui parle souvent d'une fille avec qui elle a fait connaissance au travail... | ||||
Critères: ffh fbi couplus collègues poilu(e)s douche voir exhib noculotte lingerie hmast intermast fellation cunnilingu fgode fsodo | ||||
Auteur : Philippe |
Mon amie Nathalie me parle très souvent d’une fille avec qui elle a fait connaissance au travail. Apparemment, elle n’est pas restée insensible au charme d’Amélie. Celle-ci vient de rejoindre récemment l’équipe d’hôtesses d’accueil de la grande chaîne hôtelière où Nathalie travaille depuis plusieurs années. Immédiatement, elle a fait sensation…
Comme toujours, le règlement du travail exige qu’une nouvelle arrivée soit épaulée par une collègue expérimentée : d’abord pour l’aider à s’intégrer, ensuite pour contrôler ce qu’elle fait et éviter des éventuelles erreurs ou indélicatesses envers les clients. Nathalie avait donc été chargée de « chaperonner » Amélie. Ce qui ne lui semble pas du tout désagréable puisqu’elle me dit que le contact s’est facilement établi et qu’elles ont immédiatement sympathisé. Depuis plusieurs jours, Nathalie n’arrête donc pas de me raconter en détail chaque soir ces activités avec sa nouvelle collègue et amie.
« Elle est très douée… Elle présente bien et a une classe folle… Qu’est-ce qu’elle est douce et souriante avec les clients… ! Elle est charmante… Elle est très jolie… », Nathalie ne tarit pas d’éloges sur cette Amélie que je deviens de plus en plus curieux de rencontrer…
Il y a quelques jours, au moment de se coucher, Nathalie est encore occupée à me vanter les innombrables mérites et qualités de cette mystérieuse beauté lorsque, n’y tenant plus, je lui pose soudainement la question sous cette forme :
Je dois préciser que ma Nathalie est une maîtresse extraordinaire, car elle est toujours très sensuelle et disponible ! Qui plus est, elle aime autant les femmes que les hommes ; ce qui, dans notre relation de couple libertin, nous a déjà valu quelques mémorables parties à plusieurs…
Parfois cependant, lorsqu’elle ne parvient pas toute seule à conquérir une jolie demoiselle sur laquelle elle a flashé, je lui donne un petit coup de main, car, si la plupart sont bi, certaines restent néanmoins d’abord davantage sensibles au charme d’un homme qu’à celui d’une femme…
Volontairement ou pas, et alors que je l’ai pourtant pressée de mille questions à son sujet, Nathalie s’est bien abstenue de me donner plus de détails sur la plastique de son amie… elle a simplement souligné le « physique parfait » d’Amélie… cela va donc être une (grande) surprise !
Nous avons organisé un petit dîner à la maison. Nous avons choisi un samedi soir pour être tout à fait à l’aise.
Nous avons la nuit devant nous… et encore le lendemain, dimanche, s’il faut ! Nathalie a préparé une belle table, je me suis chargé de choisir les mets les plus fins et les vins les plus luxueux chez le meilleur traiteur de la ville… Pour créer une ambiance propice à la sensualité, nous avons allumé un grand feu de bois dans l’immense cheminée qui domine le salon (nous habitons une vieille bâtisse à la campagne) et fait briller une multitude de bougies pour parfaire l’ambiance romantique de la soirée.
Un seul problème subsiste : comment nous habiller ? Pour moi, c’était facile : pantalon de flanelle noir et chemise de soie blanche, savamment ouverte sur mon torse velu. Un peu macho, mais souvent terriblement séduisant…
Pour Nathalie, le choix est plus difficile : que revêtir parmi sa gigantesque garde-robe ? Pour ne pas laisser deviner d’emblée nos intentions à notre invitée, nous choisissons une petite robe noire « ras du cou » et près du corps. Assez courte (à mi-cuisse), elle est suffisamment suggestive que pour révéler un peu des cuisses de Nathalie à chaque fois qu’elle s’assiéra… mais sans être trop aguichante pour ne pas effrayer Amélie… Il convient de ne pas la faire fuir d’emblée…
Si nous n’avons jamais violé personne, certaines ont cependant été plus longues à convaincre de partager notre couche… Bref, Nathalie doit s’habiller de manière à émoustiller gentiment notre invitée sans pour autant se déguiser en prostituée et aguicher vulgairement Amélie. Sa petite robe met ses jolies formes en valeur ; sexy juste ce qu’il faut ! De fins bas noirs et une petite paire d’escarpins à talons plats pour compléter l’ensemble…
Le grand soir arrive. Nous scrutons avec une folle impatience la grande horloge murale, attendant qu’arrive enfin celle dont nous avions tous les deux si envie… Vingt heures précises. Le carillon retentit enfin, Nathalie se précipite vers la porte d’entrée pour l’accueillir.
Confortablement installé dans le canapé, j’entends mon cœur battre de grands coups tandis que les voix se rapprochent : Nathalie entre aussitôt dans le salon ; directement suivie de notre invitée…
Le choc est terrible…
Amélie est enfin là, debout devant moi. Je ne sais plus quoi dire ni quoi faire tant je suis subjugué par son éclatante beauté… Jolie, elle l’est assurément… et plus encore que nous n’aurions pu l’imaginer… Plutôt grande, elle a un joli minois de Lolita mangé par une longuissime chevelure blond cendré. Parfaitement lisses, ses cheveux lui tombent jusqu’aux reins en une magnifique cascade dorée.
Nathalie pense tout de suite à la débarrasser. D’un geste, elle retire le long imperméable qui nous dissimule le reste : c’est une nouvelle étape de la révélation ! Amélie a passé un simple chemisier blanc, particulièrement transparent, sous lequel un petit soutien à balconnets n’hésite pas à se montrer ostensiblement. Ainsi joliment mise en valeur, sa poitrine – pas très volumineuse, mais en apparences très bien accrochée – est un véritable appel aux caresses les plus hasardeuses… Le chemisier, discrètement déboutonné sur le dessus, laisse d’ailleurs entrevoir son cou sur lequel un joli collier de perles nacrées est délicatement posé.
Amélie semble d’autant plus désirable qu’elle porte aussi une microjupe de daim noir ; si courte qu’elle découvre déjà la lisière de ses bas rehaussés d’une couture à l’arrière de la jambe… Ainsi hissée sur de hauts talons aiguilles, elle nous toise de toute sa hauteur ; tout à fait à l’aise et visiblement très sûre d’elle.
Toujours sous le charme, je me lève d’un bond et lui tends la main en disant :
Elle a un petit sourire narquois et me répond simplement :
Un peu confus de ma maladresse, je la sens se rapprocher très doucement de moi. Et de joindre le geste à la parole, elle dépose sur ma joue un baiser à la fois parfaitement chaste et pourtant déjà très sensuel dans la mesure où elle accompagne celui-ci d’une discrète caresse sur mon épaule et mon bras… Le ton de la soirée est donné.
Nous passons à table. Comme à mon habitude, mon premier geste est de laisser tomber ma serviette afin de pouvoir me baisser pour la ramasser et avoir tout loisir de jeter un furtif coup d’œil sous la table. Amélie, assise à mes côtés, garde les jambes bien fermées et les genoux parfaitement serrés. Une tenue tout à fait discrète et correcte ; comme il se doit.
Nathalie, plus relax, s’est déjà déchaussée et se caresse discrètement d’un pied l’autre jambe… Cette attitude marque les prémices de jeux moins sages… je ne vais pas tarder à le constater.
Les plats se succèdent sans encombre et nous goûtons avec grand plaisir aux excellents vins que le traiteur a sélectionnés pour nous…
Au départ, la conversation n’est pas particulièrement orientée sur l’un ou l’autre sujet. On parle de tout et de rien, Nathalie et Amélie évoquent leur travail, leurs contacts avec les clients, la coquinerie de certains, la muflerie d’autres, la nécessité d’être toujours souriantes, disponibles et aimables… Puis, petit à petit, au fur et à mesure que nous nous laissons gagner par la douce ivresse de divins breuvages que nous buvons, le ton change peu à peu.
Nullement gênée par la tournure que prennent les choses, Amélie donne même l’impression d’être de plus en plus concernée par les sujets « osés » de notre conversation. On devient alors davantage grivois (mais sans jamais être grossier ni vulgaire), on fait référence à des domaines où, l’air de rien, il y a toujours un petit caractère coquin ; voire des allusions plus franchement sexuelles…
Amélie, de plus en plus à l’aise, semble se détendre : un mystérieux éclat de bonheur commence à briller dans ses yeux. C’est à ce moment que je sens un pied venir me frôler la jambe… Lentement, je le sens remonter plus haut avec une totale assurance. La position de Nathalie qui vient de rapprocher sa chaise de la table et de se laisser quelque peu glisser (je comprends que c’est pour m’atteindre avec plus d’aisance…) ne me laisse plus le moindre doute quant à la suite qu’elle souhaite réserver dès ce moment aux événements de la soirée…
Tout à coup, alors que les orteils de Nathalie me massent toujours aussi délicieusement sous la table (et que, sous l’effet de ce délicieux traitement, un début d’érection, je dois bien l’avouer, commence à se manifester dans mon pantalon… !), Les choses deviennent vraiment sérieuses au moment où nous nous mettons à discuter de lingerie féminine.
Nous venons de terminer notre repas lorsque Nathalie me demande à brûle-pourpoint :
Amélie ne perd pas une miette de notre discours et je la sens de plus en plus sensibilisée par sujet abordé.
Simultanément, nos regards chargés, tant d’interrogation que de stupéfaction, se tournent alors vers Amélie.
Que va-t-elle bien pouvoir nous répondre ?!
La réponse ne se fait pas attendre. Avec beau coup de délicatesse, elle recule sa chaise, se lève de la table et nous déclare sans la moindre pudeur :
Ses mains viennent d’agripper le bas de sa jupe qu’elle remonte sans la moindre hésitation jusqu’aux anches, dévoilant ainsi son intimité tant convoitée… Elle a dit vrai, la coquine : elle est nue sous sa jupe !
Le haut de ses cuisses est barré par les élastiques à dentelle de ses bas autoportants, mais, plus haut, c’est en toute impudeur que nous apparaît son pubis à peine recouvert d’un soyeux duvet de fins poils blonds ; sa toison impeccablement taillée formant un triangle parfait !
Elle tourne maintenant lentement sur elle-même pour nous dévoiler par la même occasion ses magnifiques fesses d’une blancheur laiteuse et immaculée… Puis, faisant redescendre sa jupe pour dissimuler à nouveau son sexe, elle reprend doucement la parole en s’approchant de Nathalie :
Sans lui laisser la moindre seconde pour réagir, Amélie se précipite sur Nathalie qui vient elle aussi de se lever, et lui relève la robe pour nous révéler son intimité… Nathalie ne nous a pas menti non plus : une magnifique culotte de dentelle rose ne dissimule absolument rien de son sexe… généreusement offert à nos yeux ébahis, il est révélé par une large fente dans le tissu qui traverse tout l’entrejambe depuis le milieu du pubis jusqu’au haut des fesses.
Contrairement à Amélie qui est blonde comme les blés, Nathalie possède une toison pubienne d’un noir très intense, tout comme ses cheveux. De longs poils noirs envahissent ce triangle magique ; certains s’étendant même jusqu’à la base du nombril alors que d’autres s’échappent par les côtés du sous-vêtement vers l’intérieur des cuisses… C’est vrai qu’elle aurait quand même pu se raser un peu, mais Amélie semble apprécier :
Comme hypnotisée par ce qu’elle découvre, Amélie se met soudain à genoux devant mon amie et enfouit sans plus attendre son visage dans le bas-ventre de ma compagne… Après l’avoir longuement respirée, elle se retire un instant, lève les yeux vers Nathalie et lui susurre :
Nathalie n’en croit pas ses oreilles… Nous découvrons une Amélie bien plus délurée que nous ne l’avions imaginée… La voici qui se plonge à nouveau entre les cuisses de Nathalie. Pour faciliter l’accès de ses trésors à notre saphique compagne, elle s’assied maintenant sur le bord de la table et ouvre les cuisses au maximum : le spectacle est magnifique… Le sexe abondamment poilu de Nathalie apparaît de la manière la plus impudique qui soit : notre invitée y a déjà enfoncé deux doigts pour en écarter les grandes lèvres…
Bientôt, je n’entends plus que deux sortes de bruits bien distincts : les mouvements de la langue d’Amélie et le joyeux clapotis dans le coquillage trempé de Nathalie ; les premiers gémissements de plaisir de celle qui subit ces délicieux attouchements… Il faut bien dire que ce spectacle de deux gouines en chaleur est particulièrement ravissant et aussi très excitant pour l’homme que je suis. Je sens mon sexe qui prend de respectables, mais inquiétantes proportions dans mon pantalon et me dis qu’il serait bien plus agréable de le libérer pour qu’il puisse grandir encore…
Toujours assis à table, c’est donc sans la moindre gêne que je sors mon engin et commence à le caresser délicatement pour lui faire prendre de la vigueur… Cela n’a pas échappé à Amélie qui s’écrie aussitôt :
Pour être plus à l’aise, je propose à mes deux conquêtes de s’installer sur le canapé, face à la grande cheminée.
Je quitte en toute hâte mes vêtements et me retrouve bientôt nu comme un ver. Nathalie se dévêt tout aussi vite et – complètement nue elle aussi – vient se coller contre moi dans le canapé ; sa main droite agrippe mon vit et se met à le masser de plus en plus vigoureusement…
Amélie retire d’abord sa jupe (son mignon petit sexe nous apparaît à nouveau…), déboutonne son chemisier et dégrafe son soutien qui s’ouvre sur le devant : petit spectacle de strip-tease improvisé du meilleur effet… Elle garde pourtant ses bas et ses talons aiguilles et vient s’agenouiller devant moi.
Quelles sensations, les amis… ! Nathalie a l’habitude de me faire de délicieuses fellations (chaque fois que nous faisons l’amour…) et j’apprécie tout particulièrement la douceur avec laquelle elle fait courir le bout de sa langue sur toute la longueur de ma hampe fièrement dressée… J’ai longtemps cru avoir atteint le summum de la satisfaction en ce qui concerne les gâteries buccales, mais je suis finalement loin du compte lorsque notre invitée entre en action. Amélie est plus sensuelle, plus délicate et plus perverse encore : elle saisit avec sa bouche chacun de mes testicules et les gobe délicatement… Mes attributs masculins dans sa bouche, je peux sentir qu’elle les griffe du bout des dents avec une infinie douceur. Lorsqu’elle les relâche, c’est pour laisser vagabonder sa langue plus loin entre mes jambes ; en direction de mon anus ! Je suis aux anges, car cette inénarrable fellation dure plus d’un quart d’heure !
Tour à tour, elles me prennent l’une puis l’autre dans la bouche ou laissent leur langue s’enrouler tels deux serpents autour de ma colonne de chair : ces deux femelles en chaleur s’en donnent à cœur joie et s’embrassent comme deux folles sur mon gland… Je ne sais comment résister à pareil régime et n’hésite d’ailleurs pas à exprimer ma pleine satisfaction :
Une main posée sur la tête de chacune, je suis leur mouvement de va-et-vient sur mon vit et effectue d’amples mouvements du bassin pour mimer une pénétration :
De puissantes et très goulues succions ont maintenant pris le pas sur les doux et tendres baisers… Aussitôt, ce sont quatre mains féminines décidées qui s’occupent avec conviction de mon gros bâton… Celui-ci est désormais tendu au maximum ; atteignant des dimensions rarement atteintes jusque-là !
Ce sont deux véritables spécialistes « de pipes », car elles sont à la fois si douces et si toniques que je ne tarde pas à être au bord de l’extase… Voulant sans doute me faire éclater au plus vite, Amélie me titille maintenant l’anus d’un doigt inquisiteur alors que Nathalie s’acharne désormais à sucer consciencieusement mon gland… Cette double vénération de mon intimité a pour effet que, dans un moment de faiblesse, je me laisse lamentablement aller et, sans prévenir, éjacule avec une incroyable intensité… Trois, quatre longues saccades de liquide séminal chaud et bouillonnant giclent soudainement de mon braquemart !
Elles se précipitent pour en saisir les dernières gouttes… leurs mains en sont d’ailleurs toutes barbouillées !
Les donzelles recommencent à s’embrasser et se caresser…
En simple spectateur, j’assiste, désormais passif, au début de nouveaux ébats saphiques… Les deux filles viennent de se glisser mollement sur le canapé. Immédiatement, elles s’inversent pour prendre chacune possession de l’entrejambe de l’autre. Le spectacle est splendide.
Bientôt, je ne distingue plus les deux visages profondément enfouis dans l’intimité de leur partenaire… Ma Nathalie souffle déjà très fort et écarte les jambes de manière particulièrement odieuse… Amélie, semble plus heureuse que jamais : je vois qu’elle en veut encore davantage.
Nathalie sait maintenant que nous avons invité une belle coquine, une grosse cochonne ; une véritable salope…
Laissée seule un instant, celle-ci se tortille de plaisir en continuant à se doigter généreusement la fente et en gémissant bruyamment… en voilà une qui a vraiment le feu au cul ! Moi, j’ai une idée précise de ce que Nathalie est partie chercher… De mon côté, j’ai recommencé à me masturber et présente à nouveau une belle érection qui annonce de solides pénétrations…
Nathalie revient aussitôt avec un splendide gode (pas moins de trente centimètres de long pour une circonférence plus que respectable !)… elle le brandit en l’agitant fièrement et claironne :
On dirait qu’à la vue de ce terrible engin (il faut préciser que j’ai ramené cet olisbos en latex d’un voyage d’affaires en Asie où on trouve, il est vrai, des accessoires de taille tout à fait inimaginable chez nous !) Amélie a visiblement très envie de se faire embrocher par le volumineux joujou de plastique, car la voilà déjà qui bondit du sofa pour s’allonger sur l’épaisse moquette de laine ; devant le feu ouvert. Immédiatement, elle se met à quatre pattes – telle une chienne en attente –, écarte généreusement les cuisses et relève fièrement la croupe en disant :
Comme dans une figure de style qui aurait été répétée cent fois, Nathalie s’installe derrière Amélie et présente le gode à l’entrée de la caverne d’amour de notre amie pour la prendre en levrette.
Cela n’a, effectivement, pas l’air d’inquiéter Amélie qui grogne de plus en plus de plaisir au fur et à mesure que l’effrayant mandrin s’enfonce au plus profond de ses chairs intimes… Je suis moi-même assez stupéfait de découvrir à quel point elle est large et peut accueillir d’aussi gros ustensiles… mais je n’ai pas le temps de laisser mon imagination vagabonder davantage que je me rends compte avec effarement que le gode est maintenant introduit jusqu’à la garde entre les jambes d’Amélie… alors que Nathalie, elle, n’était jamais parvenue à se le rentrer plus qu’à moitié !
Amélie remue le postérieur comme une vraie possédée… Elle pousse maintenant de forts grognements qui annoncent une jouissance prochaine. D’autant plus que Nathalie ne se prive pas pour manipuler en tous sens la diabolique bite de caoutchouc…
Définitivement emportée par les sensations érotiques qui lui vrillent les entrailles et la font se démener de l’arrière-train, Amélie se tord de plaisir sous les délicieuses manipulations de Nathalie. Celle-ci voyant que je suis à nouveau complètement opérationnel m’invite à venir la rejoindre :
De fait, je prends sans plus attendre la place qu’occupait Nathalie jusqu’à présent. Bien placé derrière Amélie, je dirige mon vit parfaitement tendu vers son entrejambe dont l’entrée est totalement distendue par l’intromission du gode…
Sans me faire prier davantage, je laisse glisser mon gland plus haut, parcours sa raie fessière et, arrivé à hauteur de son anus, laisse ma bite en arrêt un court instant à l’entrée de son étroit couloir arrière pour soudainement, sans le moindre avertissement, forcer l’entrée de son petit orifice froncé et m’introduire au plus profond de son cul.
Quel délice ! Je sens, à travers la fine membrane qui sépare ses conduits, les nervures du gros calibre de plastique qui lui obstrue le con… Par de longs et voluptueux coups de boutoir, je me mets à la pistonner de plus belle. Le résultat est immédiat et fulgurant : je la sens tressaillir de plaisir ; donnant de grands mouvements de bassin et de fesses en ma direction ; comme pour mieux recevoir les deux sexes qui la défoncent…
Amélie va bientôt s’abandonner à son plaisir et se laisser aller à un incroyable orgasme ; Nathalie l’a bien compris en venant se glisser sous le corps de notre invitée… Ainsi, Nathalie est à même le tapis, dos contre le sol, présentant son sexe béant à Amélie qui y enfouit tout son visage… Celle-ci, toujours à quatre pattes, bénéficie de la bouche gourmande de mon amie qui lui lèche abondamment le sexe encombré du gode et pousse même le bout de sa langue à la rencontre de ma trique chaque fois que celle-ci sort un tant soit peu du fondement d’Amélie.
Notre invitée ne peut alors résister plus longtemps à un aussi excellent traitement : dans un dernier soubresaut, elle se tend comme pour un ultime effort et se laisse aller à jouir puissamment, interminablement.
Criant de toutes ses forces :
Elle se répand en se soulageant d’une impressionnante coulée de cyprine qui semble sourdre du gode pour suinter de son sexe et dégouliner abondamment à l’intérieur de ses cuisses.
Nathalie se précipite pour recueillir et se délecter des sécrétions de notre invitée. À la vue de pareil spectacle, je me laisse-moi aussi aller et déverse avec grand plaisir une vague de sperme écumant tout au fond d’Amélie… cette belle garce en a vraiment plein le cul !
Tous les trois, nous restons quelques longues minutes immobiles et enchevêtrés telles des marionnettes désarticulées… La nuit ne s’arrête pourtant pas là ; Amélie est la première à sortir de la douce torpeur qui succède à la jouissance et s’arrache au sommeil presque comateux dans lequel nous allions bientôt nous enfoncer…
Faisant un grand « oui » de la tête, Nathalie, toujours entièrement nue, se dirige vers la salle de bains où elle nous fait signe de la rejoindre aussitôt afin de « se faire de gros câlins sous la douche », comme elle se plaît à l’annoncer avec beaucoup de sensualité.
Quelques minutes plus tard, je rejoins les deux excitées alors qu’elles sont à nouveau occupées à se caresser partout à grands coups d’eau savonneuse. Je sais alors que la nuit sera longue…
Franchement, Nathalie n’avait pas exagéré : elle est vraiment super, l’amie de mon amie…