n° 02441 | Fiche technique | 25449 caractères | 25449 4431 Temps de lecture estimé : 15 mn |
30/01/23 corrigé 30/01/23 |
Résumé: Dans le premier récit de cette histoire, la jeune épouse possédait son mari dans une soirée sm... Et c’était à son tour maintenant de prendre sa revanche... | ||||
Critères: ffh fbi couplus hotel hdomine fellation pénétratio sm attache fouetfesse piquepince | ||||
Auteur : Joy |
Épisode précédent | Série : Il était là Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Ils se préparèrent tous les deux à passer une nuit reposante, couchés dans les bras l’un de l’autre.
Mercredi matin, 9 h 30, il était à lire son courrier quand une missive attira son attention. Il prit le temps de bien l’ouvrir avec son ouvre-papier pour ne pas abîmer le mot.
Ce samedi, tu devras te rendre à l’hôtel Altitude vers 20 h et demander la clef de la suite 203.
</blockquote>Que ces mots ! Il se doutait bien que ça devait venir de son épouse et un petit sourire se fit voir sur son visage. Il ignorait pourtant tout de ce qui devait se passer ce soir-là. Serait-elle seule ? Accompagnée? À quoi pouvait-il s’attendre ? Il n’en savait rien et cela en rajoutait au plaisir ! Il travailla toute la journée avec ce mot en tête en se faisant des idées sur la soirée et se surprit à en bander, alors, sans hésiter, il se leva et verrouilla la porte. Il se dirigea vers son canapé et s’étendit. Il ferma les yeux et en se faisant une image de ce qu’il pouvait voir des scènes de la soirée, il se masturba doucement. Il aimait imaginer sa femme lui faisant l’amour de différentes façons dans diverses scènes. Quand il eut éjaculé, il reprit ses sens et se prépara à retourner à la maison.
Il s’approcha par-derrière et lui donna un tendre baiser dans le cou en lui demandant si elle avait passé une bonne journée.
Elle portait une très courte jupe marine et un chemisier blanc. Elle ressemblait à une écolière.
Il se dirigea vers la cuisine et sortit deux coupes qu’il remplit d’un bon vin fruité. Il les porta au bureau et prit place près de sa femme qu’il aimait regarder travailler. Elle avait défait ses cheveux de ses pinces et ils ondulaient sur ses épaules. Son chemisier n’était attaché que par deux ou trois boutons et elle avait retiré ses bas. Elle était si séduisante et sexy. Ils trinquèrent tous les deux à leur journée et prirent une gorgée de ce bon vin. Il déposa sa coupe et doucement sans brusquer ses gestes, il s’accroupit sur le sol, devant elle, entre ses jambes. Un doux spectacle s’offrit à ses yeux. Elle avait des jambes superbes et dans un geste d’hypocrisie féminine, elle les étendit de chaque côté de lui pour s’étirer. Il aperçut du coup la petite chatte dénudée de sa femme.
Il commença par la caresser le long de ses jambes. Elle émit un petit gémissement. Elle essaya de travailler en faisant semblant de se concentrer. Aucun mot n’était dit. Elle reprit un peu de vin et se détendit aux caresses de son mari. Il lui écarta doucement les jambes et déposa les pieds de son épouse sur des bouquins qui traînaient sous le bureau. De cette façon, il pouvait très bien voir cette chatte déjà mouillée par le plaisir qu’il lui procurait avec cette petite audace. Il avança l’index et entreprit d’en dessiner le contour. Il pouvait entendre son épouse lui signifier par de petits cris qu’elle adorait ce petit intermède. Elle se détendit encore plus, déposa sa tête contre le dossier de sa chaise et se laissa faire avec grand plaisir.
Un jour, en lui faisant l’amour, il lui avait demandé si elle voulait se raser complètement, et c’est cette chatte nue qu’il caressait en ce moment. Il déposa son index sur l’ouverture grande ouverte des lèvres et fit descendre doucement son doigt en le faisant glisser dans la chatte déjà très mouillée. Il le fit descendre jusqu’à l’anus tout excité de son amante. Elle s’écarta encore plus. Elle frissonnait et de petits tremblements secouèrent ses jambes. Il remonta son doigt et le fit rentrer à l’intérieur de la petite chatte si invitante. Elle se poussa sur ce doigt avec désir. Ses fesses sur le bout de la chaise, il découvrait ainsi encore plus son petit postérieur. Il prit sa seconde main et, avec le bout de son index, caressa l’anus qui s’offrit à lui tout en continuant à la pénétrer de l’autre. Elle ne pouvait plus se retenir et laissa échapper un cri de plaisir. Il remonta son doigt près de l’autre et le mouilla pour le redescendre et l’introduire doucement en elle. Il faisait des gestes de va-et-vient de ses deux mains. Doucement, sans se presser. Il avait amplement le temps de bien prendre soin d’elle. D’une seule main, elle défit les quelques boutons de son chemisier et caressa ses seins au travers du soutien-gorge. Elle avait les pointes de ses mamelons très dures. Elle les pinçait, les tirait entre ses doigts. Sans détacher son soutien-gorge, elle fit sortir ses seins et continua à les caresser pendant que son mari la pénétrait de ses doigts.
Quel spectacle lui offrait-elle ! Elle était si sensuelle et elle n’hésitait jamais à rentrer dans ses fantasmes. Il retira ses mains d’elle et recommença à jouer du doigt sur la chatte maintenant inondée. Il savait comment s’y prendre pour la rendre dingue ! Elle lui crierait son impatience et il en sourirait. Il dirigea son doigt sur son petit clito et en fit le tour en de petits cercles précis. Il était gonflé et en redemandait. Il le savait gourmand de ses caresses. Il sentit au plaisir de son épouse qu’il n’était pas très loin de la faire jouir et arrêta son geste. Faire durer le plaisir ! Ne pas la faire jouir trop rapidement ! Il refit glisser son doigt en elle et déposa un baiser sur le clito déjà tout excité. Elle hurlait son plaisir tout en étirant la langue pour goûter la pointe de ses seins. Elle voulait les mordiller entre ses dents pour accentuer son désir et celui de son mari. Elle le regardait droit dans les yeux pour lui faire comprendre qu’elle adorait ce qu’elle faisait. Il était fou de ce qu’elle lui faisait subir, mais c’est à elle qu’il devait penser. Il se concentra donc sur cette petite chatte en y déposant sa bouche pour y faire jouer sa langue.
Il la buvait goutte à goutte. Il en salivait et ne se gênait pas pour en redemander. Il fit glisser de nouveau ses doigts en elle. La prendre de partout tout en suçant le clitoris de ses lèvres. Des tremblements plus intenses parcoururent tout le corps de la jeune femme. Il accéléra ses doigts en des gestes précis. Il fit glisser trois de ses doigts dans la chatte chaude, très chaude de la jeune femme et continua de la pénétrer ainsi. Il fit tourner le bout de sa langue de plus en plus rapidement. Il allait enfin la faire jouir. Il l’entendait aux gémissements de sa belle. Il la délivra enfin d’une jouissance si désirée. Elle tremblait, elle était à bout. Il lui donna un tendre baiser en faisant de nouveau glisser sa langue entre les lèvres de cette chatte si nue. Un dernier soubresaut parcourut le corps de la jeune femme. Elle se releva doucement et laissa son mari sortir du dessous du bureau. Il l’embrassa tendrement pour lui faire goûter sa mouille et elle s’en délecta. Ils reprirent du vin et se reposèrent tranquillement tous les deux. Après quelques moments, toujours dans le silence, il lui prit la main et ils se dirigèrent à la cuisine où un bon repas les attendait.
Ils continuèrent cette conversation pendant tout le repas. Ils aimaient bien se retrouver l’un avec l’autre à la fin de leur journée. Ils étaient si bien, au chaud, dans leur petit nid. Au cours de la conversation, elle dit qu’elle sortirait avec Marie ce samedi suivant. Il souriait en se demandant ce qu’elle pourrait bien inventer pour lui dire qu’elle passerait la soirée à l’extérieur. Elle savait aussi qu’ils jouaient un autre jeu, mais elle inventerait quand même quelque chose que pour la forme.
Ils éclatèrent tous les deux dans un rire qui en disait long sur leur connivence. Ils débarrassèrent la table et firent la vaisselle dans une joie commune. Ils passèrent la soirée à regarder la télé et lire les quelques revues qu’ils avaient à leur disposition. Ils ne reparlèrent pas de la soirée de samedi. Vers 23 h, ils partirent prendre leur douche et allèrent droit au lit. Elle avait maintenant le goût de lui. Il était sur le dos et elle parcourait son corps de baisers en jouant de sa langue aux endroits sensibles de son époux. Il jouait dans les cheveux de sa femme en lui disant des mots tendres. Il l’aimait à la folie et il la désirait toujours et encore plus qu’aux premiers moments. Elle s’attardait partout où elle en avait envie et avec un réel plaisir. Elle se fit glisser sur la jambe droite de son mari pour lui faire sentir sa petite chatte. Elle se masturbait ainsi, très doucement, pendant qu’elle l’engloutit en elle. Elle se masturbait sur sa jambe tout en dégustant sa bite d’une bouche avide d’elle. Il était dur, avait envie d’elle comme un fou, mais se laissait ainsi prendre. Sa bouche était si savante sur lui. Ses lèvres d’une tendresse infinie, sa bouche chaude et bien serrée sur sa queue. Elle le dévorait avec goût. Le gland entre ses lèvres, elle léchait les quelques gouttes qui en sortaient. Elle fit glisser sa bouche et sa langue sur cette queue et continuait à se frotter à lui. Il avait pris possession de ses seins et les caressait entre ses doigts. Il fermait les yeux de plaisir. Elle se releva doucement et se fit glisser sur cette queue toute tendue. Elle lui faisait dos et se coucha ainsi prise sur lui. Elle prit les mains de son mari dans les siennes et caressa son corps avec leurs quatre mains. Il faisait une douce pénétration en la masturbant de leurs doigts entremêlés. Il la mordait doucement dans son cou tout en le laissant entendre ses gémissements. Ils éjaculèrent tous les deux au rythme de leurs cris. Il l’entoura de ses bras en lui murmurant des mots d’amour.
Ils dormirent tous les deux d’un sommeil réparateur. La semaine se passa presque sans histoire et la journée fatidique du samedi arriva enfin.
Il était déjà excité, à son lever, de ce que l’attendait. La journée se passa avec une infinie lenteur. On aurait dit un jour sans fin. Il errait dans la maison comme un lion en cage. Elle souriait de son impatience. Vers la fin de la journée, elle lui dit qu’elle allait le quitter pour sa soirée. Bon Dieu qu’il avait hâte d’y être aussi ! Il ne savait plus cacher son impatience. Elle lui donna un baiser tout en lui souhaitant de passer une bonne soirée tout en sachant que la sienne serait excellente. N’en était-elle pas l’instigatrice ? L’heure arriva enfin pour lui. Il prit une douche et s’habilla à la hâte. Il monta dans la voiture et se dirigea vers l’hôtel. À la réception, il demanda la clef et on la lui remit avec une petite note.
Mon Dieu !!! Il pouvait s’attendre à n’importe quoi. Il se dirigea vers les escaliers et les monta le plus vite qu’il le pût. Il arriva enfin devant la porte de la chambre et prit le temps de reprendre son souffle avant d’entrer. Après quelques secondes, il ouvrit et se faufila à l’intérieur. Son cœur faillit ne faire qu’un bond. Le spectacle qui s’offrit à lui, lui coupa le souffle. En plein milieu de la pièce, attachée, par les poignets entourés de bracelets de cuir à des chaînes reliées au plafond et par les chevilles, jambes écartées au maximum, une jeune femme était là. Elle avait la tête recouverte d’une cagoule sans ouvertures, mais munie d’une fermeture éclair pour la bouche. Un collier de cuir entourait son cou et une chaîne y était reliée. Elle avait le corps entrecoupé de chaînes et de cuir et des bottes aux talons si hauts, qu’il se demandait si elle tiendrait debout longtemps. Elle avait les cheveux blonds et très longs sur le dos. Il la contemplait. Il ne pouvait dériver ses yeux de ce spectacle qui s’offrait à lui. Après quelques moments, il regarda vers le lit pour apercevoir une autre femme, la sienne, tout aussi attachée et tout aussi encline à subir le même sort que la blonde. Ce fut alors qu’il se dit que la jeune femme attachée ne pouvait être là que par consentement, car sa femme n’aurait jamais accepté d’y être autrement, elle devait être une de ses amies d’ailleurs. Il était si bandé qu’il en avait mal à la retenir dans son pantalon. Il fit mine de faire quelques pas, quand d’une autre pièce, un homme se dirigea vers la blonde. Un homme musclé, noir, grand, vêtu de cuir aussi. Il avait la tête rasée, d’ailleurs tout le corps l’était aussi. De la sueur perlait sur son corps, ce qui laissait peut-être deviner qu’ils avaient pu commencer sans lui, ou qu’il avait peut-être pris son pied en les regardant toutes les deux et en se masturbant devant elles. Elles étaient ses esclaves et il laissa deviner au mari qu’il en ferait ce qu’il voudrait. C’était incroyable comme cette vue lui donnait le goût d’une érection violente. Le bourreau s’approcha de lui et lui dit à l’oreille :
À ces mots, le maître se pencha, défia le pantalon, et sortit la queue toute tendue qu’il s’empressa d’engloutir. L’époux avait toujours fantasmé sur la fellation faite par un homme et il en était drôlement servi. L’homme y allait avec tellement de vigueur qu’il éjacula en moins de temps qu’il n’en fallait pour dire ouffff.
Il était incapable de dire un mot. Il en avait le souffle coupé.
Le bourreau se dirigea ensuite vers la blonde au milieu de la pièce. Il prit la chaîne reliée au collier de cuir et lui fit reculer la tête en lui demandant qui il était.
Bien, mais je crois quand même que tu te fous de moi !
À ces mots, il tira de plus belle sur la chaîne et elle cria qu’il lui faisait mal. Aux cris de la belle, il tira davantage, elle avait maintenant la tête complètement renversée. Elle s’agrippait du mieux qu’elle pouvait sur les chaînes de ses poignets. Elle chancelait sur ses talons. Il passa une main gantée sur le bout d’un de ses seins et tira la pointe sans ménagement. Il rigolait aux cris de douleur étouffés qu’il entendait. Il continuait à retenir la tête de la fille tout en passant devant elle. Il ouvrit la bouche et mordit la pointe de ses seins. Il tira, mordit à la faire hurler.
Et il la mordit encore plus. Il tirait maintenant sur sa tête pour la faire reculer davantage en maintenant ses seins entre ses dents. Il ouvrit la fermeture quelques instants pour l’entendre crier. Il jouissait. Il regarda l’homme assis au fond de la pièce et lui fit un sourire.
Il comprit alors que sa femme lui était destinée. Putain !!! Bien sûr qu’il la voulait. Il ne voulait que ça d’ailleurs. Il comprit que sa femme venait de lui rendre l’occasion de faire d’elle ce qu’elle avait fait de lui, la nuit où il l’avait choisi sur le trottoir. Il éjacula à cette idée. Il voyait sa femme attendre sur le lit, la chatte bien mouillée. Il était certain qu’elle jouissait d’entendre l’autre fille hurler des sévices du bourreau. Le mari se leva et se dirigea vers la jeune femme attachée dans le lit. Il prit le fouet et la caressa avec les fines lanières. Elle eut un frisson instantané et feignit de protester. Elle avait confiance en lui, mais avait une petite peur qui la rendait très vulnérable. Elle savait aussi qu’il apprécierait de se venger doucement. Il continua à la caresser avec les lanières en lui demandant si elle avait peur.
À ces mots, il devint menaçant et, d’un seul coup de fouet bien placé, lui infligea son premier coup. Le cri resta au fond de sa gorge et il continua de lui en infliger de plus en plus précis. Il atteignit sa poitrine qui se souleva suite aux coups.
Il continua à la caresser avec le fouet et, d’une main, lui pinça les seins. Il tournait les pointes entre ses doigts et les tira. Il avait une grande envie d’éjaculer sur sa petite femme et ouvrit la fermeture éclair. Il se mit à quatre pattes sur sa poitrine et lui força la bouche pour se faire entrer en elle. L’excitation était à son extrême, il divaguait de se voir disparaître à l’intérieur de sa bouche sans voir le reste de son visage. Il ne fallut que très peu de temps à la jeune femme pour le faire jouir. Le sperme coula en elle qu’elle s’empressa d’avaler. Il se releva et recommença à la frapper.
Elle cria sa douleur et il en était excité. Il arrêta et se tourna vers les autres participants de la pièce et ce qu’il vit lui infligea une sacrée érection. Le bourreau était là, derrière elle, et enfonçait le manche du fouet dans l’anus de la belle. Elle était à bout de force et avait la tête penchée vers l’avant. Elle grondait, toujours cachée sous ce casque de cuir. Il n’y allait pas de main morte. Il l’enfonçait encore plus à chaque poussée. Il la retenait d’une main pour pouvoir la garder en place. On pouvait la voir mouiller de ce qu’il lui infligeait. Il fit glisser sa main sur la chatte de la femme et lui masturba le clitoris presque avec violence tout en la pénétrant encore plus profondément. Elle hurlait de plaisir, mais ses cris étaient toujours étouffés. Elle ne tenait plus sur ses jambes. À ce spectacle, le mari se leva et alla vers eux. Il se mit devant elle et mordit à pleine bouche la pointe si dure de ses seins. Les deux hommes s’acharnaient maintenant sur elle. Le mari prit la chaîne reliée au collier et la tira par-derrière en lui disant qu’elle avait de la chance d’être tombée sur eux. Il redescendit sur sa poitrine et la mordit de plus belle. Il délivra la bouche de la jeune femme en ouvrant la fermeture. Le bourreau étendit la main vers la queue dure du mari et entreprit de le masturber tout en ne laissant aucune chance à la jeune femme de reprendre son souffle. Il fut surpris de ce geste, mais ne recula pas. Il était concentré sur elle et ne bougea pas. Le bourreau tira sur la queue doucement pour l’approcher du clito de la jeune femme et la poussa sur ce dernier. Il retira le fouet du cul de la belle, détacha les chevilles de la blonde et planta en elle sa propre queue tout en la poussant sur celle du mari. Il lui releva les jambes pour pouvoir permettre au mari de s’enfoncer dans son vagin trempé par leurs gestes. Il plaça ses mains sur les hanches de l’esclave et lui fit faire un va-et-vient presque brusque. Il demanda au mari de ne pas cesser de la mordre. Elle haletait, elle jouissait d’eux. Ils la balancèrent sur eux jusqu’à l’éjaculation. Ils jouirent, tous les trois avec violence. Elle était parcourue de spasmes et de tremblements incontrôlables. La sueur perlait sur leurs corps. Ils étaient épuisés. Ils détachèrent la belle et elle tomba sur le sol. Ils la laissaient ainsi reprendre ses sens et se retournèrent vers la tendre épouse.
Elle aussi, jambes écartées, mouillait abondamment, et ils admiraient le spectacle. Le bourreau, avec l’aide du mari, souleva la femme et se glissa sous elle. Il la pénétra sans avertissement directement dans son petit cul… Il fit signe à son mari de la prendre par-devant, ce qu’il fit sans hésiter. Il poussa de toutes ses forces pour la prendre aussi profondément que ce fut possible. Elle était si mouillée, si chaude, que ce ne fut pas si difficile que cela. Elle le serait en lui et il sentait la queue de l’autre sur la sienne. Le bourreau lui tenait les mains, donnait des mouvements forts et brusques. Il donna l’ordre à la jeune femme étendue sur le sol de venir les rejoindre. Il la fit asseoir sur l’ouverture de la cagoule pour que la langue de la jeune femme puisse la lécher. Le mari s’attarda sur les seins de la jeune femme à chaque poussée. On pouvait les entendre crier de plaisir. Le bourreau donnait la cadence. Il mordait le cou de la jeune épouse pour la faire crier sur la chatte de la jeune femme assise sur sa bouche.
Dans un cri commun, ils éjaculèrent tous ensemble et s’étendirent pour reprendre leurs forces. Après quelques minutes à reprendre leurs esprits, ils détachèrent la jeune femme encore prisonnière de ses liens et retirèrent les deux cagoules qui couvraient encore la tête des deux jeunes femmes.
Les deux jeunes femmes pouffèrent de rire.
Ils prirent une douche réparatrice et sortirent tous les trois.
Ils rigolèrent alors encore une fois tous en cœur de leur sacrée gourmandise.