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n° 02492Fiche technique14496 caractères14496
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Temps de lecture estimé : 10 mn
26/07/23
corrigé 26/07/23
Résumé:  Son compagnon a promis à Barbara une grande soirée au restaurant...
Critères:  fhh couplus extraoffre intermast fellation cunnilingu pénétratio sandwich fdanus
Auteur : Philippe      
Soirée surprise



« Une grande soirée au restaurant » m’a promis Patrick. Je dois être toute en beauté, car je serais très surprise, paraît-il… J’ai donc revêtu pour l’occasion une splendide robe de soirée vert émeraude, couleur en parfaite harmonie avec ma longue chevelure noire de jais. Un décolleté profond dégage et met avantageusement en valeur mes beaux seins lourds dont les bouts pointent déjà impudiquement à travers la fine étoffe de soie… Mon dos et également dénudé par une large échancrure et mes jambes subtilement révélées par une impressionnante fente qui cisaille la robe sur toute sa hauteur jusqu’aux hanches ! J’ai pour seul sous-vêtement un minuscule string de dentelle parfaitement invisible sous cette tenue pourtant particulièrement suggestive.


Alors que j’enfile mes escarpins en m’admirant devant le grand miroir en pieds de l’entrée, je sens Patrick qui vient se glisser derrière moi, ses mains s’égarant déjà sur mes fesses…



Patrick s’accroupit devant moi. D’un geste expert et décidé, il passe ses mains sous ma robe, attrape mon string par les côtés et le descend rapidement en le faisant glisser jusqu’à mes pieds !



Il enfouit le petit accessoire de dentelle dans la poche poitrine de son costume, comme s’il s’agissait d’une pochette décorative… Plutôt surprise, je voudrais protester, l’interroger au moins sur la raison de cette manœuvre, mais il dépose immédiatement sur mes lèvres un baiser chaud et chaleureux puis me dit simplement :



Après un court trajet en voiture, nous arrivons au restaurant, un des plus chics de la ville. Patrick n’a pas lésiné sur les moyens pour me surprendre ce soir… Lui aussi est splendide dans son smoking flambant neuf, il va falloir que je le tienne à l’œil sinon il risque encore de séduire bien des jeunes filles… déjà que toutes les serveuses sont folles de lui !


Notre entrée est triomphale, j’ai le sentiment que tous les regards sont braqués sur moi : je sens des yeux admiratifs et envieux qui me regardent marcher, détaillent mes seins et fixent même mon intimité, comme si les gens pouvaient deviner que je ne porte rien sous ma robe… J’avoue en ressentir une certaine excitation qui se traduit déjà par un début d’humidité au creux de mes cuisses… Le repas se déroule à merveille. Sur les conseils de Patrick qui m’affirme ne pas vouloir regarder à la dépense ce soir, je me plais à choisir les mets les plus délicats et à commander les plats les plus onéreux de la carte : c’est un véritable régal !

Sans bien m’en rendre compte, je n’arrête pas de boire une seule minute : champagne comme apéritif, vins fins et pousse-café réconfortant, une douce et joyeuse ivresse m’envahit maintenant en cette fin de soirée…


D’un geste discret, Patrick demande l’addition que le maître d’hôtel nous apporte aussitôt dans un petit coffret d’argent. Il l’ouvre, mais, bizarrement, celui-ci ne contient aucun papier ! Déjà étonnée, je m’attends à voir Patrick sortir non sans fierté sa carte « Visa Gold » ou son « American Express », mais il n’en fait rien et s’approche de mon oreille pour m’y susurrer :



Je le vois alors retirer discrètement de sa poche ma petite culotte confisquée avant notre départ et la déposer dans le coffret destiné à recevoir le paiement du repas… Le maître d’hôtel vient s’en emparer aussitôt et, considérant le contenu du coffret, acquiesce d’un mouvement de tête et nous dit avec respect :




Patrick se lève d’un bond pour le suivre et me fait signe de lui emboîter le pas… J’avoue ne plus trop comprendre ce qui se passe : nous n’avons pas payé la note et on nous invite maintenant dans le bureau du propriétaire des lieux… Patrick, lui, ne semble pas le moins du monde surpris ou accablé, il paraît même avoir beaucoup mieux supporté l’alcool que moi, ma tête tourne et mes jambes me donnent l’impression de ne plus vouloir me porter au point qu’il doit me soutenir en me prenant le bras…



Nous le suivons donc au travers des couloirs et escaliers qui mènent aux étages. Le maître d’hôtel, qui nous a précédés jusqu’ici, frappe un coup bref à la porte, nous annonce, remet le coffret à notre hôte puis nous fait entrer en s’effaçant discrètement. Nous entendons qu’il referme soigneusement la porte derrière nous.


Ce salon est encore plus luxueux que la salle du restaurant elle-même : mobilier de style en acajou, somptueux tapis d’Orient, tableaux de maîtres aux murs, profonds fauteuils club anglais en cuir rouge… la grande classe !

Un homme très élégant – en parfaite harmonie avec les lieux –, la quarantaine grisonnante, nous accueille chaleureusement en me faisant tout d’abord un respectueux baisemain particulièrement stylé puis, en congratulant chaleureusement Patrick :



C’est bête, mais je ressens soudainement une gêne incontrôlable : nue sous ma robe – cela doit forcément se voir ! –, un peu grisée par tout ce que j’ai bu ce soir et maintenant détaillée par cet inconnu qui vient d’ouvrir le coffret et en a retiré ma culotte avant de me regarder avec telle insistance que j’aie vraiment le sentiment qu’il m’inspecte de la tête aux pieds…



Je suis abasourdie et ne sais que répondre, mais, sans me laisser le temps de réagir, Patrick s’est glissé derrière moi et se met à me caresser le dos sensuellement. Très vite, d’un mouvement sûr et habile, il écarte les bretelles de ma robe vers l’extérieur de mes épaules, ce qui a pour effet de faire tomber mon seul vêtement à mes pieds : me voici entièrement nue, exhibée et offerte aux yeux de notre hôte… Celui-ci ne peut réprimer un « oh ! » admiratif et confirme aussitôt :



De joindre le geste à la parole, François a déjà déboutonné sa braguette et sort son pénis qui commence à être en franche érection… Il tient solidement en main ce mât de chair et le présente à ma bouche en disant :




Alors que j’aurais dû crier à l’aide, refuser, me débattre ou bien même fuir, je suis irrémédiablement attirée par cet homme ô combien séduisant et présentant un sexe avec de belles proportions… je ne peux donc m’empêcher de m’approcher de lui, de m’accroupir, et de porter à ma bouche son vit turgescent… il a bon goût ! Délicatement, je décalotte son gland et, tel un œuf fragile dont je lécherais avec précaution la coquille, j’engloutis entre mes lèvres gourmandes la grosse boule de chair… le ravissement de satisfaction se lit immédiatement sur le visage de mon amant.


Durant plusieurs minutes, je m’applique à le sucer du mieux que je peux, allant de la pointe du gland que j’enroule sous ma langue à la base du vit que je mordille, couvrant de salive l’entièreté de cette colonne vibrante en dessous de laquelle pendent les testicules que je me plais à gober tout aussi délicatement…

Sous l’effet de mes caresses, son sexe prend encore de plus respectables proportions tant et si bien que je le sens proche d’exploser dans ma bouche… Avec beaucoup de délicatesse, il me repousse la tête en disant doucement :



Je n’en crois pas mes oreilles ! Alors que dans mes fantasmes les plus vils, j’avais rêvé de me faire violer sur un parking par un voyou m’invectivant des mots les plus crus, je me retrouve ici sous le charme d’un être particulièrement raffiné et, de surcroît, d’une totale prévenance… Comment lui refuser pareille demande si élégamment formulée ?



Pour lui faciliter les choses, je pris aussitôt place sur le moelleux canapé de cuir rouge en présentant à François ma croupe bien rebondie et en écartant tout naturellement les cuisses pour lui donner une vue imprenable sur mon intimité… Plutôt que de me bondir dessus comme l’aurait fait un chien prêt à couvrir une chienne, François prit le temps de se dénuder, de me caresser très efficacement (en insistant surtout sur mes seins dont il prit un malin plaisir à tirer les bouts…) puis, ses mains se posèrent sur mes fesses et mes cuisses avant de venir s’immiscer à l’entrée de mon vagin… Il me massa de manière divine, électrisant les zones les plus érogènes de mon corps, maintenant parcouru par d’intenses frissons de plaisir…

À son tour, alors que j’étais toujours à quatre pattes sur le divan, il s’agenouilla derrière moi et prit un soin et une attention toute particulière à me lécher l’entrejambe, plongeant méthodiquement sa langue dans mes chairs intimes déjà bien trempées…



Alors que je commençais moi-même à ressentir de drôles de sensations particulièrement excitantes, je me demandais s’il continuerait longtemps de la sorte, car je sentais que je ne résisterais pas longtemps à pareil traitement et que je finirais par jouir bien avant lui s’il continuait à me manger de la sorte…

Comme par magie, il s’interrompit, se releva pour se mettre en position derrière moi et, amenant son phallus à l’entrée de ma grotte secrète, me le laissa prendre en main afin de l’aider à s’y introduire… Voilà, il était enfin en moi et c’était absolument divin !

Bien membré – mais dans des proportions qui restaient raisonnables et agréables à contenir – il me travailla par-derrière avec toute la passion et les soins propres à un homme talentueux et expérimenté. Alors que j’avais moi-même adopté le lancinant rythme de la possession, il me lima lentement, longuement, progressivement, puissamment, amoureusement, presque pour me faire aboutir bientôt au plaisir suprême : j’allais bientôt jouir sous ses délicieux coups de boutoir…


Toujours aussi galant et prévenant, François sentit que j’allais défaillir de plaisir avant lui et, très maître de lui, se retint le plus longtemps qu’il put… attendant que je crie la jouissance et le plaisir de mon premier orgasme pour déverser au plus profond de mon ventre sa chaude et abondante semence. J’étais véritablement comblée, car cet amant inattendu m’avait satisfaite avec classe et un grand savoir-faire amoureux… c’était au-delà de toutes espérances…


Nous prîmes quelques instants de repos pendant lesquels François nous servit encore un agréable rafraîchissement. Patrick, inactif jusque-là, semblait rêveur…



Vous décrire dans les moindres détails par quelles merveilleuses sensations je suis passée dans les bras de ses deux hommes me serait difficile. Je puis simplement vous confier que je fus exceptionnellement comblée par deux magnifiques amants doués, attentifs, résistants, et infatigables… Je fus honorée par-devant, par derrière, dans la bouche, entre les fesses, couverte de baisers, massée de la manière la plus impudique qui soit, introduite dans chacun de mes orifices par des doigts inquisiteurs, aspergée de torrents de sperme…


Toute la nuit, ils unirent leurs efforts et se relayèrent pour me faire connaître un plaisir immense et ininterrompu : je jouis au moins dix fois ! Après ces heures de délices sensuels, et alors que j’étais morte de fatigue – courbaturée par les multiples contorsions physiques auxquelles j’avais eu le bonheur de pouvoir me plier –, je me couvris d’un élégant peignoir de soie que François me remit avant de nous inviter à nous en aller par une sortie discrète et dérobée à l’arrière de l’immeuble. Au moment de prendre congé, il me tendit le coffret de l’addition en me disant :



Patrick, très fatigué lui aussi, me prit par le bras pour quitter François, il ajouta encore :