Je me souviens de ce soir-là où ma copine Lucie avait invité son cousin à venir se faire une bouffe chez elle. J’étais sorti avec elle quelque temps plusieurs mois auparavant, et même après notre séparation, nous avions décidé de rester bons amis. Lucie, une petite blonde qui avait de petits seins aux énormes tétons, possédait aussi un cul bien rebondi et un visage très fin rempli de taches de rousseur. Ses longs cheveux bouclés et ses tenues très sexy me faisaient toujours craquer, mais hélas, nos caractères souvent en conflit ne nous avaient pas permis de tenir bien longtemps vingt-quatre heures sur vingt-quatre l’un sur l’autre. Pourtant, cela ne nous empêchait pas de délirer ensemble et de sortir de temps en temps « en couple » lors de soirées pour nous sentir moins seuls.

Ce soir-là, donc, son cousin, un grand gaillard roux presque aussi grand que moi (environ 1,85 m) avait amené une bouteille de champagne et un joli bouquet de fleurs pour la remercier de l’avoir invité à passer la soirée avec nous.

Dès son entrée, il a tout de suite remarqué que sous sa robe d’été très légère elle ne portait pas de soutif, et que l’on pouvait apercevoir ses tétons sans grande difficulté. Elle adorait être regardée et je savais que ce soir-là, elle portait un petit string en dentelle blanc avec ses bas et son porte-jarretelles. Installés sur le canapé, nous avions commencé à prendre l’apéritif en discutant foot avec Michel pendant qu’elle nous préparait des amuse-gueule pour aller avec.

Pendant le service, ni une ni deux, le cousin fatigué par sa longue journée de travail n’arrête pas de mater son décolleté et ses jambes. Elle nous fait face dans un fauteuil et la robe courte qu’elle porte nous laisse parfois entrevoir le haut de ses bas lorsqu’elle croise et décroise les jambes.

Après une bonne heure de discussion, nous nous mettons d’accord pour dîner sur la table basse en profitant du confortable canapé pour continuer de parler tout en mangeant la salade froide qu’elle a préparée. Suit le fromage durant lequel les allusions sexuelles commencent à sortir de la bouche de Michel et que je ne manque pas de suivre quand l’occasion se présente. Elle adore parler cul et réagit vivement à nos dires. C’est vrai qu’il fait très chaud et que la bouteille de vin que j’avais apportée est déjà terminée, pourtant, cela ne nous empêche tout de même pas de discuter aussi des soucis professionnels de chacun.

Alors que Lucie s’excuse pour aller aux toilettes, Michel me demande si elle lui a déjà parlé de son phantasme de faire l’amour avec deux hommes en même temps. Je lui réponds que oui et comprends aussitôt où il veut en venir. Rigolant un grand coup, je lui serre la main et accepte sa proposition de tenter le coup. C’est vrai que depuis le début de la soirée j’ai un début d’érection et j’ai bien vu que son cousin avait le même problème que moi, mais j’attendais patiemment la fin de la soirée et son départ pour essayer de passer la nuit avec Lucie, alors, de là à assouvir ma soif de sexe en pratiquant aussi l’une de mes pratiques favorites, no problemo… !

Avant qu’elle ne revienne, j’ouvre la bouteille de champagne et coupe le gâteau. Parfois, j’ai l’impression que son cousin regarde mon cul pendant que je m’exécute et je commence à douter de ses dires…

Lorsqu’elle revient, elle nous demande de quoi nous parlions et nous propose de trinquer à cette magnifique soirée. Nous levons nos verres et nous nous rasseyons pour manger le gâteau. Michel finit le premier et la complimente sur sa cuisine quand soudain, s’enfonçant de nouveau dans le canapé, il vient poser une main sur la bosse de mon pantalon et une autre sur la sienne en lançant :

• — Et si c’était à notre tour de te remercier, ma biche !

Au bord de la crise de rire, certainement par l’expression de mon visage et la situation dans laquelle nous nous trouvons, elle lui répond en soulevant sa robe et en écartant au maximum les jambes pour nous dévoiler son joli petit string blanc. Elle nous lance :

• — Franchement, je ne sais pas, les gars… Mmmhhh…

Elle pose une main sur son string et commence à jouer avec le tissu pendant que Michel, sans se dégonfler, ouvre ma braguette et prend ma queue à pleine main.

Il sort son engin pendant qu’elle écarte sa culotte blanche d’où un petit fil dépasse.

• — Vous savez, j’ai déjà goûté à vos queues, et ce soir je m’étais promis de rester sage.

Elle tire sur le fil et nous voyons tous deux, médusés, une première petite boule métallique sortir de son entrecuisse, ce qui lui procure un petit râle de plaisir. Elle continue dans son élan et une deuxième boule sort de son orifice qui reluit de mouille. Son anatomie mise à nu, elle nous fait contempler le spectacle un instant et commence à s’amuser avec son clitoris tout en continuant de miauler, son regard droit dans le nôtre. Elle enfourne ensuite deux de ses doigts dans son trou fraîchement libéré et commence à se masturber plus hardiment.

• — Ben alors, les gars… mmmmmhhh, vous n’allez pas rester là sans rien vous faire ?

Sur ces mots, Michel commence un va-et-vient sur ma queue et je m’affale sur le canapé en le laissant faire. Je ne me suis jamais laissé toucher par un autre homme, mais je ne sais pas, ce soir-là, Lucie se masturbant frénétiquement devant nous et l’envie de la prendre en sandwich est plus forte que tout. Je le laisse faire et je sens sa seconde main venir à la rencontre de mes couilles.

• — Ouais, c’est ça, masturbe le bien pendant que je me fais jouir, et si le spectacle me plaît, je m’occuperais bien de vous, alors appliquer vous bien à me faire envie, mes salauds ! Sinon, vous rentrerez chez vous sans m’avoir goûtée !

Ne sachant pas quoi faire, Michel lui répond du tac au tac tout en continuant de me branler :

• — T’inquiètes pas, tu vas tellement aimer que tu vas les vouloir, nos belles bites, pas vrai, Sam !

Je leur réponds à tous deux :

• — Pour sûr, il va même nous supplier, tu verras…

Alors qu’elle commence à se foutre à poil, je sens la pression monter d’un cran quand le visage de Michel se rapproche dangereusement de ma queue et commence à me renifler.

• — Alors, elle sent bon ? lui demande-t-elle.

Sans lui répondre, sa langue vient goûter le jus qui coule de mon gland et, pressant bien ma bite, il commence à l’enfourner carrément dans sa bouche. Je ne peux retenir un râle de plaisir alors que pour la première fois de ma vie, je me fais sucer par un gars et que jamais je ne m’en serais cru capable. Elle s’active comme une bête sur ma queue et je vois Lucie qui reste debout et qui, écartant bien ses lèvres, continue de jouer avec sa vulve.

Après quelques minutes à ce régime là, je n’y tiens plus et je me vide à grandes giclées chaudes dans la bouche de Michel qui n’en rate pas une goutte. Il me remercie et alors que je reprends mes esprits, Lucie m’ordonne de lui rendre la pareille.

• — Et si tu te débrouilles bien, je serais votre petite chienne pour le restant la nuit, quand dîtes-vous, les gars ? Vous n’aimeriez pas sentir votre queue bien au chaud serrée dans mon petit cul ?

Mêlant le geste à la parole, elle vient se figer un doigt dans le fion et commence à s’astiquer la rondelle.

N’en pouvant plus, Michel se réinstalle dans le canapé, et alors qu’il se branle d’une main, il vient caresser mes cheveux et m’inciter à descendre mon visage vers sa verge. Je ne me laisse pas prier et commence à le caresser, il retire sa main pour me laisser faire. Je débute timidement en lui léchant d’abord les burnes, puis la queue, et alors qu’il écarte encore plus les jambes, ma langue vient à la rencontre de son anus. Après quelques coups de langue, je le sens déjà à ma merci et décide donc de le prendre en bouche. Ne sachant trop comment faire, il me guide et me plante dans le cul un doigt qu’il commence à rythmer aux va-et-vient de ma bouche. Lucie vient se mettre à quatre pattes devant nous et commence à me branler :

• — Je sens que la nuit va être longue, mes salauds !

Elle embrasse ma bite, et soudain, je sens ses lèvres s’emparer entièrement de mon membre. La verge de Michel est prise de soubresauts et il décharge en moi. Toujours soumis à l’excitation, je sens la bouche de Lucie s’affairer sur mon gland et j’avale entièrement la semence encore chaude de son cousin qui est aux anges.

Je n’en perds pas une miette, et alors que Lucie continue de me pomper, je sens Michel se baisser un peu et venir mettre son nez sur mon cul. Les deux mains de Lucie écartent mes fesses et sa bouche m’aspire complètement. Mon gland frotte sur son palais pendant que Michel commence à me lécher l’anus tout en s’appliquant à y enfourner un second doigt. Je n’en reviens pas, j’éclate une nouvelle fois et elle a un hoquet tout en continuant de m’aspirer.

• — On dirait qu’il aime ça, ton petit gars, Lu !

Me lâchant la verge, elle lui répond :

• — Tu m’étonnes, il s’est complètement vidé en jouissant comme une bête. Mais maintenant, s’agirait de le laisser reprendre ses esprits, et que tu viennes t’occuper de moi. Et quand il aura repris de la vigueur, il viendra nous rejoindre, hein ?

Elle nous fait un clin d’œil à tous les deux et vient se mettre à quatre pattes sur la table basse.

• — J’arrive, ma belle ! Bouge pas, je vais la remplir, ta petite chatte, t’inquiète pas ! Et comme je sais que c’est une gourmande, Sam viendra la lustrer avec moi quand il sera prêt !

Il me tape dans la main au passage et vient aussitôt coulisser dans l’étui complètement trempé de Lucie. Il la pénètre d’un coup et elle râle de plaisir aussi sec.

Moi, je me repais du spectacle et pendant un bon quart d’heure, les regarde s’activer en baisant sur la table. Je commence à reprendre de la vigueur et me masturbe un peu avant de venir présenter mon membre à Lucie. Elle ne se fait pas prier et vient immédiatement l’enfourner. Après quelques minutes à ce régime-là, je leur dis que je suis fin prêt pour continuer.

• — OK, mon gars, on va lui donner encore plus, à ma cousine !

Il se retire et vient s’allonger sur le tapis de la salle à manger. Lucie ne se fait pas prier et vient s’empaler sur son membre. Pendant qu’il la ramone, Michel lui écarte un maximum les cuisses, et elle se rajoute un puis deux doigts dans la chatte tout en nous lançant des insanités.

• — Alors, c’est pour aujourd’hui ou pour demain ? Qu’est-ce que tu fous, Sam ? Allez, ramène-toi, ça fait des mois que t’attends ça, alors vas-y à fond, profite !
• — T’as raison, ma salope, on va te défoncer comme une chienne.

J’agrippe sa crinière et je viens l’embrasser fougueusement pendant que Michel tire sur ses deux tétons.

J’écarte encore un peu plus ses fesses et présente mon sexe à sa chatte. Pas besoin de rajouter de la salive, je ne m’en suis pas aperçu tout de suite, mais je vois un peu de sperme couler de son orifice, signe que Michel a déjà déchargé en elle.

Je commence doucement par rentrer ma queue en elle puis, sentant rapidement qu’elle est complètement ouverte, ma queue est aspirée toute entière. Le sexe de Michel contre le mien, elle jouit rapidement.

• — Oh, oui, oh, mes salauds, c’est bon ! Allez-y, encore, encore… !

Après une dizaine de minutes à une allure effrénée, je sors ma bite de son orifice et la présente maintenant à son petit trou. Ayant compris mon intention, elle vient d’abord se branler un peu le cul avec ses doigts, mais n’y tenant plus, je lui attrape soudain l’avant-bras et lui dis :

• — Laisse-moi, maintenant, t’inquiète pas, je vais bien t’empaler le cul, petite chienne !

J’attrape son second bras, la relève un peu et la pénètre alors que Michel, le visage écarlate, reprend ses mamelons dans les mains et commence à la malaxer frénétiquement. Elle tire dessus sans s’arrêter et les pince dangereusement. Nous la bourrons ainsi pendant encore de longues minutes avant que celle-ci nous demande de changer de position.

Michel reste au sol, mais cette fois-ci, il colle sa queue dans son anus déjà bien distendu. Pendant la manœuvre, j’en profite pour récupérer les boules de geisha restées sur le canapé et reviens rapidement placer ma bouche devant son sexe. Je viens lui aspirer le clito et lui plante deux, puis trois, puis quatre de mes doigts pendant qu’elle continue de se faire enculer par son cousin.

• — Ah, mes salauds, j’en peux plus, c’est trop bon, oh oui…

Nous finirons la nuit exténués après encore plusieurs minutes de débauche… Depuis ce jour, Michel est souvent invité dans les soirées où je désire un peu plus d’ambiance…