Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 02602Fiche technique20830 caractères20830
3626
Temps de lecture estimé : 15 mn
28/07/23
corrigé 28/07/23
Résumé:  Les peintres qui travaillaient sur mon immeuble m’ont proposé de monter sur la toiture pour prendre un bain de soleil
Critères:  fhh voir exhib intermast fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Sandra 3  (Sandra)      
Les peintres

Les peintres




L’histoire qui va suivre m’est arrivée à mon retour de vacances.


Arrivée très tard dans la nuit, j’avais déposé mes valises au milieu du salon et m’étais couchée sans demander mon reste. Au matin, après avoir pris mon petit déjeuner, et devant les deux grosses valises qu’il me fallait maintenant déballer, je décidai de prendre avant tout une bonne douche, il me restait quatre jours de congés, alors les valises attendraient. Bien entendu, cela vous est tous arrivé au moins une fois, le téléphone sonna alors que je venais juste de me mouiller. Je me précipitai hors de la baignoire et courus jusqu’à l’appareil. C’était ma sœur qui voulait savoir comment s’étaient passées mes vacances. Curieusement, je me sentis observée… Machinalement, je me retournai et ne vis naturellement personne (« naturellement », car j’habite au cinquième et sans aucun vis-à-vis). La conversation se poursuivit quand j’entendis juste derrière moi la voix de deux hommes. Je me retournai, mais ne vis personne. La porte-fenêtre donnant sur le balcon étant entrouverte, j’en déduisis que cela devait être des personnes en bas de l’immeuble, dans la cour, et je continuai à discuter tranquillement. La conversation s’éternisant un peu, je tirai la chaise du bureau sur lequel était posé le téléphone et m’assis. N’ayant pas pris le temps de m’essuyer, de l’eau ruisselait de mes jambes et tombait sur le parquet, je relevai alors mes pieds sur la chaise en écartant un peu les cuisses.


Après quelques minutes, je remarquai à travers la porte des ombres bouger sur le carrelage du balcon, très surprise, je fixai mon regard. Soudain, je vis monter du bas deux têtes. Vous imaginez ma surprise !? Il s’agissait de deux hommes sur une nacelle qui remontaient de je ne sais où. Tellement étonnée de cette rencontre aussi imprévue que soudaine, je restais sans bouger, aussi, l’absence de rideaux sur ma porte-fenêtre offrit à ces deux hommes un spectacle qui sembla leur plaire. D’un coup, reprenant mes esprits, je me tournai sur la chaise pour leur tourner le dos. J’expliquai rapidement la situation à ma sœur et écourtai la conversation.


En me retournant pour fuir dans ma salle de bains, je m’aperçus qu’ils avaient disparu. Je me rendis tout de même à la salle d’eau pour y chercher un peignoir et revins dans le salon. Comme il n’y avait toujours plus personne, je m’aventurai sur le balcon. Une fois contre la barrière, je levai la tête et vis le dessous de la nacelle où les deux hommes travaillaient. C’était des peintres, les travaux de ravalement de la façade de l’immeuble qui avaient été prévus lors d’une réunion étaient donc commencés. Je retournai finir ma toilette.


Durant la journée, je vis de nouveau les deux hommes passer plusieurs fois devant mon balcon, chaque fois ils regardaient si, par hasard, il n’y avait pas quelque chose à voir, mais si la porte-fenêtre était encore ouverte (la chaleur du mois d’août), le spectacle était terminé.


Vers 17 h, ils terminèrent leur journée de travail. Devant l’avancement des travaux, il était évident que j’allais les revoir pendant un bon moment. Justement, le jour suivant, au matin, je les avais complètement oubliés, et comme à mon habitude, à ma sortie du lit, je restai le temps de prendre mon bol de thé, habillée d’un simple caleçon. Après avoir avalé avec quelques biscottes, j’entrai au salon finir de ranger mes affaires de vacances, l’appareil photo, les magazines, enfin, quelques bricoles. Soudain, j’entendis un bruit bizarre derrière moi, je me retournai et me retrouvai de nouveau devant les peintres. Par chance, je tenais juste à ce moment une serviette de plage que je plaçai devant moi.



Je souris.



Et, en effet, ils disparurent vers les étages inférieurs.


S’ils avaient eu le temps de me mater, même qu’un court instant, j’en avais fait de même, et finalement ils étaient vraiment à mon goût tous les deux. Dans la journée, alors que je regardais la télé et que ma porte était de nouveau grande ouverte, car je m’étais habillée (enfin, juste un tee-shirt en plus), la passerelle sur laquelle ils travaillaient s’arrêta devant mon balcon, l’un d’eux enjamba la barrière et s’approcha pour faire je ne sais quoi… Son travail, quoi ! Après quelques minutes, il demanda à son collègue à boire.



Il toqua légèrement sur la porte.



Le ton était bien entendu à la plaisanterie.



Cette réponse pleine d’humour et de malice m’amadoua.



Je leur rapportai quelques secondes plus tard plein d’eau fraîche.



Ce compliment me touche toujours, mais de ce jeune homme, cela m’avait un peu émoustillée.



Je retournai m’asseoir dans mon canapé pendant qu’ils continuèrent à travailler sur mon balcon. Leur présence finit par m’exciter, sans savoir vraiment pourquoi, j’eus soudainement envie de m’exhiber devant eux et cherchai un prétexte pour le faire. Malheureusement, l’heure passa sans que je ne trouve d’idée, et ils partirent.



Durant la nuit, je rêvais d’eux, mais pas un rêve coquin, non, juste leur présence. Aussi, le lendemain, je décidai de leur donner un peu plus que simplement de l’eau. Je m’habillai juste en maillot de bain deux-pièces dont la culotte était en réalité un string, et le haut ne cachait pas grand-chose, il faut bien le reconnaître. Je languis toute la matinée, car ils travaillèrent juste sur le balcon au-dessus du mien, j’enrageais. Heureusement, l’après-midi, la passerelle s’arrêta à mon étage.


Toc-toc sur le carreau. Le plus jeune se tenait devant la porte du balcon, sa bouteille à la main.



J’imaginai son regard sur mon postérieur pendant que je m’éloignai pour aller chercher son eau désaltérante.



Lorsqu’il saisit la bouteille, il me la posa rapidement juste une seconde sur le ventre.



Il me sourit, passa la bouteille à son collègue, et se remit au travail. C’est alors que le téléphone sonna, je répondis, cette fois c’était une amie, je tirai le téléphone jusqu’au canapé sur lequel je m’allongeai à moitié, laissant une jambe par terre tandis que je repliai l’autre en l’appuyant sur le dossier. Ainsi, mon entrejambe était très ouvert, et l’étroitesse de mon string laissait voir les bords de mon sexe. Cela n’échappa pas très longtemps à mes deux ouvriers favoris. Le plus jeune s’arrêta même de travailler et me regarda fixement, puis il but quelques gorgées, de l’eau s’échappa de sa bouche, coula le long de son menton puis tomba sur son tee-shirt. Cette vision me donna soudain envie de l’embrasser, de lui lécher l’eau qui brillait sur son menton, et cela me procura des frissons à l’intérieur de mon ventre. Inconsciemment, ma main se posa sur mon entrejambe et frotta deux ou trois fois mon string avant que je réalise ce que j’étais en train de faire. L’homme suivit du regard le mouvement de ma main et se remit au travail dès mon arrêt, l’air de rien… À l’heure du déjeuner, l’autre peintre frappa à la porte-fenêtre.



Durant le trajet aller-retour du salon à ma cuisine, il me vint l’idée de les inviter à manger avec moi.



Étant au dernier étage, je me retrouvai vite devant la porte qui donne sur la toiture. Après un tour de clé, l’homme m’ouvrit la porte et je sortis sur la toiture. C’était comme une immense terrasse d’où, effectivement, on dominait toute la ville (enfin, le quartier), mais c’était à la fois impressionnant et beau.



Finalement, c’est eux qui m’invitèrent. Après avoir accepté, je redescendis chercher mon repas et remontai aussitôt. Le plus jeune ne décrocha pas son regard de mes seins qui, du fait de manger sur une table de camping – donc basse –, se dévoilaient amplement à chacune de mes bouchées. L’heure de la reprise arriva très vite.



L’idée était tentante.



Mais l’homme insista fortement.



Quelle réverbération ? Il n’y a même pas d’immeuble plus haut à côté. En descendant chercher mon petit matériel, je me doutai bien du pourquoi de son insistance, et surtout de ce qu’il comptait me proposer, je commençai à imaginer leurs mains mettant la crème sur mon dos, mes épaules, mon ventre… ils déraperaient sans doute sur mes seins, je décidai alors de remonter avec un petit échantillon gratuit que j’avais eu je ne sais où. À mon retour, ils avaient débarrassé et plié la table.



Il fit couler un peu de produit sur mes épaules et dans le dos puis commença à me l’étaler. Ses mains allaient et venaient de haut en bas, puis elles débordèrent légèrement sur mes hanches et remontèrent un peu plus sur le devant que sur mon dos et la rencontre avec mes seins fut inévitable. Ce contact me ravit, mais je ne voulais pas le laisser aller trop vite.



Je m’allongeai contre mon petit siège et enfilai mes lunettes de soleil.



Il s’approcha de moi, ramassa la crème et, sans me laisser le temps de bouger, m’en fit couler un petit filet sur le ventre.



Il commença à m’enduire le ventre. Je retins sa main.



Et il me repoussa le bras. Je le laissai faire. Sa main étalait la crème avec une telle douceur que certaines envies me vinrent rapidement, et si les hommes ne peuvent dissimuler ce genre de sensation, les femmes ne le peuvent pas moins, mes tétons gonflèrent à travers le tissu de mon maillot de façon tout à fait indiscrète.



Il fit couler un peu de produit au bas de ma gorge et l’étala immédiatement. Sa main décrivit de petits cercles qui l’amenèrent très vite sur le haut de mes seins. Là, les mouvements devinrent encore plus petits, ses doigts frôlèrent deux ou trois fois mon maillot puis glissèrent légèrement en dessous. Comme je n’opposais aucune résistance, il glissa ses doigts de plus en plus loin sous le tissu, si bien qu’il atteignit au final mon petit bout tout dur en glissant complètement sa main sous mon maillot. Tout en continuant ses petits cercles, il dépassa mon téton pour envelopper totalement mon sein. Là, il souleva sa main, ce qui fit glisser mon maillot en dessous et le dévoila entièrement. Sans se poser de question, il s’occupa de la même manière de l’autre et je me retrouvai les seins à l’air.


Son collègue, Tony, s’était rapproché et se tenait devant moi.



Pendant que JC avait chacune de ses mains sur mes seins, le jeune Tony commença à m’enduire les chevilles puis les genoux de crème pour arriver à mes cuisses, et évidemment le haut de mes cuisses. Comme JC, ses doigts effleurèrent mon string avant de glisser sous les ficelles latérales et revenir au centre sur ma toison. Après quelques passages furtifs, il s’y attarda un peu plus. Voyant l’emplacement de la main de Tony, JC lui ouvrit davantage le chemin.



Il tira sur le nœud qui tenait mon string attaché à ma taille. Une fois fait, Tony souleva sa main et fit glisser ce petit morceau de tissu jusqu’à ma cheville. À cet instant, j’étais déjà très excitée, et lorsqu’il approcha ses doigts de mes lèvres intimes je ne pus retenir la contraction de mes reins qui souleva ma poitrine. JC baissa la tête et emprisonna l’un de mes tétons entre ses lèvres. Je restai, les reins cambrés, jusqu’à ce que Tony ait fini d’enfoncer ses doigts dans ma fente, deux doigts qui s’enfoncèrent assez vite tout au fond. Là, je reposai les fesses au sol et écartai très largement mes jambes en remontant mes pieds sous les cuisses. Mon niveau d’excitation était tel que je ne pouvais plus les laisser agir seuls. JC, qui était agenouillé à mon côté, présentait une bosse non dissimulée à travers son short, et les ouvertures des cuisses étant béantes, j’en profitai pour y glisser ma main. Je la fis remonter jusqu’à attraper son sexe à travers son slip. Ce dernier ne me résista pas longtemps, mes doigts s’enfouirent en dessous et je pus enfin saisir ce bâton de chair à pleine main. Après l’avoir massé, serré, palpé, je commençai à le branler. JC se redressa et tira d’un coup sur son short jusqu’au sol où son slip atterrit également. Son sexe était ainsi dégagé de toute gêne, ce qui me permit de le caresser plus aisément. Surtout que Tony, qui continuait lui aussi à me masturber, s’était placé entre mes jambes, et léchait maintenant la chatte.


J’entendis à cet instant un hélicoptère passer au-dessus de l’immeuble, j’imaginai la réaction du pilote observant ce spectacle et cela m’excita davantage (même si je ne suis pas particulièrement du genre exhibitionniste). JC se redressa de nouveau pour se placer à cheval sur mon ventre et glisser son sexe entre mes seins, je les resserrai immédiatement contre et il commença à me chevaucher. Tony retira ses doigts, se leva et s’agenouilla à son tour à mes côtés après avoir baissé son pantalon et son slip. Il me tourna la tête et me présenta son sexe juste devant la bouche, pas de doute possible sur ce qu’il voulait, j’ouvris mes lèvres et il s’y glissa. Une fois à l’intérieur, je lui léchai le gland, ce qui le fit tout de suite démarrer un mouvement de va-et-vient. JC avait, lui, pris de l’avance et allait et venait maintenant rapidement entre mes seins. Soudain, il stoppa net.



Et comme j’en avais aussi très envie :



JC se leva.



Il me tira par les bras pour me retourner et m’agenouiller devant Tony, et se mit derrière moi. Devinant son idée, je me penchai en avant pour reprendre le sexe de Tony en bouche et offrir ma croupe à celui de JC. Dans cette mise en place, j’avais pris soin de placer mes mains de chaque côté du sexe de Tony. Cela me permit de lui caresser les bourses pendant que je le suçais, et il sembla apprécier cette initiative, car il gémit. JC s’approcha, me saisit par les hanches et glissa son sexe entre mes cuisses ; je guidai alors d’une main son gland à l’entrée de ma caverne à folies. Une fois en place, JC le poussa à l’intérieur, ainsi que toute la longueur de sa queue. Cela me procura un immense plaisir, ma fente étant complètement trempée, il me pénétra sans douleur et sans peine. Étant déjà très échauffé par la petite gymnastique précédente, il me tamponna les fesses rapidement par de grands va-et-vient, forts et profonds, il me cognait les fesses contre son ventre en me tirant en plus très fort par la taille, j’étais tellement défoncée que j’avais du mal à garder le sexe de Tony en bouche. Comme cela ne me faisait pas mal, je le laissai faire et pris finalement un immense plaisir.



JC se colla très fortement à moi et je sentis sa première giclée de foutre m’envahir, puis il reprit ses coups de boutoir le temps de deux allers et retours et se recolla aussi fort. De nouveau, je sentis son jus se répandre en moi, puis il ressortit plus calmement avant de s’enfoncer une fois encore et finir d’éjaculer.



Et en effet, Tony me prit la tête et arrêta mes va-et-vient, ses fesses se soulevèrent et je reçus sa semence dans la bouche.



J’adore le sperme ! Alors, pour lui faire comprendre qu’il ne me gênait pas du tout, bien au contraire, je glissai mes mains sous ses fesses et enfonçai son sexe encore plus dans ma bouche où il continua à se déverser. Après ses dernières contractions, je repris quelques instants de petits mouvements le long de son sexe avant de le libérer.



JC se pencha vers moi par côté, alors pour donner une réponse à sa question je me mis à lécher la queue de Tony de bas en haut, des bourses au gland. Il se retira de ma chatte et me présenta son sexe.



Avec la même gourmandise, je lui léchai la verge sur toute sa longueur, JC me complimenta sur la douceur de ma langue, ce qui m’incita à continuer un peu plus longtemps, et cela fut trop longtemps, car JC reprit aussitôt la forme. C’est la première fois que je voyais ça, même pas cinq minutes après avoir vidé son sac (enfin, ses sacoches), il bandait de nouveau, et pas mou, en plus, non, non, bien dur. Je voulus m’arrêter avant qu’il ne soit trop tard… mais il était déjà trop tard.



Je n’avais plus le choix.



Mais la réaction de JC m’avait tellement étonnée que j’en étais très excitée.



À ces mots, je m’enfonçai deux doigts dans la chatte, Tony comprit mon état et se plaça entre mes jambes pour que sa tête soit au niveau de mon sexe. Une fois là il retira mes doigts et les remplaça par sa langue. JC me tenait par la nuque de ses deux mains et commandait mes va-et-vient à une allure folle, puis, soudain, il me tira la tête en arrière, saisit son sexe d’une main et le posa sur ma langue.



Je cédai à son plaisir, j’ouvris la bouche le plus possible et sortis ma langue en penchant légèrement ma tête en arrière. D’un coup, son sperme jaillit de sa queue, afin qu’il en profite au maximum, je gardai sa semence sur ma langue et dans ma bouche sans en avaler une goutte. Quand il eut fini, j’avalai son jus sans fermer la bouche.



Le goût de ce second jus d’amour et l’action de la langue de Tony rejointe par quelques doigts (deux minimum) me firent jouir une seconde fois.

JC et Tony remirent de l’ordre dans leur tenue et remontèrent dans leur nacelle pour aller travailler.



Cela me laissa entrevoir un autre bon moment en leur compagnie si j’acceptai.



Et j’y ai bien pensé, mais cela est une autre histoire…