n° 02627 | Fiche technique | 13817 caractères | 13817 2309 Temps de lecture estimé : 8 mn |
11/08/01 corrigé 17/12/22 |
Résumé: Une nuit magique avec ma cousine Cécile... | ||||
Critères: fh cousins intermast fellation cunnilingu | ||||
Auteur : Axebamb (Etudiant, 22ans, romantique...) |
Un mariage… Rien de tel pour vous gâcher la soirée, me direz-vous… C’est que je pensais aussi en me rendant à celui de ma cousine, Véronique. Mais cette soirée se révéla bien plus intéressante que prévu…
Après la traditionnelle cérémonie à la mairie, nous nous rendîmes à l’église. La soirée ne s’annonçait guère palpitante, mais au moins cette journée me permettait de renouer avec des membres de ma famille. Oncles, tantes, cousins, cousines, je revoyais des parents après plusieurs années sans contact. La famille s’était agrandie, et nombreux étaient les bambins qui couraient dans l’église où nous étions réunis en ce jour, comme le dit la formule, afin de célébrer l’union de deux âmes… Bon, je vous épargne la cérémonie. D’ailleurs, je n’écoutais pas tous ces discours ; mon regard vagabondait sur cette agitation entre les bancs de l’église : j’essayais de deviner à qui appartenaient ces garnements qui sautaient de chaise en chaise, en piaillant, sans se faire réprimander. Sûrement de nouveaux cousins, me disais-je. J’étais bien incapable d’identifier ma parenté exacte avec ces chères petites têtes blondes.
Soudain, mon regard bloqua sur un de ces gosses, il s’était fait attraper par le bras par sa sœur. En fait, pour dire vrai, mon regard bloqua sur sa sœur : une fille splendide, qui devait avoir 18/19 ans, blonde, des cheveux aux épaules, des bras nus qui me faisaient déjà tressaillir et des jambes encore plus belles… Non, pas ces pensées dans une église… ! Son regard croisa le mien et ses yeux bleus me firent définitivement craquer. Il fallait que je sache qui elle était, que je lui parle !
Elle me lança un petit sourire timide, et continua à me fixer, à une dizaine de mètres de moi. Son regard en disait long, elle ressentait sûrement la même chose… Elle s’approcha, en m’observant, et arrivée devant moi, me fit face et me lança un « Salut Seb ! » qui me cloua sur place.
Tellement paralysé par ce coup de foudre, je restai figé.
Mon sang ne fit qu’un tour. D’un côté, j’étais content de ne pas avoir à aborder cette fille superbe, mais en comprenant que c’était ma cousine, Cécile, je compris que rien ne serait possible… que de l’amitié…
Elle me prit par la main et me tira vers elle :
Je me permets un aparté pour ceux qui seraient perdus : je n’avais pas vu Cécile, ma cousine, depuis le dernier mariage dans la famille, soit six ans plus tôt. Nous avions alors entre 12 et 15 ans, et avions passé une soirée excellente, en étant très proches. Mais voilà, les années étaient passées, nous nous étions perdus de vue. Je ne connaissais même pas mon petit cousin. Mais revenons à notre histoire…
La cérémonie dans l’église touchait à sa fin, et j’étais toujours avec Cécile. Nous riions en nous moquant à tout va de chacun. À la sortie, il fallait aller au vin d’honneur, et nous ne nous quittions plus. Quel plaisir de se retrouver et de pouvoir discuter ensemble de tout et de rien !
Sans arrière-pensée, je lui proposai de l’emmener dans ma voiture jusqu’à la salle de banquet. Toujours souriante, elle accepta avec plaisir. En s’asseyant sur le siège, sa jupe se souleva légèrement au vent et découvrit le haut de ses cuisses. Elle posa sa main sur le tissu pour le tenir, sans pour autant la tirer vers le bas. Ainsi, en roulant, je pouvais voir d’un œil ses jambes, et sa main posée sur sa jupe bleue… Ces cuisses étaient superbes, et elle le savait. Elle retira sa main, et croisa ses jambes, me montrant encore plus ses cuisses si excitantes…
Mais c’était ma cousine, et rien n’était possible…
Arrivés au lieu de rendez-vous, nous fûmes émerveillés de découvrir un superbe château, entouré d’un grand parc qui laissait rêveur… Le vin d’honneur se déroula dans la bonne humeur, et le repas commença rapidement. Bien sûr, Cécile et moi nous étions assis l’un à côté de l’autre. Depuis notre rencontre, nous ne nous étions pas quittés et étions de plus en plus proches…
À la nuit tombée, après plusieurs verres, nous allâmes nous promener dans le parc autour du château. Assis sur un banc, nous discutions de nos amours, mes yeux posés sur ses jambes. Elle le voyait, certainement, et jouait avec moi en les bougeant tout en riant. De bagarres de chatouilles, nous passâmes à des caresses plus suspectes : je me retrouvai allongé sur elle et lui caressai le ventre sous le t-shirt, en faisant semblant de la chatouiller. Sa jupe était relevée et ma main descendit sur sa cuisse, à ce moment tout devint plus sérieux, nos regards se croisèrent, sans plus se quitter. Et nos lèvres se rapprochèrent… Soudain, des bruits d’enfants nous firent sursauter et nous nous relevâmes rapidement, un peu gênés. Nos cousins avaient eu la mauvaise idée de venir jouer de ce côté du parc. Ceci nous fit donc rentrer au château, la mort dans l’âme.
Plusieurs verres suivirent, nous mangions très peu et riions moins. Par contre, nous étions collés l’un à l’autre, nos jambes presque enlacées, en toute innocence, nos mains se frôlaient, nous nous lancions des regards coquins, en pensant certainement tous deux à la même chose… Ce grand parc, dans la nuit, en plein été… Après un long regard entendu, nous repartîmes dans ce parc.
Arrivés hors de vue des convives, dans un silence plutôt embarrassant, nous marchions l’un à côté de l’autre, sans trop parler. Je pris mon courage à deux mains pour prendre la sienne. Elle me lança un sourire, et nous continuâmes à marcher, main dans la main. Tout au fond du parc, derrière des buissons, elle lâcha ma main et s’assit en tailleur, me regardant. Elle était vraiment belle. Ses cheveux blonds tombaient sur ses épaules, ses jambes étaient vraiment splendides. Comprenant ce qui allait se passer, je sentis l’excitation me gagner. Elle me tendit la main, que je pris, m’asseyant devant elle. Elle écarta les jambes pour me permettre de me mettre en face d’elle. J’avais ainsi une vue splendide sur son entrejambe, sur sa culotte bleue. Je restai paralysé par cette situation, mais heureusement elle m’en délivra en me souriant… un de ces sourires dont elle avait le secret.
Ce baiser fut interminable, nous roulions dans l’herbe, sa jupe se relevait de plus en plus. Elle devait sentir mon érection car elle me prit entre ses cuisses et se serra très fort, en se frottant doucement contre mon corps. Je l’embrassai dans le cou et descendis sur ses seins par-dessus son t-shirt. Mes mains caressèrent ses cuisses, remontèrent sur sa culotte, puis passèrent sous son t-shirt que je retirai. Elle portait un soutien-gorge beige plutôt sexy. Elle se retourna, je l’enlaçai de mes bras, caressant ses seins, embrassant sa nuque. Je sentis sa main venir me caresser le sexe à travers le pantalon qui menaçait d’éclater, et je continuai à lui masser les seins. Je lui retirai son soutien-gorge, et elle se retourna. Ses seins étaient incroyables : un corps de rêve…
Elle me retira ma chemise et m’embrassa dans le cou. Je la fis basculer en arrière et l’allongeai sur le dos, ma langue vint caresser ses tétons, dressés sous mes baisers. Elle mit ses mains sur ma tête, caressant mes cheveux, me poussant délicatement la tête vers son nombril, en relevant les cuisses… Je compris très vite ce qu’elle désirait et ne me fit pas prier ; je continuai à la lécher en descendant doucement, puis passai sur ses cuisses, frottant sa culotte avec mes cheveux, me rapprochant de plus en plus de ce point bleu qui m’attirait. Lorsque ma langue toucha cette culotte, en appuyant doucement, je la sentis tressaillir, et elle redressa la tête en laissant échapper un soupir qui m’excita plus encore. Mes doigts vinrent aider mon exploration et retirèrent cette culotte trempée. J’adressai un sourire à Cécile, en regardant encore une fois ses seins, ses cheveux, ses yeux… elle était splendide. Je revins lui lécher les seins, puis redescendis vers sa belle chatte soigneusement rasée. Ma langue s’y engouffra, je la régalai de petits coups de langue plus ou moins rapides, remontant vers son clitoris, puis vint à nouveau la caresser de mes doigts, jouant avec elle à la faire soupirer de plaisir.
Après plusieurs minutes de ce jeu, elle me poussa la tête pour m’indiquer qu’elle voulait changer un peu. Nue sous sa jupe, elle me fit m’allonger, s’assit sur moi, et prit mes mains qu’elle posa sur ses seins. Je la massais et elle, elle se frottait contre mon sexe qui allait cette fois certainement exploser ma ceinture ! Mais avant cela, ma chère cousine se décida à m’enlever mon pantalon et se retrouva à la hauteur de mon caleçon noir sous lequel se dressait une bosse assez compréhensible vu la situation. Cécile me caressa à travers le caleçon, m’embrassa en me regardant de biais, puis me dit :
Cette question me fit rire, et elle sourit en me retirant mon caleçon. Elle se mit alors à me lécher le sexe de haut en bas, telle une glace, me faisant découvrir des plaisirs encore inconnus. Elle le mit ensuite dans sa bouche et le suça doucement, puis de plus en plus vite, en me masturbant en même temps de la main. Je n’en pouvais plus, sentir sa langue sur mon sexe gonflé me faisait tressaillir de plaisir. En la regardant, je voyais une tête blonde s’agiter au-dessus de mon pénis, c’était trop bon. Savoir que cette fellation était faite par une fille aussi splendide m’excitait davantage encore. Sans mentir, Cécile aurait pu m’annoncer être mannequin, je n’aurais pas été étonné. Sauf sa taille qui était bien trop petite… dans les 1,69 m. Ce chiffre me fit d’ailleurs avoir des idées et je me tournai sur le côté en la prenant par la taille afin de pouvoir lui donner du plaisir pendant qu’elle me suçait si bien. Mais n’arrivant pas très bien à la lécher dans cette position, je me contentai de jouer avec mes doigts sous sa jupe. Je glissai un doigt, puis deux dans sa chatte trempée, et masturbai son clitoris autant que possible. Son ventre se soulevait au rythme de mes caresses et elle y calquait la vitesse de sa fellation. Bientôt, elle fut prise de spasmes, qui la contraignirent à arrêter de me sucer, elle gémissait de plaisir pendant que je continuais à la caresser.
Quelques secondes passèrent puis elle posa sa main sur la mienne pour me faire stopper mes caresses. Elle continua à jouer avec sa langue autour de mon gland, puis suça de plus en plus vite. Me sentant près de l’orgasme, je gémis à mon tour et la fis arrêter. Elle continua à me masturber, plus doucement, me regardant amoureusement.
Elle fit rouler sa langue autour du gland, et pompa énergiquement. Il ne me fallut pas longtemps pour éjaculer, dans sa bouche entrouverte. Elle retira mon sexe de sa bouche et se laissa éclabousser le visage de mes longs jets de sperme.
Je me sentais coupable de mouiller ainsi ses beaux cheveux blonds, mais elle me rebranla beaucoup plus vite en gémissant de plaisir et avala presque entièrement mon sexe tandis que s’écoulaient les derniers jets, qu’elle avala goulûment. Je débandais tandis qu’elle continuait à me lécher le sexe en me jetant des regards complices, puis elle remonta sur moi et mit sa tête dans mon cou en m’embrassant. Je sentais sa chatte encore mouillée venir se frotter sur mon sexe rendormi. Je l’embrassai à pleine bouche, nos langues s’entrelacèrent puis, sentant que mon sexe redurcissait, elle se frotta plus encore, et me dit :
Elle me fit un clin d’œil et un grand signe de tête affirmatif. Nous éclatâmes à nouveau de rire.
Soudain, d’autres rires nous parvinrent en écho. Les enfants approchaient ! Nous nous rhabillâmes le plus vite possible et partîmes en courant dans la nuit.
Après être passée se nettoyer aux toilettes, Cécile vint me rejoindre à table. Personne ne semblait se douter de quoi que ce soit. Sous la table, nous nous caressions toujours. Ma main remonta sous sa jupe et atteignit sa légère toison, je retirai brusquement ma main par réflexe et nos regards rieurs se croisèrent. À L’oreille, je lui dis :
Son regard brilla.
Cette soirée ne fut donc pas si morose… La suite allait d’ailleurs être plus torride encore. Après ce coup de foudre mutuel, il fallait éteindre l’incendie…