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n° 02639Fiche technique16210 caractères16210
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Temps de lecture estimé : 12 mn
28/07/23
corrigé 28/07/23
Résumé:  Des vieux Beatniks très délurés...
Critères:  fhh hbi fplusag couplus grosseins voiture intermast entreseins facial fellation cunnilingu pénétratio sandwich fsodo
Auteur : Bobba Fett  (Jh 26ans)      
Cochons de Hippies !

C’était la fin de l’été et je rentrais du fin fond de l’Espagne poussiéreuse vers la France, à pieds et sac sur le dos. J’étais fauché, tout mon blé claqué dans le sud ! Heureusement, un vieux couple de babas cool me prit en stop dans leur vieux camping-car brinquebalant. La suite allait se révéler très épicée !


J’hallucinai d’abord sur leurs têtes pas possibles : coupes à l’indienne, colliers bidon, fringues psychédéliques… De vrais dinosaures ! Ils avaient le teint buriné par le soleil du Maroc d’où ils revenaient. Lui : la cinquantaine largement passée, des yeux gris et une carrure respectable, pas très empâtée, c’était Boris, ancien journaliste devenu brocanteur. Elle : quarante et quelques balais, assez ronde, brune, avec des seins et un cul ma foi fort respectables et bien moulés dans une robe d’été décolletée, c’était Murielle, artiste à ses heures.


On discuta une heure, puis Murielle nous dit bonsoir et se contorsionna pour gagner l’arrière du véhicule caché par un rideau artisanal. Au passage, elle frotta copieusement son cul sur mon épaule. Elle sentait bon et ses grosses fesses rondes qui tendaient le tissu léger m’émoustillèrent un peu. On reprit la discute avec Boris et, deux heures après, tombant de fatigue, je demandais à mon chauffeur si je pouvais dormir un peu.



Je le saluai donc et gagnai l’arrière du camping-car, empli d’un fatras pas croyable aux senteurs d’encens.


Vite déshabillé, je m’étendis en caleçon sur un matelas que je devinai dans la pénombre. Quelques bruits m’indiquèrent que la femme était allongée sur la banquette suspendue au-dessus de la cabine. Mes yeux se firent à l’obscurité et je vis alors sa silhouette blanche. Elle semblait complètement nue ! Elle avait peut-être oublié que je risquais d’être fatigué…


Je n’arrivai pas à dormir et, à entrevoir et deviner ainsi ses formes généreuses, mon caleçon ne tarda pas à prendre du volume. Tout étant calme, je sortis donc discrètement l’engin et commençai à me palucher en pensant à quelques gaudrioles avec Murielle tandis que l’autoradio devant diffusait une musique tranquille. La couchette s’anima et craqua soudainement, je rangeai vite fait ma bite tandis que Murielle descendait de sa couchette pour tâtonner dans le noir jusqu’à moi.



J’étais un peu honteux et anxieux à l’idée que Boris nous entende, mais déjà elle passait une main sur ma cuisse et remontait pour baisser l’élastique du caleçon. Elle empoigna ma queue et commença à la branler doucement. Ses seins énormes tombaient vers ses genoux pliés et je tendis une main vers eux pour les palper, les soupeser et jouer avec les gros tétons bien sombres. Je n’avais jamais couché avec une femme mûre, mais celle-ci avait l’air d’en vouloir. Je m’avançai vers elle et lui dis :



Elle me sourit et se détourna vers mon ventre, allongeant ses jambes le long de mon épaule, calée sur le côté sur un coude. Elle enfourna d’abord mon gland, enroulant sa langue autour, puis toute la longueur de ma bite. Elle donnait des coups de tête lents et profonds en salivant beaucoup. Je sentais sa bouche toute mouillée aspirer ma queue en faisant des bruits très excitants… Sans y faire attention, je murmurai :



Les mots « bite » et « cochonne » semblèrent la réveiller encore et elle accéléra la cadence, tantôt avalant goulûment toute ma bite jusqu’à la garde en gémissant dans mes poils, tantôt la sortant pour la frotter contre ses lèvres fermées ou son menton. Ensuite, elle ouvrait grand la bouche, sortait à fond sa langue humide et râpeuse pour y tapoter mon gland et le bout de ma queue avant de la réenfourner dans sa bouche bien baveuse. Moi, j’étais relevé sur les coudes et je la matais pendant qu’elle me taillait la meilleure pipe de ma vie. Elle aussi, d’ailleurs, elle jetait régulièrement des petits regards dans la pénombre et je compris à ses petits sourires et ses airs coquins que c’était vraiment une divine salope. J’approchai de l’explosion et dis dans un souffle :



Murielle me sourit alors en continuant à me sucer et je compris qu’elle n’attendait que ça. Elle enfonça encore quelques fois mon gros gland et ma queue gluante aux veines bien saillantes tout au fond de sa gorge, puis elle ouvrit grand la bouche et commença à me branler vigoureusement pour me finir. Le sperme chaud gicla en longues décharges, dont une sur son visage. Elle avala presque tout, avec gourmandise, tandis que je me retenais pour ne pas crier de plaisir. Ma queue collante était parcourue de spasmes diminuant tandis qu’elle la frottait contre ses lèvres avant de la repomper pour bien sucer le mélange de sperme et de salive. Je retombai en arrière, vidé et aux anges.


Je sentis alors sa poitrine, lourde et chaude, sur moi. Elle vint m’embrasser tendrement. Sa bouche et ses lèvres étaient salées, sentant le sperme, et sa langue toute gluante.



Bien sûr que j’aimais ça, et ce fut son tour de s’allonger sur le dos, écartant les cuisses et découvrant une belle toison brune et grise, bien taillée au-dessus d’une fente bien ouverte et luisante dans la semi-obscurité du camping-car. Apparemment, sucer ma bite l’avait mise dans tous ses états. Avant de plonger vers son minou trempé, je regardai un instant ses gros seins aplatis sur son torse, son petit ventre dodu et ses cuisses laiteuses et rebondies. Elle était grassouillette, mais encore bien ferme et très bandante.


Sa chatte était bien juteuse et ne tarda pas à devenir une vraie petite fontaine sous mes coups de langue. Ses poils étaient humides, collés ensemble, et sa vulve entièrement dilatée, bien rose, sentait très fort. Avec mes mains, j’écartais bien ses cuisses et enfonçais ma langue dans ses replis intimes, lui arrachant des petits gémissements. J’aspirais ensuite son clito durci, le faisait rouler dans ma bouche ou donnait de grands coups de langue bien râpeuse sur toute la longueur de sa chatte. J’avais le menton et le tour de la bouche tout trempé et ma bite reprenait du mordant. Je léchai sa petite chatte comme un fou et son bassin se mit à onduler et à donner des coups. Murielle mit une main dans mes cheveux et soupira violemment plusieurs fois avant de me repousser gentiment. Je me relevai alors sur les coudes pour venir l’embrasser fougueusement avant de lui dire :



Je mis mes bras derrière ses genoux pour bien relever son bassin et lui écarter les cuisses et, d’un coup de reins, je la pénétrai. Sa chatte était brûlante, trempée, et avala ma bite sans problème. Elle avait dû connaître des calibres bien plus imposants… Je regardai quelques instants ma queue aller et venir dans sa petite fournaise avant d’augmenter le rythme et de la bourrer à fond, sans ménagement. À chaque coup de reins, je m’enfonçais jusqu’à la garde dans sa chatte et mes couilles venaient battre joyeusement ses fesses bien pleines. Murielle, elle, se mordait les lèvres et gémissait tandis que ma biroute glissait à cent à l’heure dans son minou en feu.


N’en pouvant plus, je me retirai et m’assis sur son ventre pour placer ma bite entre ses gros seins. Trois ou quatre aller-retour suffirent à me faire éjaculer, l’aspergeant de nouvelles rasades de chaud liquide, plus épais et plus collant. Je frottai ma bite sur ses tétons durcis, étalant le sperme en de larges cercles, et elle revint me sucer en me regardant dans les yeux…


Après cela, nous restâmes un long moment, bercés par la route, allongés l’un à côté de l’autre. Murielle se fit alors très tendre, me faisant des petits bisous et de douces caresses, et je m’endormis rapidement, exténué et comblé.


Quand je me réveillai, le camping-car était vide et garé à l’ombre, fenêtres fermées, sur une aire d’autoroute française. Muriel et Boris étaient dans la station, en train de faire leurs toilettes. Je croisai Murielle qui me fit un grand sourire en me disant bonjour avant de regagner le véhicule. Elle était très belle finalement, avec ses longs cheveux noirs mouillés, ses grands yeux marron et ses tétons qui pointaient sous une nouvelle robe tout aussi légère. Boris se lavait les dents et je lui dis bonjour sans trop le regarder. Je me soulageai d’abord et alors que je me lavais les mains il me dit assez brusquement :



Je flippais un peu, me demandant s’il savait, ou du moins, se doutait de quelque chose. De retour au camion, je vis qu’il était toujours garé à l’ombre, fenêtres obstruées.


J’ouvris la porte arrière pour tomber sur le superbe popotin de Murielle qui se trémoussait, un mètre devant moi ! Je refermai la porte en grimpant à bord pour voir qu’elle était en train de sucer Boris, tranquillement allongé sur mon matelas. Il me sourit et me lança :



Je me désapai vite fait, et Murielle en fit autant avant de s’agenouiller devant moi pour me prendre dans sa bouche.


Elle aspira doucement mon gland entre ses lèvres charnues en me regardant, faisant durer le plaisir, et je ne pus m’empêcher de donner un violent coup de reins pour la forcer à l’avaler d’un coup. Elle fut surprise et écarquilla les yeux alors que mon gland alla bourrer le fond de sa gorge avant de ressortir lentement, plein de salive. Elle avait aimé, c’est sûr ! Boris vint alors aussi lui présenter sa bite, un peu flasque et plus longue que la mienne. Elle nous suça alors tous les deux, chacun notre tour, tantôt pompant vigoureusement, tantôt nous avalant lentement, centimètre par centimètre. Elle rapprocha nos biroutes glissantes pour les sucer en même temps. C’était la première fois qu’une autre queue entrait en contact avec la mienne… Assez étrange, mais pas aussi dégueu que je l’aurai cru. Un moment, elle réussit même à avaler nos deux glands d’un coup. J’étais en transe et Boris aussi. Il lui posa une main sur la tête pour l’encourager en disant :



Après cette double fellation torride, Murielle se mit à quatre pattes sur le matelas. Elle se cambra et nous offrit une double vue superbe sur son petit trou et sa chatte déjà trempée. Moi, j’avais terriblement envie de l’enculer, de me faire son gros cul blanc. Je m’agenouillai derrière elle pour palper ses fesses, les écarter et commencer à lubrifier son petit trou avec ma salive et sa mouille. Elle ondula du bassin, me montrant son impatience. À genoux à côté de moi, Boris se cracha dans la main et empoigna ma bite. Je fus surpris, mais il me dit :



Il étala sa salive sur ma bite et son pouce joua même un peu avec mon gland. J’étais dérouté, mais plus en rut que jamais.


Je posai donc mon gland contre la petite rondelle de Murielle et commençai à pousser. Après trois ou quatre secondes de lutte, mon gland disparut dans son cul et elle poussa un petit cri. Je lui laissai un peu de répit et de temps de dilatation avant d’empoigner ses hanches grassouillettes à pleines mains. Je donnai alors des coups de plus en plus profonds jusqu’à ce que, dans un cri partagé, toute la longueur de ma bite ait disparu dans son cul. Cette vision m’électrisa et je me penchai alors pour prendre dans chaque main ses gros seins lourds, tandis que je l’enculais à grands coups profonds et réguliers tout en lui mordillant l’oreille et la traitant de grosse cochonne. Cela dura un bon moment et c’est vrai que la salope semblait vraiment apprécier… Enfin, il fallait que je décharge dans son petit cul. J’abandonnai ses gros seins et, me redressant, j’attrapai fermement sa taille. Je la défonçai alors comme une pouffiasse, sans aucune retenue, le plus rapidement et le plus profondément possible, lui faisant goûter toute la longueur de ma bite à chaque coup de reins. Enfin, je giclai mon foutre au fond de son cul alors qu’elle se mit à crier de plus en plus. Trois ou quatre longues décharges m’arrachèrent des gémissements de plaisir pur avant que je me retire, vanné, pour laisser la place toute chaude à Boris.


Comme il bandait un peu mou, je voulus lui rendre la pareille et pris sa bite dans ma main. Le contact était bizarre, mais chaleureux. Je le branlai un peu, amusé, puis m’approchai pour cracher sur son gland. Ayant déposé de haut un bon paquet de salive sur le bout, je l’étalai avec mes doigts quand la voix de Boris s’éleva doucement :



Je fus tétanisé un instant. Il avait parfaitement perçu mon trouble et ma curiosité.


Carpe Diem ! Je me penchai alors et pris sa queue dans ma bouche. Elle sentait fort, une odeur tenace, musquée et salée à la fois. Je fus un peu dégoûté et la ressortis aussitôt. Pour être poli, il fallait continuer un peu… Je sortis alors ma langue et l’enroulai autour de son gland pointu. Je lui titillai le bout de la queue en la lui branlant d’une main et sa bite se fit soudain plus dure, plus tendue. Finalement, je repris son gland dans ma bouche et me surpris moi-même à donner des coups de tête pour la pomper et en avaler de plus en plus… Mon sang se glaça subitement, j’eus un instant de panique en m’imaginant en train de faire ça. Puis les derniers remparts tombèrent et je fus soudain très zen : personne ne m’avait forcé et c’était plutôt bon, en fait. Je l’enfonçai plusieurs fois au fond de ma gorge, avalant presque toute la longueur de cette belle bite, la caressant bien avec ma langue, avant de la libérer.


Boris put alors reprendre Murielle. Elle avait juste repris son souffle et retrouvé son calme, notre petite séance entre hommes n’ayant duré que deux ou trois minutes. Il l’encula à son tour, avec beaucoup de tendresse, avant de s’allonger à sa place pour qu’elle vienne s’empaler sur lui en gémissant, lui tournant le dos. Je vis sa petite chatte engloutir le membre de Boris jusqu’à la garde et ses gros seins ballotter joyeusement dans tous les sens, et je ne tardai pas à retrouver une belle forme. Je vins donc me remettre debout devant elle pour qu’elle me suce encore. Elle prenait son pied et, tout en me jetant pleins de petits regards souriants, elle m’avala alors la bite comme une chienne pendant que je la traitais de super cochonne ou de divine suceuse. Elle changea finalement de sens en me demandant si je pouvais l’enculer en même temps. Une double ! Je m’en doutais un peu… C’était ma première et je mis un peu de temps à trouver la bonne position et le bon angle, mais finalement je m’enfonçai dans son cul de fermière délurée pendant que la longue bite raffinée de Boris lui ramonait la chatte en long et en large. Elle se mit à crier de plus en plus fort et j’avais peur qu’on nous surprenne sur le parking, mais c’était tellement bon que j’oubliai vite le monde environnant. Elle se démenait entre nous, gémissant, criant pendant que nos bites la pistonnaient sans vergogne ; je crois bien qu’elle eut un ou deux orgasmes assez rapprochés.


Finalement, Murielle se dégagea et s’assit sur les coudes pour recevoir nos décharges. Je me glissai sur son ventre pour éjaculer entre ses seins tandis que Boris, resté debout, lui proposait de tout avaler. Je vins le premier, poussant des petits cris rauques, alors que je fourrais ma bite entre ses grosses mamelles pesantes ; je restais un long moment à jouir en badigeonnant sa poitrine de sperme collant. Boris éjacula à son tour, dans sa bouche, et elle resta un long moment à lui lécher la bite et le gland pour nettoyer toutes les traces du chaud liquide, tout en le regardant, alors qu’il l’insultait et la flattait gentiment.


Nous fîmes alors une sieste d’une petite heure, et après une nouvelle douche, nous reprîmes la route. Je quittai avec regrets mes hôtes automobilistes quelque temps plus tard sur le parvis de Notre-Dame, un peu abasourdi, mais heureux de cette nouvelle expérience…